Le piège presque fin

- Par l'auteur HDS Sofi -
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Récit libertin : Le piège presque fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le piège presque fin
Les trois hommes me glissèrent une enveloppe et j’ai pu prendre connaissance des résultats d’analyses qui ne stipulaient qu’aucun d’eux n’étaient porteurs d’IST.

Après avoir pris connaissance de ces documents qui à la fois me rassuraient sur le plan sanitaire mais me procuraient également une certaine appréhension sur ce qui allait m’arriver.
Je me devais de quitter ce restaurant pour me rendre, accompagnée de ces trois hommes, en direction du bâtiment convoité et pour lequel la transaction devait en grande partie être liée à ma « prestation ».

Cette grande bâtisse comme je vous l’ai dit précédemment se trouvait à proximité du hall du marché, endroit névralgique de l’agglomération.

Afin d’aguicher les potentiels acheteurs, me soumettre et se faire plaisir, Arnaud m’a ordonné de me rendre dans le bâtiment en traversant le marché ceci sans avoir préalablement fermé mon manteau.
Ma tenue allait forcement attirer regards et/ou remarques.

L’homme au costume gris me pris par la taille tandis que nous passions entre les différents marchands ambulants et les badauds.
Arnaud et le troisième compère se sont arrêtes discuter avec un homme d’un certain âge, un notable fortuné.
Il faisait également parti de nos clients.
Pendant qu’ils discutaient, l’homme au costume me plaça devant le vieux et se glissa quant à lui contre mon dos. Il entreprit alors de retirer encore un bouton de mon chemisier et de me malaxer les seins à travers mon chemisier.

A la fois gênée et excitée, je sentis mes tétons durcir.
L’homme dans mon dos couvrit mon cou de tendres baisers tout en regardant le vieux avec malice.
Son comparse tout en discutant rapprocha son visage du miens, je fus encore sous le charme de ses beaux yeux bleus, sa bouche vient prendre possession de la mienne et sa main se glissa sous ma jupe la relevant légèrement de façon à ce que l’ancien puisse voir la naissance de mes bas.
J’étais rouge de honte et de plaisir.
Ils se connaissaient et telle ne fut pas ma surprise d’entendre ce notable dire à mon patron : « si les visites se font toujours ainsi, mon cher Arnaud, vous allez avoir l’exclusivité de mon patrimoine immobilier ».
Je devenais un argumentaire de vente. Un goodies du plaisir pour ces messieurs.

Nous avons repris notre chemin pour arriver dans la demeure.
J’ai redécouvert cet endroit magnifique, ses grandes pièces aux hauts plafonds, ses fenêtres de grande taille qui permettaient de faire rentrer la lumière et une chaleur abondante.
A l’étage se trouvait un balcon qui donnait sur un petit parc situé sur l’arrière du bâtiment.
De belle poutres apparentes procuraient un cachet indéniable.

Mon employeur et le 2 jeunes acquéreurs potentiels firent plusieurs fois le tour des pièces et toute en tergiversant sur la possibilité que pouvait donner cette acquisition, ils me demandaient de les accompagner.
Parfois quelques questions d’ordre comptable m’étaient adressées mais j’avais plutôt à répondre favorablement aux mains baladeuses qui venaient régulièrement trouver ma croupe ou se retrouver sous ma jupe.

La transaction prenait fin et les accords purement commerciaux arrivaient à terme.
L’homme aux belles fesses et celui aux yeux magnifiques se sont approchés.
Mon employeur en fit de même et je me suis retrouvée entourée de ces trois hommes jeunes et viriles.
Yeux bleus repris ma bouche et me demanda de tirer la langue.
Ils vinrent à tour de rôle m’embrasser longuement. Nos langues, nos salives s’entremêlaient.
Leurs mains n’étaient pas de reste. Mon corps se fit assaillir. Mes seins furent malaxés.
Mes tétons qui sont chez moi une zone très érogène ont été titillés.
Ma jupe courte fut remontée sur mon ventre et mes cuisses, mes fesses ont été caressées longuement et délicatement.

Les préliminaires si doux et leur odeur, leur présence de males en rut, leurs investigations sur mon corps ont eu raison de moi.
Mon souffle se fit plus court, je sentais que je fondais.
Mon sexe s’humidifia. Le plaisir avait submergé toutes mes réticences.
Le chantage venait de laisser place à une envie. Arnaud, malicieux, avait réussi à me faire franchir un cap malgré mes réticences et appréhensions initiales

Pendant que l’un continuait de m’embrasser un autre commença à me défaire totalement de mon chemisier avant de sortir mes seins de leur maintien.
Le troisième glissa ses doigts le long de mon string qu’il mit de côté.
Mes lèvres furent écartées et deux doigts vinrent s’insinuer en moi me procurant un plaisir intense.
Je n’avais dès lors plus aucune retenue.

Juchée sur mes talons hauts, mes bas, ma jupe retroussée, une main me fouillant le sexe, d’autres sur les fesses, une bouche sur mes seins et ma bouche prise par la langue d’un troisième homme.
Je me trouvais salope mais surtout je sentais aussi qu’ils désiraient mon corps et ce sentiment d’être si fortement convoitée me convenait.
Je fondais, j’appréciais.

Arnaud déclara me demande alors à haute voix « Sofi tu es une salope ? »
Je n’ose réponse. Il tord alors fortement un téton et dans un cri de douleur je réponds que « oui je suis bien une salope mais que n’arrive pas à l’assumer »
- Mets-toi sur le sol et écarte les jambes !
- Je m’exécute et me retrouve les fesses sur ces tommettes d’un autre âge, les jambes bien écartées, ma vulve en évidence.
- Branle-toi et montre-nous qui tu es
Je suis devant mon supérieur la chatte reluisante bien ouverte – il est accompagné de deux de nos principaux clients que je connais depuis des années et je suis là à me prendre le bouton, à me donner du plaisir et je sens qu’il monte rapidement.
Une décharge d’adrénaline me fait gémir, je jouis et suis excitée comme une puce.

Christophe (Beaux yeux) et Lionel (Belles fesses) s’approchent de moi, ils retirent leur pantalon et je me retrouve face à deux très belles queues.
J’ouvre la bouche et suce en alternance ces membres qui me sont offerts. Quel délice !
Je sens de leur méat s’échapper leur liquide séminal.
Arnaud de son côté est venu placer sa tête dans la fourche de mes cuisses et sa langue vient me titiller le bouton. Je monte – moi l’épouse qui était si prude.

Les mains me touchent, me remplissent les orifices, ma rondelle est déflorée par un index, deux doigts positionnés en crochet cherchent à trouver mon point G.
La situation, leurs prestations font que maintenant leurs gestes et mes gémissements sont accompagnés du clapotis de ma chatte trempée. Drôle d’harmonie… mais si plaisante
Chacun prend plaisir à me toucher, à me baiser.

Je monte et me surprends à leur demander de me prendre.
J’en ai envie, je n’en peux plus il me faut une bite dans le ventre à minima.

Arnaud se positionne sur le dos. Son pantalon s’est depuis son cunnilingus, retrouvé dans un coin de la pièce. Son pieu est fièrement dressé et il a belle allure.
- Viens t’empaler sur moi ma salope
Je ne me fais pas prier et je m’assois sans mal sur cette si convoitée colonne de chaire.
Elle n’a aucun mal à s’insérer en moi. Je suis aussi lubrifiée qu’une motte de beurre.

Lionel de son côté prend place derrière moi et m’indique :
- Ma salope de comptable, je vais prendre un acompte en t’enculant.
Aussi dit aussi tôt fait, son braquemard vient se positionner devant ma rondelle et dans une poussée il entre jusqu’à la garde dans mon fondement.
Je sens ses couilles qui battent contre mes fesses.

Je suis balancée par mes deux amants et Christophe ne veut pas rester de reste il me présente son sexe violacé pour que le reprenne à nouveau en bouche. Ma langue glisse le long de la colonne, s’insère au niveau du méat. Je joue avec et prend beaucoup de plaisir.
Il me viole la bouche et m’impose une gorge profonde que je m’applique à faire du mieux possible malgré quelques déglutitions initiales.
C’est si bon, une bite dans le con et l’anus, une autre dans la bouche.

Je m’applique, je pompe, je tète et malgré les soubresauts de mes assaillants dans mon cul et mon sexe. Je sens monter le désir dans cette queue.
Plusieurs jets saccadés propulsent le sperme de Christophe sur ma langue, sur mon palais et je m’applique à tout boire comme il me l’ordonne.
- Bois tout ma salope
- Oui et vous baissez moi comme la bonne salope que je suis !
-
Je me délecte.
J’avale tout sans rechigner, c’est si bon.
Je tire ma langue pour montrer que tout est bien absorbé et je m’applique à nettoyer ce sexe reluisant.

Il éjacule mais reste en forme.
Jeunesse ou produit dopant, je m’en fiche je vais en profiter.
Il échange de place avec Lionel qui me donne également son chibre à sucer.

L’odeur un peu acre de cette queue qui vient de quitter mon cul ne me rebute pas et je reprends mon activité de « pute » comme ils me disent maintenant.

Arnaud explose et me remplit de son foutre la matrice, je sens son liquide chaud m’envahir.
C’est bon et les documents portés à ma connaissance, sur leur état de santé, l’absence d’IST, me permettent de profiter sans arrière-pensée de ce jus d’amour.
Je prends mon pied, j’ai chaud, nous alternons les positions et Arnaud, en bon employeur, profite d’un moment pour aérer la pièce où la température est montée rapidement.

Christophe dans un dernier sursaut vient de me remplir.
Mes fessiers retiennent un peu son sperme qui s’écoule de ma rondelle jusqu’à l’intérieur de mes cuisses.
Mon sexe rougit par les assauts n’est pas de reste et le liquide visqueux qui y a été déversé s’écoule également le long de mes cuisses.

C’est à ce moment que nous avons vu par la fenêtre entrebâillée la tête du notable que nous avions croisé au marché.
- Eh bien on ne s’ennuie pas ici – il n’y aurait pas une petite place pour un fidèle client ?
Les 3 comparses qui venaient de prendre possession de mon corps et d’en user à leur guise, amis de cette personne ils étaient hilares et pour réponse ce fut un :
- Oui, Richard, tu peux rentrer c’est ouvert et vient nous aider à combler cette pute
- J’arrive, depuis le temps que j’avais envie de la sauter

Il vint directement vers moi, sorti son sexe mais à la vue de ma fente et mon cul dégoulinants de mouille celui-ci se ravisa et me demanda de le sucer pour prendre un peu de vigueur.
J’étais dans l’expectative mais le regard de mon patron était sans appel et je pris en bouche cette queue bien moins puissante que celles qui venaient de m’honorer.
Elle était plus petite, plus plissée et plus odorante mais je fis ce que l’on me demandait et la pris en bouche avec application.
Ma langue s’insinua au niveau du prépuce, ma bouche pris possession de cette bite aux forts relents d’homme.

L’ancien prenait de la vigueur et voulu me saillir, mais en raison de la quantité de sperme, il eut l’appréhension de ne pas bien me sentir.
- Je vais devoir nettoyer le terrain pour avoir plus de sensations et ces jeunes t’ont bien explosé.
Mets-toi à quatre pattes et écartes bien tes fesses avec tes mains que je nettoie ta rondelle et ta chatte.
Je me retrouvais donc à m’écarter les fesses, le visage posé sur ce sol qui me procurait un peu de fraicheur.
Mes seins étaient écrasés, je me retrouvais dans une posture obscène mais qui me convenait.
De sa langue il nettoya, absorba les sucs abondamment laissés dans mes orifices.
Mon clitoris fut à nouveau sujet à toute l’attention de ce partenaire et dans un feulement renversant ma tête en arrière je me laissait aller à une nouvelle jouissance.
A deux reprises, il me fit monter, je sentais sa langue qui s’insérait dans mes parties intimes, mon bouton déjà fortement sollicité et érectile était des plus sensible.
Je jouissais à nouveau et sentis qu’il venait me couvrir et insérer son sexe en moi.




Sa queue vint me remplir, il haletait mais savait s’y prendre, ses coups de reins électrisèrent mon bas ventre.
Il se retira et éjacula sur mes fesses. Il prit soins à nouveau de nettoyer ma peau de toute trace de sperme avec sa langue sa bisexualité était une découverte pour moi.
Bien que je ne fusse plus une jouvencelle, je n’avais jamais vu un homme boire le sperme d’un autre…


J’étais repue, courbaturée mais ravie et comblée.
Ce que je ne savais pas encore c’est que la journée n’était pas finie.

Richard pris son téléphone et dit à son interlocutrice qu’elle aurait 4 convives de plus ce soir et des plus coquins. Il rajouta qu’elle devait se préparer comme il se devait pour nous recevoir.

Mon patron me demanda
- Préviens ton cocu que ce soir car pour fêter ce beau contrat, je t’emmène au restau et tu lui diras qu’en raison de la finalisation des documents administratifs tu ne rentreras pas de bonne heure.
- Richard nous invite tous et tu vas découvrir d’autres facette du plaisir sexuel que tu ne connais pas encore.

Mon mari est dans les forces de l’ordre, je lui ai demandé s’il pensait avoir fini son service pour récupérer les enfants, que j’allais finir un très gros dossier, que mon patron, satisfait de la tractation et de mes services m’offrait un bon restaurant.

Je me découvrais non seulement une nouvelle sexualité mais également des capacités à imaginer des excuses et les avancer sans balbutier.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
La suite et fin arrive quand au final ?

Histoire Libertine
Déjà il y a 1 faute de moins. 🤦‍♀️

Histoire Libertine
Donc le mari est 1 condé qui croit sa femme, qui elle meme préfère faire la pute plutot que de s'occuper de ses propres enfants !!!

Sans oublier le fait que ça part d'un chantage, pour peu que les videos ou les photos arrivent au commissariat du mari et il sera la risée du commissariat mais en plus du quartier car tout se sait !!!!

Bravo la femme, encore 1 histoire ou l'on cautionne la prostitution de la part de bourgeoise coincées du cul alors que les gamines sous la coupe de la mafia ou d'un proxenete n'ont pas eu le choix elles et se retrouvent dans des baraquements ou des hotels à se prostituer , se droguer et se chopper toutes les merdes possibles !!!!



Texte coquin : Le piège presque fin
Histoire sexe : Une rose rouge
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