Le cul du lapin 2
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le cul du lapin 2
2 / FERME LA PORTE, BORDEL !
Finalement, après une collation rapide,
- Prenez des forces, patron, vous en aurez besoin...
... le patron se laisse enfermer dans son bureau avec les 8 méchants loups affamés. Intérieurement nous saluons tous son sens du sacrifice. Après quelques minutes, à travers la cloison, on entend déjà des petits cris, on entend aussi les meubles qui grincent et qui tapent... ils n'ont pas perdu de temps, ils ont commencé.
Avec les autres, on se regarde. On ne l'aime pas beaucoup notre lapin, mais là quand même, il est en train de passer à la casserole !
... Et puis ça dure... Le temps passe, et les bruits ne font que s'intensifier. Au bout d'une heure, les meubles tapent toujours, on devine de sacrés coups de boutoir... Le patron ne se contient plus, à present il pousse des grands cris de tennisman :
- Ahhan !... Ahhan !... Ahhan !...
... Ça fait maintenant 2 heures. Les hommes sortent un par un à tour de rôle pour aller pisser... Ils passent devant mon bureau, leurs pantalons sont tachés, leurs braguettes ouvertes ou mal fermées, on devine dans leurs frocs leurs lourds braquemards mouillés qui pendent et qui balancent, et ils reviennent ensuite des urinoirs en se réajustant le zob sans pudeur et en se rebraguettant ostensiblement...
Quand la porte du patron s'entre-ouvre, de là où je suis j'aperçois les hommes nus de dos, pantalons aux chevilles, et leurs culs poilus bombés et magnifiques, affairés autour du bureau du patron... et j'apercois aussi les pieds nus de mon petit patron allongé sur la table... jambes en l'air et cul offert. À présent il ne crie plus, il geint doucement... Est-il en train de pleurer ? Ou bien est-ce du plaisir ?
- Mhhhmm... Mhhhmm...
En tous cas ce petit macho est en train de se faire défoncer profond profond à tour de rôle depuis plusieurs heures. Ça doit faire mal... Je ne l'aime pas mais là il fait plutôt pitié.
Et puis le temps passe... Ça va maintenent bientôt faire 4 heures qu'il se fait enculer.
- Ahhan !... Ahhan !... Ahhan !...
Il est 18h. À chaque fois que la porte s'entre-ouvre il est dans une position différente et toujours plus dégradante... Putain, qu'est-ce qu'il prend !!!
Il doit être crevé... je n'ose imaginer l'état de son petit trou de lapin.
Mais ça va être l'heure d'y aller. On commence tous à se demander ce qu'on doit faire : doit-on intervenir ? Certains doivent rentrer chez eux. Mais on ne peut pas le laisser comme ça... Peut-être faut-il au moins lui demander si ça va... les secrétaires n'osent pas... elles disent qu'il vaudrait mieux que ce soit un garcon, puisqu'ils sont tous à poil là-dedans.... Bon ça va j'ai compris...
Je m'approche, je toque toque, je passe la tête par la porte.
- Tout va bien patron ?
Il est à 4 pattes il ne peut pas répondre il a la bouche pleine et le cul aussi. Il n'a pas l'air content de me voir.
- Mmmblmmblm
- Euh... quoi, patron ?...
Je n'avais jamais vu mon patron complètement à poil. Il n'a vraiment pas l'air content que je le regarde. Je prends quand même le temps de l'observer, je ne savais pas qu'il était aussi beau, son corps est svelte et menu, très dessiné, avec de magnifiques lignes de poils très marquées... son zizi n'est pas grand, je le savais, mais à quatre pattes il pendouille joliment... finalement il est proportionné au reste. Il se balance mollement au rythme des coups de boutoirs. Il y a plein de mains qui le touchent partout, qui lui tripotent les couilles et qui lui chopent le zizi... Pendant qu'on lui malaxe le sexe, il me regarde avec colère, il veut me parler mais il a toujours la bouche pleine.
- Gblmmbl...
Il y a des grandes mains fines partout sur lui, très belles, poilues et bronzées, et puis 8 grosses bites circoncises, poilues et veineuses avec 8 gros glands gonflés, qui l'enculent à tour de rôle.
La scène est magnifique. Mais le patron me jette des éclairs... peut-être parce que j'ai laissé la porte ouverte et qu'un attroupement s'est formé derrière moi...
- On doit y aller, patron... Y'a plus que vous... Vous fermerez ?
Il écarquille les yeux, il veut dire quelque chose... son corps tout entier est secoué par les coups de boutoirs dans le cul.
- Mblmmmglbm...
- Vous voulez que je prévienne votre femme que vous rentrerez tard, c'est ça ?
Pas facile de parler avec une énorme bite poilue qui va et vient dans le fond de la gorge :
- Glbm... glbm... glbm... glbm... glbm...
- Ne vous inquiétez pas je ne lui dirai pas que vous êtes en train de... euh... d'avaler des grosses bites, patron... je lui dirai juste que vous aidez des clients à décharger...
- Glbm... glbm... glbm...
Il y en a un qui le tient par les oreilles et qui lui encule tellement la bouche qu'il en a les larmes aux yeux.
- Glbm... glbm...
Et là il reçoit dans le cul un coup tellement fort que sa tête tombe et qu'il se retrouve allongé sur le ventre, cul en l'air sur son bureau. Les 8 hommes le retournent sur le dos comme un dürüm et le pivotent à 180°. Avec les copains, on a alors une vue directe sur son petit cul avec ses jambes en l'air, on voit son petit anus congestionné qui laisse échapper un abondant jus blanc, et puis ses 2 petites couilles poilues... 2 petits pruneaux... trop mignon !
Entre 2 bites, le patron a le temps de relever la tête, j'aperçois alors son visage furieux au dessus de ses petites couilles. Il hurle :
- Mais ferme la porte, bordel !!!
L'attroupement des curieux se disperse immédiatement, mais avant que je ne ferme la porte, le grand chef arabe se tourne vers moi. Il a un zob énorme qui balance. Il me regarde en se tripotant le gland :
- Non, laisse ouvert, mon grand... Tu veux pas venir avec nous ?... Je suis sûr que ton patron serait d'accord... pas vrai, lapin ?
Mais on lui a de nouveau rempli la bouche :
- Mmmblmmmhhhh...
- Tu vois il est d'accord ! Allez viens, mon grand...
Le grand homme est venu vers moi. Il me caresse l'épaule, je sens son haleine chaude et son gros gland qui me touche la cuisse.
J'avoue c'est tentant mais j'hésite...
Discrètement je descends ma main jusqu'à son sexe poilu et j'effleure sa grosse queue toute chaude. Le grand chef se laisse toucher. Il me regarde, il se laisse faire. Son truc est énorme, c'est brûlant, c'est collant, ça sort du cul du lapin, c'est mouillé, c'est chaud, ça coule... Je glisse ma main un peu plus bas. Et l'homme se laisse toucher les couilles. Il écarte même un peu les jambes. Comme un gros chat. C'est plein de poils là-dessous. Ses couilles sont basses et lourdes, sa peau est douce. Il s'approche et plaque son gros sexe contre moi...
Mais là je croise à nouveau le regard de colère de mon patron... Et puis tout ça me fait un peu peur... Je ne voudrais pas me retrouver à sa place... Alors je me retire.
- Merci Monsieur mais... euh... je dois y aller...
Je lis dans le regard de l'homme une légère déception.
- Dommage, mon grand... Tu es sûr ?...
- ...
- Tu veux pas au moins goûter au lapin ?... c'est du bon, je l'ai essayé... pas vrai lapin ?
Mais le patron est encore en train de se faire enculer la bouche...
- Glbm... glbm... glbm...
L'homme voit que j'hésite...
- C'est gentil... Une autre fois... avec plaisir...
- Bon d'accord, mon grand... Mais tu ne vas pas partir comme ça, tu sais ce qu'on va faire ? On va demander au lapin de te prêter son petit cul tous les jours... Pas vrai, lapin ?
- Bbblllgblll...
- Tous les jours pendant... la durée de ton contrat.
- Je suis en CDI.
- Alors c'est parfait. Le rendez-vous est pris. Tu pourras venir enfiler le lapin tous les jours dans son bureau... Tu es content ?
- Oh oui ! Merci Monsieur !...
- T'as besoin de quoi ?... 20 minutes c'est bien, non ?
L'idée de venir enculer mon petit patron tous les jours dans son bureau... putain rien que l'idée ça me réchauffe les couilles !
- Oui... 30 c'est bien aussi...
- Ok 30 mn !... Vous êtes content, lapin ?
- Blhhhhh
- Il est très content ! Dites merci, lapin.
- Bbbbllliishhh
- Merci à vous, patron, j'ai hâte... Bon allez j'y vais... C'est pas que je m'ennuie...
Le grand chef est toujours bite à l'air à côté de moi. Je me dis que je vais en profiter pour tâter une dernière fois ses grosses couilles poilues avant de partir. Je descend ma main. Comme tout à l'heure il se laisse faire, il ouvre légèrement les jambes, en montrant ses dents carnassières.
- File, mon grand... avant que je change d'avis...
- Ah oui, bien sûr... Au revoir Monsieur !
Et je lui lâche les couilles.
- Et laisse la porte ouverte, mon grand.
- D'accord... et euh... au fait, patron, à demain pour... euh...
- Mmgblm...
Finalement, après une collation rapide,
- Prenez des forces, patron, vous en aurez besoin...
... le patron se laisse enfermer dans son bureau avec les 8 méchants loups affamés. Intérieurement nous saluons tous son sens du sacrifice. Après quelques minutes, à travers la cloison, on entend déjà des petits cris, on entend aussi les meubles qui grincent et qui tapent... ils n'ont pas perdu de temps, ils ont commencé.
Avec les autres, on se regarde. On ne l'aime pas beaucoup notre lapin, mais là quand même, il est en train de passer à la casserole !
... Et puis ça dure... Le temps passe, et les bruits ne font que s'intensifier. Au bout d'une heure, les meubles tapent toujours, on devine de sacrés coups de boutoir... Le patron ne se contient plus, à present il pousse des grands cris de tennisman :
- Ahhan !... Ahhan !... Ahhan !...
... Ça fait maintenant 2 heures. Les hommes sortent un par un à tour de rôle pour aller pisser... Ils passent devant mon bureau, leurs pantalons sont tachés, leurs braguettes ouvertes ou mal fermées, on devine dans leurs frocs leurs lourds braquemards mouillés qui pendent et qui balancent, et ils reviennent ensuite des urinoirs en se réajustant le zob sans pudeur et en se rebraguettant ostensiblement...
Quand la porte du patron s'entre-ouvre, de là où je suis j'aperçois les hommes nus de dos, pantalons aux chevilles, et leurs culs poilus bombés et magnifiques, affairés autour du bureau du patron... et j'apercois aussi les pieds nus de mon petit patron allongé sur la table... jambes en l'air et cul offert. À présent il ne crie plus, il geint doucement... Est-il en train de pleurer ? Ou bien est-ce du plaisir ?
- Mhhhmm... Mhhhmm...
En tous cas ce petit macho est en train de se faire défoncer profond profond à tour de rôle depuis plusieurs heures. Ça doit faire mal... Je ne l'aime pas mais là il fait plutôt pitié.
Et puis le temps passe... Ça va maintenent bientôt faire 4 heures qu'il se fait enculer.
- Ahhan !... Ahhan !... Ahhan !...
Il est 18h. À chaque fois que la porte s'entre-ouvre il est dans une position différente et toujours plus dégradante... Putain, qu'est-ce qu'il prend !!!
Il doit être crevé... je n'ose imaginer l'état de son petit trou de lapin.
Mais ça va être l'heure d'y aller. On commence tous à se demander ce qu'on doit faire : doit-on intervenir ? Certains doivent rentrer chez eux. Mais on ne peut pas le laisser comme ça... Peut-être faut-il au moins lui demander si ça va... les secrétaires n'osent pas... elles disent qu'il vaudrait mieux que ce soit un garcon, puisqu'ils sont tous à poil là-dedans.... Bon ça va j'ai compris...
Je m'approche, je toque toque, je passe la tête par la porte.
- Tout va bien patron ?
Il est à 4 pattes il ne peut pas répondre il a la bouche pleine et le cul aussi. Il n'a pas l'air content de me voir.
- Mmmblmmblm
- Euh... quoi, patron ?...
Je n'avais jamais vu mon patron complètement à poil. Il n'a vraiment pas l'air content que je le regarde. Je prends quand même le temps de l'observer, je ne savais pas qu'il était aussi beau, son corps est svelte et menu, très dessiné, avec de magnifiques lignes de poils très marquées... son zizi n'est pas grand, je le savais, mais à quatre pattes il pendouille joliment... finalement il est proportionné au reste. Il se balance mollement au rythme des coups de boutoirs. Il y a plein de mains qui le touchent partout, qui lui tripotent les couilles et qui lui chopent le zizi... Pendant qu'on lui malaxe le sexe, il me regarde avec colère, il veut me parler mais il a toujours la bouche pleine.
- Gblmmbl...
Il y a des grandes mains fines partout sur lui, très belles, poilues et bronzées, et puis 8 grosses bites circoncises, poilues et veineuses avec 8 gros glands gonflés, qui l'enculent à tour de rôle.
La scène est magnifique. Mais le patron me jette des éclairs... peut-être parce que j'ai laissé la porte ouverte et qu'un attroupement s'est formé derrière moi...
- On doit y aller, patron... Y'a plus que vous... Vous fermerez ?
Il écarquille les yeux, il veut dire quelque chose... son corps tout entier est secoué par les coups de boutoirs dans le cul.
- Mblmmmglbm...
- Vous voulez que je prévienne votre femme que vous rentrerez tard, c'est ça ?
Pas facile de parler avec une énorme bite poilue qui va et vient dans le fond de la gorge :
- Glbm... glbm... glbm... glbm... glbm...
- Ne vous inquiétez pas je ne lui dirai pas que vous êtes en train de... euh... d'avaler des grosses bites, patron... je lui dirai juste que vous aidez des clients à décharger...
- Glbm... glbm... glbm...
Il y en a un qui le tient par les oreilles et qui lui encule tellement la bouche qu'il en a les larmes aux yeux.
- Glbm... glbm...
Et là il reçoit dans le cul un coup tellement fort que sa tête tombe et qu'il se retrouve allongé sur le ventre, cul en l'air sur son bureau. Les 8 hommes le retournent sur le dos comme un dürüm et le pivotent à 180°. Avec les copains, on a alors une vue directe sur son petit cul avec ses jambes en l'air, on voit son petit anus congestionné qui laisse échapper un abondant jus blanc, et puis ses 2 petites couilles poilues... 2 petits pruneaux... trop mignon !
Entre 2 bites, le patron a le temps de relever la tête, j'aperçois alors son visage furieux au dessus de ses petites couilles. Il hurle :
- Mais ferme la porte, bordel !!!
L'attroupement des curieux se disperse immédiatement, mais avant que je ne ferme la porte, le grand chef arabe se tourne vers moi. Il a un zob énorme qui balance. Il me regarde en se tripotant le gland :
- Non, laisse ouvert, mon grand... Tu veux pas venir avec nous ?... Je suis sûr que ton patron serait d'accord... pas vrai, lapin ?
Mais on lui a de nouveau rempli la bouche :
- Mmmblmmmhhhh...
- Tu vois il est d'accord ! Allez viens, mon grand...
Le grand homme est venu vers moi. Il me caresse l'épaule, je sens son haleine chaude et son gros gland qui me touche la cuisse.
J'avoue c'est tentant mais j'hésite...
Discrètement je descends ma main jusqu'à son sexe poilu et j'effleure sa grosse queue toute chaude. Le grand chef se laisse toucher. Il me regarde, il se laisse faire. Son truc est énorme, c'est brûlant, c'est collant, ça sort du cul du lapin, c'est mouillé, c'est chaud, ça coule... Je glisse ma main un peu plus bas. Et l'homme se laisse toucher les couilles. Il écarte même un peu les jambes. Comme un gros chat. C'est plein de poils là-dessous. Ses couilles sont basses et lourdes, sa peau est douce. Il s'approche et plaque son gros sexe contre moi...
Mais là je croise à nouveau le regard de colère de mon patron... Et puis tout ça me fait un peu peur... Je ne voudrais pas me retrouver à sa place... Alors je me retire.
- Merci Monsieur mais... euh... je dois y aller...
Je lis dans le regard de l'homme une légère déception.
- Dommage, mon grand... Tu es sûr ?...
- ...
- Tu veux pas au moins goûter au lapin ?... c'est du bon, je l'ai essayé... pas vrai lapin ?
Mais le patron est encore en train de se faire enculer la bouche...
- Glbm... glbm... glbm...
L'homme voit que j'hésite...
- C'est gentil... Une autre fois... avec plaisir...
- Bon d'accord, mon grand... Mais tu ne vas pas partir comme ça, tu sais ce qu'on va faire ? On va demander au lapin de te prêter son petit cul tous les jours... Pas vrai, lapin ?
- Bbblllgblll...
- Tous les jours pendant... la durée de ton contrat.
- Je suis en CDI.
- Alors c'est parfait. Le rendez-vous est pris. Tu pourras venir enfiler le lapin tous les jours dans son bureau... Tu es content ?
- Oh oui ! Merci Monsieur !...
- T'as besoin de quoi ?... 20 minutes c'est bien, non ?
L'idée de venir enculer mon petit patron tous les jours dans son bureau... putain rien que l'idée ça me réchauffe les couilles !
- Oui... 30 c'est bien aussi...
- Ok 30 mn !... Vous êtes content, lapin ?
- Blhhhhh
- Il est très content ! Dites merci, lapin.
- Bbbbllliishhh
- Merci à vous, patron, j'ai hâte... Bon allez j'y vais... C'est pas que je m'ennuie...
Le grand chef est toujours bite à l'air à côté de moi. Je me dis que je vais en profiter pour tâter une dernière fois ses grosses couilles poilues avant de partir. Je descend ma main. Comme tout à l'heure il se laisse faire, il ouvre légèrement les jambes, en montrant ses dents carnassières.
- File, mon grand... avant que je change d'avis...
- Ah oui, bien sûr... Au revoir Monsieur !
Et je lui lâche les couilles.
- Et laisse la porte ouverte, mon grand.
- D'accord... et euh... au fait, patron, à demain pour... euh...
- Mmgblm...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci ça fait plaise.
Le but c'est de se branler bien sûr mais aussi de s'amuser.
La suite du petit banquier n'est pas écrite... du coup je vais peut-être m'y pencher...
Le but c'est de se branler bien sûr mais aussi de s'amuser.
La suite du petit banquier n'est pas écrite... du coup je vais peut-être m'y pencher...
Ca devait bien sentir la bite d'arabe dans ce bureau
Franchement je trouve ça très drôle . Moi aussi je veux la suite de cette histoire et celle de notre petit banquier .
C'est barré, perché, et désopilant, je souris comme un benêt, j'adore cet humour faussement candide et les situations absurdes :D
Au fait, et la suite de la mission du futur employé du mois de la TEuB ?
Au fait, et la suite de la mission du futur employé du mois de la TEuB ?