Exhibition forcée
Récit érotique écrit par Jebb [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Exhibition forcée
Exhibition forcée
C’était en 1976/77, nous habitions Toulon.
Par une belle journée d’été, nous avons décidé d’aller à Porquerolles. Il fallait prendre le bateau à Toulon et la traversée durée 1h30.
Moi j’étais vêtu de mon short de bain avec un Tee-shirt.
Sylvie était très jolie, 1m73, 50 kg, de longues jambes et une petite poitrine 85b.
Sylvie avait passé sur le bas de son maillot une robe légère en coton blanc à fines bretelles laissant les épaules et le haut du buste dégagé. Elle lui arrivait à mi-cuisse. A l’époque le no-bras était de rigueur.
La mer était calme à l’aller, Sylvie craint beaucoup le mal de mer. Nous avons doublé le cap Bariou des campos (Secoue barriques en provençal) sans trop de difficultés. C’est vrai c’est un endroit où l’on est remué malgré la mer plate.
Nous nous sommes baignés dans des eaux limpides une bonne partie de la journée et pique-niqués sur la plage. Avec son physique et ses seins nus, elle ne laissait pas les hommes indifférents.
Le mistral s’était levé dans la journée et la mer a grossi, mais il fallait rentrer.
Avant de partir le maillot de Sylvie n’était pas sec et il allait bien marquer sa robe légère. Je lui ai proposé de l’enlever, ce qu’elle fit. La voilà nue sous sa robe légère.
Nous avons pris le bateau, je lui ai proposé de nous mettre à l’arrière où en principe cela bouge moins et surtout pas dans la cabine ou le manque d’air risque de la rendre malade.
Dès que nous sommes sortis du port le bateau est devenu une coquille de noix ballotée par les vagues. Il bougeait tellement que nous n’avions pas le temps d’être malade, l’esprit occupait à nous tenir. Des gens se sont retrouvés assis dans l’allée, éjectés des banquettes. Le bateau plongeait le nez dans la plume et les embruns passaient au-dessus de la cabine et nous trempaient jusqu’aux os.
La robe blanche de Sylvie était devenue transparente et lui a collé à la peau. Bref, elle était nue ou presque. Ses magnifiques seins pointés le tissu mouillé, le triangle de sa toison marquait son entre jambe.
Arrivée à Toulon, il fallait descendre et rentrer chez nous à pied, 2 kms à traverser la ville. Sylvie avait sa robe trempée qui lui collait à la peau. Le haut de sa robe collait à ses seins et on pouvait les voir par transparence, bien ronds, avec ses mamelons qui pointaient excitaient par le tissu mouillé et le vent qui les rafraîchissait. Le tissu marquait ses cuisses et collait entre ses fesses. Son petit triangle marquait bien son entre jambe. C’est comme si elle était nue. Beaucoup de gens la reluquée, c’est vrai qu’elle était jolie. Elle a dû s’exhiber par obligation. Après une demi-heure de marche, nous sommes arrivés à la maison.
Ce fut une soirée mémorable.
C’était en 1976/77, nous habitions Toulon.
Par une belle journée d’été, nous avons décidé d’aller à Porquerolles. Il fallait prendre le bateau à Toulon et la traversée durée 1h30.
Moi j’étais vêtu de mon short de bain avec un Tee-shirt.
Sylvie était très jolie, 1m73, 50 kg, de longues jambes et une petite poitrine 85b.
Sylvie avait passé sur le bas de son maillot une robe légère en coton blanc à fines bretelles laissant les épaules et le haut du buste dégagé. Elle lui arrivait à mi-cuisse. A l’époque le no-bras était de rigueur.
La mer était calme à l’aller, Sylvie craint beaucoup le mal de mer. Nous avons doublé le cap Bariou des campos (Secoue barriques en provençal) sans trop de difficultés. C’est vrai c’est un endroit où l’on est remué malgré la mer plate.
Nous nous sommes baignés dans des eaux limpides une bonne partie de la journée et pique-niqués sur la plage. Avec son physique et ses seins nus, elle ne laissait pas les hommes indifférents.
Le mistral s’était levé dans la journée et la mer a grossi, mais il fallait rentrer.
Avant de partir le maillot de Sylvie n’était pas sec et il allait bien marquer sa robe légère. Je lui ai proposé de l’enlever, ce qu’elle fit. La voilà nue sous sa robe légère.
Nous avons pris le bateau, je lui ai proposé de nous mettre à l’arrière où en principe cela bouge moins et surtout pas dans la cabine ou le manque d’air risque de la rendre malade.
Dès que nous sommes sortis du port le bateau est devenu une coquille de noix ballotée par les vagues. Il bougeait tellement que nous n’avions pas le temps d’être malade, l’esprit occupait à nous tenir. Des gens se sont retrouvés assis dans l’allée, éjectés des banquettes. Le bateau plongeait le nez dans la plume et les embruns passaient au-dessus de la cabine et nous trempaient jusqu’aux os.
La robe blanche de Sylvie était devenue transparente et lui a collé à la peau. Bref, elle était nue ou presque. Ses magnifiques seins pointés le tissu mouillé, le triangle de sa toison marquait son entre jambe.
Arrivée à Toulon, il fallait descendre et rentrer chez nous à pied, 2 kms à traverser la ville. Sylvie avait sa robe trempée qui lui collait à la peau. Le haut de sa robe collait à ses seins et on pouvait les voir par transparence, bien ronds, avec ses mamelons qui pointaient excitaient par le tissu mouillé et le vent qui les rafraîchissait. Le tissu marquait ses cuisses et collait entre ses fesses. Son petit triangle marquait bien son entre jambe. C’est comme si elle était nue. Beaucoup de gens la reluquée, c’est vrai qu’elle était jolie. Elle a dû s’exhiber par obligation. Après une demi-heure de marche, nous sommes arrivés à la maison.
Ce fut une soirée mémorable.
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