epilogue du piège
Récit érotique écrit par Sofi [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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epilogue du piège
Je venais de me transformer en menteuse éhontée.
Celui qui partageait ma vie depuis plusieurs années, le père de mes 3 enfants venait de recevoir mon appel lui demandant de garder les enfants et c’est sous le couvert d’un succès professionnel que j’allais connaitre de nouveaux moments lubriques.
Les découvertes qui étaient miennes depuis quelques jours et notamment de cet après-midi passé, avaient fait naitre en moi de nouvelles aspirations dont celle de découvrir des jeux, de la nature de ceux que ma morale réprouvait il y a peu de temps…
Après les joutes sexuelles qui furent les nôtres, nous nous sommes rendus avec mon employeur dans un sauna à proximité de la ville où nous avions nos locaux.
J’ai pu m’y ressourcer et malgré les propositions que nous avons eues, nous n’avons fait qu’un hammam reposant et pris une douche salvatrice.
Je n’aurais pas pensé me retrouver nue dans un tel établissement en compagnie d’Arnaud et n’y trouver aucune réticence ou objection.
Il n’est pas d’axiome plus certain, je devais une véritable catin.
L’ironie c’est que, de soumise via un perfide chantage, je devenais une partenaire consentante et appliquée.
Dans une pièce attenante au sauna, les tenanciers avaient établis un petit sex-shop où trônaient non seulement pléthore de sex-toys hétéroclites mais également des tenues qui allaient des plus sexy au plus hard en passant par des accessoires BDSM.
Je me suis vu offrir une micro jupe noire, un tablier de soubrette, un chemisier transparent noir avec col blanc, bas noirs, une paire d’escarpins aux talons fins et hauts, des cuissardes, 2 mini jupes légèrement plus « respectables » que la micro jupe et respectivement noire et rouge, 1 corsage blanc et transparent, un bustier corset d’où mes seins sortaient libres, un tee shirt de maille, une laisse avec collier en cuir, un plug anal avec télécommande et leds, une panoplie de la secrétaire sexy – jupe hyper courte écossaise, corsage transparent a col claudine, nu-pieds strassés, matériels en cuir de contention et pour finir un bandeau pour les yeux.
Il faut dire que le contrat souscrit est des plus « juteux ».
Si la liste est longue, sachez que chaque tenue aura son histoire mais à ce stade je ne le savais pas encore.
Direction Arbonne la Foret mais nous passons devant les Gorges de Franchard et mon conducteur s’y arrête et me demande d’observer le manège des véhicules et des personnes qui s’y trouvent.
J’aperçois de nombreuses allées et venues dans les sentiers allant du parking aux rochers parsemant cette odorante foret de pins.
« Bientôt, ici, tu connaitras de nouveaux plaisirs et tu en procureras à de nombreuses personnes…
As-tu déjà entendu parler de dogging ? »
« Non cela consiste en quoi ? »
« Attends quelques jours et je te ferai découvrir – allons-y par étape mais es-tu intéressée par la découverte de nouveaux scénarios hots ? »
« Maintenant je ne me vois pas répondre autrement que par l’affirmative – 1 je suis effectivement curieuse 2 cela me procure du plaisir 3 c’est tellement évident que le nier m’est impossible – seul l’hygiène et salubrité sont à respecter svp »
Dans Arbonne, c’est face à un grand portail que nous nous sommes arrêtés.
Lorsque celui-ci s’est ouvert après que les maitres de maison, dont Richard, soient avisés de notre arrivée, j’ai pu constater la présence de la voiture de nos « clients » de l’après-midi.
Ils nous avaient devancé. Paradoxalement cela me rassura.
Nous avons été accueillis par une grande blonde aux cheveux longs et aux seins généreux. Elle portait une jupe courte et sage, sur des talons hauts et sa tenue était très soignée. Richard se plaça derrière elle et nous présenta son amie.
Sylvie était une très belle femme et avenante. Souriante et attentionnée elle me mit très vite à l’aise.
- « Richard m’a dit que tu avais passé un agréable après-midi avec ces messieurs mais que pour toi ce n’est pas facile car tu découvres depuis peu le libertinage. Il m’a également dit que ton patron lui avait dit que tu débutais grâce à lui mais que comme au travail tu étais très attentionnée.
C’est un beau compliment et Christophe et Lionel sont arrivés un peu avant vous et ne tarissent pas d’éloges à ton sujet »
Arnaud de renchérir « oui Sylvie je te confirme que Sofi va au-delà de mes espoirs. Je te la confie et te donne aussi ce sac qui comporte quelques emplettes que nous venons de faire. »
Nous nous sommes rendus au premier étage toutes les deux et Sylvie m’a indiqué qu’elle et moi serions les « serveuses » de ces messieurs ce soir.
Nous nous sommes donc misent toutes deux en tenue de soubrette.
Nous nous sommes ensuite dirigées vers la cuisine où Sylvie m’a indiqué un seau de glace où trônait un magnum de champagne.
De son côté c’est avec un immense plateau de petits fours qu’elle me précéda pour entrer dans le salon.
Nous avons fait notre effet. Nous étions toutes deux les seins libres sous notre corsage transparent. Nos micro jupes ne cachaient que la moitié de nos fesses, nos tabliers cachaient nos sexes lisses mais l’amplitude du vêtement laissait un accès facile au mont de venus.
Nos bas et escarpins aux talons hauts ajoutaient la touche finale à notre tenue d’employée de maison coquine.
Richard : « les garçons voyez comme nous allons être bien servis, il faudra les remercier en étant à la hauteur.
Sofi, je vois que tu as bien fait connaissance avec Sylvie qui va t’accompagner toute la soirée.
Les filles, vous pouvez attaquer le service ».
Interdit de plier les genoux pour servir. C’était la consigne reçue de Sylvie et ainsi nous proposions une vue agréable aux convives. Nos sexes, notre raie culière n’avaient aucun secret pour eux.
Nous étions à leur disposition et dès que l’une ou l’autre étions sollicitée pour une coupe ou un petit canapé, leurs mains venaient prendre possession de nos parties intimes, les caresses étaient souvent les prémices à un doigté.
L’ambiance est vite montée d’un cran. C’est agréable d’être comme cet après-midi le sujet des convoitises mais je découvrais que partager cet intérêt avec Sylvie ne manquait pas de faire naitre en moi beaucoup de plaisir.
J’étais trempée et j’avais envie de sexe – terriblement envie de sexe.
C’est moi qui ai pris l’initiative de me diriger vers Richard et de me mettre à genoux fasse à lui.
C’est moi qui ai pris l’initiative de sortir son sexe et de lécher cette hampe que je venais d’extirper.
Sylvie n’était pas de reste. Elle a fait la même chose dans mon dos, du côté de Arnaud et Lionel.
Christophe qui se trouvait à ma gauche a déboutonné mon chemisier. J’étais seins nus, et ils ballotaient au rythme de mes cervicales car je pomper ardemment ce chibre qui avait pris de la consistance.
Le doberman couché à proximité de Richard et qu’il flattait nonchalamment releva la tête et me regarda. Je perturbais sa quiétude.
Les doigts de Christophe sont venus titiller mon bouton, mes lèvres étaient grandes ouvertes et il savait y faire le bougre.
J’étais trempée. Il commença à glisser 1 puis 2 doigts dans ma chatte et me masturba.
J’étais prise par la bouche avec un sexe épais au gland que je prenais plaisir à prendre du bout des lèvres et je sentais dans les veines et les tressaillements que ce traitement procurait beaucoup de plaisir.
Les doigts se firent plus virulent, plus précis et dans un amalgame de feulements et cris je suis partie fontaine. J’ai aspergé le tapis, je ne pouvais me retenir, j’étais submergée par le plaisir, mon ventre se contractait, mes jambes pleines de soubresauts.
J’ai dû lâcher prise quelques instants pour reprendre mes esprits et mon souffle.
J’ai aperçu Sylvie qui était prise en sandwich.
Lionel sur le dos face à ma camarade l’avait emboitée et son sexe disparaissait régulièrement dans ce mignon mont de venus. Ils s’embrassaient dans des rauquements, leurs langues s’entremêlaient et l’on apercevait de long fils de bave.
Arnaud n’était pas de reste et positionné en arrière, il enculait la belle blonde donnant un rythme soutenu à ce trio.
J’ai repris ma fellation, la situation avait dû exciter Richard car très vite j’ai senti les prémices de son éjaculation. Je me suis appliquée à enfourner encore le membre et ma bouche hermétiquement posée autour du cylindre de chaire a été inondée de plusieurs jets. Impossible de me relever, Richard les jambes tétanisées par le plaisir me maintenait la tête et j’ai eu quelques difficultés pour déglutir et absorber ce liquide du plaisir.
Voyant cela, Christophe dont 2 doigts venaient de prendre possession de mon anus m’ordonnât de le gratifier du même traitement.
Je me suis retrouvée à mon tour saillie de toute part.
Après avoir reçu le fruit du plaisir des hommes qui avaient pris d’assaut mes orifices Sylvie est venue à mes côtés.
Elle a commencé de sa langue et tout en douceur de nettoyer les traces que nos plaisirs avaient laissés sur mon corps.
C’est avez beaucoup de plaisir et de sensualité que je me suis vue gratifiée de ce plaisir saphique.
Sylvie m’a donné beaucoup de plaisir pendant que les garçons se délectaient de la vue qui s’offrait à eux.
J’ai pu crier ma jouissance, ses doigts sont venus prendre possession de mon intimité et elle m’a transformée en une femme fontaine totalement délurée.
J’ai pu à mon tour gouter ses lèvres et retrouver le gout de mes amants.
Repue, fatiguée mais heureuse d’avoir connue le plaisir au paroxysme, je me suis rendue sous une douche salvatrice avant de me changer pour retrouver le chemin du domicile conjugal.
J’ai pu prendre congé de mes partenaires et après un retour difficile en raison de la fatigue qui faisait place aux montées d’adrénaline, je suis rentrée chez moi.
Ils étaient tous endormis. Mon homme m’a demandé si j’avais passé une bonne journée.
Je ne pouvais répondre que par l’affirmative et me suis endormie dans les bras de mon aimé, la tête pleine de souvenirs érotiques
Celui qui partageait ma vie depuis plusieurs années, le père de mes 3 enfants venait de recevoir mon appel lui demandant de garder les enfants et c’est sous le couvert d’un succès professionnel que j’allais connaitre de nouveaux moments lubriques.
Les découvertes qui étaient miennes depuis quelques jours et notamment de cet après-midi passé, avaient fait naitre en moi de nouvelles aspirations dont celle de découvrir des jeux, de la nature de ceux que ma morale réprouvait il y a peu de temps…
Après les joutes sexuelles qui furent les nôtres, nous nous sommes rendus avec mon employeur dans un sauna à proximité de la ville où nous avions nos locaux.
J’ai pu m’y ressourcer et malgré les propositions que nous avons eues, nous n’avons fait qu’un hammam reposant et pris une douche salvatrice.
Je n’aurais pas pensé me retrouver nue dans un tel établissement en compagnie d’Arnaud et n’y trouver aucune réticence ou objection.
Il n’est pas d’axiome plus certain, je devais une véritable catin.
L’ironie c’est que, de soumise via un perfide chantage, je devenais une partenaire consentante et appliquée.
Dans une pièce attenante au sauna, les tenanciers avaient établis un petit sex-shop où trônaient non seulement pléthore de sex-toys hétéroclites mais également des tenues qui allaient des plus sexy au plus hard en passant par des accessoires BDSM.
Je me suis vu offrir une micro jupe noire, un tablier de soubrette, un chemisier transparent noir avec col blanc, bas noirs, une paire d’escarpins aux talons fins et hauts, des cuissardes, 2 mini jupes légèrement plus « respectables » que la micro jupe et respectivement noire et rouge, 1 corsage blanc et transparent, un bustier corset d’où mes seins sortaient libres, un tee shirt de maille, une laisse avec collier en cuir, un plug anal avec télécommande et leds, une panoplie de la secrétaire sexy – jupe hyper courte écossaise, corsage transparent a col claudine, nu-pieds strassés, matériels en cuir de contention et pour finir un bandeau pour les yeux.
Il faut dire que le contrat souscrit est des plus « juteux ».
Si la liste est longue, sachez que chaque tenue aura son histoire mais à ce stade je ne le savais pas encore.
Direction Arbonne la Foret mais nous passons devant les Gorges de Franchard et mon conducteur s’y arrête et me demande d’observer le manège des véhicules et des personnes qui s’y trouvent.
J’aperçois de nombreuses allées et venues dans les sentiers allant du parking aux rochers parsemant cette odorante foret de pins.
« Bientôt, ici, tu connaitras de nouveaux plaisirs et tu en procureras à de nombreuses personnes…
As-tu déjà entendu parler de dogging ? »
« Non cela consiste en quoi ? »
« Attends quelques jours et je te ferai découvrir – allons-y par étape mais es-tu intéressée par la découverte de nouveaux scénarios hots ? »
« Maintenant je ne me vois pas répondre autrement que par l’affirmative – 1 je suis effectivement curieuse 2 cela me procure du plaisir 3 c’est tellement évident que le nier m’est impossible – seul l’hygiène et salubrité sont à respecter svp »
Dans Arbonne, c’est face à un grand portail que nous nous sommes arrêtés.
Lorsque celui-ci s’est ouvert après que les maitres de maison, dont Richard, soient avisés de notre arrivée, j’ai pu constater la présence de la voiture de nos « clients » de l’après-midi.
Ils nous avaient devancé. Paradoxalement cela me rassura.
Nous avons été accueillis par une grande blonde aux cheveux longs et aux seins généreux. Elle portait une jupe courte et sage, sur des talons hauts et sa tenue était très soignée. Richard se plaça derrière elle et nous présenta son amie.
Sylvie était une très belle femme et avenante. Souriante et attentionnée elle me mit très vite à l’aise.
- « Richard m’a dit que tu avais passé un agréable après-midi avec ces messieurs mais que pour toi ce n’est pas facile car tu découvres depuis peu le libertinage. Il m’a également dit que ton patron lui avait dit que tu débutais grâce à lui mais que comme au travail tu étais très attentionnée.
C’est un beau compliment et Christophe et Lionel sont arrivés un peu avant vous et ne tarissent pas d’éloges à ton sujet »
Arnaud de renchérir « oui Sylvie je te confirme que Sofi va au-delà de mes espoirs. Je te la confie et te donne aussi ce sac qui comporte quelques emplettes que nous venons de faire. »
Nous nous sommes rendus au premier étage toutes les deux et Sylvie m’a indiqué qu’elle et moi serions les « serveuses » de ces messieurs ce soir.
Nous nous sommes donc misent toutes deux en tenue de soubrette.
Nous nous sommes ensuite dirigées vers la cuisine où Sylvie m’a indiqué un seau de glace où trônait un magnum de champagne.
De son côté c’est avec un immense plateau de petits fours qu’elle me précéda pour entrer dans le salon.
Nous avons fait notre effet. Nous étions toutes deux les seins libres sous notre corsage transparent. Nos micro jupes ne cachaient que la moitié de nos fesses, nos tabliers cachaient nos sexes lisses mais l’amplitude du vêtement laissait un accès facile au mont de venus.
Nos bas et escarpins aux talons hauts ajoutaient la touche finale à notre tenue d’employée de maison coquine.
Richard : « les garçons voyez comme nous allons être bien servis, il faudra les remercier en étant à la hauteur.
Sofi, je vois que tu as bien fait connaissance avec Sylvie qui va t’accompagner toute la soirée.
Les filles, vous pouvez attaquer le service ».
Interdit de plier les genoux pour servir. C’était la consigne reçue de Sylvie et ainsi nous proposions une vue agréable aux convives. Nos sexes, notre raie culière n’avaient aucun secret pour eux.
Nous étions à leur disposition et dès que l’une ou l’autre étions sollicitée pour une coupe ou un petit canapé, leurs mains venaient prendre possession de nos parties intimes, les caresses étaient souvent les prémices à un doigté.
L’ambiance est vite montée d’un cran. C’est agréable d’être comme cet après-midi le sujet des convoitises mais je découvrais que partager cet intérêt avec Sylvie ne manquait pas de faire naitre en moi beaucoup de plaisir.
J’étais trempée et j’avais envie de sexe – terriblement envie de sexe.
C’est moi qui ai pris l’initiative de me diriger vers Richard et de me mettre à genoux fasse à lui.
C’est moi qui ai pris l’initiative de sortir son sexe et de lécher cette hampe que je venais d’extirper.
Sylvie n’était pas de reste. Elle a fait la même chose dans mon dos, du côté de Arnaud et Lionel.
Christophe qui se trouvait à ma gauche a déboutonné mon chemisier. J’étais seins nus, et ils ballotaient au rythme de mes cervicales car je pomper ardemment ce chibre qui avait pris de la consistance.
Le doberman couché à proximité de Richard et qu’il flattait nonchalamment releva la tête et me regarda. Je perturbais sa quiétude.
Les doigts de Christophe sont venus titiller mon bouton, mes lèvres étaient grandes ouvertes et il savait y faire le bougre.
J’étais trempée. Il commença à glisser 1 puis 2 doigts dans ma chatte et me masturba.
J’étais prise par la bouche avec un sexe épais au gland que je prenais plaisir à prendre du bout des lèvres et je sentais dans les veines et les tressaillements que ce traitement procurait beaucoup de plaisir.
Les doigts se firent plus virulent, plus précis et dans un amalgame de feulements et cris je suis partie fontaine. J’ai aspergé le tapis, je ne pouvais me retenir, j’étais submergée par le plaisir, mon ventre se contractait, mes jambes pleines de soubresauts.
J’ai dû lâcher prise quelques instants pour reprendre mes esprits et mon souffle.
J’ai aperçu Sylvie qui était prise en sandwich.
Lionel sur le dos face à ma camarade l’avait emboitée et son sexe disparaissait régulièrement dans ce mignon mont de venus. Ils s’embrassaient dans des rauquements, leurs langues s’entremêlaient et l’on apercevait de long fils de bave.
Arnaud n’était pas de reste et positionné en arrière, il enculait la belle blonde donnant un rythme soutenu à ce trio.
J’ai repris ma fellation, la situation avait dû exciter Richard car très vite j’ai senti les prémices de son éjaculation. Je me suis appliquée à enfourner encore le membre et ma bouche hermétiquement posée autour du cylindre de chaire a été inondée de plusieurs jets. Impossible de me relever, Richard les jambes tétanisées par le plaisir me maintenait la tête et j’ai eu quelques difficultés pour déglutir et absorber ce liquide du plaisir.
Voyant cela, Christophe dont 2 doigts venaient de prendre possession de mon anus m’ordonnât de le gratifier du même traitement.
Je me suis retrouvée à mon tour saillie de toute part.
Après avoir reçu le fruit du plaisir des hommes qui avaient pris d’assaut mes orifices Sylvie est venue à mes côtés.
Elle a commencé de sa langue et tout en douceur de nettoyer les traces que nos plaisirs avaient laissés sur mon corps.
C’est avez beaucoup de plaisir et de sensualité que je me suis vue gratifiée de ce plaisir saphique.
Sylvie m’a donné beaucoup de plaisir pendant que les garçons se délectaient de la vue qui s’offrait à eux.
J’ai pu crier ma jouissance, ses doigts sont venus prendre possession de mon intimité et elle m’a transformée en une femme fontaine totalement délurée.
J’ai pu à mon tour gouter ses lèvres et retrouver le gout de mes amants.
Repue, fatiguée mais heureuse d’avoir connue le plaisir au paroxysme, je me suis rendue sous une douche salvatrice avant de me changer pour retrouver le chemin du domicile conjugal.
J’ai pu prendre congé de mes partenaires et après un retour difficile en raison de la fatigue qui faisait place aux montées d’adrénaline, je suis rentrée chez moi.
Ils étaient tous endormis. Mon homme m’a demandé si j’avais passé une bonne journée.
Je ne pouvais répondre que par l’affirmative et me suis endormie dans les bras de mon aimé, la tête pleine de souvenirs érotiques
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
que de gentillesses... dommage de venir sur de tels sites libertins et d avoir l esprit si étriqué.... quand a celui qui a bien connu cette jeune femme j espère que vous lui avez donné plaisir
J'ai aimé cette série, pour sa narration mais aussi pour très bien connaitre Milly la Fôret, la forêt de Fontainebleau et quelques un de ses points chauds. De surcroit j'ai connu une fort jolie femme, domiciliée en périphérie de Melun, dont la riche vie sexuelle débridée m'est revenue à l'esprit... Il y aurait matière à écrire mais je ne pense pas avoir le talent pour cela.
Comme la lectrice anonyme précédente ( que je pense reconnaître) je pense que la madame se ramassera seule dans un avenir plus plus moins rapproché. La famille, il n’y a rien de plus important, la délaisser nous dirige inévitablement vers l’abîme.
C’est impossible que le mec soit flic ou alors il a de la merde à la place des yeux.
Quand à la femme c’est 1 immonde poufiasse qui sacrifie ses enfants et prends pour 1 con son mari sans parler de la prise de risque.
La femme mériterait de finir dans 1 bordel le temps d’un week-end où elle serait traiter comme 1 merde ça lui ferait les pieds.
Ou alors le mari découvre tout et se casse avec les gamins.
Quand à la femme c’est 1 immonde poufiasse qui sacrifie ses enfants et prends pour 1 con son mari sans parler de la prise de risque.
La femme mériterait de finir dans 1 bordel le temps d’un week-end où elle serait traiter comme 1 merde ça lui ferait les pieds.
Ou alors le mari découvre tout et se casse avec les gamins.