Françoise et Zita - histoire érotique

Françoise a 30 ans tout juste. C'est un femme très élégante, toujours bien vêtue . Elle est blonde aux yeux bleus outremer. Mais elle n'est pas fière de sa beauté naturelle ni son allure très distinguée. Elle est relativement grande: 1m 70 pour 60 kilos, fait une taille de 9Oc,60,,90: une femme comme beaucoup d'hommes aimeraient avoir dans leur lit.
Zita a aussi 30 ans. mais au contraire de Françoise elle n'aime pas porter la toilette. Pour elle un simple jeans et un t-shirt font l'affaire. Elle à les même mensurations que Françoise.
Elles sont voisines. Françoise loge au premier étage d'un bel immeuble et Zita loge en face dans un aussi bel immeuble. Leurs fenêtres se font face. on peu, si on est curieux voir ce qui se passe chez l'autre sans problème.
Un soir d'été les fenêtres étaient ouvertes et bien sur les vues en face en étaient facilitées.
Zita prenait le frais à son petit balcon lorqu'elle vit se qui se passait en face. Françoise recevait du monde, lui semblait-il. Pourtant si Françoise recevait ce n'tait pas à proprement parler du monde: c'était un couple d'ami qui venaient passer la soirée chez elle. Or ce couple venait chez Françoise pour la première fois. Ils se connaissaient depuis plusieurs semaine: Ils fréquentaient les même lieux: les hommes et les couples payaient seulement à l'entrée de ce club privé et les femmes seules rentraient gratuitement. Ils avaient baiser ensemble plusieurs fois et là Françoise rencontrait pour la première fois chez elle ce couple d'amant qui s'étaient plus et qui, sur le plan sexuel s'entendaient à merveille avec le gouts de Françoise.
Au bout d'un petit moment avec la chaleur, les invités décident de se mettre à l'aise: c'est à dire lui entièrement nu, les deux femmes en simple string.
Zita voyant celà en fut excitée, la vue du sexe énorme au repos du mari lui donnait des envies de sexe. Mais étant seule elle ne pouvait pas faire grand chose. Chez Françoise les événement allaient très vite les femmes s'embrassaient et l'homme bandait: la vue du sexe qui était devenu réellement très gros excitée encore plus Zita. Elle mouillait tellement qu'elle n'y tenait plus: il fallait qu'elle se branle mais en même temps elle ne voulait rien perdre du spectacle d'en face. Elle calait son corps contre une saillie du mur pour être à peu près à l'aise et tranquillement Elle se masturbait, sans se rendre compte que la femme de celui qui bandait l'a voyait. Celle-ci en faisait part à son amante qui connaissait de vue Zita.
Elle proposait d'aller l'inviter. Françoise mis sir elle un simple peignoir pour aller chez sa voisine d'en face. Elle sonnait à la porte et Zita surprise dans sa masturbation en eu l'excitation coupée. Elle se mettait elle aussi un peignoir pour aller ouvrir sa porte. Elle fut surprise pas la venue de sa voisine qui venait tout simplement l'inviter à partager disait-elle ses agapes. Connaissant le but de l'invitation; Zita acceptait aussitôt. Elles traversaient la rue, lorsque Françoise ouvrait son peignoir pour paraître comme elle était: entièrement n u. Mais Zita ne pensait qu'à cette grosse bite qu'elle rêvait d'avoir en elle.
A peine rentrées dans l'appartement les deux femmes furent acceuillies comme les reines de la soirée: elles furent embrassées sur la bouche par le couple, toujours nu. Enfin les choses sérieuses commençaient . Zita que l'homme ne connaissait pas eu droit à ses égards. Il l'embrassait profondément Elle répondait à ses baisers il lui mettait les mains sur les fesses pour bien se ciller à elle pour qu'elle sente bien la puissance de sa bite. Il en profitait aussi pour passer un doigt dans la raie des fesses. Zita acceptait ses caresse et lui rendait certaine d'entre elle: elle lui cherchait le cul pour y mettre aussi ses doigts.
Pendant ce temps, Françoise s'occupait avec le femme de l'hôte.les deux filles avaient dépasser le stade des baisers et se caressaient les seins et commençaient à se branler. Zita qui n'avait jamais vus deux fille faire l'amour les regardait avec intérêt. Mais l'homme voulait baiser d'abord Zita qui ne demandait pas autre chose. Elle voulait absolument maintenant cette pine dans tous les trous de son corps; Elle pris dans une main ce sexe dont sa main fermée faisait à peine le tour. Elle se mettait à genou devant se sexe et sans le toucher, rien qu'avec sa bouche, elle décapuchonnait le gland et mis , en ouvrant bien les lèvres, la bite dans sa bouche pour la sucer à fond. L'homme ne résistait pas, se laissait faire cette pipe. Il jouit enfin. La bouche ce Zita avalait tout le sperme. Contrairement à ce qu'elle pensait la bit ne débandait pas: c'était une exception chez les hommes: il pouvait encore baise. Zita se couchait sur un lit et écartait ses jambes pour recevoir ce qu'elle attendait depuis un moment. Elle reçu la bite dans son con grand ouvert Zita prenait un plaisir sans nom dans cette baise.
Les deux femmes s'intêressaient à leur propre plaisir; elle faisaient 69 sur 69 et jouissaient sans cesse. C'est pour celà qu'elle se rencontraient, finalement l'homme n'était là que pour les baiser ou les enculer lorsque elles en avaient envie.
Zita de son coté était à la fête et tendait son fessier vers la bite toujours tendue. Cette grosse bite la pénétrait avec force. Zita en gémit au début, puis ensuite elle trouvait que la pine lui faisait du bien. Elle jouissait encore une fois, mais l'homme lâchait en elle un jet puisant de sperme et débandait. Zita avait encore envie de jouissance
Voyant les deux femmes se faire l'amour et y prendre beaucoup de plaisir Zita se demandait si elle ne pourrait pas aussi être avec elles. Elle fut acceptée. Françoise lui donnait son premier baiser entre filles. Zita appréciait. Puis la compagne de Françoise lui faisait de même.
Les trois filles commençaient un ballet d'amour où Zita perdait toutes ses valeurs: l'amour pouvait se faire aussi avec des filles et avoir presque autant de plaisir qu'avec un homme. IL y avait le presque. Elle le disait à ses compagnes qui lui dire qu'en effet de temps en temps il fallait un homme pour sentir un organisme bien vivant dans le con ou le cul.
La soirée prenait fin: les participants étaient complètement usés.
Mais le lendemain, Françoise allait chez sa voisine pour lui proposer de jouir ensemble. Elle faisait l'amour tout une après midi et celà durait, durait. Elles ne cherchait plus d'hommes que pour "tirer" un coup vite fait.