Fantasme professionnel VI
Récit érotique écrit par Monsieur V [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fantasme professionnel VI
Chapitre 6
Les deux jeunes femmes sortirent des toilettes en riant du regard de la vieille dame.
— Tu as remarqué sa tête quand elle nous a vues ? Je suis sûre qu'elle n'a jamais connu de cunni. Visiblement, le sexe concerne plus la jeune génération qu'on ne le croit.
— Ne sois pas si catégorique, Manu. Tu vas voir qu'avec mon boss, le sexe, c'est de haut niveau !
— Si tu le dis… On verra bien.
— Fais vite, nous avons déjà un quart d’heure de retard !
Les deux blondes poursuivirent leur chemin jusqu'au cabinet des Pittet. Arrivée à la porte du cabinet d’avocats, Rosalie sonna une fois et entra, Emmanuelle sur ses talons.
Sitôt que les deux jeunes femmes furent entrées, Maître Pittet les accueillit chaleureusement :
— Bonjour, Mademoiselle. Venez dans mon bureau ; mon assistante et moi allons nous occuper de votre affaire.
Emmanuelle y précéda Georges et Rosalie ; Maître Pittet indiqua à sa nouvelle cliente le fauteuil qui faisait face à son bureau et fit signe à Rosalie de prendre note de leurs échanges. L'avocate prit place aux côtés de son employeur et sortit un bloc-notes et un stylo de son sac.
— Bon. Racontez-moi votre histoire, Mademoiselle Perrin. Que se passe-t-il avec vos collègues infirmiers ?
— Eh bien, comme je l'ai dit à votre assistante, mes collègues ont réussi à prendre des photos de moi en sous-vêtements en train de... vous voyez, quoi. Ils me menacent de les mettre sur le bureau du directeur et en profitent pour tenter de me soutirer des fonds.
— Je vois. Mais, comme mon assistante a dû vous le faire savoir, je suis avocat fiscaliste ; par conséquent, votre affaire n'est pas de ma compétence.
— Je le sais, Maître, mais il me fallait un avocat de confiance qui n'essaierait pas de profiter des circonstances particulières de mon affaire pour augmenter outrageusement sa rémunération. De plus, si vous acceptez de me défendre, je vous confierai la gestion de l'intégralité de mes capitaux et – ainsi que mon amie me l’a demandé – c’est votre cabinet qui interviendra en cas de litige entre l’administration fiscale et certains membres de ma famille pour leurs placements, euh… un peu particuliers.
— La confiance : quelque chose d'important ! N'est-ce pas, Mademoiselle Frei ?
— Oui, Maître.
— Bon, laissons cela. Avez-vous ces photos ?
— Oui, j'ai réussi à me les envoyer via le portable de l'un de mes collègues que j'ai subtilisé pendant ma pause.
— Vous pouvez me les montrer ?
— Bien sûr. Tenez.
Emmanuelle montra l'écran à Georges qui émit un sifflement admiratif.
— Eh bien, vous êtes plutôt attirante... Un peu comme votre amie. Vous devriez venir travailler chez nous : ici, vous ne risqueriez pas d’être soumise à un chantage ! Bon, assez plaisanté. Je vais stocker vos photos dans mon ordinateur et voir ce que nous pourrons en faire. En attendant, ne commettez pas la moindre imprudence jusqu'à ce que cette affaire soit réglée. Je reviens tout de suite.
L'avocat se saisit du téléphone d'Emmanuelle et d'un câble USB puis il quitta la pièce, laissant seules Rosalie et Emmanuelle. La jeune assistante fit glisser la fermeture Éclair de son pantalon et appela son amie.
— Allez, viens. Il faut montrer à mon boss que tu es portée sur le sexe pour qu'il te remarque. Tu crois que j'ai fait comment pour qu'il m'honore autant ?
Sans répondre, Emmanuelle passa derrière le bureau de Maître Pittet et fit tomber la petite culotte de son amie au sol. La jeune infirmière passa une main dans le dos de l'avocate et posa son autre main sur l’une de ses cuisses, puis elle approcha son visage du sexe de Rosalie et fit pointer sa langue.
Dès qu’elle fut en contact avec le calice déjà suintant, l'infirmière se mit à l'embrasser amoureusement, le parcourant d’une langue habile. L'avocate poussa un gémissement de plaisir alors qu’un ruissellement de cyprine s’écoulait dans la bouche de son amie.
— Allons-y, Manu ; passons aux choses sérieuses.
Rosalie repoussa la tête de son amie et défit les boutons de son chemisier, faisant jaillir deux seins lourds sous les yeux d'Emmanuelle. Après avoir enlevé son chemisier, l'avocate enlaça l'infirmière, appliqua ses lèvres sur les siennes en un sulfureux baiser que celle-ci lui rendit.
Au bout de quelques secondes, les deux blondes interrompirent leur baiser.
— Tu es encore trop habillée, Manu. Vas-y, montre-moi tes attributs. J'ai envie de toi.
Sans se faire prier, Emmanuelle fit glisser le zip de son pantalon qu'elle laissa tomber au sol et souleva son tee-shirt, dévoilant deux mignons petits seins bien fermes. Les deux femmes s'enlacèrent à nouveau mais, au moment où elles allaient s'embrasser, la porte du bureau s'ouvrit avec fracas, livrant passage à Georges.
— Magnifique, Mademoiselle Frei ! J'ai cru que vous n'arriveriez jamais à sortir votre amie de sa bulle. Je ne vous savais pas aussi dévergondée et libérale... C'est tout à votre honneur.
Rosalie fit un clin d'œil discret à Emmanuelle et s'adressa à Maître Pittet :
— Ne vous formalisez pas, Maître ; Emmanuelle est bisexuelle. Je lui ai parlé de notre relation et elle m'a avoué qu'elle aimerait également beaucoup vous connaître.
— Je vois ; mais ça ne se fera pas dans l’immédiat : j'ai d'autres projets pour vous deux. De plus, je constate que vous arrivez avec un quart d’heure de retard ; la ponctualité est une valeur fondamentale : en conséquence, je vais devoir vous punir, Mademoiselle Frei, et je ne ferai pas d'exception à cause de votre joli minois. Quant à vous, Mademoiselle Perrin, j'ai également quelqu'un d'autre à vous présenter
Il poursuivit en élevant la voix :
— Charlotte, ma chère, veuillez nous rejoindre dans mon bureau.
La porte capitonnée s’ouvrit sans bruit, laissant apparaître l’épouse de Georges Pittet, une quinquagénaire aux formes longilignes. Elle s’immobilisa sur le seuil, jeta un bref regard à l’intérieur du bureau lambrissé puis, avisant Emmanuelle, elle se mit à la détailler avec une attention soutenue. Cette fille lui rappelait celle qu’elle avait été trente ans auparavant : très mince – voire maigre – mais sa jeunesse resplendissante la rendait désirable.
Charlotte se remémora sa propre splendeur à l’époque où elle avait connu celui qui allait devenir son mari ; mais toutes ces années passées dans leur cabinet feutré à compulser des dossiers et à plaider des causes inintéressantes dans des prétoires austères l’avaient fanée avant l’âge. Et puis son mari volage s’était rapidement détourné d’elle, passant d’une conquête à l’autre ; elle avait alors assouvi ses envies de sexe en fréquentant des clubs très privés où la bourgeoisie de Fribourg s’adonnait au libertinage au cours de soirées très chaudes… Très vite, elle s’était détournée des hommes, trop égoïstes à son goût, lorsqu’elle connut le plaisir que pouvaient lui procurer des rapports lesbiens ; c’est à cette occasion qu’elle se découvrit un penchant pour le sadisme. C’est donc avec une excitation non dissimulée qu’elle entendit son mari lui annoncer :
— Ma chère, notre jeune recrue ne présente pas toutes les qualités requises pour collaborer efficacement avec nous : elle s’est permis d’arriver avec quinze minutes de retard au rendez-vous que nous avions fixé. Vous allez devoir punir comme il se doit cette jeune effrontée. Allez vous préparer, je vous prie…
Sans rien dire, Charlotte fit demi-tour et sortit du bureau de son mari.
— Mademoiselle Frei, installez-vous sur le canapé… Non, pas assise : à genoux. Et relevez votre jupe ! Plus haut ; et cambrez votre postérieur… Voilà, comme ça.
C’est dans cette position humiliante que Rosalie dut attendre pendant quelques minutes le retour de Charlotte Pittet. Lorsqu’elle revint dans le bureau, elle était totalement transformée : la quinquagénaire effacée s’était muée en une Amazone autoritaire harnachée de cuir noir agrémenté d’attaches métalliques qui luisaient dans la semi-obscurité du bureau. Ses jambes étaient dissimulées par de hautes cuissardes aux talons vertigineux et un phallus factice triomphant s’érigeait au niveau de son bassin.
Un rictus sadique s’afficha sur son visage alors qu’elle s’approchait de Rosalie, une cravache à la main…
[ à suivre ]
Les deux jeunes femmes sortirent des toilettes en riant du regard de la vieille dame.
— Tu as remarqué sa tête quand elle nous a vues ? Je suis sûre qu'elle n'a jamais connu de cunni. Visiblement, le sexe concerne plus la jeune génération qu'on ne le croit.
— Ne sois pas si catégorique, Manu. Tu vas voir qu'avec mon boss, le sexe, c'est de haut niveau !
— Si tu le dis… On verra bien.
— Fais vite, nous avons déjà un quart d’heure de retard !
Les deux blondes poursuivirent leur chemin jusqu'au cabinet des Pittet. Arrivée à la porte du cabinet d’avocats, Rosalie sonna une fois et entra, Emmanuelle sur ses talons.
Sitôt que les deux jeunes femmes furent entrées, Maître Pittet les accueillit chaleureusement :
— Bonjour, Mademoiselle. Venez dans mon bureau ; mon assistante et moi allons nous occuper de votre affaire.
Emmanuelle y précéda Georges et Rosalie ; Maître Pittet indiqua à sa nouvelle cliente le fauteuil qui faisait face à son bureau et fit signe à Rosalie de prendre note de leurs échanges. L'avocate prit place aux côtés de son employeur et sortit un bloc-notes et un stylo de son sac.
— Bon. Racontez-moi votre histoire, Mademoiselle Perrin. Que se passe-t-il avec vos collègues infirmiers ?
— Eh bien, comme je l'ai dit à votre assistante, mes collègues ont réussi à prendre des photos de moi en sous-vêtements en train de... vous voyez, quoi. Ils me menacent de les mettre sur le bureau du directeur et en profitent pour tenter de me soutirer des fonds.
— Je vois. Mais, comme mon assistante a dû vous le faire savoir, je suis avocat fiscaliste ; par conséquent, votre affaire n'est pas de ma compétence.
— Je le sais, Maître, mais il me fallait un avocat de confiance qui n'essaierait pas de profiter des circonstances particulières de mon affaire pour augmenter outrageusement sa rémunération. De plus, si vous acceptez de me défendre, je vous confierai la gestion de l'intégralité de mes capitaux et – ainsi que mon amie me l’a demandé – c’est votre cabinet qui interviendra en cas de litige entre l’administration fiscale et certains membres de ma famille pour leurs placements, euh… un peu particuliers.
— La confiance : quelque chose d'important ! N'est-ce pas, Mademoiselle Frei ?
— Oui, Maître.
— Bon, laissons cela. Avez-vous ces photos ?
— Oui, j'ai réussi à me les envoyer via le portable de l'un de mes collègues que j'ai subtilisé pendant ma pause.
— Vous pouvez me les montrer ?
— Bien sûr. Tenez.
Emmanuelle montra l'écran à Georges qui émit un sifflement admiratif.
— Eh bien, vous êtes plutôt attirante... Un peu comme votre amie. Vous devriez venir travailler chez nous : ici, vous ne risqueriez pas d’être soumise à un chantage ! Bon, assez plaisanté. Je vais stocker vos photos dans mon ordinateur et voir ce que nous pourrons en faire. En attendant, ne commettez pas la moindre imprudence jusqu'à ce que cette affaire soit réglée. Je reviens tout de suite.
L'avocat se saisit du téléphone d'Emmanuelle et d'un câble USB puis il quitta la pièce, laissant seules Rosalie et Emmanuelle. La jeune assistante fit glisser la fermeture Éclair de son pantalon et appela son amie.
— Allez, viens. Il faut montrer à mon boss que tu es portée sur le sexe pour qu'il te remarque. Tu crois que j'ai fait comment pour qu'il m'honore autant ?
Sans répondre, Emmanuelle passa derrière le bureau de Maître Pittet et fit tomber la petite culotte de son amie au sol. La jeune infirmière passa une main dans le dos de l'avocate et posa son autre main sur l’une de ses cuisses, puis elle approcha son visage du sexe de Rosalie et fit pointer sa langue.
Dès qu’elle fut en contact avec le calice déjà suintant, l'infirmière se mit à l'embrasser amoureusement, le parcourant d’une langue habile. L'avocate poussa un gémissement de plaisir alors qu’un ruissellement de cyprine s’écoulait dans la bouche de son amie.
— Allons-y, Manu ; passons aux choses sérieuses.
Rosalie repoussa la tête de son amie et défit les boutons de son chemisier, faisant jaillir deux seins lourds sous les yeux d'Emmanuelle. Après avoir enlevé son chemisier, l'avocate enlaça l'infirmière, appliqua ses lèvres sur les siennes en un sulfureux baiser que celle-ci lui rendit.
Au bout de quelques secondes, les deux blondes interrompirent leur baiser.
— Tu es encore trop habillée, Manu. Vas-y, montre-moi tes attributs. J'ai envie de toi.
Sans se faire prier, Emmanuelle fit glisser le zip de son pantalon qu'elle laissa tomber au sol et souleva son tee-shirt, dévoilant deux mignons petits seins bien fermes. Les deux femmes s'enlacèrent à nouveau mais, au moment où elles allaient s'embrasser, la porte du bureau s'ouvrit avec fracas, livrant passage à Georges.
— Magnifique, Mademoiselle Frei ! J'ai cru que vous n'arriveriez jamais à sortir votre amie de sa bulle. Je ne vous savais pas aussi dévergondée et libérale... C'est tout à votre honneur.
Rosalie fit un clin d'œil discret à Emmanuelle et s'adressa à Maître Pittet :
— Ne vous formalisez pas, Maître ; Emmanuelle est bisexuelle. Je lui ai parlé de notre relation et elle m'a avoué qu'elle aimerait également beaucoup vous connaître.
— Je vois ; mais ça ne se fera pas dans l’immédiat : j'ai d'autres projets pour vous deux. De plus, je constate que vous arrivez avec un quart d’heure de retard ; la ponctualité est une valeur fondamentale : en conséquence, je vais devoir vous punir, Mademoiselle Frei, et je ne ferai pas d'exception à cause de votre joli minois. Quant à vous, Mademoiselle Perrin, j'ai également quelqu'un d'autre à vous présenter
Il poursuivit en élevant la voix :
— Charlotte, ma chère, veuillez nous rejoindre dans mon bureau.
La porte capitonnée s’ouvrit sans bruit, laissant apparaître l’épouse de Georges Pittet, une quinquagénaire aux formes longilignes. Elle s’immobilisa sur le seuil, jeta un bref regard à l’intérieur du bureau lambrissé puis, avisant Emmanuelle, elle se mit à la détailler avec une attention soutenue. Cette fille lui rappelait celle qu’elle avait été trente ans auparavant : très mince – voire maigre – mais sa jeunesse resplendissante la rendait désirable.
Charlotte se remémora sa propre splendeur à l’époque où elle avait connu celui qui allait devenir son mari ; mais toutes ces années passées dans leur cabinet feutré à compulser des dossiers et à plaider des causes inintéressantes dans des prétoires austères l’avaient fanée avant l’âge. Et puis son mari volage s’était rapidement détourné d’elle, passant d’une conquête à l’autre ; elle avait alors assouvi ses envies de sexe en fréquentant des clubs très privés où la bourgeoisie de Fribourg s’adonnait au libertinage au cours de soirées très chaudes… Très vite, elle s’était détournée des hommes, trop égoïstes à son goût, lorsqu’elle connut le plaisir que pouvaient lui procurer des rapports lesbiens ; c’est à cette occasion qu’elle se découvrit un penchant pour le sadisme. C’est donc avec une excitation non dissimulée qu’elle entendit son mari lui annoncer :
— Ma chère, notre jeune recrue ne présente pas toutes les qualités requises pour collaborer efficacement avec nous : elle s’est permis d’arriver avec quinze minutes de retard au rendez-vous que nous avions fixé. Vous allez devoir punir comme il se doit cette jeune effrontée. Allez vous préparer, je vous prie…
Sans rien dire, Charlotte fit demi-tour et sortit du bureau de son mari.
— Mademoiselle Frei, installez-vous sur le canapé… Non, pas assise : à genoux. Et relevez votre jupe ! Plus haut ; et cambrez votre postérieur… Voilà, comme ça.
C’est dans cette position humiliante que Rosalie dut attendre pendant quelques minutes le retour de Charlotte Pittet. Lorsqu’elle revint dans le bureau, elle était totalement transformée : la quinquagénaire effacée s’était muée en une Amazone autoritaire harnachée de cuir noir agrémenté d’attaches métalliques qui luisaient dans la semi-obscurité du bureau. Ses jambes étaient dissimulées par de hautes cuissardes aux talons vertigineux et un phallus factice triomphant s’érigeait au niveau de son bassin.
Un rictus sadique s’afficha sur son visage alors qu’elle s’approchait de Rosalie, une cravache à la main…
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