Et pendant ce temps là......France
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 154 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 5.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Lancer ont reçu un total de 912 162 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 407 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Et pendant ce temps là......France
France a déposé Mich à la gare. Elle est sur le chemin du retour. Le feu au creux de son ventre se consume toujours, suite aux attouchements de son mari. Elle glisse une main entre ses cuisses, et se caresse.
"Oh ma petite chatte, tu es toute mouillée et excitée. Maman va s'occuper de toi quand on va arriver".
A peine garée dans la cour, France s'éjecte carrément de la voiture. Arrivé dans le salon, elle jette son sac sur le canapé, et monte à sa chambre en faisant voler mini jupe et petit haut. Elle file à la table de nuit, et en sort un énorme gode. Elle s'allonge sur le lit, jambes écartées. Elle fait courir le phallus le long de sa fente, écarte ses lèvres humides, caresse son bouton, puis l'enfonce dans sa chatte.
"Allez ma chérie, régale toi".
Pendant ces moments de pénétrations, France revit ses aventures érotiques. Gérard, mais surtout Guy, le deuxième amour de sa vie après Mich. Celui qui, sexuellement, lui a apporté le plus. Celui qui a su se servir de son corps comme personne. C’est sur la vision de son visage, qu'elle a un orgasme terrible.
"Oui..oui Guy, hurle-t-elle. Oh mon dieu. Voilà, tu es toute sale maintenant. Allez, au bain".
Soudain, la sonnerie de la porte retenti.
"Tiens, qui cela peut-il être ?"
Elle regarde par l'œil de bœuf, et aperçoit un jeune black planté devant la porte, torse nu, vêtue simplement d'un short.
-Oui, demande-t-elle. C'est pourquoi ?
-S’cusez moi Madame, Puis-je avoir une bouteille d'eau pour ma voiture. Je crois quelle chauffe.
Le quartier est assez bien fréquenté. France n'a pas de raison de s'inquiéter. Elle ouvre. Le jeune homme écarte des yeux d'admirations en voyant la superbe femme qui est devant lui, dans une tenue qui ne cache rien des merveilleux appâts. France aussi a remarqué la bosse sur le short, à la hauteur du sexe.
-Je vous en prie jeune homme, dit France. Venez à la cuisine, servez-vous.
-Merci Madame.
Une fois la bouteille remplie, le jeune black remercie encore une fois, et quitte la villa.
-Ne vous gênez pas, dit France. Si vous avez besoin.
Effectivement; le jeune réapparait. La tenue de France n'a pas changé, sauf que l'ouverture du peignoir est un peu plus large. Le jeune black le remarque. Il s'avance derrière elle, et pose une main sur sa cuisse. France sursaute.
-Ben, çà va pas, je ne suis pas celle que vous croyez.. Je suis mariée. J'ai deux enfants. Levez vôtre main s'il vous plait, ou je crie.
-Mais Madame, je ne vais pas vous mangez.
Non seulement, il ne lève pas sa main, mais il remonte d'avantage sou le peignoir. Il arrive à la naissance de la fente.
-Assez, gronde-t-elle, çà suffit. Sortez..
Mais pourquoi n'essaie-t-elle pas de le repousser plus énergiquement.
-Je vous en prie, tremble-t-elle, amis qui êtes-vous.
-Je m'appelle Moussa Madame, Moussa, j'ai dix neuf ans aujourd'hui.
France commence à perdre pieds. D'autant qu'un doigt fait des va et vient sur la fente humide, remontant jusqu'au clitoris. C'est un pro.
-Oh non, pas là, je vous en prie, murmure-t-elle.
-Pourquoi vous n’aimez pas, répond-il sur de lui.
-Si justement, çà me paralyse quand on me caresse à cet endroit. Surtout que vous me l'avez tout décalotté.
D'un geste, France dénoue son peignoir, et le fait glisser au sol. Elle est entièrement nue. Elle passe une main dans le dos, écarte le short à l'entre jambe, et sort les attributs du jeune black. La queue est colossale, le gland entièrement décalotté, est énorme.
"Oh mon dieu, pourquoi tant de différence entre mâles. Pauvre Mich, si tu voyais çà"
L'autre main du jeune noir caresse un sein, en fait rouler le bout entre ses doigts.
-Hum, glousse France. Vous avez l'air de savoir vous servir d'une femme. Prenez-moi là, tout de suite.
En un tour de main, Moussa se débarrasse de son short, et attire France sur le canapé. Il la force à s'asseoir sur lui Les jambes totalement écartées, elle s'empale sur la bite du black.
-Aieee, salaud. Quelle queue. Putain, vas-y, nique moi.
-Toi aussi Madame tu as un gros trou. Tu as avalé toute ma bite. Tu as du en prendre des coups de queues, hein?
-Tais toi, baise moi je te dis, t'arrêtes pas. Tu aimerai pas faire jouir une blanche, l'entendre crier. Comme tu m'écartes. ha...oui, que c'est bon. Tu me défonce salaud.
Ils n'entendent pas la porte d'entrée qui vient de s'ouvrir.
-Moussa, mais où es-tu, je commence à m'impatienter.
-Je suis là Julia, répond-il.
Julia s'avance et découvre la scène.
-Mais qu'est-ce-que tu fais, tu es fou.
-Vous voyez pas qu'il est en train de me tirer, gémit France. Laissez-le me finir, s'il vous plait.
-Ben dit donc, tu ne t’emmerdes pas mon cochon, quel morceau.
-Et qu'est-ce-qu'elle est bonne. Regarde comme elle bouge son cul la pute.
-Tu m'enculeras après, supplie France. Tant pis si tu me déchires.
Julia s'avance. Elle saisit France par la nuque, et lui un baiser torride. Elle glisse une main entre les cuisses, et excite le clitoris. Elle le pince.
-Tu mouilles petite salope, sourit Julia. Tu aimes de la faire mettre, hein?
-S'il vous plait, faites moi jouir, implore France. Amusez vous avec moi. Ouiii, comme çà, oui. haaaa.
-Entends comme elle couine frangin, poursuit Julia. Elle aime les grosses queues de blacks. On lui offrira un gode de cette taille. Vas-y, encule là cette pute.
Julia se déshabille, s'assied sur le canapé, écarte ses superbes jambes pour bien dégager sa chatte, et force France à se pencher entre ses cuisses.
-Tiens, regarde dit-elle, çà c'est du clitoris. Même les blacks sont mieux montées que les blanches. Allez, suce-le.
Pendant ce temps, Moussa pointe son engin à l'entrée du petit trou de France, et commence une lente pénétration.
-Aie, c'est gros, soupire-t-elle. Vas-y doucement.
De la sueur perle sur son front. Elle fixe Julia qui lui sourit pour l'encourager. Elle sent une énorme masse lui frotter les fesses. C'est les couilles de Moussa, çà y est, la queue est en place. Il commence ses va et vient.
-Comme il m'encule, oh putain. C'est la première fois que je prends un coup de queue comme çà. Que c'est bon de se faire sodomiser par une grosse bite.
Julia lui prend la tête, et la place entre ses cuisses.
-Tu as oublié, dit-elle. Allez, bouffe-moi la chatte. Je vais te doigter pendant ce temps.
C'est Moussa qui jouit en premier dans un râle de félin. Il n'en fini pas d'éjaculer dans les entrailles de France. Julia arrive en second, en envoyant des coups de reins dans la bouche de France. Et enfin, le plus terrible, l'orgasme de France qui hurle de plaisirs.
France est réveillée par l'eau de la baignoire qu'elle commence à avaler. Elle s'éjecte carrément en éclaboussant la salle de bains. Elle glisse une main entre ses cuisses, et la retire pleine de mouille. Elle passe une serviette, et court au salon.
-Moussa, Julia.
Aucune réponse.
"Oh mon dieu, quel rêve, que c'était bon. Comme j'ai joui"
Elle prend enfin une douche. Elle revient en veste peignoir quand la sonnerie retenti.
"Tiens, qui cela peut-li être" se dit-elle en ouvrant.
-Un colis pour vous Madame, signez là s'il vous plait. Merci.
C'est un colis de la taille d'une boite de chaussure. Elle l'ouvre, et là, surprise. Un énorme gode noir d'environ vingt cinq centimètres, posé sur un tissu en soie. Celui qu'elle préfère. Un sourire éclaire son visage. Elle le frotte contre sa fente encore humide.
"Alors ma petite chatte chérie, on l'essaie maintenant, ou on attend ce soir. D'accord, on attend ce soir. Allez, on va téléphoner à papa.
"Oh ma petite chatte, tu es toute mouillée et excitée. Maman va s'occuper de toi quand on va arriver".
A peine garée dans la cour, France s'éjecte carrément de la voiture. Arrivé dans le salon, elle jette son sac sur le canapé, et monte à sa chambre en faisant voler mini jupe et petit haut. Elle file à la table de nuit, et en sort un énorme gode. Elle s'allonge sur le lit, jambes écartées. Elle fait courir le phallus le long de sa fente, écarte ses lèvres humides, caresse son bouton, puis l'enfonce dans sa chatte.
"Allez ma chérie, régale toi".
Pendant ces moments de pénétrations, France revit ses aventures érotiques. Gérard, mais surtout Guy, le deuxième amour de sa vie après Mich. Celui qui, sexuellement, lui a apporté le plus. Celui qui a su se servir de son corps comme personne. C’est sur la vision de son visage, qu'elle a un orgasme terrible.
"Oui..oui Guy, hurle-t-elle. Oh mon dieu. Voilà, tu es toute sale maintenant. Allez, au bain".
Soudain, la sonnerie de la porte retenti.
"Tiens, qui cela peut-il être ?"
Elle regarde par l'œil de bœuf, et aperçoit un jeune black planté devant la porte, torse nu, vêtue simplement d'un short.
-Oui, demande-t-elle. C'est pourquoi ?
-S’cusez moi Madame, Puis-je avoir une bouteille d'eau pour ma voiture. Je crois quelle chauffe.
Le quartier est assez bien fréquenté. France n'a pas de raison de s'inquiéter. Elle ouvre. Le jeune homme écarte des yeux d'admirations en voyant la superbe femme qui est devant lui, dans une tenue qui ne cache rien des merveilleux appâts. France aussi a remarqué la bosse sur le short, à la hauteur du sexe.
-Je vous en prie jeune homme, dit France. Venez à la cuisine, servez-vous.
-Merci Madame.
Une fois la bouteille remplie, le jeune black remercie encore une fois, et quitte la villa.
-Ne vous gênez pas, dit France. Si vous avez besoin.
Effectivement; le jeune réapparait. La tenue de France n'a pas changé, sauf que l'ouverture du peignoir est un peu plus large. Le jeune black le remarque. Il s'avance derrière elle, et pose une main sur sa cuisse. France sursaute.
-Ben, çà va pas, je ne suis pas celle que vous croyez.. Je suis mariée. J'ai deux enfants. Levez vôtre main s'il vous plait, ou je crie.
-Mais Madame, je ne vais pas vous mangez.
Non seulement, il ne lève pas sa main, mais il remonte d'avantage sou le peignoir. Il arrive à la naissance de la fente.
-Assez, gronde-t-elle, çà suffit. Sortez..
Mais pourquoi n'essaie-t-elle pas de le repousser plus énergiquement.
-Je vous en prie, tremble-t-elle, amis qui êtes-vous.
-Je m'appelle Moussa Madame, Moussa, j'ai dix neuf ans aujourd'hui.
France commence à perdre pieds. D'autant qu'un doigt fait des va et vient sur la fente humide, remontant jusqu'au clitoris. C'est un pro.
-Oh non, pas là, je vous en prie, murmure-t-elle.
-Pourquoi vous n’aimez pas, répond-il sur de lui.
-Si justement, çà me paralyse quand on me caresse à cet endroit. Surtout que vous me l'avez tout décalotté.
D'un geste, France dénoue son peignoir, et le fait glisser au sol. Elle est entièrement nue. Elle passe une main dans le dos, écarte le short à l'entre jambe, et sort les attributs du jeune black. La queue est colossale, le gland entièrement décalotté, est énorme.
"Oh mon dieu, pourquoi tant de différence entre mâles. Pauvre Mich, si tu voyais çà"
L'autre main du jeune noir caresse un sein, en fait rouler le bout entre ses doigts.
-Hum, glousse France. Vous avez l'air de savoir vous servir d'une femme. Prenez-moi là, tout de suite.
En un tour de main, Moussa se débarrasse de son short, et attire France sur le canapé. Il la force à s'asseoir sur lui Les jambes totalement écartées, elle s'empale sur la bite du black.
-Aieee, salaud. Quelle queue. Putain, vas-y, nique moi.
-Toi aussi Madame tu as un gros trou. Tu as avalé toute ma bite. Tu as du en prendre des coups de queues, hein?
-Tais toi, baise moi je te dis, t'arrêtes pas. Tu aimerai pas faire jouir une blanche, l'entendre crier. Comme tu m'écartes. ha...oui, que c'est bon. Tu me défonce salaud.
Ils n'entendent pas la porte d'entrée qui vient de s'ouvrir.
-Moussa, mais où es-tu, je commence à m'impatienter.
-Je suis là Julia, répond-il.
Julia s'avance et découvre la scène.
-Mais qu'est-ce-que tu fais, tu es fou.
-Vous voyez pas qu'il est en train de me tirer, gémit France. Laissez-le me finir, s'il vous plait.
-Ben dit donc, tu ne t’emmerdes pas mon cochon, quel morceau.
-Et qu'est-ce-qu'elle est bonne. Regarde comme elle bouge son cul la pute.
-Tu m'enculeras après, supplie France. Tant pis si tu me déchires.
Julia s'avance. Elle saisit France par la nuque, et lui un baiser torride. Elle glisse une main entre les cuisses, et excite le clitoris. Elle le pince.
-Tu mouilles petite salope, sourit Julia. Tu aimes de la faire mettre, hein?
-S'il vous plait, faites moi jouir, implore France. Amusez vous avec moi. Ouiii, comme çà, oui. haaaa.
-Entends comme elle couine frangin, poursuit Julia. Elle aime les grosses queues de blacks. On lui offrira un gode de cette taille. Vas-y, encule là cette pute.
Julia se déshabille, s'assied sur le canapé, écarte ses superbes jambes pour bien dégager sa chatte, et force France à se pencher entre ses cuisses.
-Tiens, regarde dit-elle, çà c'est du clitoris. Même les blacks sont mieux montées que les blanches. Allez, suce-le.
Pendant ce temps, Moussa pointe son engin à l'entrée du petit trou de France, et commence une lente pénétration.
-Aie, c'est gros, soupire-t-elle. Vas-y doucement.
De la sueur perle sur son front. Elle fixe Julia qui lui sourit pour l'encourager. Elle sent une énorme masse lui frotter les fesses. C'est les couilles de Moussa, çà y est, la queue est en place. Il commence ses va et vient.
-Comme il m'encule, oh putain. C'est la première fois que je prends un coup de queue comme çà. Que c'est bon de se faire sodomiser par une grosse bite.
Julia lui prend la tête, et la place entre ses cuisses.
-Tu as oublié, dit-elle. Allez, bouffe-moi la chatte. Je vais te doigter pendant ce temps.
C'est Moussa qui jouit en premier dans un râle de félin. Il n'en fini pas d'éjaculer dans les entrailles de France. Julia arrive en second, en envoyant des coups de reins dans la bouche de France. Et enfin, le plus terrible, l'orgasme de France qui hurle de plaisirs.
France est réveillée par l'eau de la baignoire qu'elle commence à avaler. Elle s'éjecte carrément en éclaboussant la salle de bains. Elle glisse une main entre ses cuisses, et la retire pleine de mouille. Elle passe une serviette, et court au salon.
-Moussa, Julia.
Aucune réponse.
"Oh mon dieu, quel rêve, que c'était bon. Comme j'ai joui"
Elle prend enfin une douche. Elle revient en veste peignoir quand la sonnerie retenti.
"Tiens, qui cela peut-li être" se dit-elle en ouvrant.
-Un colis pour vous Madame, signez là s'il vous plait. Merci.
C'est un colis de la taille d'une boite de chaussure. Elle l'ouvre, et là, surprise. Un énorme gode noir d'environ vingt cinq centimètres, posé sur un tissu en soie. Celui qu'elle préfère. Un sourire éclaire son visage. Elle le frotte contre sa fente encore humide.
"Alors ma petite chatte chérie, on l'essaie maintenant, ou on attend ce soir. D'accord, on attend ce soir. Allez, on va téléphoner à papa.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Lancer
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...