exceptionnelle maso 6

- Par l'auteur HDS costec -
Récit érotique écrit par costec [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : exceptionnelle maso 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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exceptionnelle maso 6
Nous étions trois couples pour cette soirée réservée à la connaissance de Béatrice, nos hôtes Liliane et Henri, Liliane étant dominatrice et Henri un peu soumis mais surtout très accro aux enculades sans être PD, Bertrand et Marie son épouse soumise à son mari mais salope dans le groupe. Nous nous connaissions depuis quelques années, nos premières rencontres eurent lieu à la plage du Mourillon de Toulon, lieu à l’époque très fréquenté par les couples exhibitionnistes et surtout dans les clubs échangistes d’Aix en Provence.
La soirée se déroulait toujours de la même façon, un diner autour de la table ronde, tout le monde à poil bien sûr et le sac à foutre à genoux sous la table pour sucer bites culs et chattes. Habituellement le sac à foutre de la soirée c’était Marie, elle rechignait un peu mais y prenait toujours son plaisir, ce soir c’était Béatrice qui allait en « prendre » plein la gueule, je ne doutais pas un instant qu’elle allait beaucoup apprécier.
Marie découvrit Béatrice et ses énormes nibards balafrés par les traitements reçus depuis hier , les tétons surtout attirait son regard, elle palpa les aiguilles qui les meurtrissaient, faisant vicieusement souffrir Béatrice en les remuant, un regard pervers et sadique faisait étinceler ses yeux, un sourire vicieux aux lèvres, une femme sait faire souffrir une autre femme mieux qu’un homme, elle savait la douleur des aiguilles qui transperçaient la base des tétons, souvenir de ses propres tortures.
- Bonjour Béatrice, moi c’est marie, je suis aussi maso et j’aime l’être, tu aimes ce que je te fais aux seins ?
- Oui Marie, beaucoup. Ça t’excite de me triturer les mamelles ?
- Oui j’aime tu as des superbes seins tellement gros et tes tétons sont un appel à la torture, Liliane t’a posé les aiguilles ? elle me les posent souvent, dis donc tu as dégusté à voir les marques sur les seins ?
- Oui depuis hier ils ont bien reçus, Jacques qui me les a bien travaillés.
- Je crois que tu vas encore recevoir dit-elle
J’assistais à cette conversation avec Liliane et Henri, Henri bandait comme un âne et il a une très grosse bite, Liliane proposa que Beatrice se mette en levrette que Henri l’encule en lui tirant les cheveux afin de mettre sa poitrine en avant et de cravacher ces monstrueuses mamelles. Tout le monder fit cercle autour de ma truie. Le regard salace de celle-ci fut éloquent elle pris la pose et souleva ses mamelles avec les deux mains pour bien les exposer à la cravache de Liliane, elle lui enleva les aiguilles afin de pouvoir cravacher à son aise.
Ce fut un concert de cris, de bruit du cuir sur la peau et des insultes d’Henri qui lui défonçait le cul :
- La salope elle prend tout dans le cul jusqu’au fond, quelle enculée de merde cette truie. Ca rentre tout seul, Odesoie qu’elle disait, elle a raison c’est magique.
- Oui Henri défonce moi le cul bordel, profitez de la salope que je suis, tu aimes me cravacher Liliane ça se voit, vas-y encore plus fort.
Je retrouvais la pute que j’avais fait prendre sur le parking, excitée à mort elle en voulait et le disais haut et fort. Tout le monde en profita, son cul en pris toute la soirée, ouvert comme il était nous voulûmes tous y gouter, sa chatte avec ses longues lèvres charnues furent bien travaillées par Bertrand qui appréciait de les martyriser en y posant des pinces avec poids en la faisant jouir en torturant le gros clito de ma pute, le sourire qu’affichait Béatrice et son regard vicieux lui fis comprendre qu’il pouvait aller plus loin, ce qu’il fit, elle jouis en hurlant son plaisir comme une grosse vache.
Elle nettoya la bite merdeuse de Henri se fit pisser dans la bouche par les deux femmes et fouetter le cul par le Bertrand, le mari de Marie en jouissant et gueulant de sa voix rauque que je connaissais bien. Marie ne fut pas délaissée et elle en pris aussi une bonne volée de coups par Liliane.
Les deux femmes avait le cul bien rempli par les jouissances des hommes et elle proposèrent de chier dans gueule de Beatrice le foutre qu’elles avaient dans le cul, Beatrice se coucha sur le sol de suite et nous virent sa bouche grande ouverte recevoir une bonne dose d’un mélange de foutre et de merde.
En se relevant elle nous dis :
- Voilà ce que la pute que je suis et ce que j’aime vivre, merci de m’avoir traitée comme la merde que je mérite d’être. Profitez de moi j’aime ça.
Mes amis furent impressionnés par la personnalité soumise avilie et maso de Béatrice. La soirée se termina par une foule de questions à laquelle Beatrice apporta toutes les réponses que je connaissaient déjà. Mes amis me conseillèrent d’aller plus loin avec elle, de lui poser des anneaux de la faire tatouer de l’exhiber dans des clubs Sado Maso de Paris, Beatrice nous fis comprendre qu’elle acceptait ces propositions qu’elle les recherchait même depuis quelques temps mais voulait d’abord trouver le Maitre en qui elle mettrait toute sa confiance. Ce qui me renvoyais aux précédentes conversations que nous avions échangées sur ce sujet.
Notre relation évolua très vite, elle accepta de s’installer à la maison et nous entamâmes une vie commune très agréable faite de cul et de SM bien sûr mais pas que, je découvris une femme intelligente cultivée appréciant l’art sous toutes ses formes particulièrement la peinture et Dali, nous visitâmes son musée en Espagne à Figueras, son village natal de Cadaques, et prirent du bon temps sur les Ramblas de Barcelone.
Ma vie professionnelle me conduisait toujours sur les routes et chaque semaine une journée à Paris. Nous logions alors à l’hôtel et les cris de jouissance que poussait Beatrice pouvaient s’entendre dans les chambres à coté, ce qui provoqua l’anecdote suivante :
Je quittais l’hôtel assez tôt pour mes activités professionnelles et Beatrice me rejoignait plus tard, cette fois elle fut très en retard, elle arriva au restaurant ou nous avions rendez-vous avec un large sourire, elle s’assis en face de moi et ouvrit son corsage pour me montrer ses seins tout balafrés, je ne les avaient pas travaillés la veille donc quelqu’un d’autre s’en était chargé.
He oui elle m’avoua que le voisin de chambre lui avait téléphoné après mon départ et lui avait dit qu’elle était très démonstrative dans ses ébats sexuels et qu’il souhaitait la connaitre…ce quelle accepta, la salope. Il l’avait baisée enculée et fouettée comme elle aimait l’être.
- Tu aimes la pute que je suis mon Maître ? tu devrais me punir pour cette faute non ?
Elle souriait de toutes ses dents et je lui accordait le pardon mais aussi la promesse d’une punition à la hauteur.
Je profitais d’être à Paris pour visiter le temple du SM de l’époque la boutique domina, Beatrice visita tous les rayons en choisissant quelques accessoires bien utiles, pinces fouet et cravaches mais aussi un aspirateur de chatte pour faire grossir les lèvres, plusieurs BD érotiques principalement Jacobsen et sa fameuse Grenouille. Le patron impressionné par la poitrine de ma compagne nous proposa de faire de la vidéo porno, ce que je refusais mais Beatrice fut toute fière de savoir qu’elle pourrait le faire un jour.
C’est lors d’une visite Parisienne que nous décidâmes de poser les anneaux, nous en avions longuement discutés et elle acceptait que je sois le Maitre qui lui imposerait cette marque de soumission, cette pose s’accompagna de l’offre de la bague de soumission, une grosse bague en argent avec un anneau sur le dessus, ce n’était pas un engagement dans le sens engagement formel mais un signe d’humilité pour elle, elle était fière de l’exhiber sans honte, souhaitant que ceux et celles qui le remarquait comprennent le sens de cette bague et sa soumission extrême pour elle.
Je choisi, pour la pose des anneaux, une amie, Margot, qui exerçait à Pigalle mais qui me donnait toutes les garanties d’hygiène qu’impose le percement de la peau.
Naturellement lorsque Margot découvrit Beatrice et la taille des tétons des seins et des lèvres de la chatte, elle fut émerveillée et ébahie du corps de ma truie. Margot aimait aussi les femmes et elle le fis comprendre, Beatrice lui rendit son sourire et ses lèvres, elle se roulèrent un patin beau à voir.
Beatrice se déshabilla entièrement, la vitrine donnait sur la rue et la table d’opération pouvait être occultée par un rideau, je proposais de le laisser ouvert, Margot demanda l’approbation de Béatrice qui l’accepta en me souriant,
- Tu veux exhiber ta salope mon Maitre ?
- Oui tu vas aimer non ?
- Ok dit Margot mais je ferme la porte à clé sinon il va y avoir du monde pour ton cul Béatrice
- Elle aime être vue, vas-y ferme la porte mais exhibe la bien.
- Bon elle a de très gros tétons et de belles lèvres, des anneaux en argent, en or ou en acier chirurgical ?
- Je préfère l’argent lui répondis-je, mais les plus gros possible.
- Il faudra y aller progressivement, je propose de commencer par 4 mm tu peux ensuite aller jusqu’à 8 à 10 mm lorsque les plaies cicatriseront, elle les porteraient très bien avec les gros tétons qu’elle a, mais si tu veux aller trop vite la cicatrisation se fera mal.
- Qu’en penses-tu Beatrice lui demandais-je ?
- J’accepte les très gros piercing, fais pour le mieux.
- Je vais te faire mal tu sais Beatrice.
- Tu vas aimer me faire souffrir non ? lui répondis Beatrice
- He oui je suis assez dominatrice aussi.
- Alors vas-y, fais souffrir la maso surtout avec le public qui regarde déjà à la fenêtre, lui dis Beatrice.
- On vas leur donner du spectacle alors ma salope, as-tu déjà expérimenté des excitants sur le clito ? genre tabasco ou piment rouge ou gingembre ?
- Non je ne crois pas répondit Beatrice, jacques ajouta moi non plus mais je suis intéressé de voir l’effet que cela aura sur ton clito.
- Alors un peu de gingembre pour débuter ca va te chauffer, tu as un trou du cul très ouvert j’en met aussi un peu sur les bords.
- Oui ca brule mais c’est bon, je ne connais pas mais j’aime beaucoup.
- Margot ajouta que si je voulait l’enculer il faudra bien nettoyer sinon la bite sera très irritée !!!
Margot lui perça les deux tétons et posa 3 anneaux sur chaque lèvres plus un sur le capuchon du clito. Beatrice souffrit beaucoup, plus par le gingembre et le tabasco que par la pose des piercings, le spectacle fut extraordinaire pour les voyeurs qui s’étaient agglutinés à la fenêtre et qui auraient bien voulu entrer mais la porte ne s’ouvrit pas. Beatrice fut néanmoins très exhibée cuisses écartées, con annelé et cul bien visibles, mamelles percées, mais elle souriait heureuse d’être avilie et exhibée.
Nous passâmes la soirée avec Margot qui nous invita chez elle et je fut le spectateur de deux gouines affolées de sexe, une dominatrice et une maso qui en redemandait, ce fut à cette occasion que je découvrit une torture de la chatte avec un balai de chiottes, bien épais avec des fibres dures et piquantes. Lorsque Beatrice compris la façon de s’en servir elle écarta les cuisses et Margot la baisa avec la balayette pour WC, elle hurla sa jouissance et voulu tester dans le cul. La nuit fut un délire complet, je découvrit que les femmes éraient bien plus imaginatives que les hommes en BDSM, mais je devais ensuite m’en inspirer pour satisfaire ma truie bien aimée.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Vivement la suite

Histoire Erotique
Oui, vraiment un récit totalement génial
Merci
Rudy

Histoire Erotique
Magnifique histoire, très excitante.
Vivement la suite

Bonjour et merci de votre commentaire, oui il y a une suite prévue, notre histoire a duré quelques années.
au plaisir de vous relire.
costec.

Bonjour Cher auteur, je viens de prendre connaissance de l'ensemble de votre aventure avec Beatrice, j'ai adoré vous lire. Je ne sais si une suite de vos aventures est prévue, mais si tel est le cas alors je m'en réjouis par avance.



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