ÉTUDIANT À LUNETTES - 3
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ÉTUDIANT À LUNETTES - 3
3/ ALLEZ MONTREZ-NOUS TOUT CA, JEUNE HOMME !
Ses couilles dans ma main sont plutôt petites. Son zizi aussi on dirait (...enfin par rapport au mien). Ses 2 petits pruneaux sont tout doux, tout souples, tout chaud. Et son regard me supplie...
Brusquement je réalise à quel point je suis intrusif. Je suis en train de tripoter les testicules d'un petit ébouriffé tout mignon devant tout un amphi. Paralysé, il laisse ma main profiter de tous ses secrets... ses yeux me regardent et semblent m'implorer.
Mais je comprends qu'il a surtout peur de lui-même, peur d'aimer ça, peur de kiffer, peur que ça se voie, peur que tout le monde comprenne que ce bogoss, trop populaire avec ses yeux de chatte et son sourire qui fait bander les hétéros, est juste une petite tapette qui kiffe trop ça quand on le chope par les couilles !
Mon doigt d'honneur se glisse vers son petit anus, tout petit, étoilé, finement plissé, souple... comme tu es bandant, mon jeune ébouriffé !
Et malgré lui, ses jambes s'écartent encore plus et sa tête bascule en arrière ! Putain ça y est ! il kiffe, le pédé !... il n'aura pas mis longtemps à se trahir !
L'amphi est captivé. Il a sombré dans un silence de pierre. On ressent une tension intense et hypnotique. Mais lorsque la tête de l'influenceur bascule de plaisir, un remous se fait entendre : ça croise et ça décroise les jambes, ça se repositionne la bite. La température monte.
En exhibant ainsi ton désir homosexuel, tu t'es trahi, mon petit chéri. Maintenant aux yeux de tous tu n'es plus qu'une petite tapette comme tout le monde, qui a juste envie de se faire choper ! En une seconde, petit Tiktokeur homophobe, tu viens de perdre toutes tes followeuses !... Autant d'effort de coiffure et d'habillement pour en arriver là ! Comme followeuses, il te reste juste les kiffeuses de pédés (on en connaît tous). Et comme followeurs mâles il t'en reste... allez 60% si on considère que 50% des hétéros sont un peu beaucoup pédés, ce qui est vraisemblablement très sous-estimé.
Je continue à lui fouiller le slip. Il laisse ma main intrusive abuser de la situation. Il ferme les yeux. Sa petite verge a beaucoup durci. Elle est toute chaude dans ma main, dure, longue et fine. Mais quel plaisir de te toucher, mon petit minou !
Je continue à le fouiller et à l'inspecter... j'en profite. Je sens quelque chose de mouillé. C'est le bout de son gland. Je glisse un doigt sur son méat. Il a un léger mouvement de recul, mais il continue à se taire... il ouvre de plus en plus la bouche... cette fois il bande... Mais quelle mignone petite salope !!
Le problème c'est que moi aussi je bande... je bande comme un cheval. Je crois que je suis en train de niquer définitivement mon avenir de prof de math ! Dès le premier cours, je bande en public et j'abuse d'un étudiant. Putain quel con !... Mais ce petit pédé en redemande. Tête renversée, le bogoss me regarde de ses cheveux en bataille et ses yeux de biche, miéleux et enjoleurs... il en veut encore... Alors je ne peux m'empêcher de lui susurrer :
- Petite pute...
À ma grande surprise, ses yeux se remplissent de larmes. Et il me chuchote à son tour :
- Encore... continuez, M'sieur... s'il vous plaît...
Je réalise que putain, je suis en train de l'humilier au point qu'il en pleure ! Pauvre gosse ! Et en plus je viens de le traiter de petite pute ! Non mais je déraille complètement, moi !
Et puis, il a beau avoir 19 ans, le fait qu'il m'appelle Monsieur me rappelle à mon devoir... et me fait redescendre d'un coup.
Alors je retire ma main. Je me redresse face à l'amphi. Mon jogging est complètement déformé tellement je bande, mais tant pis, ils peuvent bien mater mon gros zob, maintenant !
Les regards de l'amphi s'affolent. Ils vont et viennent entre mon jogging déformé et l'entrejambe de mon protégé. Vous pouvez nous mater, bande de pédés...
- Alors... où en étions-nous ?
Et c'est à nouveau le petit binoclard sournois, le petit mignon au regard faux, celui avec le téléphone dans la main, qui répond :
- Les couilles d'Eusèbe, Monsieur...
- Ah oui, merci jeune homme.
Putain j'espère quand même qu'il ne nous a pas filmé, ce petit vicieux, sinon je peux dire adieu à ma carrière !
- Alors oui... euh... en effet le petit testicule gauche de votre ami est un peu plus bas que son petit testicule droit, j'ai bien vérifié... euh... comme vous avez pu le remarquer... ce qui correspond plutôt bien aux couilles de l'exercice.
Et je me tourne vers le bogoss :
- N'est-ce pas, jeune homme ?...
Il me regarde. Ses yeux sont agards. Je ne sais même pas s'il a entendu la question. Il écarte toujours plus les jambes. Il bande comme un petit pédé, le petit pédé ! Son short le moule tellement qu'on dirait qu'il va exploser ! Il ne répond rien. Il est trop excité. Une goutte de bave de forme au coin de sa bouche et se met à couler. Si ça se trouve il a adoré que je le traite de petite pute...
- Allez, maintenant montrez-nous tout ça, jeune homme ! Baissez-moi ce short, là...
Et ce petit homophobe qui tout à l'heure refusait de baisser son short, lui qui disait "jamais de la vie", "pas mes couilles", "c'est mort"... et bien il suffisait de le traiter de pute et de le tripoter un peu... et voilà à présent qu'il soulève prestement ses fesses de sa chaise, pour faire glisser d'un coup son short et son slip jusqu'aux chevilles. On aurait dit qu'il n'attendait que ça. Et il écarte ses jambes face à ses camarades, dévoilant à la fois sa verge longue, fine et dure, pointée vers le ciel, ses 2 petits pruneaux, et son petit anus rose finement étoilé...
Et voilà notre bogoss Tiktokeur ébouriffé, en exhibition intégrale face à l'amphi. Il lève les genoux et lâche un râle de plaisir :
- Rrrahhhhh...
L'amphi est consterné. Subjugué. On entend des "oooh !", des "aaah !", et des "pousse ta tête, je vois rien putain !" Tous les garçons de l'amphi bandent, je le sais, je le sens, j'ai un sens pour ça. Leurs bouches sont ouvertes et leurs yeux mouillés de désir. Certains se touchent, d'autres se branlent discrètement. Et notre ébouriffé, cuisses ouvertes, les tancent d'un regard de défi, tandis que sa longue verge, dressée comme un "i", bat comme un métronome au rythme de son flux sanguin.
Et moi je bande toujours autant. Mon jogging blanc laisse voir mon énorme zob qui pointe vers l'avant. Sans gêne (au point où on en est) je glisse ostensiblement ma main dans mon jogg et je mets ma grosse teub vers le haut. Tout le monde me regarde faire. C'est bon, ça... Je ressors ma main. Ce n'est pas mieux qu'avant. Au contraire on me voit tout. Le tissu moule complètement mon gros zeb tendu. On voit parfaitement mon canal et mon gland. J'aurais dû mettre un slip, c'est clair !
L'amphi réagit. On entend : "T'as vu le prof comme il bande !!" Ils ont devant eux un prof qui bande comme un âne et un élève tellement excité qu'on commence à se demander s'il ne va pas éjaculer jambes écartées.
En tant que responsable de cet amphi, il est clair que j'ai totalement déconné ! Si ça continue, il va jouir en public. Je peux passer en conseil disciplinaire, pour ça !! Et en même temps, comme dit l'autre pédé (enfin je crois), une tâche mouillée apparaît au niveau de mon gland.
Alors je m'approche du jeune homme nu. Au point où j'en suis autant continuer. Et je glisse ma main sous ses petits roustons.
Je tourne la tête vers l'amphi :
- Quand il bande, je confirme que les 2 gesti... les 2 testi... bref les 2 couilles de votre ami, sont à la même hauteur. Comme celles d'Eusèbe...
Il me fixe. Mes doigts lui caressent doucement le dessous des burnes. C'est tout chaud. Ses yeux sont injectés, ses narines se dilatent.
- Arrêtez Monsieur... je vais pas tenir, là...
- Ah... c'est ennuyeux jeune homme. Oui parce que pour l'exercice, il faut débander maintenant !
- Impossible, je vous dis, je...
- Si si, il le faut. Vous savez, c'est pour vérifier au bout de combien de temps votre petite couille gauche...
- Mais arrêtez de me toucher, je vous dis... putain !!!
C'est tout doux, c'est plein de petits poils blonds tout duveteux... il est trop excitant ce petit mignon !
Il me demande d'arrêter mais il bascule son bassin pour inviter mes doigts à se glisser vers son anus. Et sans même que j'y pense, mes doigts descendent...
L'amphi réagit. On entend "putain, il va pas lui mettre un doigt devant tout le monde quand même ?!"
Et en effet, je n'en ai pas le temps. Au moment où je lui frôle sa minirondelle, notre petit bogoss plante ses yeux dans les miens et dit tout fort :
- Non ! Pas ça !!... Putain merde... ça vient... putain... ça vient... oh... mon dieu je vais j... ah putain... Pu-tain !!!
Et ses yeux se révulsent complètement. Il n'arrive plus à parler. Son souffle semble coupé.
Alors il tourne son regard aveugle face à l'amphi, reste immobile plusieurs secondes... Il ouvre ses jambes au maximum, ses cheveux ebouriffés se dressent, il ne respire plus...
Et tandis qu'il pousse un cri...
- Rrrraaaah...
... dans un mouvement brusque du bassin il envoie une immense giclée de sperme blanc sur les premiers rangs de l'amphi. Au premier rang, le petit homophobe sournois s'en prend plein les lunettes... trop mignon !
A l'adolescence, moi aussi j'ai dû porter des lunettes. Et comme disait mon prof de français en me regardant : "étudiant à lunettes, étudiant à lunettes !"... je n'ai jamais trop compris ce qu'il voulait dire par là... Même pas ce jour où au vestiaire du match de fin d'année contre les profs, il était en face de moi, il avait la bite qui coulait encore et il a fait un truc : Jamais personne n'avait essuyé mes lunettes avec sa langue... faut dire j'en avais partout... mais bon...
Et notre Tiktokeur continue à éjaculer... chaque fois un peu moins loin. Son regard se révulse à chaque giclée... il jouit sans les mains. Il fait son show. À chaque impulsion, il donne un coup de bassin, pour gicler le plus loin possible... comme s'il sabrait le champagne. Il rit. Il jouit. Il exulte, il expulse, il éjacule comme un pédé. Il est bien. Il ferme les yeux. Il est heureux. Il est beau.
Et tout l'amphi, hypnotisé par autant de générosité, le regarde... avec une infinie gratitude et une sorte de tendresse.
Les dernières giclées retombent sur l'estrade en faisant des petits "plic". Jambes ouvertes, il regarde son long pénis. On dirait qu'il le remercie... plic... plic... plic...
Puis il se tourne vers moi. Il est fier. Il est heureux. Il bascule le bassin en me regardant... comme pour m'inviter à venir le toucher...
Ça tombe bien, on doit continuer l'exercice.
Ses couilles dans ma main sont plutôt petites. Son zizi aussi on dirait (...enfin par rapport au mien). Ses 2 petits pruneaux sont tout doux, tout souples, tout chaud. Et son regard me supplie...
Brusquement je réalise à quel point je suis intrusif. Je suis en train de tripoter les testicules d'un petit ébouriffé tout mignon devant tout un amphi. Paralysé, il laisse ma main profiter de tous ses secrets... ses yeux me regardent et semblent m'implorer.
Mais je comprends qu'il a surtout peur de lui-même, peur d'aimer ça, peur de kiffer, peur que ça se voie, peur que tout le monde comprenne que ce bogoss, trop populaire avec ses yeux de chatte et son sourire qui fait bander les hétéros, est juste une petite tapette qui kiffe trop ça quand on le chope par les couilles !
Mon doigt d'honneur se glisse vers son petit anus, tout petit, étoilé, finement plissé, souple... comme tu es bandant, mon jeune ébouriffé !
Et malgré lui, ses jambes s'écartent encore plus et sa tête bascule en arrière ! Putain ça y est ! il kiffe, le pédé !... il n'aura pas mis longtemps à se trahir !
L'amphi est captivé. Il a sombré dans un silence de pierre. On ressent une tension intense et hypnotique. Mais lorsque la tête de l'influenceur bascule de plaisir, un remous se fait entendre : ça croise et ça décroise les jambes, ça se repositionne la bite. La température monte.
En exhibant ainsi ton désir homosexuel, tu t'es trahi, mon petit chéri. Maintenant aux yeux de tous tu n'es plus qu'une petite tapette comme tout le monde, qui a juste envie de se faire choper ! En une seconde, petit Tiktokeur homophobe, tu viens de perdre toutes tes followeuses !... Autant d'effort de coiffure et d'habillement pour en arriver là ! Comme followeuses, il te reste juste les kiffeuses de pédés (on en connaît tous). Et comme followeurs mâles il t'en reste... allez 60% si on considère que 50% des hétéros sont un peu beaucoup pédés, ce qui est vraisemblablement très sous-estimé.
Je continue à lui fouiller le slip. Il laisse ma main intrusive abuser de la situation. Il ferme les yeux. Sa petite verge a beaucoup durci. Elle est toute chaude dans ma main, dure, longue et fine. Mais quel plaisir de te toucher, mon petit minou !
Je continue à le fouiller et à l'inspecter... j'en profite. Je sens quelque chose de mouillé. C'est le bout de son gland. Je glisse un doigt sur son méat. Il a un léger mouvement de recul, mais il continue à se taire... il ouvre de plus en plus la bouche... cette fois il bande... Mais quelle mignone petite salope !!
Le problème c'est que moi aussi je bande... je bande comme un cheval. Je crois que je suis en train de niquer définitivement mon avenir de prof de math ! Dès le premier cours, je bande en public et j'abuse d'un étudiant. Putain quel con !... Mais ce petit pédé en redemande. Tête renversée, le bogoss me regarde de ses cheveux en bataille et ses yeux de biche, miéleux et enjoleurs... il en veut encore... Alors je ne peux m'empêcher de lui susurrer :
- Petite pute...
À ma grande surprise, ses yeux se remplissent de larmes. Et il me chuchote à son tour :
- Encore... continuez, M'sieur... s'il vous plaît...
Je réalise que putain, je suis en train de l'humilier au point qu'il en pleure ! Pauvre gosse ! Et en plus je viens de le traiter de petite pute ! Non mais je déraille complètement, moi !
Et puis, il a beau avoir 19 ans, le fait qu'il m'appelle Monsieur me rappelle à mon devoir... et me fait redescendre d'un coup.
Alors je retire ma main. Je me redresse face à l'amphi. Mon jogging est complètement déformé tellement je bande, mais tant pis, ils peuvent bien mater mon gros zob, maintenant !
Les regards de l'amphi s'affolent. Ils vont et viennent entre mon jogging déformé et l'entrejambe de mon protégé. Vous pouvez nous mater, bande de pédés...
- Alors... où en étions-nous ?
Et c'est à nouveau le petit binoclard sournois, le petit mignon au regard faux, celui avec le téléphone dans la main, qui répond :
- Les couilles d'Eusèbe, Monsieur...
- Ah oui, merci jeune homme.
Putain j'espère quand même qu'il ne nous a pas filmé, ce petit vicieux, sinon je peux dire adieu à ma carrière !
- Alors oui... euh... en effet le petit testicule gauche de votre ami est un peu plus bas que son petit testicule droit, j'ai bien vérifié... euh... comme vous avez pu le remarquer... ce qui correspond plutôt bien aux couilles de l'exercice.
Et je me tourne vers le bogoss :
- N'est-ce pas, jeune homme ?...
Il me regarde. Ses yeux sont agards. Je ne sais même pas s'il a entendu la question. Il écarte toujours plus les jambes. Il bande comme un petit pédé, le petit pédé ! Son short le moule tellement qu'on dirait qu'il va exploser ! Il ne répond rien. Il est trop excité. Une goutte de bave de forme au coin de sa bouche et se met à couler. Si ça se trouve il a adoré que je le traite de petite pute...
- Allez, maintenant montrez-nous tout ça, jeune homme ! Baissez-moi ce short, là...
Et ce petit homophobe qui tout à l'heure refusait de baisser son short, lui qui disait "jamais de la vie", "pas mes couilles", "c'est mort"... et bien il suffisait de le traiter de pute et de le tripoter un peu... et voilà à présent qu'il soulève prestement ses fesses de sa chaise, pour faire glisser d'un coup son short et son slip jusqu'aux chevilles. On aurait dit qu'il n'attendait que ça. Et il écarte ses jambes face à ses camarades, dévoilant à la fois sa verge longue, fine et dure, pointée vers le ciel, ses 2 petits pruneaux, et son petit anus rose finement étoilé...
Et voilà notre bogoss Tiktokeur ébouriffé, en exhibition intégrale face à l'amphi. Il lève les genoux et lâche un râle de plaisir :
- Rrrahhhhh...
L'amphi est consterné. Subjugué. On entend des "oooh !", des "aaah !", et des "pousse ta tête, je vois rien putain !" Tous les garçons de l'amphi bandent, je le sais, je le sens, j'ai un sens pour ça. Leurs bouches sont ouvertes et leurs yeux mouillés de désir. Certains se touchent, d'autres se branlent discrètement. Et notre ébouriffé, cuisses ouvertes, les tancent d'un regard de défi, tandis que sa longue verge, dressée comme un "i", bat comme un métronome au rythme de son flux sanguin.
Et moi je bande toujours autant. Mon jogging blanc laisse voir mon énorme zob qui pointe vers l'avant. Sans gêne (au point où on en est) je glisse ostensiblement ma main dans mon jogg et je mets ma grosse teub vers le haut. Tout le monde me regarde faire. C'est bon, ça... Je ressors ma main. Ce n'est pas mieux qu'avant. Au contraire on me voit tout. Le tissu moule complètement mon gros zeb tendu. On voit parfaitement mon canal et mon gland. J'aurais dû mettre un slip, c'est clair !
L'amphi réagit. On entend : "T'as vu le prof comme il bande !!" Ils ont devant eux un prof qui bande comme un âne et un élève tellement excité qu'on commence à se demander s'il ne va pas éjaculer jambes écartées.
En tant que responsable de cet amphi, il est clair que j'ai totalement déconné ! Si ça continue, il va jouir en public. Je peux passer en conseil disciplinaire, pour ça !! Et en même temps, comme dit l'autre pédé (enfin je crois), une tâche mouillée apparaît au niveau de mon gland.
Alors je m'approche du jeune homme nu. Au point où j'en suis autant continuer. Et je glisse ma main sous ses petits roustons.
Je tourne la tête vers l'amphi :
- Quand il bande, je confirme que les 2 gesti... les 2 testi... bref les 2 couilles de votre ami, sont à la même hauteur. Comme celles d'Eusèbe...
Il me fixe. Mes doigts lui caressent doucement le dessous des burnes. C'est tout chaud. Ses yeux sont injectés, ses narines se dilatent.
- Arrêtez Monsieur... je vais pas tenir, là...
- Ah... c'est ennuyeux jeune homme. Oui parce que pour l'exercice, il faut débander maintenant !
- Impossible, je vous dis, je...
- Si si, il le faut. Vous savez, c'est pour vérifier au bout de combien de temps votre petite couille gauche...
- Mais arrêtez de me toucher, je vous dis... putain !!!
C'est tout doux, c'est plein de petits poils blonds tout duveteux... il est trop excitant ce petit mignon !
Il me demande d'arrêter mais il bascule son bassin pour inviter mes doigts à se glisser vers son anus. Et sans même que j'y pense, mes doigts descendent...
L'amphi réagit. On entend "putain, il va pas lui mettre un doigt devant tout le monde quand même ?!"
Et en effet, je n'en ai pas le temps. Au moment où je lui frôle sa minirondelle, notre petit bogoss plante ses yeux dans les miens et dit tout fort :
- Non ! Pas ça !!... Putain merde... ça vient... putain... ça vient... oh... mon dieu je vais j... ah putain... Pu-tain !!!
Et ses yeux se révulsent complètement. Il n'arrive plus à parler. Son souffle semble coupé.
Alors il tourne son regard aveugle face à l'amphi, reste immobile plusieurs secondes... Il ouvre ses jambes au maximum, ses cheveux ebouriffés se dressent, il ne respire plus...
Et tandis qu'il pousse un cri...
- Rrrraaaah...
... dans un mouvement brusque du bassin il envoie une immense giclée de sperme blanc sur les premiers rangs de l'amphi. Au premier rang, le petit homophobe sournois s'en prend plein les lunettes... trop mignon !
A l'adolescence, moi aussi j'ai dû porter des lunettes. Et comme disait mon prof de français en me regardant : "étudiant à lunettes, étudiant à lunettes !"... je n'ai jamais trop compris ce qu'il voulait dire par là... Même pas ce jour où au vestiaire du match de fin d'année contre les profs, il était en face de moi, il avait la bite qui coulait encore et il a fait un truc : Jamais personne n'avait essuyé mes lunettes avec sa langue... faut dire j'en avais partout... mais bon...
Et notre Tiktokeur continue à éjaculer... chaque fois un peu moins loin. Son regard se révulse à chaque giclée... il jouit sans les mains. Il fait son show. À chaque impulsion, il donne un coup de bassin, pour gicler le plus loin possible... comme s'il sabrait le champagne. Il rit. Il jouit. Il exulte, il expulse, il éjacule comme un pédé. Il est bien. Il ferme les yeux. Il est heureux. Il est beau.
Et tout l'amphi, hypnotisé par autant de générosité, le regarde... avec une infinie gratitude et une sorte de tendresse.
Les dernières giclées retombent sur l'estrade en faisant des petits "plic". Jambes ouvertes, il regarde son long pénis. On dirait qu'il le remercie... plic... plic... plic...
Puis il se tourne vers moi. Il est fier. Il est heureux. Il bascule le bassin en me regardant... comme pour m'inviter à venir le toucher...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'avoue c'est légèrement exagéré :D
Bah moi j'aime bien. C'est amusant différent des autres histoires et ça me plait
Mouais... L'éjac' spontanée avec une simple pression sur les cojones et une légère caresse sur la rosette, le tiktokeur n'a jamais été 100% hétéro, hein ! Pas plus que le prof, la démonstration dépasse un peu l'envie de juste l'humilier... ¬‿¬
Légèrement abusé, mais très marrant, j'approuve !
Légèrement abusé, mais très marrant, j'approuve !