Future Lope - Episode 6 : Son Garçon devient Son Chien
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Future Lope - Episode 6 : Son Garçon devient Son Chien
Le Prof parti, le Maître m’a dégagé les yeux et détaché, je me suis relevé avec du mal. Il me fait un bisou sur la bouche, c’est le premier. Il m’assure que les marques ne vont pas rester. Seuls les deux derniers coups vont vraiment bleuir et mettre quelques jours pour disparaître. « Tu devrais me remercier, je lui avais demandé d’enfiler une capote comme tu le souhaites, tu vois, je suis attentif à toi » ; « Oui » ; Oui quoi et qui ? » ; « Oui, merci, Maître ». Je suis épuisé et n’ai ni le courage ni la force de le contredire. « Je vais te faire un thé chaud dans un bol, allonges toi à plat ventre sur le canapé ». La soirée est bien avancée, avec le thé j’ai droit à des céréales et de bananes. C’est bon. Le Maître me masse le dos et les cuisses puis me branle « c’est TA récompense ». Je jute dans le bol de thé qu’il me donne à boire. Puis il me donne sa bite à sucer : « tu vois, moi j’épargne tes fesses blessées quand je prends MA récompense ». Il ne dure pas longtemps et m’arrose la tête avec son foutre.
Le Maître m’amène dans la salle de bain pour une douche. Avec le sperme sur le corps, j’en ai besoin. Alors que je me rince, il entre à son tour et m’ordonne de le laver : « la tête ; frottes les aisselles… le dos, les fesses… décalotte le gland… lave moi les pieds… n’oublie pas la raie du cul. Maintenant rince nous. Mais je vois que tu bandes, je ne veux pas que tu te touches seul. Tu vas dormir dans ma chambre mais je vais t’éviter les tentations ». Le Maître fixe des bracelets à mes poignets et les relie à mon collier. La nuit est arrivée, le lit est grand, je ne peux pas m’assoir, aussi le Maître me propose de m’allonger par terre sur le ventre afin d’enduire mes fesses de baume. Il le fait bien, c’est doux, calmant, je bande encore et il me caresse la queue. Je ferme les yeux… j’entends un clic… Un cadenas se referme, mon cou est accroché au pied du lit, je suis piégé. Il m’abandonne au sol sous une couverture et le sexe tendu que je ne peux satisfaire. « Bonne nuit, bon chien ! »La seule position possible était sur le côté, les mains proches de mon cou. Nu, mais sans pouvoir me caresser et les fesses brulantes, j’ai fini par m’endormir. Lui bien allongé dans une courte chemise de nuit, dors tranquillement dans le grand lit. Au milieu de la nuit j’ai envie d’aller aux toilettes, le thé et les bananes me font de l’effet. Comme je suis attaché, je suis obligé de réveiller mon Maître. Au bout d’un moment il bouge et rouspète. Mais comme je ne peux plus attendre, il me détache du lit, accroche une laisse à mon collier « A quatre pattes, Bon Chien » et m’emmène aux WC. je le suis et lorsque je m’installe sur la cuvette, il reste là. « Mais Maître ? » ; « Un Maître garde son bon chien en laisse quand il fait sa crotte ! ». Quelle honte, que suis-je devenu pour déféquer ainsi ? « C’est fait Maître, mais les mains attachées… » Il me détache une main et me donne une lavette et c’est devant lui que je dois me nettoyer « Tournes-toi, je veux voir ».
Nous retournons à la chambre, je frissonne car la nuit est fraiche. « Tu as encore beaucoup à apprendre, alors comme tu es réveillé on va commencer ». Il rattache ma main libre à mon cou et me fait m’allonger sur le dos, mes fesses sont encore douloureuses mais c’est acceptable. « Je viens de voir ton trou, tu vas voir le mien ». Il relève sa chemise de nuit et s’assoit sur ma figure en écartant ses fesses. « Les chiens reniflent souvent le cul de leurs semblables, lèche moi bien et frotte ta langue sur l’œillet ». Au début j’ai eu du mal. S’était-il lavé ? Puis j’ai commencé. De toute façon, je n’avais pas le choix. Et puis la sensation n’était pas désagréable. J’ai commencé à bander. « Je vois que cela te fait plaisir, je vais t’aider » et il m’a caressé la queue et les boules, longuement, doucement. Une fois il m’a embrassé le gland, j’étais au bord de la jouissance. Mon Maître prenait soin de moi et moi je tentais de lui pénétrer le rectum du bout de ma langue. « Bon chien, ».
« Mais arrêtons là, il faut garder des forces pour dimanche ». Il s’est installé à côté de moi, a mis une couverture sur nous et s’est endormi en caressant mes tétons. J’étais content de cette complicité retrouvée même si j’aurais préféré que nous jouissions ensemble, je ne débandais pas. Longtemps après, dans la chaleur de nos corps j’ai fait un cauchemar : j’étais en maillot de bain couvrant tout le corps, mon bas ventre était plat et sous la douche j’ai vu que je n’avais plus de bite. Je me suis réveillé en sursaut. Le Maître était à côté de moi en chemise de nuit. « Ta gamelle est dans la cuisine, va manger ». Toujours nu, j’y suis allé « A quatre pattes !» ; « Oui Maître ». « Mange bien, tu en auras besoin… Bien, lape l’eau ! » Puis il m’a expliqué qu’il attendait un invité, que je redevenais Son bon garçon et qu’il me libérait de mes bracelets pour le ménage et préparer un repas froid. A 13h00 précises, je devrais apporter l’apéro et les plateaux repas dans le salon.
Le Maître m’amène dans la salle de bain pour une douche. Avec le sperme sur le corps, j’en ai besoin. Alors que je me rince, il entre à son tour et m’ordonne de le laver : « la tête ; frottes les aisselles… le dos, les fesses… décalotte le gland… lave moi les pieds… n’oublie pas la raie du cul. Maintenant rince nous. Mais je vois que tu bandes, je ne veux pas que tu te touches seul. Tu vas dormir dans ma chambre mais je vais t’éviter les tentations ». Le Maître fixe des bracelets à mes poignets et les relie à mon collier. La nuit est arrivée, le lit est grand, je ne peux pas m’assoir, aussi le Maître me propose de m’allonger par terre sur le ventre afin d’enduire mes fesses de baume. Il le fait bien, c’est doux, calmant, je bande encore et il me caresse la queue. Je ferme les yeux… j’entends un clic… Un cadenas se referme, mon cou est accroché au pied du lit, je suis piégé. Il m’abandonne au sol sous une couverture et le sexe tendu que je ne peux satisfaire. « Bonne nuit, bon chien ! »La seule position possible était sur le côté, les mains proches de mon cou. Nu, mais sans pouvoir me caresser et les fesses brulantes, j’ai fini par m’endormir. Lui bien allongé dans une courte chemise de nuit, dors tranquillement dans le grand lit. Au milieu de la nuit j’ai envie d’aller aux toilettes, le thé et les bananes me font de l’effet. Comme je suis attaché, je suis obligé de réveiller mon Maître. Au bout d’un moment il bouge et rouspète. Mais comme je ne peux plus attendre, il me détache du lit, accroche une laisse à mon collier « A quatre pattes, Bon Chien » et m’emmène aux WC. je le suis et lorsque je m’installe sur la cuvette, il reste là. « Mais Maître ? » ; « Un Maître garde son bon chien en laisse quand il fait sa crotte ! ». Quelle honte, que suis-je devenu pour déféquer ainsi ? « C’est fait Maître, mais les mains attachées… » Il me détache une main et me donne une lavette et c’est devant lui que je dois me nettoyer « Tournes-toi, je veux voir ».
Nous retournons à la chambre, je frissonne car la nuit est fraiche. « Tu as encore beaucoup à apprendre, alors comme tu es réveillé on va commencer ». Il rattache ma main libre à mon cou et me fait m’allonger sur le dos, mes fesses sont encore douloureuses mais c’est acceptable. « Je viens de voir ton trou, tu vas voir le mien ». Il relève sa chemise de nuit et s’assoit sur ma figure en écartant ses fesses. « Les chiens reniflent souvent le cul de leurs semblables, lèche moi bien et frotte ta langue sur l’œillet ». Au début j’ai eu du mal. S’était-il lavé ? Puis j’ai commencé. De toute façon, je n’avais pas le choix. Et puis la sensation n’était pas désagréable. J’ai commencé à bander. « Je vois que cela te fait plaisir, je vais t’aider » et il m’a caressé la queue et les boules, longuement, doucement. Une fois il m’a embrassé le gland, j’étais au bord de la jouissance. Mon Maître prenait soin de moi et moi je tentais de lui pénétrer le rectum du bout de ma langue. « Bon chien, ».
« Mais arrêtons là, il faut garder des forces pour dimanche ». Il s’est installé à côté de moi, a mis une couverture sur nous et s’est endormi en caressant mes tétons. J’étais content de cette complicité retrouvée même si j’aurais préféré que nous jouissions ensemble, je ne débandais pas. Longtemps après, dans la chaleur de nos corps j’ai fait un cauchemar : j’étais en maillot de bain couvrant tout le corps, mon bas ventre était plat et sous la douche j’ai vu que je n’avais plus de bite. Je me suis réveillé en sursaut. Le Maître était à côté de moi en chemise de nuit. « Ta gamelle est dans la cuisine, va manger ». Toujours nu, j’y suis allé « A quatre pattes !» ; « Oui Maître ». « Mange bien, tu en auras besoin… Bien, lape l’eau ! » Puis il m’a expliqué qu’il attendait un invité, que je redevenais Son bon garçon et qu’il me libérait de mes bracelets pour le ménage et préparer un repas froid. A 13h00 précises, je devrais apporter l’apéro et les plateaux repas dans le salon.
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