Fantasme professionnel II
Récit érotique écrit par Monsieur V [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fantasme professionnel II
Brusquement interrompue dans sa masturbation alors qu’elle était sur le point de jouir, Rosalie haletait. Ses yeux brillants d’excitation ne purent soutenir le regard inquisiteur de son patron ; elle baissa le nez, honteuse. C’est sur un ton sarcastique qu’il s’adressa à elle :
— Pourquoi vous interrompez-vous ? Mais continuez donc ; ne vous gênez pas pour moi !
— Continuer quoi, Monsieur ? répondit la jeune assistante, interloquée.
Elle n’arrivait pas à comprendre ce qu’il lui demandait, ou peut-être le comprenait-elle trop bien… Il lui fallut quelques secondes avant de réaliser l’incongruité de son exigence. « Il n’oserait quand même pas me demander de… » Ses pensées furent interrompues par la réponse abrupte et sans détour de l’avocat :
— Vous n’êtes qu’une petite gourde, Mademoiselle Frei : votre séance de masturbation, bien entendu. Et je vous somme d’aller jusqu’au bout !
— Mais…
Le regard glacial qu’il lui adressa coupa court à sa protestation naissante ; elle hésita encore pendant quelques secondes puis, vaincue, elle laissa sa main droite redescendre lentement sur ses cuisses. Son index se plaqua sur le sillon vulvaire et entreprit de douces pressions. Comme son excitation n’était pas retombée, l’extrémité de son doigt s’inséra facilement dans l’entrée de son vagin pour y découvrir un cloaque brûlant et visqueux.
— Reculez votre fauteuil !
L’ordre venait de claquer comme un coup de fouet. Sous l’injonction, Rosalie se raidit ; cessant ses attouchements, elle leva un regard interrogateur vers son employeur.
— Je veux voir comment une petite vicieuse telle que vous s’astique la moule. Écartez bien vos cuisses ; relevez bien vos jambes et laissez-les reposer sur les accoudoirs.
Sous le coup de l’émotion, le visage de la jeune avocate stagiaire s’empourpra encore plus, mais elle obéit. Ayant repoussé son fauteuil de quelques dizaines de centimètres, elle s’installa dans la position demandée, la robe troussée jusqu’à la taille, les cuisses largement écartées, s’exposant de manière obscène au regard lubrique du quinquagénaire.
— Eh bien, poursuivez !
Honteuse, Rosalie reprit ses caresses. Sa soumission augmentait son excitation ; elle éprouvait un plaisir pervers à exhiber sa vulve qui se liquéfiait encore plus en s’ouvrant pour en dévoiler ses moindres détails à Maître Pittet. Celui-ci ne restait pas indifférent à ce spectacle d’une rare obscénité ; sa verge avait acquis une rigidité exceptionnelle et déformait le pantalon de son costume impeccablement taillé.
La stagiaire, perdue dans le désir qui l’avait envahie, sentit une vague de plaisir prendre naissance dans son ventre ; fermant les yeux pour mieux se concentrer, elle avait perdu toute notion de l’endroit où elle se trouvait, trop accaparée par les caresses qu’elle prodiguait à son clitoris tout en faisant coulisser deux doigts dans le fourreau de son vagin. À un moment, entre ses paupières mi-closes, elle aperçut une verge noueuse dont le gland violacé pointait vers elle.
— Branlez-moi, Mademoiselle Frei !
Rosalie était décidément trop excitée pour refuser une telle proposition ; délaissant son vagin, elle tendit une main encore engluée de ses sécrétions intimes en direction de la queue qui pointait vers elle et se mit à faire coulisser ses doigts lubrifiés de cyprine le long de ce membre frémissant. La branleuse continuait de s’astiquer le clitoris tout en fixant d’un regard hagard le membre puissant de son employeur. Quelques gouttes de liquide clair commençaient à s’écouler du gland volumineux qui prenait encore de l’ampleur sous ses attouchements. Georges ne pouvait plus résister longtemps à la montée du plaisir.
— Sur ta chatte, petite salope !
Sans se formaliser du tutoiement ni de l’insulte, Rosalie inclina le membre engorgé en direction de sa vulve, mais pas assez rapidement pour éviter qu’une première giclée ne s’écrase sur son visage, puis une deuxième sur sa robe à la hauteur de ses seins. Elle malmena son clitoris en l’écrasant et en le pinçant jusqu’à ce que le vague de plaisir explose en elle tandis que la verge de son patron continuait à déverser des salves de sperme sur sa vulve, la noyant sous une épaisse couche blanchâtre. Haletant, Georges Pittet contemplait ce tableau d’un érotisme extrême. Rosalie, quant à elle, constatait l’ampleur des dégâts.
— Maître, m’autorisez-vous à faire un peu de toilette ?
— Bien entendu, Mademoiselle.
Mais une idée perverse venait de germer dans son esprit. Avant qu’elle n’ait pu se relever, Rosalie entendit son patron appeler :
— Charlotte, venez donc ici, ma chère…
La porte de communication avec le bureau attenant s’ouvrit, et l’épouse l’avocat pénétra dans ce lieu de débauche. Interloquée, elle s’arrêta après avoir fait quelques pas, prenant conscience de la dépravation qui s’offrait à ses yeux : l’assistante de son mari, affalée dans son fauteuil, la robe retroussée jusqu’à la taille, maculée d’une traînée de foutre sur le visage, d’une autre sur sa robe, et les cuisses ouvertes dans une posture obscène qui dévoilait son entrecuisse recouvert de sperme. Il y en avait tellement qu’il se déversait sur le cuir fauve du fauteuil, et que même un filet opalescent de semence commençait à s’écouler en direction du parquet. La verge encore congestionnée de son mari s’érigeait hors de sa braguette.
— Approchez-vous, Charlotte. Ne pensez-vous pas que notre nouvelle employée présente d’excellentes dispositions pour nous seconder ?
— Certes, mon ami ; je dirais même qu’elle va devenir une assistante indispensable !
— Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire ; je vous la livre.
Vaguement inquiète, Rosalie écoutait ce dialogue surréaliste ; et c’est avec une appréhension certaine qu’elle vit s’approcher cette femme longiligne, aux traits sévères. Elle s’immobilisa devant elle et s’agenouilla ; puis, se penchant vers le bas-ventre de la jeune assistante, la digne avocate se mit à laper la semence de son mari. Elle déglutissait régulièrement, avalant le sperme encore tiède. Son mari lui releva sa jupe et, après avoir dégagé sa triste croupe osseuse, il abaissa sa culotte le long de ses cuisses décharnées. Il se recula de quelques pas pour profiter de cette scène scabreuse : son épouse, après avoir complètement nettoyé l’entrecuisse de Rosalie, continuait de lécher sa vulve. Même si elle était d’une laideur prononcée, l’épouse de son patron était diablement habile de sa langue, preuve d’une longue pratique du cunnilingus ; elle n’en était pas à sa première expérience du broutage de minou !
Maître Pittet – après avoir extrait un gros cigare de son étui métallique – alluma posément le Havane et en tira quelques savoureuses bouffées ; puis, ayant repris le tube de métal, il s’approcha de sa femme, tira sur la peau flasque de ses fesses maigrichonnes afin de les écarter et lui enfonça d’une longue et unique pression soutenue l’étui dans le cul. La perverse avocate, ainsi enculée, se mit à accentuer ses caresses buccales sur la vulve de Rosalie, aspirant son clitoris congestionné tandis qu’elle lui introduisait profondément son pouce dans le vagin tout en lui distendant l’anus de son index accolé à son majeur pendant que son mari faisait aller et venir de plus en plus violemment l’étui du cigare dans son cul. Les deux femmes jouirent simultanément.
— Allez ; au travail, maintenant : les dossiers attendent !
Satisfait, l’avocat se retira dans son bureau, imité ensuite par sa femme. Restée seule, Rosalie se prit à ressentir une certaine frustration. Elle avait certes apprécié le cunnilingus de Charlotte, mais elle aurait souhaité avoir davantage d'interaction physique avec Georges. Ravalant sa frustration, la jeune stagiaire poursuivit ses dossiers jusqu'à la pause de midi. En partant, elle salua poliment ses employeurs et rentra chez elle pour faire le point sur sa première matinée de travail. C'est alors que la jeune femme eut une idée. Elle monta dans sa chambre et retira sa robe.
Nue devant son miroir, Rosalie cherchait dans sa penderie des sous-vêtements susceptibles d'aguicher Maître Pittet. Son choix se porta finalement sur un soutien-gorge rouge et un string assorti. La jeune stagiaire souhaitait vivre beaucoup plus qu'une simple séance de masturbation avec son employeur et, pour cela, elle avait une idée.
La pause de midi terminée, Rosalie retourna au cabinet des Pittet. À son arrivée, Georges et Charlotte lui donnèrent une nouvelle pile de dossiers à examiner. La jeune femme se retira dans son bureau et se mit à analyser les dossiers en attendant le moment opportun pour rejoindre Maître Pittet dans son bureau et lui dévoiler sa surprise.
Vers 16 h, l'occasion que Rosalie espérait tant arriva. Charlotte dut quitter le cabinet de toute urgence afin de se rendre chez un gros client du cabinet qui ne pouvait pas faire le déplacement en raison du peu de temps qu'il avait à disposition pour régler son affaire.
Charlotte dit au revoir à Rosalie et à son mari puis partit. La jeune assistante attendit une vingtaine de minutes afin de s'assurer que Charlotte ne reviendrait pas au mauvais moment. Assurée de l'éloignement de sa patronne, Rosalie se rendit dans le bureau de Georges. Lorsqu'elle frappa à la porte, la voix de son patron lui répondit sèchement d'entrer. La jeune assistante entra.
— Euh... J'ai terminé les dossiers. Avez-vous encore du travail pour moi ? lui demanda-t-elle.
En face, Georges semblait plutôt énervé.
« Probablement une affaire qui n'a pas tourné comme il l'aurait souhaité... » pensa Rosalie.
— Ah... euh... Oh ! Il est bientôt 16 h 30. Je n'avais plus la notion du temps. Non, vous pouvez ranger vos affaires et rentrer chez vous. On se revoit demain.
— Ça va aller, Monsieur ? Vous me semblez un peu nerveux. Est-ce que je peux faire quelque chose ?
— Euh... non, ça va aller.
— Vous en êtes sûr ? Si vous voulez, je peux vous aider à vous détendre.
Rosalie fit lentement glisser la fermeture Éclair de sa robe et laissa le vêtement tomber au sol, dévoilant sa sublime lingerie à Maître Pittet. L'avocat la détailla de pied en cap : une poitrine généreuse, des formes superbement sculptées, des jambes longues et fines ; et tout cela perché sur des talons aiguilles de 10 cm.
L'avocat sourit.
[ à suivre ]
— Pourquoi vous interrompez-vous ? Mais continuez donc ; ne vous gênez pas pour moi !
— Continuer quoi, Monsieur ? répondit la jeune assistante, interloquée.
Elle n’arrivait pas à comprendre ce qu’il lui demandait, ou peut-être le comprenait-elle trop bien… Il lui fallut quelques secondes avant de réaliser l’incongruité de son exigence. « Il n’oserait quand même pas me demander de… » Ses pensées furent interrompues par la réponse abrupte et sans détour de l’avocat :
— Vous n’êtes qu’une petite gourde, Mademoiselle Frei : votre séance de masturbation, bien entendu. Et je vous somme d’aller jusqu’au bout !
— Mais…
Le regard glacial qu’il lui adressa coupa court à sa protestation naissante ; elle hésita encore pendant quelques secondes puis, vaincue, elle laissa sa main droite redescendre lentement sur ses cuisses. Son index se plaqua sur le sillon vulvaire et entreprit de douces pressions. Comme son excitation n’était pas retombée, l’extrémité de son doigt s’inséra facilement dans l’entrée de son vagin pour y découvrir un cloaque brûlant et visqueux.
— Reculez votre fauteuil !
L’ordre venait de claquer comme un coup de fouet. Sous l’injonction, Rosalie se raidit ; cessant ses attouchements, elle leva un regard interrogateur vers son employeur.
— Je veux voir comment une petite vicieuse telle que vous s’astique la moule. Écartez bien vos cuisses ; relevez bien vos jambes et laissez-les reposer sur les accoudoirs.
Sous le coup de l’émotion, le visage de la jeune avocate stagiaire s’empourpra encore plus, mais elle obéit. Ayant repoussé son fauteuil de quelques dizaines de centimètres, elle s’installa dans la position demandée, la robe troussée jusqu’à la taille, les cuisses largement écartées, s’exposant de manière obscène au regard lubrique du quinquagénaire.
— Eh bien, poursuivez !
Honteuse, Rosalie reprit ses caresses. Sa soumission augmentait son excitation ; elle éprouvait un plaisir pervers à exhiber sa vulve qui se liquéfiait encore plus en s’ouvrant pour en dévoiler ses moindres détails à Maître Pittet. Celui-ci ne restait pas indifférent à ce spectacle d’une rare obscénité ; sa verge avait acquis une rigidité exceptionnelle et déformait le pantalon de son costume impeccablement taillé.
La stagiaire, perdue dans le désir qui l’avait envahie, sentit une vague de plaisir prendre naissance dans son ventre ; fermant les yeux pour mieux se concentrer, elle avait perdu toute notion de l’endroit où elle se trouvait, trop accaparée par les caresses qu’elle prodiguait à son clitoris tout en faisant coulisser deux doigts dans le fourreau de son vagin. À un moment, entre ses paupières mi-closes, elle aperçut une verge noueuse dont le gland violacé pointait vers elle.
— Branlez-moi, Mademoiselle Frei !
Rosalie était décidément trop excitée pour refuser une telle proposition ; délaissant son vagin, elle tendit une main encore engluée de ses sécrétions intimes en direction de la queue qui pointait vers elle et se mit à faire coulisser ses doigts lubrifiés de cyprine le long de ce membre frémissant. La branleuse continuait de s’astiquer le clitoris tout en fixant d’un regard hagard le membre puissant de son employeur. Quelques gouttes de liquide clair commençaient à s’écouler du gland volumineux qui prenait encore de l’ampleur sous ses attouchements. Georges ne pouvait plus résister longtemps à la montée du plaisir.
— Sur ta chatte, petite salope !
Sans se formaliser du tutoiement ni de l’insulte, Rosalie inclina le membre engorgé en direction de sa vulve, mais pas assez rapidement pour éviter qu’une première giclée ne s’écrase sur son visage, puis une deuxième sur sa robe à la hauteur de ses seins. Elle malmena son clitoris en l’écrasant et en le pinçant jusqu’à ce que le vague de plaisir explose en elle tandis que la verge de son patron continuait à déverser des salves de sperme sur sa vulve, la noyant sous une épaisse couche blanchâtre. Haletant, Georges Pittet contemplait ce tableau d’un érotisme extrême. Rosalie, quant à elle, constatait l’ampleur des dégâts.
— Maître, m’autorisez-vous à faire un peu de toilette ?
— Bien entendu, Mademoiselle.
Mais une idée perverse venait de germer dans son esprit. Avant qu’elle n’ait pu se relever, Rosalie entendit son patron appeler :
— Charlotte, venez donc ici, ma chère…
La porte de communication avec le bureau attenant s’ouvrit, et l’épouse l’avocat pénétra dans ce lieu de débauche. Interloquée, elle s’arrêta après avoir fait quelques pas, prenant conscience de la dépravation qui s’offrait à ses yeux : l’assistante de son mari, affalée dans son fauteuil, la robe retroussée jusqu’à la taille, maculée d’une traînée de foutre sur le visage, d’une autre sur sa robe, et les cuisses ouvertes dans une posture obscène qui dévoilait son entrecuisse recouvert de sperme. Il y en avait tellement qu’il se déversait sur le cuir fauve du fauteuil, et que même un filet opalescent de semence commençait à s’écouler en direction du parquet. La verge encore congestionnée de son mari s’érigeait hors de sa braguette.
— Approchez-vous, Charlotte. Ne pensez-vous pas que notre nouvelle employée présente d’excellentes dispositions pour nous seconder ?
— Certes, mon ami ; je dirais même qu’elle va devenir une assistante indispensable !
— Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire ; je vous la livre.
Vaguement inquiète, Rosalie écoutait ce dialogue surréaliste ; et c’est avec une appréhension certaine qu’elle vit s’approcher cette femme longiligne, aux traits sévères. Elle s’immobilisa devant elle et s’agenouilla ; puis, se penchant vers le bas-ventre de la jeune assistante, la digne avocate se mit à laper la semence de son mari. Elle déglutissait régulièrement, avalant le sperme encore tiède. Son mari lui releva sa jupe et, après avoir dégagé sa triste croupe osseuse, il abaissa sa culotte le long de ses cuisses décharnées. Il se recula de quelques pas pour profiter de cette scène scabreuse : son épouse, après avoir complètement nettoyé l’entrecuisse de Rosalie, continuait de lécher sa vulve. Même si elle était d’une laideur prononcée, l’épouse de son patron était diablement habile de sa langue, preuve d’une longue pratique du cunnilingus ; elle n’en était pas à sa première expérience du broutage de minou !
Maître Pittet – après avoir extrait un gros cigare de son étui métallique – alluma posément le Havane et en tira quelques savoureuses bouffées ; puis, ayant repris le tube de métal, il s’approcha de sa femme, tira sur la peau flasque de ses fesses maigrichonnes afin de les écarter et lui enfonça d’une longue et unique pression soutenue l’étui dans le cul. La perverse avocate, ainsi enculée, se mit à accentuer ses caresses buccales sur la vulve de Rosalie, aspirant son clitoris congestionné tandis qu’elle lui introduisait profondément son pouce dans le vagin tout en lui distendant l’anus de son index accolé à son majeur pendant que son mari faisait aller et venir de plus en plus violemment l’étui du cigare dans son cul. Les deux femmes jouirent simultanément.
— Allez ; au travail, maintenant : les dossiers attendent !
Satisfait, l’avocat se retira dans son bureau, imité ensuite par sa femme. Restée seule, Rosalie se prit à ressentir une certaine frustration. Elle avait certes apprécié le cunnilingus de Charlotte, mais elle aurait souhaité avoir davantage d'interaction physique avec Georges. Ravalant sa frustration, la jeune stagiaire poursuivit ses dossiers jusqu'à la pause de midi. En partant, elle salua poliment ses employeurs et rentra chez elle pour faire le point sur sa première matinée de travail. C'est alors que la jeune femme eut une idée. Elle monta dans sa chambre et retira sa robe.
Nue devant son miroir, Rosalie cherchait dans sa penderie des sous-vêtements susceptibles d'aguicher Maître Pittet. Son choix se porta finalement sur un soutien-gorge rouge et un string assorti. La jeune stagiaire souhaitait vivre beaucoup plus qu'une simple séance de masturbation avec son employeur et, pour cela, elle avait une idée.
La pause de midi terminée, Rosalie retourna au cabinet des Pittet. À son arrivée, Georges et Charlotte lui donnèrent une nouvelle pile de dossiers à examiner. La jeune femme se retira dans son bureau et se mit à analyser les dossiers en attendant le moment opportun pour rejoindre Maître Pittet dans son bureau et lui dévoiler sa surprise.
Vers 16 h, l'occasion que Rosalie espérait tant arriva. Charlotte dut quitter le cabinet de toute urgence afin de se rendre chez un gros client du cabinet qui ne pouvait pas faire le déplacement en raison du peu de temps qu'il avait à disposition pour régler son affaire.
Charlotte dit au revoir à Rosalie et à son mari puis partit. La jeune assistante attendit une vingtaine de minutes afin de s'assurer que Charlotte ne reviendrait pas au mauvais moment. Assurée de l'éloignement de sa patronne, Rosalie se rendit dans le bureau de Georges. Lorsqu'elle frappa à la porte, la voix de son patron lui répondit sèchement d'entrer. La jeune assistante entra.
— Euh... J'ai terminé les dossiers. Avez-vous encore du travail pour moi ? lui demanda-t-elle.
En face, Georges semblait plutôt énervé.
« Probablement une affaire qui n'a pas tourné comme il l'aurait souhaité... » pensa Rosalie.
— Ah... euh... Oh ! Il est bientôt 16 h 30. Je n'avais plus la notion du temps. Non, vous pouvez ranger vos affaires et rentrer chez vous. On se revoit demain.
— Ça va aller, Monsieur ? Vous me semblez un peu nerveux. Est-ce que je peux faire quelque chose ?
— Euh... non, ça va aller.
— Vous en êtes sûr ? Si vous voulez, je peux vous aider à vous détendre.
Rosalie fit lentement glisser la fermeture Éclair de sa robe et laissa le vêtement tomber au sol, dévoilant sa sublime lingerie à Maître Pittet. L'avocat la détailla de pied en cap : une poitrine généreuse, des formes superbement sculptées, des jambes longues et fines ; et tout cela perché sur des talons aiguilles de 10 cm.
L'avocat sourit.
[ à suivre ]
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