une maso exceptionnelle 5

- Par l'auteur HDS costec -
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Récit libertin : une maso exceptionnelle 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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une maso exceptionnelle 5
Et vous n’avez encore pas tout vu mon Maitre…me dit-elle avec ce sourire et ces yeux vicieux.
- Mais je suis prêt à tout entendre Beatrice, lui dis-je.
- Par où commencer, je vous ai déjà parlé de mes grands-parents , mamie a très vite vu que j’avais des gouts maso, comme elle j’aimais jouir dans la douleur alors elle m’a petit à petit fait découvrir toutes les tortures que lui infligeait mon grand-père, sur les seins sur les lèvres du con et toutes les variantes de fouet ou cravache. J’étais une très bonne élève, à la grande joie de grand père qui avait deux salopes maso à sa disposition. Mais aussi un trou du cul plus serré que ceux de ma mère et de Mamie. C’est lui qui m’a enculée dépucelée, il était bien monté et j’ai bien souffert du cul au début, mais très vite le plaisir a pris le dessus.
- Ta mère participait aussi je pense ?
- Oui bien sûr, dans cette famille ou le cul et l’inceste était chose courante mais sans contrainte, maman a quitté la maison pour vivre une vie avec d’autres hommes, elle revenait de temps en temps me voir, cela ne m’a jamais gênée.
- Elle n’était pas maso je crois ta maman ?
- Non mais très hard et crade, elle a connu un homme qui avait les mêmes gouts qu’elle, elle était aux anges bien sur et c’est un peu avec eux que j’ai aimé cette sexualité déviante.
- Je reste très impressionné par tes grosses mamelles, et surtout tes tétons, ils sont naturels ?
- Les seins oui, j’ai la plus grosse poitrine dans la famille mais maman et mamie sont aussi bien pourvues, les tétons ont été longuement travaillés par grand père, ils étaient naturellement gros et long mais pas comme maintenant, il me posait des petites ventouses avec une poire aspirante et quand ils étaient bien gros il accrochait des poids de plus en plus lourds pour les allonger. Bien sûr ça me faisait jouir comme une truie que je suis… et il me les a traités toutes les semaines pendant plusieurs années, et voilà le résultat.
Me dit-elle en me les offrant avec ses deux mains, et en pinçant les tétons
- Tu me fais bander salope…. Comment est ton trou cul ?
- Assez ouvert Mon Maitre, voulez-vous ma chatte de pute ?
- Non c’est ton cul que je veux, ta chatte c’est pour te faire souffrir avec des pinces ou mes doigts pendant que je te défonce ton trou à merde et que tu viendras me nettoyer la bite avec ta langue de truie, tu aimes être humiliée sale merde d’enculée.
- Oh oui, je savais que vous seriez cet homme qui comprendrais le mieux la grosse truie de merde que je suis, prenez mon cul merdeux et barbouliez moi la gueule avec, et si vous avez envie de pisser ma bouche est grande ouverte.
- Si tu savais tout ce que nous allons faire ensemble et ce que tu vas subir, je vais t’emmener dans des endroits où tu pourras t’éclater, pour le moment viens t’empaler sur ma bite et donne-moi tes mamelles à triturer.
Elle vint s’empaler sur ma queue et je saisi ses nichons par les tétons et tirais le plus fort possible, la douleur la fis sourire et ma bite entra comme dans du beurre dans ce trou du cul très dilaté. Le bruit de succion que faisait cette enculade était hautement jouissif pour moi, elle mouillait comme une vache en s’empalant toute seule avec beaucoup d’ardeur. Mes doigts martyrisaient ses gros tétons les ongles enfoncés dans la chair, je les tournais et tirais en même temps avec force. La bite entrait et sortait rapidement du cul, bientôt une odeur de merde se fit sentir, elle décula très vite et aspira ma queue avec voracité à genoux entre mes cuisses. Ses yeux disaient tout le plaisir qu’elle avait à s’humilier de la sorte et à lécher ma bite en avalant toute la merde déposée. J’en ressentait une forme de pouvoir sur cette femme, inconnue pour moi, il y a encore quelques heures, un pouvoir de domination acceptée et recherchée par ma partenaire. J’éclatais dans sa bouche un flot de sperme en jouissant comme rarement j’avais pu jouir, ce n’était pas uniquement physique mais un vécu aussi fort, dans le sexe rarement atteint pour moi.
Nous nous réveillâmes le lendemain matin, son cul emboité dans mes fesses la bite déjà au bord de son trou du cul, une poussée de ses fesses et elle se pénétra toute seule, s’enculant avec un gémissement très révélateur du grand plaisir qu’elle en retirait. Il était très facile d’enculer Beatrice son pseudo Odesoie était très juste et c’est en lui agrippant les deux mamelles que je jouissait dans son cul.
J’avais des réunions et des visites professionnelles qui m’occuperaient toute la journée, je lui proposait de déjeuner dans un petit restaurant dans le quartier du panier, une pizzeria mais qui servait de délicieux supions à l’ail, et avait la particularité d’accueillir quelques personnalités discrètes (les photos au mur en attestaient), ainsi que beaucoup de personnes connues à Marseille, de plus je savais rencontrer là-bas des amis qui apprécieraient Beatrice. Je lui conseillait de ne pas exhiber de suite ses grosses mamelles mais de les garder bien au chaud sous son corsage.
Je la vis gravir les marches qui menaient au quartier du panier, depuis l’avenue de la République, de sa démarche chaloupée et sexy en diable, son cul oscillait au rythme de ses escarpins et ses gros nichons, malgré son manteau fermé, se balançaient outrageusement.
Son entrée au restaurant ne passa pas inaperçue, le patron nous accueillis comme à son habitude avec beaucoup de chaleur, et nous plaça à notre table ou nous attendaient deux amis, rencontrés depuis longtemps dans les clubs échangistes d’Aix en Provence, et que j’avais prévenus de notre visite.
- Chers amis je vous présente Beatrice, une nouvelle amie rencontrée hier mais qui dépasse largement tout ce que vous pouvez connaitre en matière de femme soumise, perverse et salope, depuis hier elle s‘en est pris plus d’une dizaine dans le cul et elle en redemande.
- Est-ce vrai chère Béatrice ? Dit mon ami Bertrand, ami depuis très longtemps et époux d’une délicieuse femme soumise que nous avions souvent partagée.
- Oui Monsieur, Mon maitre dis vrai, je suis une femme maso hard et une grosse salope, hier soir, sur le parking de Salon il m’a livrée aux chauffeurs présents.
- Beatrice je te présente Bertrand époux d’une belle soumise et Henri époux d’une belle femme dominatrice, nous nous rencontrons souvent et je leurs ai promis de délicieux moments avec toi. Tu mouille déjà ? dis-je en lui mettant la main au fesses dénudées par la jupe courte qu’elle portait.
- Quelles seins lui dit Henri, vous allez faire la joie de mon épouse, elle adore travailler de telles mamelles.
- Ce sera avec joie, lui répondit Béatrice, je vais surement passer de délicieux moments, les femmes sont beaucoup plus cruelles que les hommes dans ce domaine.
Le repas se passa délicieusement pervers et pleins de caresses sous entendues, mais en gardant les convenances voulues pour cet endroit. Cependant Henri lui pinça les tétons à de nombreuses reprises sous le regard de nos voisins de table qui, ne pouvaient ignorer nos propos, ils voyaient Béatrice avec des yeux très envieux, je lui suggérait d’aller aux toilettes afin de se faire admirer de tous, elle s’en chargea avec cette perversité que je lui connaissait bien maintenant, tous purent se repaitre de ses grosses mamelles et de son cul de jument.
- Béatrice je dois m’absenter cet après-midi, je serai de retour en fin de journée je te laisse en compagnie de Henri et de son épouse Liliane, je vous rejoindrais vers 19h.
- Bien mon maitre, je vous obéirai avec tout mon dévouement.
- Tu sais ce qui t’attends n’est-ce pas ?
- Oui je m’en doute et vous ferai honneur mon Maitre.
Henri habitait le quartier de l’Estaque et je savais que son épouse y avait aménagé un donjon bien équipé, Beatrice allait apprécier.
Vers 19h je sonnai à la porte de Henri, Liliane vint m’ouvrir vêtue de cuir moulant, belle femme mature un corps parfait que le sport entretenait régulièrement, un sourire radieux au lèvres, elle m’embrassa sur les lèvres comme d’habitude et me mis la main à la braguette en me serrant un peu ma bite au travers du pantalon.
- Quelle recrue tu nous a amenée me dit-elle, j’ai rarement vu une maso aussi convaincue que ta Béatrice. Je lui ai bien travaillé les mamelles et le cul viens voir.
Elle m’entraina dans la pièce aménagée en donjon, Béatrice était à genou en train de faire une pipe à Henri, à poil sans le serre taille ni les bas qu’elle portaient ce matin, le cul bien relevé luisant de foutre et la chatte distendue par des grosses pinces et deux poids assez lourd, vision obscène d’un con largement ouvert et de ses lèvres si charnues donnant envie de les distendre encore plus. Les marques de fouet récentes marbraient ses fesses et le bas de son dos, visiblement Liliane s’en était donné à cœur joie, je connaissais son gout pour le fouet, comme le mien d’ailleurs.
En se relevant je vis les deux mamelles bleuies sous les cordes qui les enserraient, des traces de cravache zébraient la partie laissée libre par les cordes qui occupaient les deux tiers des nichons de ma pute. Les tétons étaient transpercés de fines aiguilles en formant une croix trois aiguilles par téton, Béatrice se redressa fièrement en m’exhibant ses mamelles martyrisées.
- Votre pute maso est ravie de vous revoir mon Maître, me dit-elle.
- Quel agréable spectacle tu me donnes là Beatrice, as-tu joui ?
- Non Monsieur, La Maitresse me l’a interdit.
- En as-tu envie ? lui répondis je
- Ho que oui mon Maitre.
Je lui attrapait les lèvres du con et tirait violement dessus m’agrippant aux poids qui y étaient suspendus la fixant dans les yeux, j’y lu une joie immense, de suite elle frissonna comme une bête, je triturais le clitoris avec deux doigts la branlant avec force, elle avança le bassin pour mieux sentir mes doigts et elle jouit en une explosion de cris rauque comme à son habitude, un mélange de feulement bestial et de soupirs rauques et bruyants. Henri en fut ébahi, son épouse moins elle souriait vicieusement de voir ce que les traitements avaient provoqués chez Béatrice.
Elle se refugiât sur mon épaule la tête lovée dans le creux de mon cou, elle m’embrassait avec ferveur, son regard disait toute la joie qu’elle avait à vivre ces moments forts avec des inconnus pour elle.
- Beatrice ce soir tu vas être le sac à foutre de la soirée, tu vas rester nue et durant le repas, nous serons cinq à table, tu seras sous la table avec obligation de sucer toutes les chattes et les bites que tu verras, tu seras notre chienne à tous, chacun est libre de te faire subir ce qu’il veut, tu devras exprimer ton grand plaisir à être humiliée et traitée comme la grosse truie dégelasse que tu es, je précise que tu es aussi un chiotte à disposition de tous.
La soirée promettait d’être exceptionnellement dépravée et humiliante pour Béatrice.

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