ÉTUDIANT À LUNETTES - 4
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 26 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Jorge ont reçu un total de 55 090 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 638 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
ÉTUDIANT À LUNETTES - 4
4/ ET JE BAISSE MON JOGGING... ENFIN !
On doit continuer l'exercice.
- Merci jeune homme... je ne vous en demandais pas tant... mais... merci... c'était... wow....
Je me tourne vers l'amphi.
- Hem... Si vous voulez bien nous allons continuer l'exercice... Mais pour cela nous devons attendre que notre jeune ami débande...
Et justement...
Justement, notre jeune ébouriffé semble avoir lâché l'affaire. Tête en arrière, il ferme les yeux. Il souffle fort comme un sportif après l'effort. Il faut qu'il se remette de cet intense travail glandulaire. Cuisses ouvertes, comble d'impudeur, il expose à son public son pénis qui coule et qui dégonfle. Son gland ne cesse de libérer de longues coulées blanches. Il sourit aux anges en exposant à tous son pénis brillant et indécent qui débande par à-coups... petite pute, va !
C'est le moment. Alors je m'approche à nouveau. Quand j'avance, mon sexe dressé bat de droite et de gauche. J'entends "tu crois qu'il va l'enculer ?" C'est sûr que là si je m'écoutais...
Doucement, je glisse mes doigts sous ses petites couilles de jeune Tiktokeur. Il sursaute, ouvre les yeux et me sourit.
- On continue l'exercice, jeune homme ?
- Tout ce que vous voulez, M'sieur !
Et il soulève ses genoux pour m'ouvrir l'accès à son intimité la plus totale.
- Allez-y.
Je me tourne vers l'amphi.
- Messieurs, cela fait maintenant précisément 2mn que votre camarade débande.
Je me penche pour mettre mes yeux à hauteur de ses petits pruneaux. Je les soupèse. Le garçon me sourit... petit tapette, va !
- Messieurs je note à présent une différence de 5mm entre les 2 couilles...
Et j'ajoute :
- Si l'un de vous veut venir vérifier...
Une armée de mains se lèvent. On peut en conclure que la grande majorité des hétéros sont pédés... même si c'est une évidence, bien sûr.
- Jeune homme
Je désigne le petit homophobe bigleux du premier rang, avec ses lunettes brouillées... juste pour le voir se lever. Je suis sûr qu'il bande.
Il se lève. Et voilà j'avais raison. Son petit jogging pointe vers l'avant. C'est tout petit, c'est tout dur... trop mignon. C'est souvent ça les homophobes : ils n'ont rien dans le slip mais ils en sont fiers ! Mon pénis se contracte (putain...)
Il s'approche de son ami, qui sourit et qui lui écarte les jambes. Ils se regardent dans les yeux. Quelque chose de très intense passe entre eux... quelque chose de hautement sexuel... le bogoss ébouriffé murmure :
- Touche-moi...
L'autre approche. Il s'accroupit entre les jambes de son ami... avance la main. Le bogoss ferme les yeux, il attend...
- Touche-moi... putain...
Et le petit sournois glisse enfin sa main.
Je sens mon gros zob qui se contracte : Y a-t-il spectacle plus réjouissant que deux homophobes en train de se toucher les couilles ?
Le petit pervers prend son temps. Il caresse, il soupèse, il en profite. La tête du jeune ebouriffé bascule à nouveau. À présent il met les deux mains... Une longue coulée blanche s'écoule involontairement du pénis qui débande... et s'étale sur l'avant-bras du petit sournois aux lunettes pourries. C'est la deuxième fois qu'il se fait souiller par le sperme de son ami... petit mignon, va...
Mais je dois interrompre ce moment magique entre homophobes deshinibés, sinon l'autre va se remettre à bander !
- Jeune homme, vous avez assez profité. Confirmez-vous l'écart de 5mm ?
Alors le petit binoclard retire ses mains à regret. Il se redresse et se positionne face à l'amphi. Droit, jambes légèrement écartées, stable, avec son petit zizi tout dur qui pointe dans son jogging face à l'amphi. Et d'une voix plus forte et plus masculine que je ne m'y attendais :
- Je confirme les 5mm
Un petit mâle.
Et il lèche son avant-bras.
Je regarde sa petite pointe toute dure... ses lunettes voilées ... et d'un seul coup je comprends : "étudiant à lunettes, étudiant..." mais qu'est-ce que je suis con ! Et d'un seul coup je revois la grosse teub poilue de mon prof de français, qui coule abondamment sur mes lunettes et sur ma langue... "étudiant à lunettes..." et pendant que je lui carraissais ses grosses couilles, il a approché sa grosse langue de son visage et il m'a léché les lunettes. Ensuite ce gros pédé il s'est rebraguetté et m'a souri en disant : "Y'a ma femme qui m'attend". Je ne devrais pas mais je garde pour lui une forme de tendresse...
Je sors de ma rêverie. Le petit mâle avec sa petite verge attend toujours face à l'amphi.
- Oh pardon... vous pouvez aller vous asseoir jeune homme... et pensez à nettoyer vos lunettes...
"Étudiant à lunettes..."
Le zizi du jeune Tiktokeur a fini de débander. Assis face à ses camarades, son impudeur est totale. Un long fil transparent est suspendu au bout de son gland. Sa grosse nouille pendouille et continue à diminuer... et (spectacle ô combien impudique) son prépuce ourlé reprend le dessus : sans les mains, progressivement, face à ses potes, il recalotte.
Nouvelle contraction de mon pénis. Nouvelle tache sur mon jogging blanc. Je m'en fous.
Et face aux étudiants, dont les yeux vont et viennent, de la verge lamentable de leur ami qui continue lentement à juter, jusqu'à mon braquemart mouillé et parcouru de spasmes, je continue :
- Messieurs, arrêtez de regarder mon sexe. Concentrez-vous sur celui de votre ami : car Messieurs, il apparaît que nous avons là la réponse à notre problème : Si les couilles d'Eusèbe mettent 8mn après érection pour retrouver leur écart naturel de 2cm, elle mettent bien 2mn pour atteindre un écart de 5mm.
Un éclair d'intelligence traverse l'amphi... enfin ! Ma méthode mnémo-érotique semble avoir marché : Je crois que le temps d'un instant j'ai réussi à faire entrevoir une règle de 3 toute simple à cette assemblée de petits branleurs en rut. Ils ont les yeux grands ouverts. Ils viennent de comprendre un truc. Ils sourient.
Alors c'est le moment de la récompense : Pour ancrer définitivement ce nouveau savoir dans leurs têtes de petits mâles obsédés, il leur faut une récompense... un susucre en somme...
- Messieurs, pour vous récompenser de cet éclair fugitif de compréhension, je vais vous montrer mon gros zob. Cela fait partie de la méthode mnémo-érotique.
Alors je lève mon teeshirt et je baisse mon jogging... enfin !
Je suis face à eux et je bande.
Et là, putain qu'est-ce que c'est bon ! Un bonheur inouï envahit tout mon être. Je me sens tellement bien. Une rumeur sourde traverse l'amphi, accompagnée d'une effluve de testostérone de jeunes mâles. Je sais qu'ils bandent tous. Ils sont en rut. Je dois être vigilant. Ce genre de situation peut vite dégénérer. Ça peut vriller en une seconde... je dois rester maître de mon amphi. Mais je ne peux pas m'empêcher de donner plusieurs grands coups de reins face à eux, dans un mouvement totalement masculin, pour que mon énorme zob décalotté balance lourdement face à eux. Mon gros gland tape tour à tour contre mon ventre et contre le bas de mes cuisses. J'avais tellement répété cet instant dans ma tête ! Je devais le faire !...
Je plie les genoux, sexe en avant. Putain comme c'est bon !! Et involontairement je tire la langue et face à mes étudiants je pousse un grand : "Rrrraaahh..." (Alors, c'est qui le papa ?)
Lorsque je m'arrête, un grand fil de mouille continue à s'agiter au bout de mon gland.
L'amphi est pétrifié. Ils n'ont jamais vu ça. À droite et à gauche on entend de jeunes étudiants pousser des râles et des petits cris étouffés. À cet âge là, l'éjaculation précoce est quelque chose de courant.
Nu face à eux et pris de tendresse, je les laisse tranquillement se finir et profiter de mon sexe le temps de leur orgasme... c'est trop mignon... Puis je remonte mon jogging.
Précisément à cet instant, l'heure de la fin du cours sonne dans l'établissement.
M'adressant à l'amphi :
- Messieurs je vous remercie pour votre attention.
Puis au jeune Tiktokeur :
- Merci jeune homme. Vous pouvez vous rhabiller.
Puis de nouveau à l'amphi :
- Je reste là, si vous avez des questions, n'hésitez pas.
L'assemblée de petits branleurs se lève bruyamment, se repositionne et se rebraguette, puis se disperse calmement. Ils semblent satisfaits... Ce cours n'était peut-être pas aussi catastrophique que ça, finalement...
Mon petit bogoss n'a pas quitté sa position. Sexe offert, il reste là, cuisses ouvertes. Il sourit, il est bien.
- Jeune homme, il faut vous rhabiller maintenant.
- J'attends que tout le monde soit parti. Je suis trop bien, là comme ça...
- Bon... si vous voulez...
Cuisses ouvertes il se tourne face à moi.
- M'sieur, c'était une bonne idée que j'ai eue, de remplacer les 2 grenouilles d'Eusèbe par des couilles, non... ?
- Oui, jeune homme... c'est un peu grâce à vous, tout ça...
Son zizi est tout rétracté à présent. Il passe sa main dans ses cheveux châtains et me regarde avec ses yeux de chatte.
- M'sieur... on pourra le refaire ?
Il est tellement beau, ce con !!
- Ha ha... peut-être mais faudra d'abord laisser la place à vos petits camarades... Tout le monde devra y passer, vous savez...
- Tout l'amphi ?
- Oui bien sûr... et vous verrez à quel point vous allez tous progresser en maths cette année !
- Ah...
- Allez, rhabillez-vous.
Le petit binoclard au regard faux est toujours là. Il fait mine de ranger ses affaires, mais il ne cesse de zieuter le zizi de son pote. Et son petit jogg pointe toujours.
Alors je m'adresse à lui :
- Ça vous a plu, jeune homme ?
- Oui... c'est bien votre méthode, là... mnémo...
- Mnémo-érotique
- Oui...
C'est étonnant comme sa voix est grave.
Puis il se tourne, franchement cette fois, vers son ami. Son petit zizi est tout dur. Et comme parcouru d'un frisson :
- Je peux encore te toucher ?
Les deux garçons homophobes se regardent... Le petit sournois s'approche...
- Hepepep !!!
Je les interromps.
- Vous ferez ça ailleurs. Il y a d'autres endroits pour s'enculer...
Le petit binoclard lève alors vers moi son regard torve.
- Avant de partir, jeune homme, montrez-moi votre téléphone... je veux vous voir supprimer toutes les vidéos que vous avez prises pendant le cours...
Il me regarde de ses petits yeux pervers... il semble réfléchir... À présent l'amphi s'est vidé. Il ne reste que nous trois... Derrière ses lunettes sales, ses petits yeux s'agitent. Il me regarde. Il me mate. Il s'attarde sur mon sexe...
Alors il glisse une main dans son jogg et saisit sa petite verge.
- À une condition, M'sieur...
Mais j'ai déjà compris.
Alors il détruit devant moi toutes ses vidéos et vide sa corbeille. Et moi, en échange, je me retourne. Il me baisse mon jogging et je me mets à quatre pattes. Je lui offre mon anus blond et mes couilles de taureau... vas-y profite, petit pervers...
Il dévoile son pubis fourni. Son petit sexe dur est très joli.
Ses petites mains rugueuses se posent sur mes hanches. Je lève le cul.
Ma tête est face aux cuisses ouvertes de mon Tiktokeur préféré, qui avance sa chaise vers moi. Son gland brillant commence à ressortir.
Le petit binoclard m'appuye sur le dos. Ça ne devrait pas me faire bien mal... j'espère juste que je sentirai quelque chose. C'est ça le problème avec les homophobes : Plus c'est méchant, moins ça en a entre les jambes.
Le gland de mon bogoss est totalement sorti. Je le prends dans ma bouche. C'est salé. Il bascule la tête.
Je sens le petit outil du jeune pervers se glisser en moi. Les poils durs de son pubis me chatouillent les fesses...
En plus, finalement il fait ça bien, ce petit con !... Je sens sa petite quéquette entrer et sortir... Allez, vas-y, profite mon chéri, profite bien... Mais tu ne sortiras pas d'ici avant que je t'éclate ton petit trou d'homophobe, tu sais ?
À présent dans ma tête tout est clair, mon prof avait raison : "Étudiant à lunettes... étudiant à lunettes".
On doit continuer l'exercice.
- Merci jeune homme... je ne vous en demandais pas tant... mais... merci... c'était... wow....
Je me tourne vers l'amphi.
- Hem... Si vous voulez bien nous allons continuer l'exercice... Mais pour cela nous devons attendre que notre jeune ami débande...
Et justement...
Justement, notre jeune ébouriffé semble avoir lâché l'affaire. Tête en arrière, il ferme les yeux. Il souffle fort comme un sportif après l'effort. Il faut qu'il se remette de cet intense travail glandulaire. Cuisses ouvertes, comble d'impudeur, il expose à son public son pénis qui coule et qui dégonfle. Son gland ne cesse de libérer de longues coulées blanches. Il sourit aux anges en exposant à tous son pénis brillant et indécent qui débande par à-coups... petite pute, va !
C'est le moment. Alors je m'approche à nouveau. Quand j'avance, mon sexe dressé bat de droite et de gauche. J'entends "tu crois qu'il va l'enculer ?" C'est sûr que là si je m'écoutais...
Doucement, je glisse mes doigts sous ses petites couilles de jeune Tiktokeur. Il sursaute, ouvre les yeux et me sourit.
- On continue l'exercice, jeune homme ?
- Tout ce que vous voulez, M'sieur !
Et il soulève ses genoux pour m'ouvrir l'accès à son intimité la plus totale.
- Allez-y.
Je me tourne vers l'amphi.
- Messieurs, cela fait maintenant précisément 2mn que votre camarade débande.
Je me penche pour mettre mes yeux à hauteur de ses petits pruneaux. Je les soupèse. Le garçon me sourit... petit tapette, va !
- Messieurs je note à présent une différence de 5mm entre les 2 couilles...
Et j'ajoute :
- Si l'un de vous veut venir vérifier...
Une armée de mains se lèvent. On peut en conclure que la grande majorité des hétéros sont pédés... même si c'est une évidence, bien sûr.
- Jeune homme
Je désigne le petit homophobe bigleux du premier rang, avec ses lunettes brouillées... juste pour le voir se lever. Je suis sûr qu'il bande.
Il se lève. Et voilà j'avais raison. Son petit jogging pointe vers l'avant. C'est tout petit, c'est tout dur... trop mignon. C'est souvent ça les homophobes : ils n'ont rien dans le slip mais ils en sont fiers ! Mon pénis se contracte (putain...)
Il s'approche de son ami, qui sourit et qui lui écarte les jambes. Ils se regardent dans les yeux. Quelque chose de très intense passe entre eux... quelque chose de hautement sexuel... le bogoss ébouriffé murmure :
- Touche-moi...
L'autre approche. Il s'accroupit entre les jambes de son ami... avance la main. Le bogoss ferme les yeux, il attend...
- Touche-moi... putain...
Et le petit sournois glisse enfin sa main.
Je sens mon gros zob qui se contracte : Y a-t-il spectacle plus réjouissant que deux homophobes en train de se toucher les couilles ?
Le petit pervers prend son temps. Il caresse, il soupèse, il en profite. La tête du jeune ebouriffé bascule à nouveau. À présent il met les deux mains... Une longue coulée blanche s'écoule involontairement du pénis qui débande... et s'étale sur l'avant-bras du petit sournois aux lunettes pourries. C'est la deuxième fois qu'il se fait souiller par le sperme de son ami... petit mignon, va...
Mais je dois interrompre ce moment magique entre homophobes deshinibés, sinon l'autre va se remettre à bander !
- Jeune homme, vous avez assez profité. Confirmez-vous l'écart de 5mm ?
Alors le petit binoclard retire ses mains à regret. Il se redresse et se positionne face à l'amphi. Droit, jambes légèrement écartées, stable, avec son petit zizi tout dur qui pointe dans son jogging face à l'amphi. Et d'une voix plus forte et plus masculine que je ne m'y attendais :
- Je confirme les 5mm
Un petit mâle.
Et il lèche son avant-bras.
Je regarde sa petite pointe toute dure... ses lunettes voilées ... et d'un seul coup je comprends : "étudiant à lunettes, étudiant..." mais qu'est-ce que je suis con ! Et d'un seul coup je revois la grosse teub poilue de mon prof de français, qui coule abondamment sur mes lunettes et sur ma langue... "étudiant à lunettes..." et pendant que je lui carraissais ses grosses couilles, il a approché sa grosse langue de son visage et il m'a léché les lunettes. Ensuite ce gros pédé il s'est rebraguetté et m'a souri en disant : "Y'a ma femme qui m'attend". Je ne devrais pas mais je garde pour lui une forme de tendresse...
Je sors de ma rêverie. Le petit mâle avec sa petite verge attend toujours face à l'amphi.
- Oh pardon... vous pouvez aller vous asseoir jeune homme... et pensez à nettoyer vos lunettes...
"Étudiant à lunettes..."
Le zizi du jeune Tiktokeur a fini de débander. Assis face à ses camarades, son impudeur est totale. Un long fil transparent est suspendu au bout de son gland. Sa grosse nouille pendouille et continue à diminuer... et (spectacle ô combien impudique) son prépuce ourlé reprend le dessus : sans les mains, progressivement, face à ses potes, il recalotte.
Nouvelle contraction de mon pénis. Nouvelle tache sur mon jogging blanc. Je m'en fous.
Et face aux étudiants, dont les yeux vont et viennent, de la verge lamentable de leur ami qui continue lentement à juter, jusqu'à mon braquemart mouillé et parcouru de spasmes, je continue :
- Messieurs, arrêtez de regarder mon sexe. Concentrez-vous sur celui de votre ami : car Messieurs, il apparaît que nous avons là la réponse à notre problème : Si les couilles d'Eusèbe mettent 8mn après érection pour retrouver leur écart naturel de 2cm, elle mettent bien 2mn pour atteindre un écart de 5mm.
Un éclair d'intelligence traverse l'amphi... enfin ! Ma méthode mnémo-érotique semble avoir marché : Je crois que le temps d'un instant j'ai réussi à faire entrevoir une règle de 3 toute simple à cette assemblée de petits branleurs en rut. Ils ont les yeux grands ouverts. Ils viennent de comprendre un truc. Ils sourient.
Alors c'est le moment de la récompense : Pour ancrer définitivement ce nouveau savoir dans leurs têtes de petits mâles obsédés, il leur faut une récompense... un susucre en somme...
- Messieurs, pour vous récompenser de cet éclair fugitif de compréhension, je vais vous montrer mon gros zob. Cela fait partie de la méthode mnémo-érotique.
Alors je lève mon teeshirt et je baisse mon jogging... enfin !
Je suis face à eux et je bande.
Et là, putain qu'est-ce que c'est bon ! Un bonheur inouï envahit tout mon être. Je me sens tellement bien. Une rumeur sourde traverse l'amphi, accompagnée d'une effluve de testostérone de jeunes mâles. Je sais qu'ils bandent tous. Ils sont en rut. Je dois être vigilant. Ce genre de situation peut vite dégénérer. Ça peut vriller en une seconde... je dois rester maître de mon amphi. Mais je ne peux pas m'empêcher de donner plusieurs grands coups de reins face à eux, dans un mouvement totalement masculin, pour que mon énorme zob décalotté balance lourdement face à eux. Mon gros gland tape tour à tour contre mon ventre et contre le bas de mes cuisses. J'avais tellement répété cet instant dans ma tête ! Je devais le faire !...
Je plie les genoux, sexe en avant. Putain comme c'est bon !! Et involontairement je tire la langue et face à mes étudiants je pousse un grand : "Rrrraaahh..." (Alors, c'est qui le papa ?)
Lorsque je m'arrête, un grand fil de mouille continue à s'agiter au bout de mon gland.
L'amphi est pétrifié. Ils n'ont jamais vu ça. À droite et à gauche on entend de jeunes étudiants pousser des râles et des petits cris étouffés. À cet âge là, l'éjaculation précoce est quelque chose de courant.
Nu face à eux et pris de tendresse, je les laisse tranquillement se finir et profiter de mon sexe le temps de leur orgasme... c'est trop mignon... Puis je remonte mon jogging.
Précisément à cet instant, l'heure de la fin du cours sonne dans l'établissement.
M'adressant à l'amphi :
- Messieurs je vous remercie pour votre attention.
Puis au jeune Tiktokeur :
- Merci jeune homme. Vous pouvez vous rhabiller.
Puis de nouveau à l'amphi :
- Je reste là, si vous avez des questions, n'hésitez pas.
L'assemblée de petits branleurs se lève bruyamment, se repositionne et se rebraguette, puis se disperse calmement. Ils semblent satisfaits... Ce cours n'était peut-être pas aussi catastrophique que ça, finalement...
Mon petit bogoss n'a pas quitté sa position. Sexe offert, il reste là, cuisses ouvertes. Il sourit, il est bien.
- Jeune homme, il faut vous rhabiller maintenant.
- J'attends que tout le monde soit parti. Je suis trop bien, là comme ça...
- Bon... si vous voulez...
Cuisses ouvertes il se tourne face à moi.
- M'sieur, c'était une bonne idée que j'ai eue, de remplacer les 2 grenouilles d'Eusèbe par des couilles, non... ?
- Oui, jeune homme... c'est un peu grâce à vous, tout ça...
Son zizi est tout rétracté à présent. Il passe sa main dans ses cheveux châtains et me regarde avec ses yeux de chatte.
- M'sieur... on pourra le refaire ?
Il est tellement beau, ce con !!
- Ha ha... peut-être mais faudra d'abord laisser la place à vos petits camarades... Tout le monde devra y passer, vous savez...
- Tout l'amphi ?
- Oui bien sûr... et vous verrez à quel point vous allez tous progresser en maths cette année !
- Ah...
- Allez, rhabillez-vous.
Le petit binoclard au regard faux est toujours là. Il fait mine de ranger ses affaires, mais il ne cesse de zieuter le zizi de son pote. Et son petit jogg pointe toujours.
Alors je m'adresse à lui :
- Ça vous a plu, jeune homme ?
- Oui... c'est bien votre méthode, là... mnémo...
- Mnémo-érotique
- Oui...
C'est étonnant comme sa voix est grave.
Puis il se tourne, franchement cette fois, vers son ami. Son petit zizi est tout dur. Et comme parcouru d'un frisson :
- Je peux encore te toucher ?
Les deux garçons homophobes se regardent... Le petit sournois s'approche...
- Hepepep !!!
Je les interromps.
- Vous ferez ça ailleurs. Il y a d'autres endroits pour s'enculer...
Le petit binoclard lève alors vers moi son regard torve.
- Avant de partir, jeune homme, montrez-moi votre téléphone... je veux vous voir supprimer toutes les vidéos que vous avez prises pendant le cours...
Il me regarde de ses petits yeux pervers... il semble réfléchir... À présent l'amphi s'est vidé. Il ne reste que nous trois... Derrière ses lunettes sales, ses petits yeux s'agitent. Il me regarde. Il me mate. Il s'attarde sur mon sexe...
Alors il glisse une main dans son jogg et saisit sa petite verge.
- À une condition, M'sieur...
Mais j'ai déjà compris.
Alors il détruit devant moi toutes ses vidéos et vide sa corbeille. Et moi, en échange, je me retourne. Il me baisse mon jogging et je me mets à quatre pattes. Je lui offre mon anus blond et mes couilles de taureau... vas-y profite, petit pervers...
Il dévoile son pubis fourni. Son petit sexe dur est très joli.
Ses petites mains rugueuses se posent sur mes hanches. Je lève le cul.
Ma tête est face aux cuisses ouvertes de mon Tiktokeur préféré, qui avance sa chaise vers moi. Son gland brillant commence à ressortir.
Le petit binoclard m'appuye sur le dos. Ça ne devrait pas me faire bien mal... j'espère juste que je sentirai quelque chose. C'est ça le problème avec les homophobes : Plus c'est méchant, moins ça en a entre les jambes.
Le gland de mon bogoss est totalement sorti. Je le prends dans ma bouche. C'est salé. Il bascule la tête.
Je sens le petit outil du jeune pervers se glisser en moi. Les poils durs de son pubis me chatouillent les fesses...
En plus, finalement il fait ça bien, ce petit con !... Je sens sa petite quéquette entrer et sortir... Allez, vas-y, profite mon chéri, profite bien... Mais tu ne sortiras pas d'ici avant que je t'éclate ton petit trou d'homophobe, tu sais ?
À présent dans ma tête tout est clair, mon prof avait raison : "Étudiant à lunettes... étudiant à lunettes".
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jorge
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Abusé bien sûr mais rigolo et surtout ça fait vivre les fantasmes professeur / étudiants
Le petit mec à lunettes, je me dis qu’avec des potes comme lui, le tiktokeur n’a pas besoin d’ennemis ¬‿¬
Mais c’est quand même une manière abusée d’expliquer une bête règle de trois à des étudiants en fac ^^
Après, la conclusion… dans un amphi, sérieux ? Pas que je n’y aie jamais pensé, ok, ok.
C’est totalement barré, tu es perché, mais c’est un compliment, je promets :)
Mais c’est quand même une manière abusée d’expliquer une bête règle de trois à des étudiants en fac ^^
Après, la conclusion… dans un amphi, sérieux ? Pas que je n’y aie jamais pensé, ok, ok.
C’est totalement barré, tu es perché, mais c’est un compliment, je promets :)
