Frictions
Récit érotique écrit par Beedoo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 7 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Frictions
Bonjour,
J'ai voulu écrire une fiction; alternant le narrateur/narratrice, une fiction réaliste, mais qui ne passera pas sous un silence pudique les éléments et envolées personnelles et intimes, si vous voyez ce que je veux dire... Donc le temps de la mise en place les scènes sexuelles se feront un peu attendre, mais ensuite...
Dites-moi si vous aimez.
------------Chapitre 1
Dure, la crise de la quarantaine !
Non, je ne suis pas un homme en quête de nouveautées, mais simplement quelqu'un qui sent, en ce moment, les éléments se déchainer sur lui... Dur hasard. Mon fils de 20 ans hospitalisé des suites d'un accident de la route, trois mois après la conclusion de mon divorce. Mon fils venait de me raconter qu'il s'était faitl arguer la veille. Le boulot, lui, se fait de plus en plus lourd... Bref, je ne vis pas ma période préférée. Pour 42 ans, la chute est lourde.
Mon soulagement, j'ai reçu pas mal de messages de soutien pour mon fils. Ses copains de fac prennent ses cours. Difficile pour lui en ce moment, parce qu'une semaine après les faits, il est broché des deux jambes et souffre un peu. Mais je vais tout faire pour prolonger leur dévouement. Ce samedi, c'est trois de ses amis qui viennent le visiter, dont une jeune fille qui lui propose ses cours. Je salue cet esprit.
J'ai hâte que cet événement se termine... Mais il en a pour au moins 5 mois. Coup de cafard donc. Vivement samedi.
Samedi. Les 3 amis, deux gars et une jeune fille, se sont confirmés. Je les acueillerai pour photocopier les cours. Mon gars a du mal à suivre des discussions normales, fatigué qu'il est, alors pour les cours, c'est encore un peu tôt. Mais je les lui conserverai. Au pire, il a choisi un domaine pas trop loin de celui de Papa : je referai les séances, quitte à me faire assister si le manque de pratique de certaines disciplines est trop évident. À voir les cours précédents, jusque là ça va ;-)
Avant leur arrivée, Paul me sollicite un peu, discute. Je le ménage toutefois, pour que ses amis ne profitent pas que des calmants, mais aussi de son courage. Il m'épate. Il se livre. Je ne creuse pas trop.
Les voilà. Juste à l'heure. Ils m'ont rejoints, Paul est bien éveillé. On lui déconseille plus de 3 personnes simultanément, je file donc photocopier les cours pendant la visite. Je discute un peu avec le personnel hospitalier du coup. Ils partagent mon opinion sur son courage, ça me remonte un peu le moral. Je prends un café, probablement le troisième depuis ce matin.
J'attends à l'extérieur, conformément aux consignes. L'un des gars sort, me voit. Je me présente "le père de Paul". "Bonjour Monsieur, et merci pour l'accueil" dit-il. Je le remercie pour l'attention.
Je lui demande si cela n'a pas été trop dur. "moins que pour vous sûrement" répond-il poliment. Mais j'ai vu son regard en entrant, je le vois sortir et il accuse un peu le coup. Qui ne le ferait pas ?
Je finis mon café, et je rentre voir comment ça se passe.
Paul n'est pas pleinement opérationnel mais il suit bien la conversation. La jeune fille, assise à côté de lui, lui raconte les anecdotes du dernier cours de la veille, en riant avec lui. Le second gars prend congé.
Paul m'interpelle alors, quand il est sorti. "Papa, je te présente Marie, qui doit maintenant assumer son dernier TP en date seule puisque son binôme l'a lâchée pour une sombre histoire d'accident". Je ris. Eux aussi.
Elle me dit bonjour. Puis elle lui dit de ne pas s'inquiéter. Elle avance bien, et bien sûr son nom sera sur le rendu. Ils semblent complices.
À l'issue, Paul me demande de ramener la jeune file, Marie. J'accepte, reconnaissant pour Paul. Sur la route, nous discutons un peu, je la remercie de son geste fort sympathique.
Elle se livre un peu. Elle n'est pas la petite amie de Paul, me dit-elle, mais a apprécié son attitude, surtout quand il s'est approché d'elle quand sa copine à lui est sortie avec son copain à elle, les laissant tous les deux sur le carreau. Son copain ne l'avait pas encore prévenue ajoute-t-elle. Amis de coeurs brisés dit-elle en souriant. Du coup elle voit son geste comme un juste retour d'ascenseur. Cette jeune fille charmante habite non loin de chez nous, je la dépose chez elle. Elle me remercie.
Je rentre à la maison. Mais instinctivement, au retour, je regarde la place passager. Vide pourtant. Et je le sais. Qu'est-ce qui m'a pris ?
Le soir, je pense à Paul, au long chemin qui l'attend, et soudain, je me surprens à penser aussi à elle. Marie. Je souris en pensant "Elle m'a tapé dans l'oeil cette fille !" Sans illusion : une génération nous sépare après tout.
Je m'endors tranquillement. Ça faisait longtemps...
Chapitre 2
Je l'ai pris en sympathie, lui, ce garçon qui vivait la séparation de ses parents, à un âge où, après avoir tout fait pour s'en séparer, on comprend quel rôle ils ont et ont eu. Puis sa copine qui le quitte pour... Mon mec ! Aussi, quand j'ai appris pour son accident, je me suis précipitée pour lui amener les cours. iEnfin, pour pouvoir les lui phototocopier, parce que là, il en a pour quelques temps sans réellement pouvoir les lire...
C'est un bon ami, donc. Point barre. On sort ous les deux d'une histoire alors... Pas d'autre attirance que de l'estime. De toutes façons, j'ai autre chose à faire de mes études qu'à chercher le bon gars. Ou même l'aventure - ce qui en d'autres temps ne me déplait pas. Bref, les vacances pour le corps, le reste pour l'esprit, jusque là ça m'allait plutôt bien. Avec un petit coup de temps à autre.
Je me suis donc présentée à son père, pour lui faire passer les cours.
On y est allés, avec ses deux amis de toujours. Et nous sommes entrés le voir.
La visite du coup m'a presque semblée routinière. J'ai regretté que, au vu du nombre de personnes, le père ait du sortir. Nous l'avons remercié. Paul était évellé, bien que fatigué. Sa conversation nous a rassurés. Quand son ami de toujours, Arnaud, a dû partir, son père a pu se joindre à la visite.
Il avait photocopié tous les cours que j'avais préparés pour Paul ! Dire que j'allais le faire moi-même... Il nous a dit avoir passé le temps en photocopiant et en discutant. Puis Fabien est parti lui aussi, pressé par le temps et les horaires de bus. Nous sommes donc restés quelques dizaines de minutes, Paul, son père et moi, à discuter.
Il a eu la délicatesse de demander à son père de me ramener. Échange de bons procédés a répondu sonpère. Et il a accepté.
Là je me suis vraiment interrogée. Je me suis sentie à la fois intimidée et complètement à lk'aise avec ce quarantenaire. Au point de lui raconter que c'est Paul qui avait eu la délicatesse de m'informer que mon copain me trompait. Avec son ex. Je me suis surprise à me livre complètement, sans appréhension. Nous avons bien sûr échangé nos optimismes sur Paul.
Paul m'avait raconté avant. Ses parents. Leur divorce. Sa mère qui ne se sentait plus dans la famille. Son père, alors dévasté, qui a affronté ce qu'il n'avait pas vu venir. Le résultat de longues années passées à vivre juxtaposés disait Paul. Et maintenant je parlais avec ce gars, qui m'impressionnait par sa façon de faire ressentir qu'il était solide, bien les pieds sur terre.
Bref, j'ai flashé sur le père d'un ami...
Je n'ai pas su, pu, voulu... tenter quoi que ce soit au retour. J'étais timide, on ne sait jamais comment aborder un gars qui vient de se faire larguer, alors un divorcé récent... Je l'ai simplement remercié. J'ai proposé d'amener les copies de cours régulièrement, pour le rien oublier ais-je dit. Pour revenir souvent aussi...
Il a accepté bien sûr. Il m'a déposée, je lui ai sorti un "merci monsieur, et au revoir". Un de mes plus chalereux.
Le soir, je n'ai pas ressenti le froid de ma chambre d'étudiante, curieusement.
Chapitre 3Elles sont deux à l'avoir visité ce jeudi. L'une est déjà venue, l'autre semble autant intéresser Paul qu'il l'intéresse. Si ça peut lui donner encore plus de courage et d'énergie pour qu'il se remette, tant mieux ! Je ramène la même jeune fille que l'autre soir, l'amie de Paul ayant souhaité jouer plus les prolongations. Je lui propose de poser les cours chez moi, l'hôpital est déjà plein de cours qu'il n'a pas encore lus. Dans la voiture, nous discutons. Et elle se montre très amicale. Douce aussi. Compréhensive. Et attirée... En effet, sa main, dans un mouvement si ambigü que j'ignore s'il est volontaire, effleure la mienne... Et je lui souris. Lui rend gentiment sa main, doucement. Avec un sourire que j'essaie chaleureux...
Elle se montre très réceptive... Je l'invite à un peu plus, boire un verre, lui propose un diner... Machinalement je crois. Elle téléphone à ses parents, prétexte une révision à la bibliothèque, dit qu'elle rentrera tard, et accepte dans la foulée.
Me voilà bien embarqué... Je ne suis pas exactement un cordon bleu, cela fait partie des seuls reproches concrets que mon ex avait retenus d'ailleurs... La société protectrice des casseroles et poëles m'exhiberait en exemple si elle existait... Et je viens d'inviter une très jeune (pour moi), mais très jolie jeune fille... Je suis dans de beaux draps !
Paul et son accident deviennent l'excuse, l'argument de la boite de conserve... Reste à surveiller le feu... J'appréhende... Et elle vient prendre les choses en main ! Mon remerciement me vaut sa réplique, sous la forme d'un sourire que je devine chalereux. Voire chaud... Elle parle peu, je parle un peu... Nous dinons, elle accepte un verre de vin qu'elle trouve excellent. Je crois que je n'ai pas ouvert de bouteille depuis le jugement ! Un verre semble suffire pour réchauffer l'ambiance... En posant la copie de ses cours, elle entreprend de m'en raconter une partie. Je suis largué pour tout dire. Je lne serai pas d'un grand secours à mon fils sur ce point, dis-je. Elle sourit. Et je propose de la ramener.
On s'est parlé. Mais à vrai dire la soirée a un peu tounré en rond. Dans la voiture, je sens une main tremblante qui m'effleure. Je ne tourne pas la tête cette-fois, tétanisé peut-être. Un feu de circulation passe au rouge, j'arrête la voiture.
Le trajet ne sera plus long.
Elle prend ma main. je tourne enfin la tête. Sa main vient alors à caresser ma joue, semble se saisir de ma tête puis voilà qu'elle m'embrasse. À pleine bouche.
Le baiser ne dure pas. Le feu est trop court. Je reprends le levier de vitesse de ma main, et vais me garer.
Je la regarde. Elle a l'air inquiète, comme si elle avait été trop vite. Je ne trouve pas de moyen de la rassurer par des mots, de lui dire que l'attirance est réciproque. Je la vois trembler, presqaue effrayée. Alors...
Je décide de l'embrasser. Je lui rends sa pareille. Et tout s'emballe : mes mains, les siennes, on s'embrasse et nos mais caressent à qui mieux mieux. Elle se pend littéralement à mon cou...
Puis je sens ses caresses descendre rapidement. Sa main lâche mon cou. Elle passe sa main droite à l'endroit stratégique. Je reste ma bouche collée à la sienne.
Elle me touche à travers mlon jean. C'est clair. Et... Ma réponse est immédiate et sans détours : je bande.
Elle arrête le baiser, et me fixe de ses yeux. Je ne la lâche pas non plus. Sa main descend ma braguette et fouille. Je ne réagis surtout pas. Et quand je sens qu'elle sort mon membre bandé, je ne pux réprimer une foirte excitation, je suis sûr qu'elle la voit sur mon visage. Je dois avoir l'air d'un vieux pervers lubrique me dis-je.
Elle baisse la tête. Je lui remonte le menton, lui demandant "es-tu sûre de ce que tu vas faire ?"... En guise de réponse sa tête reprend sa course, et je ne tarde pas à sentir ses lèvres embrasser le bout de mon sexe dur. Et je la vois commencer une fellation. Dans la voiture, tout juste garée en bas de chez elle...
Après avoir embrassé le bout, voilà qu'elle entreprend de lécher le gland, tout en laissant glisser ses lèvres juste au bout, juste à la base du gland qu'elle lèche avec une talentueuse gourmandise.
Je ne peux m'empêcher de lâcher un petit gémissement. Alors, encouragée, elle commence à descendre plus, et je sens mon sexe embarqué par ses lèvres et sa langue dans une visite guidée de sa bouche gourmande. Je commence carrément à lâcher des râles de satisfaction...
Et pour la première fois depuis mon divorce (et ùême depuis plus lengtemps que celaà, ce n'est pas al veuve poignet qui me déclenche cette formidable montée et ce bouillonnement conclu par une éjaculation.
Elle me montre, pour me faire plaisir, qu'elle y a pris goût en me gardant le jus en bouche... Je n'ai pas réfléchi, je saisis son cou et l'embrasse.
Elle est surprise, agréablement ! Moi aussi. Pour finir elle me dit "Samedi je t'invite !" Alors un dernier baiser, pendant lequel ma main glisse derrière.
Pour que le message soit clair, je glisse doucement un préservatif dans cette poche. Elle met sa main dedans... Un instant de suspens vite dissipé par le sourire qu'elle m'envoie "oui avec plaisir. Et envie."
J'ai voulu écrire une fiction; alternant le narrateur/narratrice, une fiction réaliste, mais qui ne passera pas sous un silence pudique les éléments et envolées personnelles et intimes, si vous voyez ce que je veux dire... Donc le temps de la mise en place les scènes sexuelles se feront un peu attendre, mais ensuite...
Dites-moi si vous aimez.
------------Chapitre 1
Dure, la crise de la quarantaine !
Non, je ne suis pas un homme en quête de nouveautées, mais simplement quelqu'un qui sent, en ce moment, les éléments se déchainer sur lui... Dur hasard. Mon fils de 20 ans hospitalisé des suites d'un accident de la route, trois mois après la conclusion de mon divorce. Mon fils venait de me raconter qu'il s'était faitl arguer la veille. Le boulot, lui, se fait de plus en plus lourd... Bref, je ne vis pas ma période préférée. Pour 42 ans, la chute est lourde.
Mon soulagement, j'ai reçu pas mal de messages de soutien pour mon fils. Ses copains de fac prennent ses cours. Difficile pour lui en ce moment, parce qu'une semaine après les faits, il est broché des deux jambes et souffre un peu. Mais je vais tout faire pour prolonger leur dévouement. Ce samedi, c'est trois de ses amis qui viennent le visiter, dont une jeune fille qui lui propose ses cours. Je salue cet esprit.
J'ai hâte que cet événement se termine... Mais il en a pour au moins 5 mois. Coup de cafard donc. Vivement samedi.
Samedi. Les 3 amis, deux gars et une jeune fille, se sont confirmés. Je les acueillerai pour photocopier les cours. Mon gars a du mal à suivre des discussions normales, fatigué qu'il est, alors pour les cours, c'est encore un peu tôt. Mais je les lui conserverai. Au pire, il a choisi un domaine pas trop loin de celui de Papa : je referai les séances, quitte à me faire assister si le manque de pratique de certaines disciplines est trop évident. À voir les cours précédents, jusque là ça va ;-)
Avant leur arrivée, Paul me sollicite un peu, discute. Je le ménage toutefois, pour que ses amis ne profitent pas que des calmants, mais aussi de son courage. Il m'épate. Il se livre. Je ne creuse pas trop.
Les voilà. Juste à l'heure. Ils m'ont rejoints, Paul est bien éveillé. On lui déconseille plus de 3 personnes simultanément, je file donc photocopier les cours pendant la visite. Je discute un peu avec le personnel hospitalier du coup. Ils partagent mon opinion sur son courage, ça me remonte un peu le moral. Je prends un café, probablement le troisième depuis ce matin.
J'attends à l'extérieur, conformément aux consignes. L'un des gars sort, me voit. Je me présente "le père de Paul". "Bonjour Monsieur, et merci pour l'accueil" dit-il. Je le remercie pour l'attention.
Je lui demande si cela n'a pas été trop dur. "moins que pour vous sûrement" répond-il poliment. Mais j'ai vu son regard en entrant, je le vois sortir et il accuse un peu le coup. Qui ne le ferait pas ?
Je finis mon café, et je rentre voir comment ça se passe.
Paul n'est pas pleinement opérationnel mais il suit bien la conversation. La jeune fille, assise à côté de lui, lui raconte les anecdotes du dernier cours de la veille, en riant avec lui. Le second gars prend congé.
Paul m'interpelle alors, quand il est sorti. "Papa, je te présente Marie, qui doit maintenant assumer son dernier TP en date seule puisque son binôme l'a lâchée pour une sombre histoire d'accident". Je ris. Eux aussi.
Elle me dit bonjour. Puis elle lui dit de ne pas s'inquiéter. Elle avance bien, et bien sûr son nom sera sur le rendu. Ils semblent complices.
À l'issue, Paul me demande de ramener la jeune file, Marie. J'accepte, reconnaissant pour Paul. Sur la route, nous discutons un peu, je la remercie de son geste fort sympathique.
Elle se livre un peu. Elle n'est pas la petite amie de Paul, me dit-elle, mais a apprécié son attitude, surtout quand il s'est approché d'elle quand sa copine à lui est sortie avec son copain à elle, les laissant tous les deux sur le carreau. Son copain ne l'avait pas encore prévenue ajoute-t-elle. Amis de coeurs brisés dit-elle en souriant. Du coup elle voit son geste comme un juste retour d'ascenseur. Cette jeune fille charmante habite non loin de chez nous, je la dépose chez elle. Elle me remercie.
Je rentre à la maison. Mais instinctivement, au retour, je regarde la place passager. Vide pourtant. Et je le sais. Qu'est-ce qui m'a pris ?
Le soir, je pense à Paul, au long chemin qui l'attend, et soudain, je me surprens à penser aussi à elle. Marie. Je souris en pensant "Elle m'a tapé dans l'oeil cette fille !" Sans illusion : une génération nous sépare après tout.
Je m'endors tranquillement. Ça faisait longtemps...
Chapitre 2
Je l'ai pris en sympathie, lui, ce garçon qui vivait la séparation de ses parents, à un âge où, après avoir tout fait pour s'en séparer, on comprend quel rôle ils ont et ont eu. Puis sa copine qui le quitte pour... Mon mec ! Aussi, quand j'ai appris pour son accident, je me suis précipitée pour lui amener les cours. iEnfin, pour pouvoir les lui phototocopier, parce que là, il en a pour quelques temps sans réellement pouvoir les lire...
C'est un bon ami, donc. Point barre. On sort ous les deux d'une histoire alors... Pas d'autre attirance que de l'estime. De toutes façons, j'ai autre chose à faire de mes études qu'à chercher le bon gars. Ou même l'aventure - ce qui en d'autres temps ne me déplait pas. Bref, les vacances pour le corps, le reste pour l'esprit, jusque là ça m'allait plutôt bien. Avec un petit coup de temps à autre.
Je me suis donc présentée à son père, pour lui faire passer les cours.
On y est allés, avec ses deux amis de toujours. Et nous sommes entrés le voir.
La visite du coup m'a presque semblée routinière. J'ai regretté que, au vu du nombre de personnes, le père ait du sortir. Nous l'avons remercié. Paul était évellé, bien que fatigué. Sa conversation nous a rassurés. Quand son ami de toujours, Arnaud, a dû partir, son père a pu se joindre à la visite.
Il avait photocopié tous les cours que j'avais préparés pour Paul ! Dire que j'allais le faire moi-même... Il nous a dit avoir passé le temps en photocopiant et en discutant. Puis Fabien est parti lui aussi, pressé par le temps et les horaires de bus. Nous sommes donc restés quelques dizaines de minutes, Paul, son père et moi, à discuter.
Il a eu la délicatesse de demander à son père de me ramener. Échange de bons procédés a répondu sonpère. Et il a accepté.
Là je me suis vraiment interrogée. Je me suis sentie à la fois intimidée et complètement à lk'aise avec ce quarantenaire. Au point de lui raconter que c'est Paul qui avait eu la délicatesse de m'informer que mon copain me trompait. Avec son ex. Je me suis surprise à me livre complètement, sans appréhension. Nous avons bien sûr échangé nos optimismes sur Paul.
Paul m'avait raconté avant. Ses parents. Leur divorce. Sa mère qui ne se sentait plus dans la famille. Son père, alors dévasté, qui a affronté ce qu'il n'avait pas vu venir. Le résultat de longues années passées à vivre juxtaposés disait Paul. Et maintenant je parlais avec ce gars, qui m'impressionnait par sa façon de faire ressentir qu'il était solide, bien les pieds sur terre.
Bref, j'ai flashé sur le père d'un ami...
Je n'ai pas su, pu, voulu... tenter quoi que ce soit au retour. J'étais timide, on ne sait jamais comment aborder un gars qui vient de se faire larguer, alors un divorcé récent... Je l'ai simplement remercié. J'ai proposé d'amener les copies de cours régulièrement, pour le rien oublier ais-je dit. Pour revenir souvent aussi...
Il a accepté bien sûr. Il m'a déposée, je lui ai sorti un "merci monsieur, et au revoir". Un de mes plus chalereux.
Le soir, je n'ai pas ressenti le froid de ma chambre d'étudiante, curieusement.
Chapitre 3Elles sont deux à l'avoir visité ce jeudi. L'une est déjà venue, l'autre semble autant intéresser Paul qu'il l'intéresse. Si ça peut lui donner encore plus de courage et d'énergie pour qu'il se remette, tant mieux ! Je ramène la même jeune fille que l'autre soir, l'amie de Paul ayant souhaité jouer plus les prolongations. Je lui propose de poser les cours chez moi, l'hôpital est déjà plein de cours qu'il n'a pas encore lus. Dans la voiture, nous discutons. Et elle se montre très amicale. Douce aussi. Compréhensive. Et attirée... En effet, sa main, dans un mouvement si ambigü que j'ignore s'il est volontaire, effleure la mienne... Et je lui souris. Lui rend gentiment sa main, doucement. Avec un sourire que j'essaie chaleureux...
Elle se montre très réceptive... Je l'invite à un peu plus, boire un verre, lui propose un diner... Machinalement je crois. Elle téléphone à ses parents, prétexte une révision à la bibliothèque, dit qu'elle rentrera tard, et accepte dans la foulée.
Me voilà bien embarqué... Je ne suis pas exactement un cordon bleu, cela fait partie des seuls reproches concrets que mon ex avait retenus d'ailleurs... La société protectrice des casseroles et poëles m'exhiberait en exemple si elle existait... Et je viens d'inviter une très jeune (pour moi), mais très jolie jeune fille... Je suis dans de beaux draps !
Paul et son accident deviennent l'excuse, l'argument de la boite de conserve... Reste à surveiller le feu... J'appréhende... Et elle vient prendre les choses en main ! Mon remerciement me vaut sa réplique, sous la forme d'un sourire que je devine chalereux. Voire chaud... Elle parle peu, je parle un peu... Nous dinons, elle accepte un verre de vin qu'elle trouve excellent. Je crois que je n'ai pas ouvert de bouteille depuis le jugement ! Un verre semble suffire pour réchauffer l'ambiance... En posant la copie de ses cours, elle entreprend de m'en raconter une partie. Je suis largué pour tout dire. Je lne serai pas d'un grand secours à mon fils sur ce point, dis-je. Elle sourit. Et je propose de la ramener.
On s'est parlé. Mais à vrai dire la soirée a un peu tounré en rond. Dans la voiture, je sens une main tremblante qui m'effleure. Je ne tourne pas la tête cette-fois, tétanisé peut-être. Un feu de circulation passe au rouge, j'arrête la voiture.
Le trajet ne sera plus long.
Elle prend ma main. je tourne enfin la tête. Sa main vient alors à caresser ma joue, semble se saisir de ma tête puis voilà qu'elle m'embrasse. À pleine bouche.
Le baiser ne dure pas. Le feu est trop court. Je reprends le levier de vitesse de ma main, et vais me garer.
Je la regarde. Elle a l'air inquiète, comme si elle avait été trop vite. Je ne trouve pas de moyen de la rassurer par des mots, de lui dire que l'attirance est réciproque. Je la vois trembler, presqaue effrayée. Alors...
Je décide de l'embrasser. Je lui rends sa pareille. Et tout s'emballe : mes mains, les siennes, on s'embrasse et nos mais caressent à qui mieux mieux. Elle se pend littéralement à mon cou...
Puis je sens ses caresses descendre rapidement. Sa main lâche mon cou. Elle passe sa main droite à l'endroit stratégique. Je reste ma bouche collée à la sienne.
Elle me touche à travers mlon jean. C'est clair. Et... Ma réponse est immédiate et sans détours : je bande.
Elle arrête le baiser, et me fixe de ses yeux. Je ne la lâche pas non plus. Sa main descend ma braguette et fouille. Je ne réagis surtout pas. Et quand je sens qu'elle sort mon membre bandé, je ne pux réprimer une foirte excitation, je suis sûr qu'elle la voit sur mon visage. Je dois avoir l'air d'un vieux pervers lubrique me dis-je.
Elle baisse la tête. Je lui remonte le menton, lui demandant "es-tu sûre de ce que tu vas faire ?"... En guise de réponse sa tête reprend sa course, et je ne tarde pas à sentir ses lèvres embrasser le bout de mon sexe dur. Et je la vois commencer une fellation. Dans la voiture, tout juste garée en bas de chez elle...
Après avoir embrassé le bout, voilà qu'elle entreprend de lécher le gland, tout en laissant glisser ses lèvres juste au bout, juste à la base du gland qu'elle lèche avec une talentueuse gourmandise.
Je ne peux m'empêcher de lâcher un petit gémissement. Alors, encouragée, elle commence à descendre plus, et je sens mon sexe embarqué par ses lèvres et sa langue dans une visite guidée de sa bouche gourmande. Je commence carrément à lâcher des râles de satisfaction...
Et pour la première fois depuis mon divorce (et ùême depuis plus lengtemps que celaà, ce n'est pas al veuve poignet qui me déclenche cette formidable montée et ce bouillonnement conclu par une éjaculation.
Elle me montre, pour me faire plaisir, qu'elle y a pris goût en me gardant le jus en bouche... Je n'ai pas réfléchi, je saisis son cou et l'embrasse.
Elle est surprise, agréablement ! Moi aussi. Pour finir elle me dit "Samedi je t'invite !" Alors un dernier baiser, pendant lequel ma main glisse derrière.
Pour que le message soit clair, je glisse doucement un préservatif dans cette poche. Elle met sa main dedans... Un instant de suspens vite dissipé par le sourire qu'elle m'envoie "oui avec plaisir. Et envie."
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