Souvenir de jeunesse

- Par l'auteur HDS Jebb -
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Récit libertin : Souvenir de jeunesse Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Souvenir de jeunesse
Préambule
Aussi loin que je m’en souvienne. Ce souvenir d’enfance est gravé dans ma mémoire.
J’avais 5 ans en 1955. Je faisais partie d’une fratrie de 5 enfants dont 3 sœurs
Nous habitions une grande maison entre deux villages.
Le centre du village était à plus de 2 km.
L’été comme je faisais partie d’une famille nombreuse, ma sœur de 9 ans me trimballait avec elle chez ses amies au village.

Une de ses amies, habitait une maison en bout de village avec une grande prairie autour.

Elles avaient construit une cabane avec de vieilles toiles et quelques bouts de bois. A l’intérieur elles avaient installé une confortable couchette avec du foin et de vieilles couvertures. La cabane se trouvait au bout du jardin de ses parents.

Les filles jouaient à la dinette, moi je participais à leurs jeux. Il y avait Hélène (H dans le texte), Simone (S) et ma sœur Andrée (A). Elles avaient entre 9 ans et 10 ans et Moi (JM).

Tous les jours ou presque nous étions chez Hélène la plus délurée.

Les premiers attouchements

Un jour, Hélène proposa aux filles de jouer au « Papa et La Maman ».
Bien sûr, il fallait un papa et j’étais le seul garçon. Le début du jeu était très sage.
C’est vrai que ses parents travaillaient au jardin, il fallait être sage.

Après quelques jours :
H : - « On va faire comme les parents dans leur chambre. »
Elles m’installèrent sur la couchette.
H : - « Qui a déjà vu un kiki de garçon ? »
Ma sœur en avait vu, puisqu’elle s’occupait aussi de mon frère de 3 ans, mais Simone, non.
H : - « Je vais vous monter sur Jean-Marie, comme ils sont différents de nous. »
Elle enleva mon short et slip et s’amusa à me caresser ma petite verge.
Bien sûr celle-ci est devenue raide après quelques caresses. Les filles ne quittaient pas des yeux ma quéquette toute raide.
H : - « Vous voyez, ils ont un tuyau et deux boules qui dépassent. »

Chacune à leur tour, elles sont venues toucher mon petit bâton et mes petites boules, même ma sœur. Cela a duré quelques minutes le premier jour. Il fallait faire attention aux parents d’Hélène.
Nous avons joué quelques temps dans la prairie avant de rentrer à la maison.
Sur le chemin du retour, ma sœur m’a demandé de garder le secret si je voulais revenir avec elle. J’étais trop content d’être au centre de leur jeu.


Découverte du plaisir

Le lendemain, après-midi, nous sommes retournés chez Hélène. Nous avons recommencé à jouer dehors. Pour donner le change aux parents.
Quelques minutes après, nous sommes entrés dans la cabane. Hélène m’a mis tout nu et m’a allongé sur la paillasse. Et commença à me caresser.
H : - « Vous avez aimé ce que l’on a fait d’hier. »
Avec un peu de rouge sur leurs joues, elles avouèrent qu’elles avaient beaucoup aimé.
H : - « Vous avez touché votre petit minou, hier soir sous les couvertures ? Moi, je me suis touchée pour m’endormir. »
Elles répondirent que parfois elles mettaient leurs mains dans leurs culottes.
H : - « Vous avez envie de vous toucher maintenant en voyant la petite quéquette de Jean-Marie. »
Elle releva sa robe et mis sa main dans sa culotte, et continua à me caresser avec son autre main.
Les filles l’imitèrent, sans quitter des yeux mon bas ventre.

Hélène est venue frotter son minou au travers de sa culotte sur ma petite queue.
H : - « Les papas et mamans font ça dans leur chambre. »
Les filles regardaient avec intérêt.
Après quelques minutes :
H : - « Ça vous dit de prendre ma place ? »
A : - « J’aimerais bien. »
Simone un peu plus timide hésite :
S : - « Peut-être »

Ma sœur a pris la place d’Hélène et s’est frottée sur moi longuement.
Simone pour ne pas être mis au ban, remplaça ma sœur ensuite.

Le temps que l’une se caressait sur moi, les deux autres jouaient à la dinette dehors pour ne pas éveiller les soupçons. Toutes l’après-midi, elles sont venues plusieurs fois se caresser le minou sur mon petit vermicelle, à tour de rôle.

Nous nous sommes quittés en fin d’après-midi en nous donnant rendez-vous pour le lendemain.
Le retour à la maison a été long, avec la promesse de me rien dire.

Touche pipi contre petit minou

Le lendemain, nous avons repris nos habitudes.
H : - « Les filles pour être plus à l’aise, je vous propose de retirer votre petite culotte. »
A : - « D’accord mais on le fait toutes. »
Simone devint toute rouge, puis :
S : - « Si vous le faites, je le ferais. »

Hélène a commencé à descendre sa culotte, un petit duvet commençait à pousser. Elle était blonde comme les blés. Sa robe a recouvert sa nudité.
Avec hésitation ma sœur a ôté la sienne son abricot était tout lisse. Aussitôt caché par sa robe.
Simone était un peu plus âgée, elle a mis du temps pour descendre sa culotte en la faisant glisser sans relever sa robe.
H : - « Vous voyez, c’est troublant d’être nue sous sa robe. »
A : - « C’est vrai, et j’aime. »
S : - « Je me sens toute nue. »
H : - « C’est aussi plus pratique pour se caresser le minou. »
A : - « Tu le fais souvent ? »
H : - « Des fois, je vais dans les blés et je me caresse. Vous voulez voir ? »
Sans attendre de réponses, elle remonta sa robe et sa caressa la vulve.
H : - « Vous l’avez déjà fait. »
A : - « Oui quelques fois quand je suis seule. »
S : - « Je n’ose pas le dire, c’est très intime. »
H : - « Si vous êtes d’accord, on pourrait se caresser ensemble. Autour de Jean-Marie, nous montrant son zizi raide. »
Les filles n’ont pas osé protester.
Hélène me déshabilla, et m’installa sur une couverture au milieu de la cabane.
H : - « Tu veux bien nous montrer ton zizi. »
JM : - « Si vous jouez avec moi. »
Elle me caressa un peu pour me rendre une petite érection.

Elles se mirent assises en tailleur autours de moi.
H : - « Relevez vos robes pour montrer vos petits minous. »
Avec hésitation, elles relevèrent leurs robes.
Simone avait son sexe couvert de poils noirs ;
Tout en continuant à me caresser, Hélène commença à se caresser.
H : - « Ne soyez pas timides, faites comme moi, c’est trop bon. »
Ma sœur commença à se toucher. Plus timide, Simone voyant que personne ne faisait de remarque posa aussi sa main sur sa fourrure.
H : - « Vous avez déjà rendu votre petit bouton bien dressé. Vous avez au moins exploré votre petite fente. »
A : - « Je l’ai regardé avec une petite glace ? Il y a un trou et quand je fais pipi, l’urine sort par un petit trou au-dessus. Il y a un petit bouton au-dessus recouvert d’une sorte de capuchon. »
H : - « Oui, comme Jean-Marie qui a le bout de son zizi recouvert de peau. Et il aime que l’on fasse coulisser cette peau sur son bout. C’est pour ça qu’il devient tout raide. »
Simone écoutait et ses joues devenaient rouges.
H : - « Vous devriez le faire, vous verrez les sensations sont très agréables. »
Joignant le geste à sa parole. Elle écarta ses lèvres et mit son doigt sur son capuchon et le bougea de bas en haut.
H : - « Allez les filles, nous sommes amies. On peut le faire ensemble. »
Ma sœur écarta ses petites lèvres et toucha son petit bourgeon.
Simone mit un peu plus temps à le faire, mais il finit par se titiller son petit sexe.
H : - « Alors les filles vous en pensez quoi ? »
A : - « C’est agréable, il devient plus gros. »
S : - « Sensible, mais j’aime bien. »
Doucement toutes se caressaient le minou.

Elles m’avaient délaissé et j’étais redevenu mou.
H : - « Nous avons oublier notre Papa, il faut que je m’occupe de lui. Je crois que frotter notre bouton sur son zizi, ça doit être encore plus agréable. »
Hélène est venue me caresser pour rendre ma petite queue raide. Elle m’enfourcha, elle écarta les lèvres de sa vulve et la posa sur ma queue. Elle fit des mouvements de va et vient pour se caresser. Je ne sais pas si elle a été satisfaite.
H : - « Venez essayer, c’est vraiment bon. »
Ma sœur remplaça Hélène et se frotta son bourgeon sur ma verge.
A : - « Oh ! Oui ! J’ai des petits frissons. »
Quelques temps après, Simone me chevaucha.
Au bout de quelques temps, elle ferma les yeux, se pinça les lèvres et s’affala sur moi. Avec le recul, elle a dû jouir pour la première fois, vu les hormones qui commençaient à faire effet chez elle.

La journée s’est passée rapidement.

Plusieurs jours se sont passés à cause d’une période pluvieuse.

Escalade des plaisirs

La semaine suivante, l’été chaud était revenu et avait asséché le sol.

Nous sommes retournés voir Hélène. Les filles à croire qu’elles s’étaient données le mot, s’étaient habillées légèrement. Elles n’avaient pas mis de culottes. Ma sœur et Hélène portaient une légère robe en toile, Simone avait mis un petit chemisier qui cachait à peine ses jeunes tétons qui commençait à pointer sous son corsage, et une jupe de coton.

Après quelques jeux innocents. Je me suis retrouvé sur la couchette au service de ces demoiselles.

Hélène comme à son habitude prit l’initiative et vint me rendre visite. Elle enleva mon short, slip et polo. J’étais nu comme un vers, il prit ma petite bite dans ses mains et me l’a fait devenir toute dure. Elle m’allongea sur la couche. Elle passa sa robe au-dessus de sa tête et se retrouva nue devant moi. Elle m’enfourcha, écarta ses grandes lèvres et colla sa vulve sur mon kiki. Elle fit quelques mouvements de va et vient, elle remonta ses mains sur ses tétons pour jouer avec. Visiblement, elle prenait du plaisir, ses yeux se fermaient. Au bout de longues minutes elle appela les filles pour qu’elles viennent la voir.

Les filles ont été surprises de la voir nue.
H : - « J’avais chaud et les papas et mamans font ça nus. »
Les filles : - « Tu as vu tes parents nus »
H : - « Oui, une fois. Papa faisait du bien à Maman. Vous devriez essayer c’est bon. »
Elle se releva et repassa sa robe.

Elles sortirent de la cabane et allèrent jouer dehors, sauf ma sœur qui était restée avec moi. Elle me demanda si j’étais bien ici et si j’aimais que l’on s’occupe de moi. Bien sûr avec mon jeune âge, je ne comprenais pas la situation, mais j’étais au centre de leur jeu. Et puis comme tous les petits garçons, on se touche à cet âge et là c’était des filles qui me touchaient. J’étais aux anges.
A : - « Tu sais il ne faut pas en parler à la maison, ce n’est pas très bien ce que l’on fait ici, on serait puni. »
JM : - « Oui je ne dirai rien, si tu me prends toujours avec toi. »
A : - « Je te le promets »
A : - « Tu veux bien que je joue avec toi ? »
JM : - « Oui »
Ma sœur s’est mise nue aussi, puis elle est venue sur moi se caresser aussi le minou.
A : - « J’aime bien, mais on ne le fera qu’ici, d’accord petit frère. »
JM : - « Oui »
A : - « Tu aimes aussi ? »
JM : - « Oh ! Oui ! Elles sont gentilles tes copines. »
Après plusieurs minutes, elle m’a fait un gros bisou. Elle a passé sa robe et est sortie de la cabane.

Je suis resté un long moment seul. Je commençais à m’endormir, quand Simone est entrée.
S : - « Tu veux que je te laisse tranquille. »
JM : - « J’aime quand vous vous occupez de moi. »
Ma petite queue était redevenue molle.
S : - « Tu veux que je m’occupe de ton kiki tout malheureux. »
JM : - « Oui je veux bien. »
Elle enleva sa jupe et dégrafa son chemisier et vint s’allonger tête-bêche à côté de moi en prenant appui sur l’un de ses coudes. Elle prit mon petit kiki dans sa main et me caressa pour le faire devenir raide. J’avais sa foufoune à hauteur de mes yeux. J’étais intrigué par ces poils pubiens, je me suis risqué à les toucher.
S : - « Tu te poses des questions ? »
JM : - « Pourquoi tu as beaucoup de poils là ? »
S : - « Parce que je deviens une grande fille. »
JM : - « Ah bon. »
S : - « Tu peux les caresser si tu veux, comme avec un petit chat. »
Je me suis mis à passer mes petits doigts dans sa fourrure naissante.
S : - « Tu es gentil, j’aime ce que tu fais. »
Ne connaissant pas l’anatomie des filles, j’écartais ses poils pour voir à quoi ressembler les pipis des filles.
S : - « Petit coquin. Tu n’as jamais vu. »
JM : - « Si celui de ma petite sœur, quand Maman la change. »
S : - « Tu peux mieux regarder, si tu veux. »
Je me suis enhardi à écarter ses grandes lèvres et à regarder ses petites lèvres roses et son bouton.
Elle se pencha sur mon kiki et fis une bise dessus.
S : - « Tu es adorable. Tu peux me caresser l’intérieur si tu veux. »
Mes petits doigts ont exploré sa petite grotte et toucher son bouton.
JM : - « Pourquoi, c’est tout mouillé à l’intérieur. »
S : - « Chut, petit coquin. »
Elle se releva et vint se mettre à califourchon sur moi en prenant soin de mettre ma verge en contact avec ses petites lèvres.
Elle bougea son bassin, je voyais ses petits seins pointaient devant mes yeux. Je ne connaissais que ceux de ma mère lorsqu’elle m’allaitait qui étaient nettement plus gros.
Simone fermait les yeux.
S : - « Petit coquin, tu me fais des choses agréables dans mon ventre. »
Après quelques minutes, elle est revenue s’allonger à côté de moi, Dans la même position que précédemment.
Elle me fit plein de petits bisous sur ma quéquette.
S : - « Pour te dire que tu es un petit amour. »
Elle se releva et s’habilla avant de sortir.

Les autres filles ont dû se demander ce qu’il se passait, vu que Simone était restée si longtemps avec moi.

Il se faisait tard, il fallait qu’on rentre. Ma sœur m’a aidé à me vêtir. J’ai fait la bise à Hélène et Simone qui m’a fait un gros bisou.

Sur le chemin du retour.
A : - « Pourquoi Simone est restée si longtemps dans la cabane. »
JM : - « Elle a été très gentil. »
A : - « Ah bon ! »
JM : - « Elle m’a fait pleins de bisous et elle m’a dit que j’étais gentil. »

Comme papa et Maman

Nous ne sommes pas retournés pendant plusieurs jours à cause des orages.
Ma sœur jouait dans son coin et moi avec mon petit frère.
Le soleil est enfin revenu encore plus chaud. L’herbe des prairies a vite séché, l’on pouvait aller jouait dehors sans se salir.

Ma sœur a demandé à ma mère si elle pouvait voir ses amies, en précisant qu’elle voudra bien me prendre avec elle pour soulager ma mère.
Bien sûr, elle a eu l’autorisation, deux de moins dans ses jambes.

Nous sommes arrivés chez Hélène. La cabane avait besoin d’être remise en état. Heureusement la paillasse est restée sèche. Après quelques travaux, elle était prête à nous recevoir.

Nous avons joué un peu à l’extérieur à cueillir des marguerites pour les tresser en couronne.
Simone n’était pas encore là, elle est arrivée un peu plus tard.
Je l’ai vu venir et j’ai couru pour l’accueillir. Elle m’a pris dans ses bras et m’a fait de gros bisous.

Nous nous sommes mis en cercle assis en tailleur. Les filles avec leurs jupes à mi-cuisse qui laissaient voir l’absence de culottes. Elles regardaient toutes l’entre-jambe des autres. Nous avons tressé de belles couronnes, la mienne je l’ai mise sur la tête de Simone.
JM : - « Tu es ma reine. »
Elle mit la sienne sur ma tête.
S : - « Tu es mon petit prince charmant. »

Nous pouvions continuer nos petits jeux coquins, puisque deux filles restaient la plupart du temps à l’extérieur pour donner le change vis-à-vis des parents d’Hélène.

Avant de partir de la maison, ma sœur m’a retiré mon slip.

Nous avons recommencé à jouer aux « Papa et la Maman »
H : - « Jean-Marie tu veux bien encore jouer au Papa avec nous. »
JM : - « Oui, vous êtes gentilles avec moi. »

Hélène me pris par la main et nous sommes entrés dans la cabane.
Elle fit passée sa robe au-dessus de sa tête, elle était nue devant moi.
H : - « Tu veux que je te déshabille. »
JM : - « Oui, je veux bien »
Elle enleva mon polo, elle s’est accroupie pour faire glisser mon short à mes pieds.
H : - « Tu es un petit coquin, tu avais prévu. »
JM : - « C’est ma sœur qui me l’a enlevé. »
H : - « Tu savais pourquoi ? »
JM : - « Pour que vous soyez gentille avec moi. »
H : - « Tu aimes ce que l’on te fait. »
JM : - « Oh ! Oui ! »
Elle me posa un petit bisou sur ma petite queue encore molle.
H : - « Alors viens je t’installe. »
Elle me coucha sur la couchette.
H : - « Tu as envie d’avoir ton zizi tout raide. »
JM : - « Oh ! Oui ! J’aime bien. »
Elle me caressa et très vite elle est devenue raide.
Elle est venue sur moi.
Elle a écarté ses lèvres et s’est caressée sur moi. Au bout de quelques va et vient, elle a soulevé son bassin. Elle a pris ma petite verge pour la guider dans sa grotte, elle s’est assise sur moi en ondulant son bassin. Je venais de pénétrer une fille, certes ma petite queue était trop petite pour la déflorer.
H : - « Tu aimes être notre Papa. »
JM : - « Oh ! Oui ! J’aime quand vous me caressez, ça me fait du bien. Vous êtes gentilles. »
Hélène a pris un certain plaisir, le corps rejeté en arrière avec ses boutons de pression bien pointus.
Après avoir pris un plaisir d’être prise, elle s’est retirée.
H : - « Avant de laisser ma place, je vais te nettoyer. »
Elle a pris un chiffon qu’elle mouilla pour me laver ma petite queue.
Elle se revêtit et quitta la tente.
Je l’ai entendu parler à ses copines pendant plusieurs minutes.

Ma sœur est venue me rejoindre.
A : - « Alors petit frère, tu as aimé ce que Hélène, t’as fait. »
JM : - « Oui, elle a mis mon zizi au chaud dans son ventre. »
A : - « Tu sais, on ne peut pas le faire entre frère et sœur. »
JM : - « Non, pourquoi ! »
A : - « C’est interdit. »
JM : - « J’aime bien moi. »
A : - « J’ai envie de me caresser sur toi, ensuite je te demanderai de te faire du bien autrement. »
JM : - « D’accord »
Elle ôta sa robe et m’enfourcha pour faire glisser sa petite motte sur ma quéquette.
Quelques minutes après :
A : - « Tu veux te faire du bien encore avec moi. »
JM : - « Oui, je t’aime beaucoup Grande sœur. »
A : - « Alors, je vais prendre ta place, me mettre sur le ventre et tu viendras caresser ton zizi entre mes fesses. Tu veux ? »
Nous avons changé de place.
Ma sœur à plat ventre avec une main sur son abricot et je suis venu mettre ma quéquette entre ses fesses. J’ai fait des mouvements de va et vient pour me caresser comme avec mon oreiller des fois dans mon lit.
A : - « Tu aimes te frotter dans mes fesses. »
JM : - « C’est bon et doux. »
A : - « Moi aussi, j’aime ça. »
JM : - « On pourra le refaire que tous les deux ? »
A : - « On verra. »
Après quelques minutes, nous nous sommes donnés un gros bisou et elle s’est revêtue pour laisser la place à Simone.

Les filles ont parlé longuement entre elles, les parents d’Hélène n’étaient pas loin.
Enfin ils se sont éloignés et Simone a pu venir me rendre visite.

Elle se mit nue, me demanda de me lever et me serra fort dans ses bras. J’avais ma tête entre ses deux petites mandarines. Je leurs ai fait un gros poutou sur chaque.
S : - « Coquin, tu les trouve jolis. »
JM : - « Plus petits que ceux de Maman, mais plus beaux. »

Mon zizi n’était plus bien dur.

S : - « C’est parfait le temps de te caresser, tu pourras jouer avec mon petit chat. Tu veux ? »
JM : - « Oh ! Oui ! Il n’y a que toi qui me le donne à caresser. »
S : - « Tu aimes le caresser, moi j’aime ce que tu me fais. »
JM : - « Ma main sent bon après. »
S : - « Petit coquin. »

Elle s’allongea comme la dernière fois.
S : - « Tu peux toucher, le petit chat aime les caresses. »
J’ai caressé longuement sa fourrure, pendant ce temps, elle m’a caressé et me donnait des bisous sur mon zizi.
Ma main s’est aventurée sur ses petites lèvres et je lui ai touché son petit bouton. Elle a sursauté. J’ai retiré mes doigts.
S : - « Non recommence, c’était bien. »
Je me suis remis à toucher son bouton de rose. Elle me donnait des petits coups de langue sur mon gland. Sa grotte devenait humide.
S : - « Mon petit chat a envie de caresser ton zizi. Il peut le faire. »
JM : - « Oh ! Oui ! S’il peut après se caresser entre tes fesses. »
S : - « Où tu appris ça. »
JM : - « Ma sœur m’a montré. »
S : - « Petit garnement, tu apprends vite. Si tu veux pour te récompenser. »

Elle est venue à califourchon sur moi et s’est caressé son petit bouton. Par un mouvement un peu plus important, ma verge l’a pénétré. La surprisse passée, elle a continué sa chevauchée. Après quelques temps ; elle s’est couchée sur moi en me faisant plein de bisous.
S : - « Tu veux te caresser entre mes fesses, alors glisse toi sur le côté. Et viens. »
Je me suis glissé sur le côté et je me suis mis entre ses jambes écartées.
S : - « Viens entre mes fesses, petit coquin. »
Elle a écarté ses fesses avec ses mains et j’ai mis mon petit bâton dans le sillon.
S : - « J’aime quand tu joues avec moi. Tu aimes. »
JM : - « Oui tu es douce et c’est chaud. »
S : - « Tu pourras le faire à chaque fois que nous serons ensemble, tu veux. »
JM : - « Je t’aime, tu es la plus gentille. J’aime sentir ton odeur. »

Je me suis caressé longuement entre ses jolies fesses.
Je ne pouvais pas jouir à mon âge, mais j’ai adoré.

Il a fallu que nous nous quittions. Elle m’a fait de gros bisous. Elle s’est rhabillée et m’a aidé à faire de même.

Nous devions rentrés à la maison, il était tard.
Sur le chemin du retour, j’ai senti plusieurs fois mes doigts avec le parfum de la zézette de Simone.

55 ans après j’ai revu Simone. Elle était magnifique, je ne l’avais pas reconnue.
Tellement elle paraissait jeune, je l’avais prise pour une des filles de sa sœur aînée.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'ai bien aimé le fantasme.
J'aurais aimé être là pour que JM me mette son bâton dans moi.

Histoire Coquine
Il faut dénoncer ce site qui permet à des pédophiles de s'exprimer en toute liberté.

Quand la nature est bien présente, John La Semelle s'est fait un plaisir à sa lecture.
Mille mercis.

Histoire Erotique
A supprimer !!!

Histoire Erotique
C'est juste hors charte decidement HDS les collectionne !!! La pedophilie est bien presente !!!



Texte coquin : Souvenir de jeunesse
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