Une maso exceptionnelle 4

- Par l'auteur HDS costec -
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Récit libertin : Une maso exceptionnelle 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une maso exceptionnelle 4
L’après-midi était bien entamée et nous étions allongés, nus sur le lit, sa tête sur mes genoux et mes mains enserrant ses grosses mamelles, j’avais enlevé les pinces et les colliers de serrage laissant des traces rougies parallèles sur ces deux gros obus, et des petites gouttes de sang perlaient sur les tétons, vestige des pinces qui les avaient méchamment mordues. Elle soupirait d’aise sous mes caresses.
- Béatrice je ne sais rien de toi mais tu veux savoir ce que je veux faire de toi, l’esclave soumise que tu es me plait et me tente pour une aventure plus sérieuse que celles que je connais en ce moment, mais dis-moi désire-tu une relation suivie ? une vie commune ? ou juste une fidélité sexuelle ? explique-moi les raisons qui te motivent à mon égard.
-Avec vous je jouis plus fort et plus profondément, je suis très habituée à une sexualité hard et les partenaires que je connais et qui me pratiquent me font jouir mais vous êtes supérieur dans ce domaine, de plus je connais vos gouts pour une sexualité très hard et c’est ce que je recherche chez un seul et même partenaire, vous saurez m’humilier, m’insulter m’exhiber et me torturer en même temps, me livrer aux chenils pour salopes et pratiquer le sexe crade, j’aime tout cela et je ne veux pas avoir plusieurs Maitres pour le vivre, mais appartenir à un seul. Donc oui c’est une relation suivie que je veux, la fidélité sexuelle non, vous pourrez enculer et baiser qui vous voudrez, avec ou sans moi, mais avec le test HIV à jour, le mien est bon j’espère que le vôtre aussi.
- Oui mon test est à jour et je suis safe, merci de me confirmer que tu es aussi clean, bien écoutes, tu me tentes beaucoup la femme que tu es représente ce que je recherche depuis longtemps, cependant si le sexe sera à la hauteur je ne sais pas celle que tu es dans le privé, faisons un essai ? quelques jours ensembles, es-tu libre en ce moment ?
- Oui je suis disponible, juste une valise à faire et je suis à vous Mon Maitre, je pense que je ne vous décevrais pas dans le privé.
C’est ainsi que Béatrice et moi débutâmes une vie plus ou moins commune. Je voyageais beaucoup dans tout le sud de la France et une journée par semaine à Paris. Le soir même nous primes la route pour Marseille et nous pûmes échanger et se connaitre davantage dans la voiture. Sa tenue toujours autant débridée laissait ses belles mamelles bien soutenues sous un chemisier ouvert sur sa poitrine et sa courte jupe exhibait de belles cuisses, le porte jarretelle bien visible à la lisière des bas fumés qu’elle portait au restaurant, je savais qu’elle ne portait pas de culotte et sa chatte serai accessible facilement.
-Tu as toujours été aussi salope comme maintenant ?
-Vous connaissez Obélix qui est tombé dans la potion magique ? dit-elle en riant, et bien moi aussi je suis tombé dans une famille ou le sexe était à tous les étages, j’ai été élevée par mes grands-parents maternels, Maman est tombée enceinte à seize ans et ma grand-mère a accepté de prendre en charge cette naissance avec sa fille. La famille dans laquelle je suis née était et est toujours un peu spéciale, grand père était très autoritaire et grand-mère aussi maso que moi, nous les avons perdus il y a quelques années, mais c’est avec eux que j’ai grandi et comme il n’y avait aucuns tabous sexuels à la maison j’ai été à bonne école pour connaitre et vivre cette ambiance sexuelle hors normes. Je constate aujourd’hui que c’était hors normes mais à cette époque je trouvais normal de sucer mon grand père et ma grand-mère, de voir ma mère se faire défoncer par beaucoup d’hommes et de femmes, et mon grand-père fouetter grand-mère. Maman est très sac à foutre comme elle dit, c’est pourquoi elle ne sait pas qui est mon père, mais je crois qu’il est du sud comme vous pouvez le voir sur ma peau.
- Eh bien je comprends un peu mieux d’où pourquoi tu es si facile coté cul ... Lui dis-je
- Etes-vous choqué Monsieur ?
- Au contraire Béatrice, ravi de te savoir salope de naissance, mais lorsque nous sommes au repos, si je puis dire, appelle moi Jacques et tu peux me dire tu, je suis ton Maitre mais dans la vie courante nous pouvons être un couple comme les autres.
- Merci Jacques, j’apprécie cette marque de rapprochement entre nous, mais vous êtes mon Maitre et je vous serai soumise en toutes circonstances.
Nous roulions sur l’autoroute A7 depuis quelques heures et approchions de Salon de Provence, plusieurs poids lourds nous avaient déjà fait des appels de phares explicite, les grosses mamelles de Béatrice bien visibles sous le corsage et la jupe relevée sur ses cuisses attirait les regards des routiers qui avaient une vision plongeante sur cette belle chienne, d’autant qu’elle exhibait franchement ses deux gros seins qu’elle avait sortis du corsage en se triturant les tétons.
- J’en connais une qui a envie de faire la truie sur le parking poids lourds, lui dis-je
- Oui une belle truie d’enculée mon Maitre, ça vous plairait de voir ça ? acceptez-vous de me diriger et de me proposer aux males ?
- Avec plaisir belle chienne, à poil de suite et on s’arrête au parking poids lourds de Salon.
Elle se dévêtit rapidement et là ce fut la ruée des appels de phares, j’avais ralenti afin de bien indiquer qu’il y avait une pute en chaleur à bord, le parking était tout près et je me dirigeais vers le fond là ou déjà plusieurs camions étaient garés, le soir était tombé et l’ombre serait propice aux débordements sexuels en tout genre.
Je me garais entre deux semi-remorques éteignis les phares mais allumai le plafonnier et descendis de la voiture, j’avisais deux chauffeurs qui regardaient dans notre direction et leur dis :
-Une belle truie en chaleur avec des gros nichons ça vous tente les gars ?
Ils n’étaient pas français mais ils comprirent rapidement ce dont il s’agissait et s’approchèrent pour voir la belle salope à poil qui se triturait les gros nichons, elle ouvrit la portière et sorti de la voiture, superbe vision d’une belle femme plantureuse, nue avec un serre taille en cuir, deux bas fumés et perchée sur des escarpins qui lui bombait une croupe déjà bien rebondie.
Cependant j’intervenais pour m’assurer des préservatifs nécessaires pour une baise en toute sécurité.
Avec le sourire Béatrice leur sorti la bite du pantalon et se mit à genoux pour les sucer, ils étaient bien montés les salauds et en espagnol commencèrent à la traiter de « puta » et bella culo etc…
Je me régalais du spectacle de cette superbe chienne qui, à poil sur un parking poids lourds, s’exhibait en suçant deux belles bites, très vite une petite foule s’était formée autour de nous, quelques français cette fois qui n’en croyait pas leurs yeux, je leur dis :
-tout le monde peut la baiser ou l’enculer les gars à deux ou trois si vous voulez mais avec capote obligatoire, n’hésitez pas elle adore le cul et aime être insultée, triturez-lui ses grosses mamelles et tirez sur les tétons vous allez la faire gueuler comme une salope.
Et ce fut la ruée durant une bonne heure, elle fut enculée et baisée par plus de quinze hommes, certains y revenait deux ou trois fois, ses gros nichons reçurent le traitement qu’elle aimait et son gros cul fut copieusement fessé, elle reçut plusieurs doses de foutre sur le visage et les seins, je me permis quelques baffes sur sa gueule qu’elle reçut en jouissant avec une voix rauque et sourde, mais toujours en demandant plus
- Ne faites pas semblant les gars allez y franchement disait-elle.
Elle était allongée sur le capot les cuisses largement écartées la chatte et le trou cul béants, plusieurs avaient jouit sur ses seins et sur son visage, les autres avaient déversés le contenu des capotes sur son ventre.
Avec un grand sourire elle jouit en se branlant violement le clito en poussant des cris de gorge rauque Puis elle se releva du capot de la voiture et nous nous éloignâmes du parking poids lourds.
Je la rhabillais avec son corsage et sa jupe et lui remis son manteau de cuir et nous nous dirigeâmes vers la station-service pour qu’elle se nettoie aux toilettes, sa chatte et son cul bavaient son foutre et son visage avait besoin d’une pointe de maquillage. Puis nous reprîmes la route et arrivèrent vers vingt heures à ce très bel hôtel sur la corniche.
Le concierge jeta un regard un peu étonné sur Béatrice, elle avait encore quelques traces de sperme un peu partout, mais elle sourit gentiment en attendant la remise des clés.
Je commandais un repas léger à prendre dans la chambre et nous nous restaurâmes d’un saumon fumé avec toasts et d’une bonne bouteille de vin blanc. Elle était nue, après la douche, les yeux pleins de lumière, ses grosses mamelles bien marquées par les sévices de la journée et son corps plantureux, sa croupe surtout, marqués de traces de coups.
- Comment te sens tu Béatrice lui dis-je ?
- Un peu défoncée et bien baisée, merci pour ce bon moment, tu m’as très bien comprise lorsque je te dis que j’aime l’humiliation, et tu m’as traitée comme j’aime l’être. Mais vous mon Maitre vous n’avez pas profité de la grosse salope que je suis, voulez-vous vous amuser un peu avec mon corps ? je ne vous ai pas encore léché le cul ni sucé comme je sais bien le faire…
- C’est vrai tu m’as fait bander mais je n’ai pas joui ce soir, je me dénudai et m’allongeais sur le lit, vient lui dis-je bouffe moi le cul et suce-moi.
Elle le fit avec tant de plaisir et de « métier » que la jouissance monta rapidement, elle s’attarda sur mon tour du cul elle enfonça sa langue le plus loin possible. Elle se régalait de cette succion le gout et l’odeur qui s’en dégageait la faisait trembler.
Je jouis en peu de temps elle lécha et se délecta du foutre répandu.
-Tu sais que tu es une grosse pute lui dis-je, la plus salope que je connaisse…
-oh oui, répondit-elle, je le sais et vous n’avez encore pas tout vu Mon Maitre.

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