Faire l'amour sans parler
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Faire l'amour sans parler
La semaine dernière il m'est arrivé une drôle d'aventure. J'étais chez des amis où j'avais été invité avec d'autres connaissances pour une petite fête donnée pour arroser l'avancement de l'amie. Le repas se passait très bien. J'ai fait la connaissance d'une jeune femme de 30 ans, bien fichue et ayant l'air de n'avoir pas froid aux yeux. En parlant j'ai appris que nous habitions dans le même quartier. Comme elle n'avait pas de moyen de transports je lui proposais de l'accompagner chez elle . Adopté.
Sans doute ma proposition lui enlevait une épine du pied, puisque la soirée durait jusqu'à une heure avancée. Nous avons sympathisé et bavardé. Nous nous mêlions toujours de la conversation générale. Rien ne me laisser prévoir la suite.
A la fin de la petite fête, nous partons, donc ensemble. Nous avions passé une bonne soirée et nous partagions les mêmes appréciations sur les mets ou les amis. Nous arrivions chez elle et je pensais repartir aussitôt. Mais elle m'invitait à monter chez elle pour prendre un verre en remerciement. Je ne pouvais pas poliment refuser.
Donc arrivés dans son appartement très bien meublé, avec beaucoup de goût, elle me fait asseoir au salon et me donne le choix entre un alcool écossais ou un armagnac. Je préfère cet alcool aux autres. Elle m'imite et sert donc deux verres.
Elle me demande de l'excuser : elle doit s'absenter un petit moment. Je pense qu'elle va satisfaire un besoin naturel. Mais j'ai une surprise à son retour. Elle porte un déshabillé transparent qui montre plutôt qu'il ne cache les trésors de son corps marmoréen. C'est une véritable Vénus de Milo qui se présente. J'aperçois sa poitrine saillante, sa fine taille, sa légère fourrure, ses longues jambes et ses fines chevilles. Bref elle me donne une vue splendide sur l'ensemble de sa personne. Je comprends qu'elle s'offre à moi sans le dire.
Je ne reste pas insensible et commence à bander. La coquine regarde mon bas ventre et voit que la grosseur du pantalon grandit de plus en plus. D'un air innocent elle me demande si quelque chose me gène. Bien sur que non, la seule gène que j'ai est purement physique, mon pantalon m'empêche de bander comme je le voudrais. Voyant que je n'ose pas trop m'avancer elle se décide à faire les premiers pas. Elle me demande de me lever, ce que je fais et elle s'approche de moi. Elle m'enlace et me donne un baiser très profond : nos langues se caressent. Elle embrasse très bien et je bande de plus en plus. Elle se colle contre moi, son bas vente contre ma bite, et me la caresse. Je n'y tiens plus et lui pose une main sur un sein et le caresse lentement jusqu'à ce qu'il durcisse. Sa pointe est érigée.Je descends ma main vers son bas ventre. Elle ne se retire pas.
J'ai de plus envie d'elle et "l'épluche" jusqu'au dernier ruban. Elle est nue et son corps est toujours aussi excitant. A son tour elle me déshabille et prend ma bite en main et se met à la branler.
Je la laisse faire d'autant plus que de mon coté j'ai trouvé son clitoris que je branle aussi. Mais elle jouit rapidement, en tout cas plus vite que moi.
Nous n'avons échangé aucuns mots depuis le début de notre aventure. Et le silence continu pendant que je l'allonge sur le divan et que je lui fais écarter les jambes pour la sucer. Elle comprend sans que j'ai besoin de parler. Je lui embrasse l'intérieur de cuisses et arrivant vers son con, je n'arrête pas : c'est ma langue qui prend le relais pour lui faire un cunnilingus. Elle aime puisqu'elle jouit encore. Je continu à lui entreprendre le con et elle jouit encore une fois.
Je m'installe entre ses jambes et commence à remonter pour avoir ma bite sur son con. Toujours en silence. Elle dirige mon sexe vers le sien. Quant je la pénètre elle pousse un léger soupir d'aise et nos deux corps s'harmonisent pour les mouvements. Je la sens jouir. Nous ne disons toujours rien.
Je jouis en elle à mon tour.
Nous nous reposons et nous embrassons. Elle me caresse la bite et je bande encore. Je la tourne, elle comprend la suite. Elle se met en levrette, mouille son cul et écarte les fesses avec ses mains. Je pose ma bite sur son cul et au moment où j'allais y rentrer d'un coup brusque, son corps en arrière elle me fait rentrer en elle. Nous continuons les mouvements de baises. Nous arrêtons quelques fois pour faire durer le plaisir mais arrive le moment où ni elle ni moi ne pouvons plus tenir. C'est elle qui accélère pour nous faire jouir tout les deux.
Nous finissons de baiser. Je l'embrasse et toujours sans rien dire, mais entièrement nu elle me met dehors de chez elle en m'envoyant un baiser avec la main.
Nous n'avons jamais recommencé.
Sans doute ma proposition lui enlevait une épine du pied, puisque la soirée durait jusqu'à une heure avancée. Nous avons sympathisé et bavardé. Nous nous mêlions toujours de la conversation générale. Rien ne me laisser prévoir la suite.
A la fin de la petite fête, nous partons, donc ensemble. Nous avions passé une bonne soirée et nous partagions les mêmes appréciations sur les mets ou les amis. Nous arrivions chez elle et je pensais repartir aussitôt. Mais elle m'invitait à monter chez elle pour prendre un verre en remerciement. Je ne pouvais pas poliment refuser.
Donc arrivés dans son appartement très bien meublé, avec beaucoup de goût, elle me fait asseoir au salon et me donne le choix entre un alcool écossais ou un armagnac. Je préfère cet alcool aux autres. Elle m'imite et sert donc deux verres.
Elle me demande de l'excuser : elle doit s'absenter un petit moment. Je pense qu'elle va satisfaire un besoin naturel. Mais j'ai une surprise à son retour. Elle porte un déshabillé transparent qui montre plutôt qu'il ne cache les trésors de son corps marmoréen. C'est une véritable Vénus de Milo qui se présente. J'aperçois sa poitrine saillante, sa fine taille, sa légère fourrure, ses longues jambes et ses fines chevilles. Bref elle me donne une vue splendide sur l'ensemble de sa personne. Je comprends qu'elle s'offre à moi sans le dire.
Je ne reste pas insensible et commence à bander. La coquine regarde mon bas ventre et voit que la grosseur du pantalon grandit de plus en plus. D'un air innocent elle me demande si quelque chose me gène. Bien sur que non, la seule gène que j'ai est purement physique, mon pantalon m'empêche de bander comme je le voudrais. Voyant que je n'ose pas trop m'avancer elle se décide à faire les premiers pas. Elle me demande de me lever, ce que je fais et elle s'approche de moi. Elle m'enlace et me donne un baiser très profond : nos langues se caressent. Elle embrasse très bien et je bande de plus en plus. Elle se colle contre moi, son bas vente contre ma bite, et me la caresse. Je n'y tiens plus et lui pose une main sur un sein et le caresse lentement jusqu'à ce qu'il durcisse. Sa pointe est érigée.Je descends ma main vers son bas ventre. Elle ne se retire pas.
J'ai de plus envie d'elle et "l'épluche" jusqu'au dernier ruban. Elle est nue et son corps est toujours aussi excitant. A son tour elle me déshabille et prend ma bite en main et se met à la branler.
Je la laisse faire d'autant plus que de mon coté j'ai trouvé son clitoris que je branle aussi. Mais elle jouit rapidement, en tout cas plus vite que moi.
Nous n'avons échangé aucuns mots depuis le début de notre aventure. Et le silence continu pendant que je l'allonge sur le divan et que je lui fais écarter les jambes pour la sucer. Elle comprend sans que j'ai besoin de parler. Je lui embrasse l'intérieur de cuisses et arrivant vers son con, je n'arrête pas : c'est ma langue qui prend le relais pour lui faire un cunnilingus. Elle aime puisqu'elle jouit encore. Je continu à lui entreprendre le con et elle jouit encore une fois.
Je m'installe entre ses jambes et commence à remonter pour avoir ma bite sur son con. Toujours en silence. Elle dirige mon sexe vers le sien. Quant je la pénètre elle pousse un léger soupir d'aise et nos deux corps s'harmonisent pour les mouvements. Je la sens jouir. Nous ne disons toujours rien.
Je jouis en elle à mon tour.
Nous nous reposons et nous embrassons. Elle me caresse la bite et je bande encore. Je la tourne, elle comprend la suite. Elle se met en levrette, mouille son cul et écarte les fesses avec ses mains. Je pose ma bite sur son cul et au moment où j'allais y rentrer d'un coup brusque, son corps en arrière elle me fait rentrer en elle. Nous continuons les mouvements de baises. Nous arrêtons quelques fois pour faire durer le plaisir mais arrive le moment où ni elle ni moi ne pouvons plus tenir. C'est elle qui accélère pour nous faire jouir tout les deux.
Nous finissons de baiser. Je l'embrasse et toujours sans rien dire, mais entièrement nu elle me met dehors de chez elle en m'envoyant un baiser avec la main.
Nous n'avons jamais recommencé.
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