Mon premier "dérapage"
Récit érotique écrit par Sofi [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2023 dans la catégorie Plus on est
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Mon premier "dérapage"
Cela faisait quelques années que j'étais mariée et si tout allait bien dans notre couple, j'avais envie de me sentir encore désirable.
J'étais comptable dans une société immobilière située à Milly la foret, petite commune se situant à proximité de la belle foret de Fontainebleau.
Mon employeur était un jeune cadre dynamique qui avait réussi à. me débaucher de mon ancien cabinet d'expertise en me proposant des horaires plus souples, ce qui représentait un avantage certain pour la jeune maman que j'étais et un salaire augmenté.
Je prenait beaucoup de plaisir dans cette société et l'ambiance y était certes laborieuse mais emprunte de gaieté et de convivialité. Les commerçais étaient jeunes et la journée était toujours agrémentée de quelques rires malgré le professionnalisme qui se devait d'être.
Je sentais bien une certaine attirance pour mon patron pointer le bout de son nez mais en épouse attentive je ne succombait pas aux petits papillons.
Par jeu mon mari m'avait demandé de lui envoyer une photo de moi au travail seins nus.
Un midi alors que je pensais être seule dans l'établissement, j'ai retiré mon soutien gorge, ouvert mon corsage et pris deux ou trois selfies que j'ai envoyés à mon mari. Ce dernier était ravi.
Alors que je rangeais mon téléphone et remettait de l'ordre dans ma tenue, j'ai fait un bond en entendant mon patron dont je ne soupçonnais pas la présence, me déclarer qu'il préférait que je reste comme ceci, que c'était plus plaisant.
J'étais morte de honte et je rougis immédiatement.
Je lui présentait mes excuses et commençais maladroitement a finir de me réajuster.
Il se place derriere moi et me dit laissez je vais vous aider mais au lieu de refermer les agrafes de mon soutien gorge, celui-ci pris mes seins a pleine main puis retourna ma chaise et se penchant pour m'embrasser à pleine bouche.
Nos langues se sont vite mélangées et j'avoue qu'immédiatement je me suis senti couler de désir.
Il a fait couliser mon chemisier pour me libérer de toute entrave et je me suis retrouvée seins grands offerts face à mon reponsable d'agence.
Ce dernier m'a fait lever en m'ordonnant de le suivre ainsi dans l'étage inférieur. Il a fermé la porte de l'agence et m'a demandé de me positionner les fesses en bordure du comptoir d'entrée.
Les passants auraient pu nous surprendre et ceci augmentait mon excitation. Il a retroussé ma jupe et fait descendre mon string. Ma main, comme par automatisme est venue se poser sur son entrejambe où une bosse prometteuse prenait forme.
Ses doigts sont venus prendre possession de mon sexe, ses lèvres alternaient entre mes tétons et ma langue, quel plaisir, je fondais littéralement. Dans les minutes qui ont suivies on pouvait entendre la nécessaire de petits clapotis annonciateurs de la jouissance qui montait. Ses longs baisers et ses va est vient me rendaient folle de plaisir.
J'ai bien senti mon plaisir monter mais cela a été tellement fulgurant que je me suis transformée et femme fontaine, inondant le comptoir de la banque, le siège de la secrétaire.
A mon tour je me devais de rendre le plaisir procuré et j'avais hâte de découvrir ce que mes palpations avaient senties et qui augurait d un autre bon moment à venir.
Le pantalon fut vite descendu par mes soinset c est un sexe de belle dimension se retrouva devant mes yeux convoiteurs.
Comment resister.... après avoir pris en main ce bel instrument dont ma hiérarchie était titulaire, je me suis mise a gratifier d'un bonne fellation mon patron qui était semble t il assez heureux de la situation.
Apres quelques minutes durant lesquelles ma langues, mes lèvres étaient à l'ouvrage j'ai senti que la jouissance montait dans cette colonne de chaire si agréable.
J ai laissé le temp a son bénéficiaire de reprendre ses esprits avant de lui demander de me prendre immédiatement.
Je suis retrouvée les jambes surélevées par mon patron qui était assez sportif et son sexe si agréable est venu se loger entre mes petites lèvres. D un seul élan il est venu se plonger dans mon sexe deja fortement humidifié et c est en sentiment de plaisir qui est revenu dans mon ventre. Je le sentait aller et venir au plus profond de moi. ces coups de butoir me rendaient folle.
Apres quelques minutes et alors que je râlais de plaisir j ai senti qu'il allait m'inonder la matrice.
Dans un ultime spasme, de longs jets sont venus frapper mes parois intimes. La jouissance était partagée.
Dans un long baissé nous avons fini notre accouplement sportif et mis fin a ce que je croyais être un accident unique mais au combien plaisant.
Arnaud, c'était son prénom ,venait non seulement de prendre son bien, me procurer de bons moments de jouissance mais également de me piéger et j allais rapidement m en rendre compte
J'étais comptable dans une société immobilière située à Milly la foret, petite commune se situant à proximité de la belle foret de Fontainebleau.
Mon employeur était un jeune cadre dynamique qui avait réussi à. me débaucher de mon ancien cabinet d'expertise en me proposant des horaires plus souples, ce qui représentait un avantage certain pour la jeune maman que j'étais et un salaire augmenté.
Je prenait beaucoup de plaisir dans cette société et l'ambiance y était certes laborieuse mais emprunte de gaieté et de convivialité. Les commerçais étaient jeunes et la journée était toujours agrémentée de quelques rires malgré le professionnalisme qui se devait d'être.
Je sentais bien une certaine attirance pour mon patron pointer le bout de son nez mais en épouse attentive je ne succombait pas aux petits papillons.
Par jeu mon mari m'avait demandé de lui envoyer une photo de moi au travail seins nus.
Un midi alors que je pensais être seule dans l'établissement, j'ai retiré mon soutien gorge, ouvert mon corsage et pris deux ou trois selfies que j'ai envoyés à mon mari. Ce dernier était ravi.
Alors que je rangeais mon téléphone et remettait de l'ordre dans ma tenue, j'ai fait un bond en entendant mon patron dont je ne soupçonnais pas la présence, me déclarer qu'il préférait que je reste comme ceci, que c'était plus plaisant.
J'étais morte de honte et je rougis immédiatement.
Je lui présentait mes excuses et commençais maladroitement a finir de me réajuster.
Il se place derriere moi et me dit laissez je vais vous aider mais au lieu de refermer les agrafes de mon soutien gorge, celui-ci pris mes seins a pleine main puis retourna ma chaise et se penchant pour m'embrasser à pleine bouche.
Nos langues se sont vite mélangées et j'avoue qu'immédiatement je me suis senti couler de désir.
Il a fait couliser mon chemisier pour me libérer de toute entrave et je me suis retrouvée seins grands offerts face à mon reponsable d'agence.
Ce dernier m'a fait lever en m'ordonnant de le suivre ainsi dans l'étage inférieur. Il a fermé la porte de l'agence et m'a demandé de me positionner les fesses en bordure du comptoir d'entrée.
Les passants auraient pu nous surprendre et ceci augmentait mon excitation. Il a retroussé ma jupe et fait descendre mon string. Ma main, comme par automatisme est venue se poser sur son entrejambe où une bosse prometteuse prenait forme.
Ses doigts sont venus prendre possession de mon sexe, ses lèvres alternaient entre mes tétons et ma langue, quel plaisir, je fondais littéralement. Dans les minutes qui ont suivies on pouvait entendre la nécessaire de petits clapotis annonciateurs de la jouissance qui montait. Ses longs baisers et ses va est vient me rendaient folle de plaisir.
J'ai bien senti mon plaisir monter mais cela a été tellement fulgurant que je me suis transformée et femme fontaine, inondant le comptoir de la banque, le siège de la secrétaire.
A mon tour je me devais de rendre le plaisir procuré et j'avais hâte de découvrir ce que mes palpations avaient senties et qui augurait d un autre bon moment à venir.
Le pantalon fut vite descendu par mes soinset c est un sexe de belle dimension se retrouva devant mes yeux convoiteurs.
Comment resister.... après avoir pris en main ce bel instrument dont ma hiérarchie était titulaire, je me suis mise a gratifier d'un bonne fellation mon patron qui était semble t il assez heureux de la situation.
Apres quelques minutes durant lesquelles ma langues, mes lèvres étaient à l'ouvrage j'ai senti que la jouissance montait dans cette colonne de chaire si agréable.
J ai laissé le temp a son bénéficiaire de reprendre ses esprits avant de lui demander de me prendre immédiatement.
Je suis retrouvée les jambes surélevées par mon patron qui était assez sportif et son sexe si agréable est venu se loger entre mes petites lèvres. D un seul élan il est venu se plonger dans mon sexe deja fortement humidifié et c est en sentiment de plaisir qui est revenu dans mon ventre. Je le sentait aller et venir au plus profond de moi. ces coups de butoir me rendaient folle.
Apres quelques minutes et alors que je râlais de plaisir j ai senti qu'il allait m'inonder la matrice.
Dans un ultime spasme, de longs jets sont venus frapper mes parois intimes. La jouissance était partagée.
Dans un long baissé nous avons fini notre accouplement sportif et mis fin a ce que je croyais être un accident unique mais au combien plaisant.
Arnaud, c'était son prénom ,venait non seulement de prendre son bien, me procurer de bons moments de jouissance mais également de me piéger et j allais rapidement m en rendre compte
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très agréable cette histoire. J'ai hâte de lire la suite
Folle d’avoir niquer sans capotes.
Sympathique ce récit, j'attend la suite avec gourmandise. Milly la Forêt est une ville très agréable que je connais bien.
sympathique ce récit, on attend la suite avec gourmandise
Jolie histoire qui semble vécue moi j’ai bien aimé j’aurai aimé plus de détails. Merci pour ce joli moment de plaisir.
Cela annonce d'autres dérapages. A moins qu'elle n'ait tout raconté à son mari.
Belle poesie de tromperi
Elle est surtout d’avoir niquer sans capotes.