Fantasme professionnel V
Récit érotique écrit par Monsieur V [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fantasme professionnel V
[ Chapitre : 1 - 2 - 3 - 4 ]
— Très bien, Maître. Je vais vous arranger un rendez-vous avec elle. M'autorisez-vous à prolonger ma pause afin que je puisse la préparer ?
— Bien sûr, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais n'échouez pas !
— Oui, Maître.
Rosalie regagna son bureau et composa le numéro de son amie.
— Allô, Emmanuelle ? J'aimerais te parler de ton affaire. Non, pas au téléphone. Si on se retrouvait à Intrigo ? Nous y serons mieux pour parler. Je suis en pause jusqu'à 17 heures. On fait comme ça ? Tout de suite, devant Intrigo ? OK, ça marche. À plus.
Après avoir raccroché, la jeune assistante frappa à la porte de son employeur et pénétra dans son bureau.
— J'ai rendez-vous avec Emmanuelle à Intrigo. Comme elle est plutôt pressée et pas mal stressée, elle veut me voir immédiatement. Ça ne vous dérange pas, Maître ?
— Du tout, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais je veux que votre amie devienne notre cliente. Vous comme moi ne pouvons pas nous permettre de laisser passer une telle opportunité. Et n'oubliez pas : préparez-la comme il se doit…
– Comme vous voudrez, Maître.
Rosalie sortit du bureau, passa son manteau sur ses épaules et sortit du cabinet. La jeune femme marcha élégamment le long de la rue de Romont, faisant claquer ses talons sur le sol à chacun de ses pas. Elle descendit ensuite la rue de Lausanne jusqu'au point de rendez-vous.
À son arrivée, Rosalie remarqua la présence d'une grande jeune femme longiligne – aussi mince que les mannequins actuels – à la longue chevelure légèrement ondulée d’un blond foncé, au visage émacié doté d’une bouche charnue aux lèvres pulpeuses, illuminé par deux immenses yeux verts. La jeune femme se dirigea vers elle et lui fit la bise.
— Salut, Rosalie. Ça va ?
— Oui, très bien. Et toi ?
— Ça va.
— On va se prendre une glace ? J'ai toujours eu envie de goûter leur glace aux "Ferrero Rocher".
Les deux blondes entrèrent dans la boutique et commandèrent chacune une boule de glace, que le serveur leur mit dans un charmant petit gobelet en plastique aux couleurs de la maison. Rosalie le remercia et guida son amie à l'étage. Elles s'assirent à une table près de la fenêtre, se garantissant ainsi une certaine intimité.
— Alors, Emmanuelle ? Qu'est-ce qu'il se passe dans ton hôpital ?
— Je te l'ai déjà dit : des infirmiers m'ont photographiée pendant que je me changeais. Et maintenant, ils me forcent à leur faire du bien en menaçant de donner les photos au directeur.
— Tu en es sûre ? Parce que des photos en sous-vêtements, en Droit, ce n'est guère compromettant. Tu étais juste en sous-vêtements ou tu en profitais pour te caresser ?
— Tu sais que tu pourrais être procureur, toi ? Oui, je l'avoue : je me suis masturbée une fois avant de mettre ma blouse. D’ailleurs, j’ai ces fameuses photos sur moi ; les voici.
Elle sortit son smartphone de son sac à main et, après avoir cherché dans les répertoires, elle afficha sur l’écran la première d’entre elles et tendit l’appareil à Rosalie. Cette photo n’était pas compromettante du tout : on voyait Emmanuelle déambuler en justaucorps noir largement échancré au niveau des hanches, une blouse blanche à la main.
— Ce n’est que ça ?
— Attends de voir les autres…
En effet, la suivante était beaucoup plus suggestive : Emmanuelle était à présent assise par terre ; son sein droit était visible, et le téton qui pointait ne laissait aucun doute sur son état d’excitation. Mais ce qui attirait le regard, c’était la vulve aux lèvres gonflées que dévoilait l’entrejambe du justaucorps qui avait été tiré sur le côté. Quant à la troisième photo, elle ne laissait aucun doute sur l’occupation à laquelle Emmanuelle était en train de se livrer, les seins à nu et deux doigts dans la chatte.
— En effet, c’est très compromettant, tout ça… Eh bien, c’est d'accord. J'ai parlé de ton affaire à mon patron.
— Et ? Il est d'accord de m'aider ?
— Oui, mais il est avocat fiscaliste. Ton affaire n'a rien à voir avec son domaine de compétences. Il a accepté, mais uniquement si tu acceptes de lui confier tes capitaux et, surtout, que ta famille accepte de se faire défendre par lui si l’administration fiscale venait à s’intéresser à ses placements offshore, si tu vois ce que je veux dire… ajouta-t-elle avec un petit clin d’œil complice qui voulait en dire long.
— Ah, c’est vrai… Je n’aurais peut-être pas dû te parler de ces comptes bancaires au Luxembourg et à l’Île de Man ; alors, si c’est comme ça, tu as mon accord pour la gestion de mes propres capitaux. En ce qui concerne les placements de ma famille, je me charge d’obtenir son assentiment en cas de problèmes avec le fisc.
— Parfait. Il ne te reste plus qu'à prendre rendez-vous ; et il se trouve que mon patron est libre cet après-midi.
— OK. J'irai le voir... Au fait, il est comment ?
— Sacrée coquine ! Eh bien, c'est un type dans la cinquantaine, charmant, bien bâti...
— Bien bâti ? Tu couches avec lui ?!
— Pas exactement. Je lui fais des fellations et des masturbations, mais il ne m'a jamais pénétrée. Il est marié.
— Et sa femme ? Elle sait que tu couches avec lui ? Je ne pense pas, sinon elle t'aurait déjà virée.
— Virée ? Tu parles ! C'est mon patron, Georges, qui décide de tout dans ce cabinet. Elle nous a surpris ensemble dès notre première fois et... Devine ce qu'elle a fait... Elle m'a léché la chatte sur ordre de son mari. Complètement soumise, si tu veux mon avis.
— Hum... J'ai hâte de connaître ton boss.
Les deux jeunes femmes finirent de manger leur glace tout en se racontant leur parcours professionnel. Rosalie dit à Emmanuelle comment son patron l'avait surprise en train de se masturber sous son bureau, et comment leur relation était née. Emmanuelle, elle, raconta à Rosalie les innombrables écarts de son patron avec d’autres infirmières qu'elle avait surpris durant ses heures de garde.
Avant de se séparer, elles se rendirent aux toilettes de la gare toute proche afin de réparer les dommages causés par leur gourmandise. Alors que Rosalie s’appliquait une couche de rouge à lèvres, elle croisa dans le grand miroir le regard émeraude de son amie, qui semblait un peu gênée.
— Dis, Rosalie, je n’avais jamais eu l’occasion de t’en parler, mais je suis bi. Et depuis que tu m’as dit que tu t’es laissé lécher le minou par cette vieille rombière, j’aimerais bien te faire la même chose…
Surprise, la jeune avocate se mit à réfléchir à cette proposition. « C’est vrai, l’épouse de Georges n’est vraiment pas attirante ; même si je me suis laissé faire uniquement par intérêt, pour m’attirer les bonnes grâces de mon patron, elle a su me donner du plaisir. Là, je n’ai rien à y gagner, puisqu’Emmanuelle m’a donné son accord ; mais elle est tellement belle, et ses photos m’ont bien excitée… Rien qu’à imaginer sa bouche pulpeuse sur mes lèvres intimes, j’en mouille déjà ! Bon. Cette fois-ci, ce sera uniquement pour le plaisir ! ».
Elle ne répondit pas, mais se dirigea vers l’une des cabines, y entra, releva sa robe jusqu’à la taille et s’assit sur la cuvette. Elle écarta ses jambes gainées de bas sombres retenus par un porte-jarretelles noir et, tirant sur son string pour laisser apparaître sa vulve ruisselante, elle prononça d’une voix que l’excitation rendait rauque cette parole qu’Emmanuelle espérait :
— Viens…
Ses talons claquèrent sur le sol carrelé lorsqu’elle se précipita pour répondre à l’appel de son amie et, dès qu’elle eût refermé la porte de la cabine, elle se mit aussitôt à genoux et s’approcha de cette fleur vénéneuse pour la humer. Puis, pointant la langue, elle effleura la fissure intime de bas en haut à plusieurs reprises avant d’en introduire l’extrémité juste à l’entrée du vagin de Rosalie, qui commençait à haleter sous les caresses subtiles. Puis elle se mit à aspirer les petites lèvres à l’intérieur de sa bouche tout en les caressant de sa langue habile ; la jeune avocate ne pouvait plus retenir ses râles de plaisir, qui se transformèrent en un long gémissement lorsqu’Emmanuelle se mit à téter le clitoris de son amie. Rosalie sentait l’orgasme monter en elle, tout proche…
— Non ! Arrête ! Tu n’as pas le droit !
Elle venait de surprendre son amie en train de se caresser entre les cuisses.
— Pas maintenant : tu attendras d’être chez mon patron pour jouir. Pour l’instant, occupe-toi seulement de moi.
Elle suivait à la lettre la recommandation de Georges : « Préparez-la comme il se doit. ».
Un peu frustrée, Emmanuelle se remit à téter le clitoris de son amie, et lorsqu’elle la sentit sur le point de jouir, elle lui introduisit deux doigts dans le vagin pour caresser son point G ; Rosalie explosa dans un long feulement.
Elle dut attendre quelques minutes pour que les battements désordonnés de son cœur se calment, puis elle rajusta ses vêtements.
Lorsqu’elles sortirent ensemble de la cabine, elles eurent à subir le regard réprobateur d’une vieille bourgeoise aigrie qui se repoudrait le nez devant le miroir.
— Et maintenant, après le cabinet de toilette, le cabinet d’avocats ! Allons retrouver Maître Pittet.
— Très bien, Maître. Je vais vous arranger un rendez-vous avec elle. M'autorisez-vous à prolonger ma pause afin que je puisse la préparer ?
— Bien sûr, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais n'échouez pas !
— Oui, Maître.
Rosalie regagna son bureau et composa le numéro de son amie.
— Allô, Emmanuelle ? J'aimerais te parler de ton affaire. Non, pas au téléphone. Si on se retrouvait à Intrigo ? Nous y serons mieux pour parler. Je suis en pause jusqu'à 17 heures. On fait comme ça ? Tout de suite, devant Intrigo ? OK, ça marche. À plus.
Après avoir raccroché, la jeune assistante frappa à la porte de son employeur et pénétra dans son bureau.
— J'ai rendez-vous avec Emmanuelle à Intrigo. Comme elle est plutôt pressée et pas mal stressée, elle veut me voir immédiatement. Ça ne vous dérange pas, Maître ?
— Du tout, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais je veux que votre amie devienne notre cliente. Vous comme moi ne pouvons pas nous permettre de laisser passer une telle opportunité. Et n'oubliez pas : préparez-la comme il se doit…
– Comme vous voudrez, Maître.
Rosalie sortit du bureau, passa son manteau sur ses épaules et sortit du cabinet. La jeune femme marcha élégamment le long de la rue de Romont, faisant claquer ses talons sur le sol à chacun de ses pas. Elle descendit ensuite la rue de Lausanne jusqu'au point de rendez-vous.
À son arrivée, Rosalie remarqua la présence d'une grande jeune femme longiligne – aussi mince que les mannequins actuels – à la longue chevelure légèrement ondulée d’un blond foncé, au visage émacié doté d’une bouche charnue aux lèvres pulpeuses, illuminé par deux immenses yeux verts. La jeune femme se dirigea vers elle et lui fit la bise.
— Salut, Rosalie. Ça va ?
— Oui, très bien. Et toi ?
— Ça va.
— On va se prendre une glace ? J'ai toujours eu envie de goûter leur glace aux "Ferrero Rocher".
Les deux blondes entrèrent dans la boutique et commandèrent chacune une boule de glace, que le serveur leur mit dans un charmant petit gobelet en plastique aux couleurs de la maison. Rosalie le remercia et guida son amie à l'étage. Elles s'assirent à une table près de la fenêtre, se garantissant ainsi une certaine intimité.
— Alors, Emmanuelle ? Qu'est-ce qu'il se passe dans ton hôpital ?
— Je te l'ai déjà dit : des infirmiers m'ont photographiée pendant que je me changeais. Et maintenant, ils me forcent à leur faire du bien en menaçant de donner les photos au directeur.
— Tu en es sûre ? Parce que des photos en sous-vêtements, en Droit, ce n'est guère compromettant. Tu étais juste en sous-vêtements ou tu en profitais pour te caresser ?
— Tu sais que tu pourrais être procureur, toi ? Oui, je l'avoue : je me suis masturbée une fois avant de mettre ma blouse. D’ailleurs, j’ai ces fameuses photos sur moi ; les voici.
Elle sortit son smartphone de son sac à main et, après avoir cherché dans les répertoires, elle afficha sur l’écran la première d’entre elles et tendit l’appareil à Rosalie. Cette photo n’était pas compromettante du tout : on voyait Emmanuelle déambuler en justaucorps noir largement échancré au niveau des hanches, une blouse blanche à la main.
— Ce n’est que ça ?
— Attends de voir les autres…
En effet, la suivante était beaucoup plus suggestive : Emmanuelle était à présent assise par terre ; son sein droit était visible, et le téton qui pointait ne laissait aucun doute sur son état d’excitation. Mais ce qui attirait le regard, c’était la vulve aux lèvres gonflées que dévoilait l’entrejambe du justaucorps qui avait été tiré sur le côté. Quant à la troisième photo, elle ne laissait aucun doute sur l’occupation à laquelle Emmanuelle était en train de se livrer, les seins à nu et deux doigts dans la chatte.
— En effet, c’est très compromettant, tout ça… Eh bien, c’est d'accord. J'ai parlé de ton affaire à mon patron.
— Et ? Il est d'accord de m'aider ?
— Oui, mais il est avocat fiscaliste. Ton affaire n'a rien à voir avec son domaine de compétences. Il a accepté, mais uniquement si tu acceptes de lui confier tes capitaux et, surtout, que ta famille accepte de se faire défendre par lui si l’administration fiscale venait à s’intéresser à ses placements offshore, si tu vois ce que je veux dire… ajouta-t-elle avec un petit clin d’œil complice qui voulait en dire long.
— Ah, c’est vrai… Je n’aurais peut-être pas dû te parler de ces comptes bancaires au Luxembourg et à l’Île de Man ; alors, si c’est comme ça, tu as mon accord pour la gestion de mes propres capitaux. En ce qui concerne les placements de ma famille, je me charge d’obtenir son assentiment en cas de problèmes avec le fisc.
— Parfait. Il ne te reste plus qu'à prendre rendez-vous ; et il se trouve que mon patron est libre cet après-midi.
— OK. J'irai le voir... Au fait, il est comment ?
— Sacrée coquine ! Eh bien, c'est un type dans la cinquantaine, charmant, bien bâti...
— Bien bâti ? Tu couches avec lui ?!
— Pas exactement. Je lui fais des fellations et des masturbations, mais il ne m'a jamais pénétrée. Il est marié.
— Et sa femme ? Elle sait que tu couches avec lui ? Je ne pense pas, sinon elle t'aurait déjà virée.
— Virée ? Tu parles ! C'est mon patron, Georges, qui décide de tout dans ce cabinet. Elle nous a surpris ensemble dès notre première fois et... Devine ce qu'elle a fait... Elle m'a léché la chatte sur ordre de son mari. Complètement soumise, si tu veux mon avis.
— Hum... J'ai hâte de connaître ton boss.
Les deux jeunes femmes finirent de manger leur glace tout en se racontant leur parcours professionnel. Rosalie dit à Emmanuelle comment son patron l'avait surprise en train de se masturber sous son bureau, et comment leur relation était née. Emmanuelle, elle, raconta à Rosalie les innombrables écarts de son patron avec d’autres infirmières qu'elle avait surpris durant ses heures de garde.
Avant de se séparer, elles se rendirent aux toilettes de la gare toute proche afin de réparer les dommages causés par leur gourmandise. Alors que Rosalie s’appliquait une couche de rouge à lèvres, elle croisa dans le grand miroir le regard émeraude de son amie, qui semblait un peu gênée.
— Dis, Rosalie, je n’avais jamais eu l’occasion de t’en parler, mais je suis bi. Et depuis que tu m’as dit que tu t’es laissé lécher le minou par cette vieille rombière, j’aimerais bien te faire la même chose…
Surprise, la jeune avocate se mit à réfléchir à cette proposition. « C’est vrai, l’épouse de Georges n’est vraiment pas attirante ; même si je me suis laissé faire uniquement par intérêt, pour m’attirer les bonnes grâces de mon patron, elle a su me donner du plaisir. Là, je n’ai rien à y gagner, puisqu’Emmanuelle m’a donné son accord ; mais elle est tellement belle, et ses photos m’ont bien excitée… Rien qu’à imaginer sa bouche pulpeuse sur mes lèvres intimes, j’en mouille déjà ! Bon. Cette fois-ci, ce sera uniquement pour le plaisir ! ».
Elle ne répondit pas, mais se dirigea vers l’une des cabines, y entra, releva sa robe jusqu’à la taille et s’assit sur la cuvette. Elle écarta ses jambes gainées de bas sombres retenus par un porte-jarretelles noir et, tirant sur son string pour laisser apparaître sa vulve ruisselante, elle prononça d’une voix que l’excitation rendait rauque cette parole qu’Emmanuelle espérait :
— Viens…
Ses talons claquèrent sur le sol carrelé lorsqu’elle se précipita pour répondre à l’appel de son amie et, dès qu’elle eût refermé la porte de la cabine, elle se mit aussitôt à genoux et s’approcha de cette fleur vénéneuse pour la humer. Puis, pointant la langue, elle effleura la fissure intime de bas en haut à plusieurs reprises avant d’en introduire l’extrémité juste à l’entrée du vagin de Rosalie, qui commençait à haleter sous les caresses subtiles. Puis elle se mit à aspirer les petites lèvres à l’intérieur de sa bouche tout en les caressant de sa langue habile ; la jeune avocate ne pouvait plus retenir ses râles de plaisir, qui se transformèrent en un long gémissement lorsqu’Emmanuelle se mit à téter le clitoris de son amie. Rosalie sentait l’orgasme monter en elle, tout proche…
— Non ! Arrête ! Tu n’as pas le droit !
Elle venait de surprendre son amie en train de se caresser entre les cuisses.
— Pas maintenant : tu attendras d’être chez mon patron pour jouir. Pour l’instant, occupe-toi seulement de moi.
Elle suivait à la lettre la recommandation de Georges : « Préparez-la comme il se doit. ».
Un peu frustrée, Emmanuelle se remit à téter le clitoris de son amie, et lorsqu’elle la sentit sur le point de jouir, elle lui introduisit deux doigts dans le vagin pour caresser son point G ; Rosalie explosa dans un long feulement.
Elle dut attendre quelques minutes pour que les battements désordonnés de son cœur se calment, puis elle rajusta ses vêtements.
Lorsqu’elles sortirent ensemble de la cabine, elles eurent à subir le regard réprobateur d’une vieille bourgeoise aigrie qui se repoudrait le nez devant le miroir.
— Et maintenant, après le cabinet de toilette, le cabinet d’avocats ! Allons retrouver Maître Pittet.
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