Es apade en Égypte - histoire érotique

Caline, ma belle, adorable et cochonne épouse et moi, allons enfin réaliser un rêve, la descente du Nil. Nous ne savions pas que, cerise sur le gâteau, nous allions, par la même occasion, vivre une nouvelle aventure sexuelle.

Arrivés au Caire dans la journée, nous avons passé une nuit à l’hôtel avant d’embarquer, le lendemain à bord du bateau pour remonter le Nil.

Du bateau nous pouvons voir les silhouettes majestueuses des pyramides de Gizeh.

Premier arrêt, le site de l’ancienne capitale Memphis et la pyramide à degrés de Saqqarah. Après la visite, embarquement et voyage toute la journée et toute la nuit. La cabine est confortable les repas variés, la vie à bord est agréable.

Le seul bémol est l’isolation phonique, entre les cabines... Elle, laisse à désirer. C’est du moins ce qu’on découvre lorsqu’on s’installe au petit-déjeuner, en compagnie de nos voisins de cabine. C’est un couple de jeunes retraités américains, la soixantaine, elle, assez grande, brune, lui, poivre et sel, moustachu, tous deux bronzés et d’allure sportive. Ce couple sympathique de retraités nous disent, dans la conversation :

— Nous avons été heureux de constater que vous avez passé une excellente nuit. Les sons venant de votre cabine nous ont agréablement bercés !

Je comprends immédiatement qu’ils nous ont entendus faire l’amour, je leur dit :

— Désolés, d’avoir dérangé votre sommeil.
— Ne soyez pas désolés, dit la dame et n’hésitez pas à recommencer, cela stimule agréablement mon époux !

Sa remarque détend l’atmosphère et on se sourit mutuellement, comprenant l'allusion.
La journée : visite de Thèbes, et bien sûr des temples de Karnak et Louxor. Repas de midi, entre les visites, à terre dans un restaurant «typique». Fin de journée, emplettes pour ceux qui le désirent. Caline et moi préfèrons traîner dans des sites mineurs, non prévus par l’organisateur.
Retour à bord et changement de toilette pour le dîner, également prévu à terre, le départ pour la prochaine étape est prévu le lendemain matin.

Chacun rejoint à son gré le navire et sa cabine. Caline et moi faisons une dernière halte au bar avant d'aller nous coucher. Alors que nous sommes au lit en plein ébat, nous entendons brusquement, en écho aux cris de plaisir de ma princesse, les gémissements de plaisir venant de la cabine voisine. Décidément, pas de raison de se priver. Les sons provenant des deux cabines contiguës, se suivent et se répètent pendant un moment avant que le calme ne reprend ses droits.
Le lendemain matin, nous avons compris la raison pour laquelle les sons passent aussi facilement entre les deux cabines. Les deux cabine sont probablement prévues pour faire à l’occasion une suite, car une simple double porte les sépare.
Au petit-déjeuner, nos voisins nous demandent s’ils peuvent partager notre table. Sur l’invitation de Caline, ils s’installent. Je leur explique pourquoi on entend si facilement les gémissements de nos femmes et j'ajoute :

— Nous avons cette fois, nous aussi été agréablement accompagné par les vocalises de Madame !
— Je dois dire, ajoute son mari, qu’il ne manquait que la vue pour avoir un live show !

Chacun sourit cette fois encore à cette évocation.
Le bateau reprend sa route après le déjeuner, les passagers au bastingage admirent le paysage qui défile sous leurs yeux. Deux escales sont prévues, la première à Esna, la suivante à Edfou et le temple d’Horus. Le soir, l’escale est prévue à Kôm Ombo.
Après le dîner, on se retrouve au bar en compagnie de nos voisins. Ceux-ci nous invitent à boire un verre. La conversation repart sur le sujet de la matinée. Il n'en est pas moins que, nous entendre mutuellement dans nos ébats, nous a visiblement marqués.
La voisine, nous dit :

— Si je peux me permettre de partager un avis, qui n'a rien à voir avec notre voyage, je dois de vous informer comme l'a si bien dit votre mari, qu’il ne manque aux sons émis que la vue de nos étreintes pour avoir un live show !
— Surtout ne vous gênez pas, même si nous n’avons que le son sans l’image, c’est tout de même très agréable !

Caline, toujours coquine, lui répond :

— Nous débloquerons le verrou de la porte de notre côté. Si vous voulez l’image, il suffira que vous enleviez le verrou du vôtre.

John et Anne, ce sont leurs prénoms appris au cours de la soirée, restent sans voix après la proposition de ma cochonne.
De retour dans notre cabine, je demande à Caline si elle pensait vraiment ce qu’elle leur a dit… Caline répond sans sourciller :

— Cela n’est pas gênant qu’ils nous regardent, mais ils n’oseront pas... Ces amerloks sont si pudiques. Ouvre tout de même le verrou, qui sait ? On pourra avoir une bonne surprise pour le reste de notre voyage ?

Après quelques minutes, nous finissons par nous retrouver au lit et après quelques préliminaires, en plein ébat, nous entendons un bruit de verrou du côté de la porte de communication.
Ils ont osé !
Nous continuons à jouer à nos jeux érotiques en faisant semblant ne pas voir nos deux voisins nus dans l’entrebâillement de la porte. Le corps mature d’Anne est, malgré la soixantaine, resté ferme et désirable, sa poitrine semble ferme et son mari porte, lui aussi, bien son âge, et son vit dressé prouve sa virilité. Lors d’un changement de position, je remarque que John a enlacé par derrière son épouse, il la baise. Un cri de plaisir, poussé par Anne s’ensuit. Ils font mine de reculer vers leur chambre.

— Si vous voulez vous joindre à nous ? Leur suggère Caline.
— Il ne faut pas vous sauver sur la pointe des pieds, leur dis-je, vous pouvez vous approcher... Je ne mords pas sauf les tétons de ma femme.
— Tu veux dire, intervient Anne, nous quatre ensemble ? C’est une expérience qui me tente ! Si John est d’accord ?
— Si tu n’es pas jalouse de me voir prendre Caline dans mes bras, lui répond-il, je ne pense pas être jaloux de te voir prendre du plaisir dans les bras de Hamed !

Je vois que cela à l’air de plaire à John de voir Caline, qui pourrait-être sa fille, nue. Je dois avouer que de voir déambuler une MILF, comme Anne, ma mère ou ma belle mère, nue n’est pas déplaisant non plus... Voire même, très excitant.

Se disant que les autres sont certainement intimidés, n'ayant sûrement jamais eu l'occasion de se retrouver dans situation pareille, nous avons entreprit de nous caresser impudiquement devant nos voisins voyeurs avant de nous enlacées tendrement.

Caline leur tend la main gauche et cette fois John et Anne osent s'approcher. Leur excitation est palpable, si Anne tient son John par la queue, qui semble d’une raideur très convaincante, lui, caresse la raie des fesses de sa femme. Lorsque Caline, d'une voix douce et sensuelle propose à Anne de prendre auprès de moi, elle n’hésite qu’un court instant. John se joint au groupe que nous formons pour caresser Caline ; je me relève pour que Anne trouve ses aises.
Je lui caresse les seins et le sexe, glisse un doigt profondément dans sa chatte et initie quelques mouvements de va-et-vient. Je perçois de très discrets gémissements lorsque ma queue dressée vient se loger entre ses fesses.
Je s’aperçois, je constate et je jubile de voir que Caline, ondule discrètement du bassin, et je devine parfaitement qu’elle accompagne les mouvements de la main de l’homme qui titille son clitoris. Elle se mord les lèvres de plaisir, à certains moments elle ferme les yeux.
Les nouveaux couples se sont formés, après les masturbations réciproques, les corps se sont étendus sur le lit et les cris de plaisirs suivent. Anne est la première à jouir sous les coups de queue du vigoureux baiseur que je suis… (j'ai bien le droit de me jeter des fleurs !)

— Oh ! Hamed, oui... Oh ! YES ! YES ! Yeeee !

Caline suit rapidement la jouissance de notre nouvelle partenaire dans les bras de John.

— Ahhhh ! Ahhhh ! John tu es aussi un bon baiseur... Fuck... Fuck me !

Les deux retraités profitent plus que de raison de cette nouvelle expérience de jeux de jambes en l'air avec notre duo pervers.
Anne, m'a avoué plus tard avoir trouvé un plaisir presque continu entre mes bras. Elle a ouvert toutes les portes du plaisir, s’étonnant elle-même de son audace !

Après lui avoir fait vivre un premier orgasme en «missionnaire», je l’ai baisé en levrette, profitant de sa position pour lui doigter l’œillet. Alors qu’elle vient de jouir à nouveau, baisée et doigtée, c’est elle qui me dit :

— Come on... Fuck my ass ! (Viens, encule-moi)

Je ne me le fait pas dire deux fois et quitte sa chatte pour un conduit plus étroit mais bien accueillant.

— Oui, bourre-moi le cul à fond, c’est trop bon…
— Oh ! Oui Anne c’est bon, je vais jouir, je vais me vider dans tes entrailles !
— Oui ! Oui ! Je veux que tu jouisses !

Elle jouit elle-même au moment où je gicle mon lait reproductif dans son cul.

John, lui, a retrouvé, lui aussi, une nouvelle jeunesse pour satisfaire sa jeune partenaire. Il n’en revient pas d’avoir pu la faire jouir plusieurs fois avant d’inonder sa chatte de son éjaculation…
C’est, semble-t-il, très heureux qu’ils regagnent leur cabine une heures plus tard.

Dans la matinée, nous rejoignons Assouan, au pied de la première cataracte. En amont, se trouve le plus grand barrage du monde, construit sous Nasser.
Puis nous faisons une visite incontournable : le temple de Philae dédié à la déesse Isis.
C’est la dernière journée que nous passons avec l’ensemble du groupe. L’excursion s’arrête à Assouan d’où, tous les touristes que nous sommes, regagnons directement le Caire le lendemain.

Caline et moi, avon décidé de poursuivre vers Abou Simbel. On a pu louer une Land-Rover pour aller jusque là. Nous prendrons l’avion suivant pour regagner le Caire.


Nous prenons notre dernier repas à bord avec John et Anne. Puis nous regagnons ensemble nos cabines. Sur le pas de la porte, je leur dit :

— Nous avons laissé le verrou ouvert ! Si vous voulez vous joindre à nous ?

Si bien que rentrés dans nos chambres respectives, la porte est de suite ouverte et nous vaquons nus dans nos chambres sans pudeur, avant de se rejoindre.
Leurs excitations, notre excitation est visible. Les nouveaux couples se reforment et les cris de plaisirs qui suivent pendant un long moment, ne sont pas moindre que la nuit précédente. Anne s’offre sans retenue à son amant, tandis que John, sous l’exaltation érotique de Caline (un tantinet simulée), est étonné de ses performances !


Même des trios se forment, à l’initiative de ma cochonne, John encule Anne qui était empalée sur ma queue, s'offrant pour la première fois de sa vie à deux amants en même temps.

— Oh ! Mon John, c’est trop bon. Jute-moi dans le cul ! Je veux vous sentir éjaculer !

Cette fois, elle hurle presque sa jouissance lorsque John et moi lui inondent ses deux portes de plaisirs, un orgasme plus violent que les précédents la secoue.

John, quant à lui, il découvre le plaisir de passer de la chatte de sa femme à celle de Caline, allongées, enlacées l’une sur l’autre au bord du lit, tout en les voyant me faire une fellation commune. Lorsqu’il les a fait jouir, il se vide les couilles en longues saccades répartissant son foutre entre les chattes accueillantes. Tandis qu’elles se partagent mon sperme dans un baiser profond.
C’est que tard dans la nuit qu’on se quitte. Nous n’avons aucun regret... Avec les sexagénaires, on a vécus des moments de jouissances certainement aussi intense qu’avec certains couples de notre âge.
Après le petit-déjeuner pris avec nos deux amis, qui les quittent à regret, et nous débarquons enfin pour la suite de notre aventure en Égypte.
Nous prenons la route, plutôt une piste, qui doit les conduire à Abou Simbel, quelques 300 km plus au sud.

À la prochaine aventure...