Episode 1 : Camille Paillette, décollage immédiat vers le septième Ciel ! - histoire érotique

Voici un récit empreint de fantaisie à la frontière de la réalité, du désir, des envies, des fantasmes. La libre expression de la pensée vagabonde ouvrant la frontière entre le possible et l’inconnu.

Nous étions partis avec ma jeune épouse en vacances à l’autre bout du monde, la lassitude de la métropole, le petit rythme quotidien métro, boulot, dodo avait eu raison de notre libido, enfin surtout la mienne. Mon épouse avait une trentaine d’année, Camille, de bonne famille, elle avait connu un bon nombre d’amants et même amantes avant de me rencontrer et ne s’en était jamais caché. Moi ayant plus de soixante ans je commençais à avoir du mal à suivre ses envies, Camille, aimait le sexe bestial et soudain, son corps, était une invitation à la baise. De taille moyenne bien proportionnée, toujours très féminine elle faisait attention à son apparence. Préférant de loin porter des jupes et des robes elle assortissait toujours ses tenues avec des chaussures très élégantes mettant dans l’ensemble en valeur ses jambes et ses pieds. Sa peau légèrement hâlée était fine et épilé jusqu’aux parties les plus intimes, exception faite d’un minuscule rectangle posé délicatement sur son pubis. Ses fesses fermes et délicates cachaient un tout petit anus légèrement rosé un trésor posé là à l’abri de tous regards.

Avant de partir elle commençait à faire sa valise, je surveillai avec grand intérêt les tenues estivales qu’elle choisissait, la sachant peu pudique, je me doutais bien que ces vacances au soleil avec une mer turquoise et chaude allaient solliciter ses ardeurs, je ne me trompais pas, elle commença par prendre quelques strings ridiculement petits pour toute lingerie, puis vient les maillots de bains, un modèle que je n’avais encore pas vu sur elle :

- « Chérie, tu vas mettre ça sur la plage ? »
- « Bah oui pourquoi pas où est le problème ? »
- « Enfin tout le monde va voir ton cul et ta chatte ne va surement pas être bien couverte non plus, je suppose que tes mamelons seront libres comme l’air »
- « Tu veux que je m’habille en bonne sœur ? Ça te fait bander de toute façon d’exhiber ta jeune petite salope de femme ? »
- « Tu sais qu’en mettant ça sur ton cul tu vas attirer les mâles en rut qui vont venir te chauffer »
- « Ah dégage, tu me gaves si tu voulais une daronne fallait pas m’épouser, et puis quoi les vacances s’est fait pour s’amuser Mon Chou. »

Le ton des vacances était donné, mes performances sexuelles en baisse et sa chatte en ébullition, il fallait que ce moment arrive, j’étais à la fois inquiet mais surexcité de ce départ ouvrant des possibilités inavouées. Valises faites, direction l’aéroport, 8 heures d’avion pour rejoindre les Seychelles, Club vacances formule toute incluse, Camille avait mis un survêtement blanc pour voyager tout confort, vol de nuit, je me cale sur elle au moment où le steward arrive proposer des rafraichissements. Elle me repousse gentiment, notre différence d’âge se voit terriblement, elle en joue et fait les yeux doux au steward, lui très professionnel ne rentre pas dans son jeu et fait son travail. La nuit et le vol se poursuit je ne dors pas très bien, ma femme se lève sans rien dire, je suppose qu’elle va aux toilettes. Elle revient quelques instants après, elle me roule une grosse pelle en me tenant par le cou, la salope son visage sent la bite à plein nez, choqué je l’attrape par les cheveux la tire en arrière :

- « Putain Camille tu sens le sexe sur ton visage ! »
- « Bah oui une envie soudaine d’une queue bien dure et comme le steward était pas mal je suis allé m’occuper de lui ! Mais il n’a pas eu le temps de m’envoyer son foutre un passager à appeler, dommage ! »
- « T’es vraiment une petite garce t’as pas pu attendre les vacances pour trouver une queue de passage et maintenant tu vas faire quoi ? »
- « J’en sais rien Yann prends ça pose dans 20 minutes et y’a plein de places en classe business, il m’a demandé de le rejoindre mais je dois te donner un truc d’abord »
- « Ah oui c’est quoi ton truc ? »
o Elle sort de sa poche de survêtement un petit bout de chiffon en boule et me le donne.
- « Tiens mon Chou, c’est ma culotte, Yann, l’a bien frotté sur ma vulve pour y déposer l’odeur de ma chatte, il est trop cool il m’a dit « donne la à ton cocu de mari car ça va me gêner pour te pilonner ! »

Elle prend la culotte de ma main, je suis complètement désorienté, elle me fourre sa culotte sous le nez en prenant bien soin de me faire sentir le tissu du côté où sa chatte a mouillé sur le coton. Ne sachant que faire je reprends la culotte et la met dans mon pantalon, je la regarde dans les yeux, elle est chaude je sens qu’elle a tellement envie de se faire démonter, il y quelques temps j’aurai pu la satisfaire, mais à quoi bon je me résigne je sais qu’elle va prendre son pied. Le steward a un peu près son âge il n’aura pas de mal à lui défoncer son petit cul à ma salope de femme, je la retrouve là comme je l’ai connu avide de sensations intenses, elle va s’envoyé en l’air 9000 mètres d’altitude, le pied une bonne façon de devenir cocu en toute connaissance des faits.

- « Ne t’inquiète pas, mon Chou, Yann a tout prévu, il a l’habitude de s’envoyer des petites chiennes dans mon genre et comme il sait que tu es là on te fait un petit cadeau, on va se filmer en direct et t’envoyer ça sur ton téléphone, comme ça tu vas te régaler en matant ta pute se faire enfoncer avec son gros chibre. »

Tout le monde somnole dans l’appareil, ma femme, se lève d’un pas décidé, je la regarde s’éloigné dans la coursive, elle sait que je l’observe, un dernier geste avant d’être de l’autre côté des rideaux, elle baisse son survêtement offrant sa croupe quelques secondes à mon regard elle a juste mis son cul à l’air et le tortille comme un air de défi et me faisant bien comprendre qu’elle va passer à l’acte à quelques mètres de moi. Mon cerveau est en ébullition, mon rythme cardiaque cogne à toute vitesse, ça y est ma petite pute a décidé de réaliser tous ses fantasmes sans aucune retenue et ça commence là maintenant dans un avion de ligne direction le soleil.

Mon téléphone sonne en mode silence, je décroche, c’est elle ma petite trainée d’amour, elle a coupé le micro je ne peux que voir l’image, elle a posé son téléphone calé contre le hublot, j’ai vraiment une bonne vue d’ensemble sur l’alcôve business où elle s’est réfugiée. Pour l’instant elle est seule, elle se met à quatre pattes sur son grand siège et présente à l’œil de la caméra son arrière train, elle descend rapidement son survêtement puis se rapproche, elle sait que je vois son fessier et son sexe en plein écran. Elle glisse une main vers sa vulve et commence à jouer avec ses lèvres, elle pince puis tire une à une ses grandes lèvres, puis remonte sur son clitoris qu’elle dégage pour agacer le petit bonbon rosé qui prend un beau volume. Elle commence à enfoncer lentement un doigt au bord de son vagin, elle fait de petits va et viens de haut en bas de son entrée vaginale, le premier doigt s’enfonce bien plus profond, elle tortille son cul avec quelques soubresauts. Une petite brillance commence à apparaitre un début d’humidité intime, elle enfonce un deuxième doigt tout aussi profond que le premier, de concert ils sortent et entrent de plus en plus rapidement de son sexe, la cyprine devient plus importante et coule sur ses doigts. Ma petite pute est en train de bien lubrifiée sa chatte pour son mâle alpha, j’imagine qu’il va venir la fourrer rapidement avec force et vidant ses couilles rapidement et qu’elle doit être prête pour l’accueillir. Toujours personne, ça fait 10 minutes qu’elle se fait mousser son minou, j’ai une demi érection et le cardio à fond, elle se rassoit près de l’objectif, elle porte ses doigts explorateurs à sa bouche et les suce en reproduisant le même va et viens que dans sa chatte. La connaissant elle va continuer son petit manège tant que son amant ne l’aura pas rejoint, je la vois fouiller dans sa poche de survêtement qui est à terre maintenant, elle ne porte plus qu’un petit haut très moulant blanc sans soutien-gorge, laissant facilement deviner ses tétons durcis et ses larges aréoles brun foncé.
Elle me présente ce qu’elle cherchait, un petit plug anal, modèle que je lui ai offert quelques années auparavant, en métal surmonté d’un strass rouge, elle ne s’en servait pas dans nos relations mais là tout change elle veut exciter ce fornicateur de passage pour qu’il lui tape ses couilles à fond lors de leur coït à venir. Elle change le téléphone de place et le met face à elle écarte ses cuisses et s’amuse avec son jouet, elle commence par le fourrer dans sa chatte pour récupérer une bonne mouille chaude et visqueuse, elle s’en sert comme d’un tout petit gode en le faisant entrer à sortir rapidement, tout son bassin se met en mouvement autour de ce petit bout de métal poli.

Elle s’interrompt, surprise, radieuse avec un large sourire, je comprends que son plan cul vient d’arriver, elle finit sa mise en chauffe rapidement et s’enfonce d’un coup sec son plug dans la rondelle et appui bien sur le dessus pour qu’il prenne place. Elle attrape une petite couverture de nuit et cache toute son intimité pour que sa chaleur intime reste brulante et conserve le bienfait de ce petit échauffement. Elle rechange la position du téléphone pour s’assurer que je ne perde pas à une miette de sa partie de jambes en l’air, j’ai maintenant vu sur le bas du corps du steward et sur la tête de ma femme, elle ne perd pas de temps ma petite garce, elle descend la braguette du type et sort sa queue, il est déjà dans de bonnes dispositions, pas très long mais bien large, elle tire d’un coup sec pour découvrir son gland, je vois sa main qui serre fort son engin, elle aime ça la salope lui faire mal avant de le récompenser.
Elle commence à passer de grands coups de langue sur cette verge violacée par la pression, elle crache sur le bout et mordille de tout son long sa queue, sa main s’en va vers ses bourses qu’elle ne ménage pas non plus en les pressant fort, je vois les veines de sa main m’indiquant qu’elle y va à fond, ma pute, je l’aime. Ensuite elle le suce, prenant bien soin à chaque aller-retour d’enfourner au fond de son gosier la totalité du membre qui maintenant affiche une taille impressionnante, elle a du mal à respirer, elle s’en fou, elle continue à astiquer le manche avec une ferveur que je lui ai rarement vu. Je vois une des mains de son mâle saisir le nichon de ma pute, il lui malaxe sans ménagement, elle fait une grimace, cette intensité brutale d’envie sexuelle réciproque est tellement magnifique, j’ai une sensation dingue mon petit bout de sexe commence à pleurer des perles de liquide pré-séminal.

Le mâle est pressé il doit retourner au boulot, il a bien compris que sa pute d’un jour n’est pas là pour les sentiments, il retire sa bite de sa bouche et reprend les choses en mains, il l’a fait installer à quatre pattes, de son côté, il est toujours debout, je vois le visage de ma femme en gros plan qui en profite pour se lécher les lèvres et me montre combien elle s’éclate avec son amant, elle prend le téléphone et le file à son fornicateur pour qu’il puisse capter la scène en gros plan, il filme le cul de ma femme caché sous sa couverture, il soulève juste ce qu’il faut pour mater son cul de chienne tendu vers le ciel, il découvre le plug anal bien logé au chaud, et la chatte de ma pute en eau, les lèvres gonflées, le clito tout rond, putain la chance, il fourre son pouce dans le sexe de ma femme, il tourne brutalement en faisant de grands cercles elle a tellement de mouille que le gars fourre deux doigts de plus, le corps de ma salope se met à ruer d’avant en arrière pour lui faire comprendre qu’il doit la baiser n’importe comment, peu importe le trou qu’il veut mais il doit lui fourrer son gros chibre au fond de ses trous ! Il n’en peut plus le fumier, il amène son gland énorme à l’entrée du vagin de ma chienne, ma petite pute si dévouée, il porte un préservatif qu’il vient vite d’enfiler, son chibre est droit comme un tronc d’arbre, il y va direct tout au fond sans aucune retenue, il attrape de ses mains puissantes le cul de ma femme, il la pilonne à fond et serre fort ses fesses charnues. Il fait coulisser son chibre à une vitesse incroyable, ses grosses bourses épilées tapent sur l’intimité de ma femme qui ne cesse de se cambrer pour ouvrir son sillon et lui exposer son bijou anal.

Je vois partir une forte claque sur le cul de ma bouffeuse de bite, puis une autre, la rougeur du cul immédiate de sa peau sur ses deux pommes me fait laisse deviner la puissance de la fessée que ce salopard est en train de lui administrer. Il tape en alternant les deux globes, aucun coup n’est retenu il lui défonce la chatte en claquant de toute sa force sur ce cul de chienne si provocateur. Leur accouplement est si brutal, le va et viens de son chibre tout au fond de ma petite pute je vois qu’il va bientôt exploser, mais il s’arrête retire sa capote et choppe la mâchoire de Camille il lui ouvre la gueule bien en grand, fourre son pénis presse son chibre comme un citron et envoie une impressionnante quantité de foutre épais dans la bouche de cette chienne. La garce adore ça elle reprend sa bite en main et extirpe avec force la moindre goutte restante dans la colonne de son amant. Elle regarde la caméra du téléphone et me fait un clin d’œil tout en ouvrant bien grand sa bouche pour me montrer tout le foutre qu’elle a dans la bouche. Elle dit une chose, je devine : « J’arrive ». La caméra se coupe.

Fin de la séance de baise ; Elle arrive en effet son pantalon de survêtement à peine recoller sur son cul, la poitrine haletante de cette chevauchée céleste. Je la vois le visage cramoisie les joues gonflées, je devine son petit jeu pervers, elle me ramène comme une bonne chienne infidèle le foutre de son amant mélangé à sa salive ; Elle m’embrasse à pleine bouche et collant sa langue autour de la mienne, je ne peux que consommer le résultat de leur coït, l’odeur forte du foutre de son baiseur imposé à ma sensibilité olfactive, elle ne pouvait se contenter de baiser ce type il fallait qu’elle vienne m’humilier me faire sentir que maintenant ses baises seront sans limite et dès qu’elle le décidera.

Elle continue de m’embrasser et d’échanger nos salives maintenant chargées de ce foutre, elle vient attraper mon sexe par-dessus le pantalon, les quelques gouttes d’éjaculat ont déjà fait retomber ma queue de cocu à néant, elle le serre fort, ça l’irrite au plus haut point, agacée elle me chuchote à l’oreille :

- « Baisse ton froc, Mon Cocu Chou, tu peux plus me baiser, alors tu prendras ton pied comme une petite pute, je ferais de toi mon esclave sexuel. »

Elle enfourne son doigt dans sa bouche, elle le suce en me regardant avec un regard inquisiteur, elle s’en va soulever mes bourses, me colle une claque sur la cuisse, me fait comprendre que je dois avancer mon cul au-delà du siège, je luis obéis, elle plante son majeur à l’entrée de ma rondelle, elle n’avait jamais rien fait de tel, excitée par sa baise intense elle dépasse tous les interdits, elle enfonce son doigt dans mon cul sans aucune délicatesse. Elle le fait aller et venir tout en imprimant des gestes circulaires pour détendre mon fion, elle fouille avec son autre main dans son pantalon récupère son plug anal, le porte à ma bouche pour que je suce sa sueur et son fumet fécal, je la vois satisfaite de pouvoir s’amuser avec moi sans résistance aucune. Elle vient me garer bien au fond son plug avec un sourire triomphant :

- « C’est bien ma salope, tu commences à comprendre ce qui va se passer, une bonne semaine de vacances sera bien suffisante pour te dresser, je vais baiser et te faire baiser avec qui je veux et autant de fois que je le veux »

Epuisé, de ce vol nocturne complètement dingue, je regarde ma jeune salope de femme avec amour, elle prend les commandes de notre vie sexuelle, et je me sens heureux, son imagination sans limite et son ardeur sexuelle promette une sacrée semaine, elle s’approche de nouveau avant de dormir :

- « Bonnes vacances, Mon Cocu Chou ! »