Episode 2 : Camille Paillette, accueillante et première rencontre ! - histoire érotique

Au petit matin, nous arrivons à l’aéroport de Mahé, Seychelles, la tête enfarinée de cette nuit excitante et jouissive, on avance avec Camille, ma petite garce de femme dans le couloir de l’avion, juste un peu avant la sortie dans un recoin, Yann son amant de la nuit nous fait signe de s’approcher, plutôt gêné je n’ose pas trop avancer vers ce mâle alpha qui s’est tapée ma pute en plein vol, il embrasse avec passion ma femme dans le cou en lui murmurant des trucs à l’oreille, elle baisse le regard comme soumise à ces quelques mots il sait vraiment s’y prendre cet enfoiré avec les petites chaudasses rangées avec leur petit mari tout gentil. Il me choppe l’épaule, et me dit :

- « Alors mon petit cocu tu as passé un bon vol ! putain ta Camille c’est un vrai volcan, vous avez de la chance on descend au même club que vous pour quelques jours avec des collègues, on va bien s’occuper de vous et surtout du petit cul de ta salope de femme. »
Ne sachant que dire, je veux m’en sortir avec une remarque à la noix pour pas trop perdre la face, devinant de toute façon que ma petite pute va se faire déglinguer par toutes les bites alentours.

- « J’espère que vous avez fait le plein de capote avec vos potes elle va vider toutes vos bourses ! »

Ce con de Yann, esquisse un sourire et nous pousse vers l’extérieur de l’avion il ne manque pas de claquer le cul de ma femme ainsi tous ces collègues admire son petit manège sachant qu’il a déjà baisé la femme et qu’il ne va pas s’arrêter là.

Transfert dans le bus, il fait chaud, la climatisation ne fonctionne pas trop, ma femme a remis un short vite fait après avoir été aux toilettes, elle a toujours son top de la veille, rien que de la regarder je repense à la bite de son steward en train de faire rebondir son gland aux quatre coins de sa bouche, de ses joues et de lui envoyer une grosse purée. Elle dit :

- « Putain, mon Cocu Chou, cette chaleur c’est si bon j’ai mon corps en sueur ma chatte si humide, tu sais quoi mon Cocu Chou je ne vais pas laver le sexe pendant la semaine ; qu’avec les petits bains de mer, comme ça elle va avoir une bonne odeur après chaque baise, et toi mon Cocu Chou tu viendras avec ta langue me faire ma petite toilette, ça te plait comme idée ? Ca t’excites ?

- « Oui ma Camille, très bonne idée, je ferais ce que tu veux mon amour, du moment que tu conserves cette belle moule lisse comme le sable tu sais que j’adore ça ! »

Un regard complice et heureux, scellant cette nouvelle idée où le sexe restait la principale préoccupation de cette semaine de vacances.

Arrivé au club vacances, Luis, un employé local vient avec nous jusqu’à la chambre et nous amène nos valises, il présente les différents équipements du club au fur et à mesure que nous progressons, Il est assez grand, musclé et vêtu d’un polo au couleur du club, des tennis et un short moulant bien ses fesses. Son grand sourire carnassier ne laisse pas indifférent ma femme, malgré la petite nuit elle répond à ses sourires et ne se gêne pas pour rester proche de lui très proche. Luis est très aimable avec mon épouse comprenant facilement qu’elle n’a pas froid aux yeux. Ma femme reluque le petit « boule » musclé de notre guide, elle semble vraiment intéressée.

Quelques marches à gravir, elle sait ce qu’elle doit faire pour attirer le jeune homme dans son filet, elle se presse de passer la première, Luis, porte nos valises assez lourdes et ne peut suivre, il se retrouve assez vite avec le visage au plus près du cul de ma salope de femme qui ralenti et dandine son postérieur de façon vraiment très provocante. Arrivé à la chambre, elle referme la porte, et continue à provoquer Luis, il cherche à s’éclipser en nous souhaitant un bon séjour, elle ne l’entend pas ainsi, elle me demande de mettre les bagages dans le dressing, et se met en travers de la porte d’entrée :

- « Allons, Luis, tu ne vas pas te sauver comme ça un si bon accueil mérite bien une récompense »

D’un coin de la chambre je surveille son approche, elle se déshabille en vitesse faisant valser son petit short et son tee-shirt, ma pute ne porte rien du tout en dessous, elle est à poil collée à la porte. Elle attrape les fesses du gars et le tire vers elle, surpris par tant d’audace, Luis se laisse faire se disant après tout que cette chienne en chaleur est venue à lui sans qu’il ne la cherche.

Elle déboutonne son short et sort vite fait de là son chibre encore endormi. Elle commence à le branler doucement et embrasse Luis à pleine bouche, la queue prend du volume mais pas assez vite à son goût, elle se met à genoux et enfourne sa tige, elle s’applique à bien saliver dessus et le résultat ne se fait pas attendre le gars est au beau fixe dévoilant une queue de belle taille. Elle le pompe bien depuis plusieurs minutes, je me suis rapproché pour admirer le spectacle, grave erreur, je vois son regard à ma chienne, cela la contrarie, elle se relève, elle enlève la ceinture du short de Luis, le mec ne comprend rien et reste là bouche bée, elle se dirige vers moi en furie et me frappe à l’entrejambe avec la ceinture :

- « Qu’est-ce que tu viens voir la petite salope, tu viens te rincer l’œil sans que je t’y autorise, tu veux essayer de bander pour me baiser, tu sais bien que NON, Mon Cocu Chou, viens plutôt par ici Luis a vraiment une très belle queue tu vas y gouter ma salope »

Elle me remet quelques coups de ceinture en essayant à chaque fois de viser mes couilles ou mes fesses, elle tape fort la chienne, j’essaye de me protéger avec les bras mais elle envoie des coups et encore des coups, je recule, elle m’attrape avec force par le bras et me tire jusqu’à Luis, elle m’envoie encore des coups et appui sur mes épaules pour que je prenne sa place à genoux devant le gros chibre de ce jeune.

Elle entoure la ceinture sur mon cou, fait coulisser le mousqueton et sert, elle me tient maintenant en laisse la garce elle n’a pas perdu de temps. Comme un animal soumis de force, elle tire sur la ceinture en m’étranglant à moitié. Ça y est je sens l’odeur de bite de ce gars, son chibre est là sous mon nez, ma pute de femme appuie sur ma tête, le gland ouvre ma bouche en violant mes lèvres, elle voit que me dents sont crispées et ferme l’accès à ma gueule, elle me choppe les couilles et les serrent fort :

- « Tu vas ouvrir ta bouche de pute, je t’ordonne de bouffer ce chibre petite trainée, et applique toi ou sinon je serre ta laisse, chienne, tu vas m’obéir ou tu vas le regretter. »
Elle a gagné, sa domination, bien que récente m’a pris par surprise et elle le sait, elle va vite très vite, mon esprit perturbé par sa manipulation ne résiste pas, je suis soumis à cette femme si avide de sexe et de jeux pervers, je vais sucer ma première queue soumis par ma femelle au comble de sa jouissance.

J’ouvre la bouche et engloutit avec gourmandise la queue de ce jeune noir bien membré au parfum épicé et teinté de sueur, la salive de ma petite femme est encore bien présente je reprends avec ferveur la monté du colosse de chair, Luis, est bien monté, il vient de se faire pomper par la femme experte, et il découvre un cocu docile qui va lui traire la bite jusqu’à l’ultime délivrance.

Ma femme prend ma main et la dirige vers son sexe détrempé, je pompe Luis, sa bite entre et sort entre mes lèvres, je commence vraiment à aimer ça, deux de mes doigts partent fouiller le ventre de ma dominatrice, son jus est abondant, l’odeur formidable d’une nuit de baise ajouté à la moiteur ambiante est indescriptible, je fais partir deux autres doigts dans son vagin, elle est tellement chaude et dilatée, ma main entière rejoint son intérieur, coulisse sans problème, je suce la bite, je ramone la chatte en alternant je la fais jouir et Luis envoie tout son foutre au fond de ma gueule. Sa queue est encore tellement raide, je la prends, la branle fermement, ma femme se recule, contre le bâti de la porte, elle cale une jambe à mi-hauteur, elle exhibe fièrement son volcan en éruption, j’avale le foutre de Luis en plusieurs déglutitions et amène sa tige à l’entrée du sexe de cette trainée.

Il l’embroche directement, remontant sa colonne au plus profond de son vagin, ce salopard vient de me vidanger ses couilles et il repart déjà déboiter ma baiseuse. Je m’écarte un peu de ce coït qui s’annonce terriblement animal, il choppe le cul de ma salope, soulève son corps contre la porte, les cuisses à l’équerre de part et d’autre de ses bras musclés, il lui plaque le dos sur la porte et la secoue à chaque entrée dans sa chatte il prend un pied à faire cogner le cul de ma pute contre la porte sans ménagement, le bruit sourd de cet accouplement brutal doit s’entendre dans tout le couloir. Est-ce si imprévu ou bien Luis est en train de sonner le rappel de tous les gros baiseurs du coin, quoi de mieux que de démonter cette petite pute blanche le long de la porte pour que tous en profitent. Luis n’a pas de capote, il balance sa purée, ma femme beugle et enfonce ses ongles en lui griffant le dos, ce chacal vient d’inséminer ma pute sans artifice.

Elle me fait signe d’approcher, comme convenu dans le bus, je dois nettoyer son minou à la langue après chacune de ses baises, elle s’allonge sur le lit, épuisée, les jambes bien écartées, Luis regarde la scène avec grand intérêt, je suce son jus abondant mélangé au foutre de Luis, je fais du zèle et enfourne ma langue au travers de ses lèvres si gonflées, ma bite veut plus baiser sa chatte mais avec la langue je sais lui donner un plaisir intense, elle m’attrape la tête et m’enfonce le visage au plus loin de ses cuisses, elle se sert de ma tête comme d’un sex toy ma langue est son godemichet habile, chaud, docile. La chatte est propre mouillée de fluide mais propre, mon rôle est terminé.

Luis quitte la chambre discrètement, je vais prendre une douche, Camille s’endort un beau sourire s’affiche sur son visage. Quelques heures de repos et nous pourrons profitez de notre première journée de défi sexuel.