Episode 3 : Camille Paillette, Mer, Baise, Soleil et plus !

- Par l'auteur HDS ErwanCoeurLoyal -
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Récit libertin : Episode 3 : Camille Paillette, Mer, Baise, Soleil et plus ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Episode 3 : Camille Paillette, Mer, Baise, Soleil et plus !
Il est environ 15H, Le soleil venait envahir la chambre, je trouvai pour mettre la climatisation en route, Camille avait pris une petite douche aussi, en revenant fièrement elle avait collé un doigt dans son sexe et l’avait porté à ma bouche, le contrat était rempli, seul sa mouille s’occupait cette semaine de laver son chaudron.

- « Bon mon Cocu Chou, cette petite baise m’a mise en appétit, j’ai faim, je me prépare vite fait et on va au restaurant voir ce que l’on peut se mettre sous la dent, tu vois ce que je veux dire mon lapin »

Elle ricanait bêtement de sa bêtise, je suppose qu’elle n’allait pas se contenter de denrées alimentaires, elle alla dans le dressing, mis toutes ses fringues vite fait dans les placards, me balança trois paires de chaussures et me demanda de choisir celle qu’elle porterait avec sa tenue diurne. Son téléphone vibra sur le chevet, elle se précipita, pour voir un message, elle me montre l’écran et me regarde avec ironie, une photo de bite en gros plan, en dessous un message de Yann le steward, « amène ton cul chienne numéro de chambre 312 ! ».

- « Désolé Cocu Chou, je crois que tu vas aller déjeuner seul, ramène moi deux trois truc histoire de manger un peu, tu nous rejoins à la 312, on va bien s’amuser ma petite cochonne. Viens assieds-toi là par terre dans le dressing que tu vois ta chaudasse s’équiper pour ouvrir tous appétits sexuels »

Je m’exécute en me plaçant à ses pieds, je suis encore en peignoir, elle en profite pour soulever avec son pied le coin inférieur et voir mon bout de sexe minuscule posé la par terre, elle écrase ma bite et mes bourses comme elle le ferai d’un mégot de cigarette, elle se baisse m’attrape le menton, me tend les lèvres, pensant qu’elle veut m’embrasser, je m’approche, mais non elle me mord la lèvre inférieure fort, ricane de nouveau et me crache en plein visage. Elle me décoche un coup de pied dans le paquet, putain j’ai mal, je me redresse, elle me colle une grosse baffe pour que je reste à terre, je me colle dans le coin de la pièce comme un animal apeuré, maintenant elle savoure son triomphe, elle dresse son cocu, elle joue avec moi comme avec un pantin.

Elle prend un de ses strings minuscules rouge, elle l’enfile, il ne cache rien, ne sert à rien, c’est juste une signalisation pour dire tire là-dessus et défonce ce qu’il y a dessous. Ses grandes lèvres entourent le tissu et débordent dessus je n’ai jamais rien vu d’aussi choquant. Ensuite elle met une robe en coton blanche très transparente, si courte que l’on voit la moitié de son cul moulé au plus près du corps, le décolleté s’en va jusqu’au nombril de n’importe quel angle on voit ses seins, et l’on devine sans problème les tétons pointés.

- « Alors Soumis, quelles chaussures pour ta pute ? »

Encore secoué par le traitement douloureux infligé à mon anatomie d’esclave sexuel, j’attrape la paire avec les talons les plus haut, un modèle noir brillant, de petits croisillons habillent ses pieds, elle s’assoie pour attacher la bride juste face à moi j’ai une vue dingue sur sa chatte écrasée par son string rouge, ses belles jambes croisés, le talon est vraiment très fin, elle me regarde encore avec son air fanatique, je sais qu’elle réfléchit à une dernière humiliation avant d’aller de nouveau se faire pilonner par son alpha.

- « Alors elle te plait la pute habillée comme ça crois-tu que tous ces mâles en rut soient attirés vers mon cul ? Viens par ici met toi le fion en l’air et écarte bien tes fesses j’ai une petite idée avant d’aller me promener »

Je suis là à même le sol le cul en l’air comme me l’a ordonnée Camille, elle revient de la salle de bain avec un tube de vaseline, elle écarte mon fion, m’enduit la rondelle d’une couche épaisse de graisse, elle s’assoit sur le bord du lit, me fait venir jusqu’à elle, toujours le croupion en l’air, elle commence par jouer avec le plat de son pied et ses petites chaussures de chienne, à tapoter mes bourses, puis un peu plus fort, elle me cogne avec de petits coups secs, son pied de tout à l’heure est plus intense avec la semelle de sa chaussure, elle s’amuse à approcher le talon tout fin vers mon anus, cette dépravée j’ai compris elle veut m’enculer avec sa godasse.

Elle fait tourner le talon de plus en plus vite, et progresse dans mon rectum, je pense qu’elle doit y avoir mis l’intégralité, mais ma pute n’en a jamais assez, elle ressort le talon, défait sa chaussure, approche son pied tout entier devant ma porte arrière, elle a tellement lubrifié ma rondelle avec la quantité de vaseline et avec cette première insertion qu’elle n’a aucun mal à faire progresser son pied au fond de mon rectum.

La vaseline se réchauffant coule le long de mes cuisses, elle me baise le cul avec son pied, de plus en plus vite, elle m’explose la rondelle, ma dominatrice, ma salope de femme. Elle me redresse, elle vient me saisir la bouche et insert la plusieurs doigts, elle tire sur ma langue, elle sort ma salive de ses doigts ; elle vient enduire mon petit bout de queue et la branle avec ma salive, elle me dégorge les couilles, quelques gouttes de sperme gicle sur sa jambe :

- « Sale petit clébard, tu te soulage sur ma jambe, nettoie ça tout de suite pauvre merde ! »

Elle m’envoie de nouveau une baffe bien pesée et je viens lécher ma semence le long de sa jambe, elle exulte, sa domination est totale, et elle le montre. Soudain l’on cogne bruyamment à la porte. Ma femme se remet un peu, enfile sa chaussure encore visiblement souillé de cet acte pervers et va ouvrir. Elle rayonne, c’est ce fumier de Yann, ne pouvant plus attendre il s’est mis en chasse pour retrouver sa proie sexuelle et profiter au plus vite de ce qu’elle peut lui offrir.

- « Alors, ma Salope, je pensais que tu allais rappliquer ventre à terre avec ma belle photo de profil, qu’est-ce que tu fou enfermer dans ta chambre avec un si grand soleil ? »
- « Ah c’est toi beau mâle alpha, je donnais une petit leçon à mon cocu, regarde un peu ce cleps a voulu se soulager sur ma jambe, après que je lui ai bien défoncer son arrière train, comme tu le vois je l’ai bien corrigé ce chien ! »

- « Bien ça, tu aimes ça jouer avec un animal lubrique, ça me donne une petite idée pour plus tard petite chienne, mais viens pour l’instant on va prendre l’air et le soleil, laisse ton clébard ici on n’a pas besoin de lui pour l’instant. »

- « Ok mon malabar, je fais une caresse à mon soumis et on y va… Reste bien sage ici repose toi ta garce t’enverra quelques photos souvenir et je viens te chercher pour aller faire tes petits besoins, je te rapporterai un peu de nourriture aussi »

Elle caresse le dessus de ma tête comme le ferait avec un chien, entre affection et domination, me tapote gentiment la joue tourne ses talons de salope, et prend le bras de son alpha, la porte claque, ils sont partis, me laissant seul, abandonné, ce connard embarque Ma Camille, quasiment à poil avec le feu au cul, il va s’en servir pour assouvir tous ses désirs et moi je suis là en me disant que je vais recevoir quelques photos de sa promenade de petite garce chauffée à bloc.

Environ une heure s’écoule, je suis sur la terrasse, j’ai enfilé un maillot de bain, profite du soleil et bronze mon corps en somnolant, le téléphone vibre, une première photo envoyée par ma pute, elle est sur la plage un cocktail à la main, un gars à côté que je ne connais pas à coller sa bite dans son verre, Yann est derrière, elle à poil, il la tient avec ses deux grosses paluches par le coup faisant semblant de l’étrangler, elle est à genoux dans le sable entièrement nue.

Un troisième larron habillé en agent de sécurité se tient de l’autre côté avec son chien au pied, une sorte de malinois avec une tête de rottweiler, le bestiau est massif et agacé, il ne tient pas en place on voit que son maître le tient très fermement, le chien assis sur ses pattes arrières dévoile fièrement son sexe rouge foncé sortant de son fourreau. Putain de bordel, c’est quoi ce cinéma dans quel merdier son steward est encore parti mettre mon épouse infidèle.

Le connaissant et voyant un cliché pareil, mon sang ne fait qu’un tour il faut que je sorte que je parte à sa recherche, que je la retrouve, ce connard est capable de tout… J’ai encore l’illusion qu’elle a besoin de moi, mais évidemment ce n’est plus le cas, sa vie est devenue une enchaînement de défi sexuel et mon rôle est juste de subir tout cela.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Donc le mec est assez con pour se laisser tabasser comme ça tranquille, qu'il se casse et la laisse dans sa merde, àh ben non il a perdu ses couilles comme le gouvernement de macron !!!!

L'attitude de ta femme est à gerber.



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