Nuit de folie après l'exhibe involontaire

- Par l'auteur HDS Jebb -
Récit érotique écrit par Jebb [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Nuit de folie après l'exhibe involontaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nuit de folie après l'exhibe involontaire
Suite de Exhibe forcée
Après la journée forte en émotion, la soirée s’annonçait torride. Elle m’attendait dans le salon dans une tenue plus qu'excitante. Ses petits seins mis en valeur par son corset noir et ses longues jambes gainées de nylon noir. Son petit triangle soyeux remplacé avantageusement un string absent.
- Je te plais !!!
- Oh oui mon amour, je ne peux le cacher.
- Tu dois avoir envie de libérer toute cette tension érotique.
Elle s’avança vers moi et me donna un baiser et nos langues se sont enroulées dans nos bouches. Le baiser a duré quelques minutes, elle m’a même sucé le bout de la langue comme une préliminaire de ce qu’elle avait prévu pour la suite. Mes mains ont emprisonné ses adorables petites fesses et j’ai plaqué sa toison contre mon envie.
- Oh tu es brûlant, attends un peu que je la rafraîchisse.
Elle se colla un peu plus contre moi pour me donner des petits baisers dans le cou et en me susurrant à l’oreille des mots doux et coquins sur l’érection de mon sexe gonflée comme jamais. Elle s’écarta pour venir exciter mes mamelons avec sa langue. Elle se retrouva à genoux, suivit son parcours, la pointe de sa langue titilla mon nombril. Ces petits bisous descendaient le long de mon ventre avant de prendre la direction de l’aine et prenant bien soin de ne pas effleurer mon bâton. Elle me lécha l’intérieur de mes cuisses pour finir sur mes bourses pleines. Elle goba mes grosses prunes comme de fruits mûrs. Pour me punir de l’avoir reluquée l’après-midi, elle les mordit légèrement. Enfin, elle remonta sur ma tige gonflée. Arriver au niveau de mon gland, elle y déposa des petits baisers sur le méat. Elle prit mon prépuce entre les doigts pour l’écarter de mon gland pour y glisser la pointe de sa langue, elle prit soin de bien nettoyer mon gland du liquide d’excitation qui l’avait humidifié. Enfin, elle décalotta ma verge au maximum qu’elle remplaça par ses douces lèvres. Ma queue disparut dans sa bouche et elle commença sa succion en faisant glisser ses lèvres le long de ma tige. Me pouvant plus retenir ce supplice, je lui ai déchargé toute ma semence au fond de sa gorge. Mon liquide lui coulait de la bouche par la commissure de ses lèvres. Elle avala en se délectant de ce nectar. Après avoir pris son souffle, elle se redressa. Nous avons joint nos lèvres pour un baiser, elle en profita pour me donner un peu de ma semence à goûter. Je lui ai nettoyé aussi son visage des traces de spermes autour de sa bouche.
- Merci mon amour, je n’en pouvais vraiment plus, tu es tellement bandante que ce fut un supplice délicieux avant de libérer ma semence.
- Maintenant, nous pouvons prendre notre temps, j’ai d’autres petites idées pour la suite. Je vais nous préparer un petit apéro dînatoire. Mais avant je voudrais te demander une petite chose.
- Ah, dis toujours.
- Tu aimes que je sois entièrement nue, tu ne trouves pas que mon minou a été un peu trop mis en avant cette après-midi.
- Oui, bien sûr, mais j’adorai quand les hommes avaient leurs regards fixés sur ce petit triangle noir.
- Oui, mais j’aimerais pour le punir de le mettre aussi tout nu. Qu’en penses-tu ?
- Tu sais que j’en ai toujours rêvé.
- Va préparer le matériel nécessaire pour le dénuder, moi je vais préparer l’apéro.
Je suis allé à la salle de bains prendre une grande serviette de bain, ma mousse à raser, la tondeuse et mon rasoir et gant de toilette. Dans le salon, j’ai déposé mon équipement à côté d’un profond fauteuil que j’ai recouvert de la serviette. Il me manquait un peu d’eau, je suis allé dans la cuisine pour en chercher. Sylvie était affairée a la préparation de l’apéro, je suis venu derrière elle pour lui caresser les fesses et leurs donne quelques petites tapes appuyées.
- Oh, pourquoi !!!
- Tu es ma petite garce que j’adore.
- Pourquoi tu me fesses !!!
- Tu le mérites petite salope d’amour, tu as pris ton pied aujourd’hui sans le désirer.
- Oui je l’avoue.
- Dépêche-toi, tout est prêt
Je suis retourné au salon avec une petite cuvette d’eau tiède. Quelques instants après, Sylvie est arrivée avec ses préparations. Je l’ai installée dans le fauteuil en lui déposant un baiser sur ses lèvres et en me penchant sur sa vulve pour faire de même.
- Alors petite chatte, ta maîtresse veut te raser pour te punir de ton exhibition.
Je me suis relevé, avant de commencer, nous avions besoin d’un petit remontant. J’ai préparé deux Daïquiri bien tassé en rhum blanc. En voyant Sylvie, les cuisses ouvertes sur le bord du fauteuil, mon dard a pris immédiatement de la vigueur. Je lui ai servi son verre.
- Merci, j’en ai besoin !!!
Je me suis assis en tailleur à ses pieds, ma queue pointant au milieu de mes cuisses. Nous avons dégusté tranquillement notre breuvage, ce qui montait un peu de chaleur sur les joues de Sylvie.
- Tu es prête !!! - Oui, je veux voir mon abricot lisse.
Je me suis agenouillé entre ses jambes. J’ai pris la tondeuse, et par petites touffes de poils que je tenais entre deux doigts, je les coupais à la base le court possible. J’ai commencé mon ouvrage par son bas-ventre. Petit à petit, je me suis rapproché de son mont de Vénus. Elle regardait son buisson disparaître. Quand j’ai effleuré le capuchon de son clitoris, elle s’est raidie et s’est pincée les lèvres, elle prenait du plaisir à mes attouchements. Il a fallu que je passe au déboisement de ses grandes lèvres et des aines, j’ai confectionné deux petits boudins avec des mouchoirs en papier pour les insérer entre ses grandes lèvres et petites lèvres. Elle s’est cambrée pour m’offrir son sexe. J’ai fini la première phase de mon travail. Pour vérifier que cela était correct, j’ai passé ma main sur son sexe, je me suis un peu attardé pour inspecter ses petites lèvres en les écartant. Son minou était luisant de désir. Je me suis permis pour la récompenser de remonter le capuchon de son clitoris pour lui donner des petits baisers. Je lui ai demandé de prendre ses cuisses dans ses mains pour les lever contre sa poitrine. Il fallait vérifier son petit trou et la raie de ses fesses.
Un petit doigt sur l’anus, la fit rougir :
- Tu aimes ?
- Oh oui, je me le caresse souvent, quand je me masturbe lorsque tu es absent.
- Tu ne me l’avais jamais dit.
Je me suis penché, et je lui ai léché sa feuille de rose, ma langue à forcer légèrement l’entrée.
- Hum !!! C'est bon.
- Nous devons finir le travail, repose tes jambes.
Son sexe humidifié avec le gant humide était prêt à être enduit de crème à raser. Une bonne dose sur son sexe le faisait ressembler à un abricot au sirop avec de la chantilly. Mes doigts ont massé son sexe longtemps, elle était proche d’un orgasme. Le rasoir a commencé à ôter le gazon fraîchement tondu de son sexe. Je suis arrivé à la partie le plus délicat, ses grandes lèvres. Pour que ce soit plus pratique, deux de mes doigts se sont intercalés entre ses petites et grandes lèvres. Par ce fait son clitoris était pincé. En passant le rasoir sur ses lèvres, mes doigts bougeaient et branlaient son bouton. Je l’ai laissé sur sa fin à deux doigts, si l’on peut le dire, de la jouissance.
- Relève tes cuisses comme tout à l’heure, il faut aussi que soit lisse.
Elle a relevé les cuisses, j’ai enduit aussi son petit postérieur de mousse à raser. Mes doigts ont étalé la crème et un doigt à forcer son petit trou.
- Oh, petite crapule !!!
- Tu aimes, tu aimerais plus.
- J’en ai envie, mais je crains d’avoir mal.
Le rasage s’est terminé, avec le gant, je l’ai bien rincé en vérifiant qu’il soit bien net.
- Lève-toi.
Elle s’est levée, avec la serviette, je l'ai bien séchée.
- Tu as une crème adoucissante.
- Oui, elle est dans la chambre.
- Va la chercher et regarde-toi dans la glace.
Elle est partie dans la chambre en passant une main sur sa vulve lisse. Je l’ai attendu plusieurs minutes en me caressant ma queue bien raide. Elle est revenue, elle avait changé de tenue, elle ne portait plus que des bas noirs auto fixant.
- Que penses-tu du résultat ?
- Je me trouve indécente, nue comme une petite fille effrontée.
- Viens, nous devons prendre soin de petit coquillage, ma petite fille. Elle reprit sa place dans le fauteuil, elle a reçu une bonne dose de crème apaisante sur sa chatte. Mes caresses pour faire pénétrer cette onction sur sa peau fraîchement rasée, l’ont amenée au bord du plaisir. Mon visage était à quelques centimètres ne permettait de voir ses petites lèvres s'inondaient de cyprine secrétait par son vagin, son clitoris pointait comme une petite bite prête à éjaculer. Attirée par ce parfum enivrant qui se dégageait, ma bouche s’est posée sur cette bouche verticale qui me demandait de lui donner un baiser. Ma langue a parcouru les replis de ses lèvres et pénétré cette grotte humide. Son petit bourgeon ne demandait qu’à être tété. Un orgasme fulgurant l’a traversée, la laissant dans un mini coma. Après avoir repris ses esprits, elle s’inquiéta de moi.
- Et toi.
- Retourne-toi, mes toi à genoux sur le fauteuil et laisse ton buste se reposer sur le dossier.
Elle prit la position indiquée, devant mes yeux, de jolies petites fesses qui encadraient un minou baveux de jouissance et un petit orifice plus foncé. Je me suis penché, ma tête entre ses fesses, je lui ai mangé sa petite moule en buvant sa cyprine qui l’avait trempée. Je suis remonté vers son œillet pour y mettre ma langue.
- Salaud, tu me rends folle.
Mes doigts ont trempé dans le pot de crème pour caresser son cul. Un doigt l’a pénétré facilement. Après plusieurs va et vient, elle a projeté son postérieur vers moi. Je me suis permis d'en ajouter un deuxième.
Son œillet se dilaté doucement.
- Tu veux m’enculer, alors vas-y, je te veux.
Je me suis relevé, mon pénis s’est positionné devant son vagin que j’ai investi d’un coup jusqu’aux testicules.
- Non pas ce chemin l’autre.
Je suis ressorti du fourreau chaud, pour poser mon gland sur la rosette encore dilatée, c’est elle-même qui est venue s’empaler.
- Vas-y, défonce-moi le cul.
Je me suis enfoncé jusqu’à la garde dans ses fesses et je les pilonnais plusieurs fois avant de lâcher mon jus dans ses intestins.
- Salaud, c’était bon.
Il était temps de retourner à la salle de bains pour prendre une petite douche ensemble en nous caressant tendrement. Nous avons passé le reste de la soirée nu à nous taquiner.
- Chéri, tu aimes voir mon chat lisse.
- Oh que oui petite fille.
- Alors je le garderai lisse pour toi.
- Mais la toison va repousser très vite, la prochaine fois, je t’épilerai à la cire.
- Je revêtirai aussi des tenues légères quand nous sortirons ensemble, tu aimes m’exhiber je crois.
- Merci ma chérie, j’ai hâte de te voir.

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