Histoires de jeunesses (II)
Récit érotique écrit par Beedoo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Histoires de jeunesses (II)
On en vient à poursuivre le tour d'horizon.
On demande alors à Isabelle sa première fois, et elle se replace, en tailleur, comme pour se préparer à une belle narration.
Elle commence gentiment, place le décor : ses parets accueillent exceptionnellement les enfants des voisins en raison d'un événement familial survenu quelques jours plus tôt, et auquel les deux frères n'iront pas.
L'ainé est discret, mais plutôt pas mal et intelligent. Et agréable à la discussion, elle l'a déjà invité à son anniversaire.
Il sont là pour deux nuits, et la première nuit, elle finit de sortir d'une angine : pas l'idéal. Alors elle remet au lendemain, préférant être en forme. La première soirée est donc gentille, un peu distante angine oblige. Et les petits frères jouent ensemble : ça devrait aller. La soirée est simple, télé et discussions. Sympa.
Le lendemain, il file en cours, les frères aussi, et elle reste par prudence.
Du coup elle passe la journée à préparer la façon dont elle va se prendre.
Le soir venu, diner, tout le mode discute, et son père fait des crèpes. Bonne ambiance.
Puis soirée ciné, film familial vu et revu... Les deux ainés décident, après avoir revêtu leur pyjama, d'aller lire.
Dans la chambre qui a été préparée pour héberger l'ainé il y a ne fait deux lits : les deux grands filent y prendre un livre, discuter. Avec la bienveillance des parents.
La soirée se passe, le film se termine alors que les deux ainés discutent après chaque deux ou trois chapitres. Bref ils sont partis pour être bavards : les parents leurs font promettre de penser à dormir un jour bien que le lendemain fût libre de tout cours, simplement par principe. Acquiescements.
Au détour d'un livre dont un chapitre est plus osé, il commence à lui proposer de le raconter. Et elle sourit à l'entendre narrer le vicomte de Valmont s'occuper de Cécile Volanges. Il raconte si bien qu'il... Il semble avoir envie d'aller plus loin que simplement raconter...
Alors, pas de soucis. Elle substitue discrètement le livre sur lequel elle était pour un livre de la collection de ses parents, un livre explicite et très suave, et commence à le lire avec passion et frénésie, attendant qu'il en vienne à lui demander qu'à son tour elle lise à haute voix. Ce qui arrive. Et elle s'emploie, avec tout autant de ferveur, à narrer elle aussi une histoire de fesses, racontée cette fois avec moults détails et éléments croustillants, de la taille de la verge à l 'aspect du prépuce en passant par le goût salé que le mâle savoure en plaçant sa langue dans l'intimité de la dame que l'histoire lui fait savoureusement baiser.
Et là, les deux protagonistes hors de l'histoire en viennent tous deux à s'affranchir un petit peu de la présence de l'autre en allant glisser des doigts sur leurs vêtements, à l'endroit de leur intimité. Isabelle prétexte alors un besoin pressant.
Elle revient soulagée, non sans avoir fait un détour par la salle de bains pour se laver les mains. Empruntant au passage un emballage plein de la boite de préservatifs de ses parents dont elle connait la cachette. Elle a pu aussi vérifier, une bonne heure et demie après la fin du film, que tout le monde est tombé de sommeil.
Et une fois revenue, elle s'assied à côté du garçon pour poursuivre sa lecture. Les mots du roman pour adulte ont vite raison de leur réserve, et la voilà qui s'affaire à lui ôter son haut, pour voir son torse un peu poilu, pas vraiment impressionnant, mais simplement attirant. Il n'est ni gros ni maigre, assez musclé mais sans excès, des poils sous le nombril principalement, quelques-uuns sur la poitrine, une virilité présente juste ce dont elle a envie. Elle se love alors par derrière, l'enlaçant et lui mordillant le cou du bout des lèvres entre les paragraphes. Ou lors de mots qui l'y incitent plus que les autres.
Sa réponse est simple : il caresse d'une de ses mains les mains d'Isabelle qui continuent à tenir le livre devant eux, et de l'autre, sa main droite, il arrive vers son genou qu'il commence à caresser doucement.
Il sussure alors "ne suis-je pas mis en infériorité là ? Il me faut rééquilibrer les débats.." Sa main droite cherche alors à lever le haut du pyjama d'Isabelle. Puis doucement il se retourne, la fixe, et de ses deux mains soulève ce haut avec l'approbation silenceieuse de sa vis-à-vis qui reste les yeux grands ouverts.
Il la complimente alors sur sa très jolie poitrine qu'il a vite fait de commencer à solliciter du bout des doigts, puis il glisse autour des seins, des tétons, et en vient à sucer son téton gauche. Elle se souvient de ce moment avec force.
Alors ça s'emballe. Dans la minute qui suit elle perd le bas de son pyjama et voit le garçon vérifier la salinité décrite dans le livre qui a aidé à les mener là. Elle se met alors à gémir doucement, excitée autant que lui.
C'est pour ouvrir le paquet qu'ils mesurent à quel point ils sont excités. Il en aurtaient presque déchiré l'inestimable contenu. Et alors à deux, tous deux aussi informés de la démarche, ils s'emploient à dérouler le préservatif sur le sexe dur du garçon. Quelques caresses et minutes plus tard l'équipement et prêt, les jeunes gens aussi : le missionaire sera le premier !
Un petit cri, une sensation d'un endroit que l'on pousse à peine, puis ISabelle nous raconte les sensations de sa première verge dans son vagin, la glisse suave, les aspérités, le contact du préservatif, le passage de la tête du noeud, la sensation quand il pousse son engin tout entier dedans... Elle découvrira plus tard qui'il en a une très petite, pêu importe, elle fait le job et les voilà à pousser des gémissements étouffés pour ne réveiller personne.
Elle le relève, et là ils se trouvent à changer de position, s'engageant dans une levrette enthousiaste, elle gémissant en rythme, lui soufflant au tempo, sortant parfois des mots qu'ils ont lu, copiant les mots du narrateur quand il décrit l'action "c'est bon", "pousse encore" et d'autres moisn châtiés. "J'aime ma bite dans ton con" sera le plus fort qu'ils se diront, n'ayant pas préalablement discuté des limites du vocabulaire.
Après des coups de piston envoyés avec excitation, après des soupirs exhalés avec gourmandise, après quelques poussées accompagnées des mains qui agrippent pour tirer le désir à soi, le voilà qui serre les dentrs et n'en pouvant plus lâche un râle plus fort que les autres : il a joui.
Elle ressent alors, quelques secondes plus tard, une submersion sensorielle, partant du fond même de son vagin, et qui l'inonde d'une vague de plaisir intense et libérateur : elle sait quelle aussi atteint l'orgasme.
Après cela, il l'enlace et la prend dans ses bras, et les voilà dans quelques minuites d'intense câlins, une tendresse post-coïtale telle un long moment d'extase où le temps semble presque figé.
Presque. Elle l'embnrasse alors et lui dit qu'elle rejoint sa chambre pour plus de discrétion. Prenant au passage le préservatif qu'elle va discrètement jeter à un endroit sûr.
C'est la seule fois qu'ils l'ont fait ensemble, et tous deux ont perdu leur virginité de concert.
Isabelle a un petit sourire ému à l'issue de sa narration.
Alors, pour ne pas montrer à quel point elle s'est excitée à raconter, pensant faire diversion, elle propose que le prochain à décrire son histoire sera Marc. Avec un tel homme elle espère que l'assemblée sera moins captée par elle.
La réponse de Marc est lapidaire.
"Eh bien, croyez-le ou non, je n'ai rien à raconter... Je suis puceau."
Isabelle a alors du mal à s'assurer que c'est cette réponse et non son histoire dont elle ressent l'excitation à ce moment précis...
On demande alors à Isabelle sa première fois, et elle se replace, en tailleur, comme pour se préparer à une belle narration.
Elle commence gentiment, place le décor : ses parets accueillent exceptionnellement les enfants des voisins en raison d'un événement familial survenu quelques jours plus tôt, et auquel les deux frères n'iront pas.
L'ainé est discret, mais plutôt pas mal et intelligent. Et agréable à la discussion, elle l'a déjà invité à son anniversaire.
Il sont là pour deux nuits, et la première nuit, elle finit de sortir d'une angine : pas l'idéal. Alors elle remet au lendemain, préférant être en forme. La première soirée est donc gentille, un peu distante angine oblige. Et les petits frères jouent ensemble : ça devrait aller. La soirée est simple, télé et discussions. Sympa.
Le lendemain, il file en cours, les frères aussi, et elle reste par prudence.
Du coup elle passe la journée à préparer la façon dont elle va se prendre.
Le soir venu, diner, tout le mode discute, et son père fait des crèpes. Bonne ambiance.
Puis soirée ciné, film familial vu et revu... Les deux ainés décident, après avoir revêtu leur pyjama, d'aller lire.
Dans la chambre qui a été préparée pour héberger l'ainé il y a ne fait deux lits : les deux grands filent y prendre un livre, discuter. Avec la bienveillance des parents.
La soirée se passe, le film se termine alors que les deux ainés discutent après chaque deux ou trois chapitres. Bref ils sont partis pour être bavards : les parents leurs font promettre de penser à dormir un jour bien que le lendemain fût libre de tout cours, simplement par principe. Acquiescements.
Au détour d'un livre dont un chapitre est plus osé, il commence à lui proposer de le raconter. Et elle sourit à l'entendre narrer le vicomte de Valmont s'occuper de Cécile Volanges. Il raconte si bien qu'il... Il semble avoir envie d'aller plus loin que simplement raconter...
Alors, pas de soucis. Elle substitue discrètement le livre sur lequel elle était pour un livre de la collection de ses parents, un livre explicite et très suave, et commence à le lire avec passion et frénésie, attendant qu'il en vienne à lui demander qu'à son tour elle lise à haute voix. Ce qui arrive. Et elle s'emploie, avec tout autant de ferveur, à narrer elle aussi une histoire de fesses, racontée cette fois avec moults détails et éléments croustillants, de la taille de la verge à l 'aspect du prépuce en passant par le goût salé que le mâle savoure en plaçant sa langue dans l'intimité de la dame que l'histoire lui fait savoureusement baiser.
Et là, les deux protagonistes hors de l'histoire en viennent tous deux à s'affranchir un petit peu de la présence de l'autre en allant glisser des doigts sur leurs vêtements, à l'endroit de leur intimité. Isabelle prétexte alors un besoin pressant.
Elle revient soulagée, non sans avoir fait un détour par la salle de bains pour se laver les mains. Empruntant au passage un emballage plein de la boite de préservatifs de ses parents dont elle connait la cachette. Elle a pu aussi vérifier, une bonne heure et demie après la fin du film, que tout le monde est tombé de sommeil.
Et une fois revenue, elle s'assied à côté du garçon pour poursuivre sa lecture. Les mots du roman pour adulte ont vite raison de leur réserve, et la voilà qui s'affaire à lui ôter son haut, pour voir son torse un peu poilu, pas vraiment impressionnant, mais simplement attirant. Il n'est ni gros ni maigre, assez musclé mais sans excès, des poils sous le nombril principalement, quelques-uuns sur la poitrine, une virilité présente juste ce dont elle a envie. Elle se love alors par derrière, l'enlaçant et lui mordillant le cou du bout des lèvres entre les paragraphes. Ou lors de mots qui l'y incitent plus que les autres.
Sa réponse est simple : il caresse d'une de ses mains les mains d'Isabelle qui continuent à tenir le livre devant eux, et de l'autre, sa main droite, il arrive vers son genou qu'il commence à caresser doucement.
Il sussure alors "ne suis-je pas mis en infériorité là ? Il me faut rééquilibrer les débats.." Sa main droite cherche alors à lever le haut du pyjama d'Isabelle. Puis doucement il se retourne, la fixe, et de ses deux mains soulève ce haut avec l'approbation silenceieuse de sa vis-à-vis qui reste les yeux grands ouverts.
Il la complimente alors sur sa très jolie poitrine qu'il a vite fait de commencer à solliciter du bout des doigts, puis il glisse autour des seins, des tétons, et en vient à sucer son téton gauche. Elle se souvient de ce moment avec force.
Alors ça s'emballe. Dans la minute qui suit elle perd le bas de son pyjama et voit le garçon vérifier la salinité décrite dans le livre qui a aidé à les mener là. Elle se met alors à gémir doucement, excitée autant que lui.
C'est pour ouvrir le paquet qu'ils mesurent à quel point ils sont excités. Il en aurtaient presque déchiré l'inestimable contenu. Et alors à deux, tous deux aussi informés de la démarche, ils s'emploient à dérouler le préservatif sur le sexe dur du garçon. Quelques caresses et minutes plus tard l'équipement et prêt, les jeunes gens aussi : le missionaire sera le premier !
Un petit cri, une sensation d'un endroit que l'on pousse à peine, puis ISabelle nous raconte les sensations de sa première verge dans son vagin, la glisse suave, les aspérités, le contact du préservatif, le passage de la tête du noeud, la sensation quand il pousse son engin tout entier dedans... Elle découvrira plus tard qui'il en a une très petite, pêu importe, elle fait le job et les voilà à pousser des gémissements étouffés pour ne réveiller personne.
Elle le relève, et là ils se trouvent à changer de position, s'engageant dans une levrette enthousiaste, elle gémissant en rythme, lui soufflant au tempo, sortant parfois des mots qu'ils ont lu, copiant les mots du narrateur quand il décrit l'action "c'est bon", "pousse encore" et d'autres moisn châtiés. "J'aime ma bite dans ton con" sera le plus fort qu'ils se diront, n'ayant pas préalablement discuté des limites du vocabulaire.
Après des coups de piston envoyés avec excitation, après des soupirs exhalés avec gourmandise, après quelques poussées accompagnées des mains qui agrippent pour tirer le désir à soi, le voilà qui serre les dentrs et n'en pouvant plus lâche un râle plus fort que les autres : il a joui.
Elle ressent alors, quelques secondes plus tard, une submersion sensorielle, partant du fond même de son vagin, et qui l'inonde d'une vague de plaisir intense et libérateur : elle sait quelle aussi atteint l'orgasme.
Après cela, il l'enlace et la prend dans ses bras, et les voilà dans quelques minuites d'intense câlins, une tendresse post-coïtale telle un long moment d'extase où le temps semble presque figé.
Presque. Elle l'embnrasse alors et lui dit qu'elle rejoint sa chambre pour plus de discrétion. Prenant au passage le préservatif qu'elle va discrètement jeter à un endroit sûr.
C'est la seule fois qu'ils l'ont fait ensemble, et tous deux ont perdu leur virginité de concert.
Isabelle a un petit sourire ému à l'issue de sa narration.
Alors, pour ne pas montrer à quel point elle s'est excitée à raconter, pensant faire diversion, elle propose que le prochain à décrire son histoire sera Marc. Avec un tel homme elle espère que l'assemblée sera moins captée par elle.
La réponse de Marc est lapidaire.
"Eh bien, croyez-le ou non, je n'ai rien à raconter... Je suis puceau."
Isabelle a alors du mal à s'assurer que c'est cette réponse et non son histoire dont elle ressent l'excitation à ce moment précis...
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