Ghislaine en veut encore.

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ghislaine en veut encore. Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Ghislaine en veut encore.
Avec l’agréable nuit que j’avais passé en compagnie de sa culotte, je lui devais bien ce service. Ghislaine m’entendant arrivé, m’attendait sur le pas de la porte.
-Tu es essoufflé, tu as couru ?
- Non ! c’est juste que j’ai monté les marches trop vite.
-Rentre, me fit-elle en me laissant assez de passage pour que je puisse entrer.
Elle portait un ravissant chemisier blanc, dans un voile léger, laissant deviner la dentelle de sa combinaison ainsi que les bretelles de son soutien-gorge. Elle avait également une jupe plus courte que d’habitude et surtout, une jupe plissée qui virevoltait à chacun de ses déplacements. Bien évidemment, cette tenue me mit dans un état d’excitation affreux et je sentis rapidement mon petit oiseau se raidir sous mon slip et mon pantalon.
Ghislaine m’accompagna alors la cuisinière avec son logement pour la bouteille de gaz. Avec une pince donnée par la maîtresse des lieux, je la dévissais pour l’emmener à la petite boutique du coin pour faire l’change.
A mon retour, j’eus droit à ses félicitations, ce qui me toucha.
- Je pense que cela mérite bien une petite récompense, tu ne crois pas.
Je restai silencieux, croyant qu’elle allait me donner une pièce dans la monnaie que je lui avais donner. A ma grande surprise, elle me prit ma main et me conduit dans la salle de bain.
- Je veux avant tout que tu me promettes bien que tu ne diras rien de ce qui va se passer maintenant. Rien à personne, surtout pas à ta maman. Tu me le promets ?
Je balbutiais un « oui » à peine audible.
- Bien alors, allons-y. Dis moi, mon petit chéri, tu t’es bien éclatée avec ma culotte.
- Oui, Ghislaine.
- Tu t’es masturbé. Tu sais au moins ce que cela veut dire, se masturber.
C’était bien sûr une pratique que je savais maîtrisait, et cela depuis longtemps. Mais je me cachais bien de lui dire. Devant mon silence, elle me lança.
- Si tu veux, je vais te montrer. Tu vas voir c’est très agréable et il n’y a pas de honte pour un jeune homme de le faire tout seul. Et même avec une dame. Allez, tu vas baisser ton pantalon et ton slip et me montrer ce qu’il y a dessous.
Je n’en croyais pas mes oreilles, cette sensuelle femme à qui je rêvais presque toutes les nuits, me demandait de me mettre nu devant elle. Sans trop réfléchir, je m’exécutai et me retrouvai le bas-ventre dénudé et mon pénis droit comme un « i » devant elle.
- Oh, mais comme tu as un joli zizi, mon chéri. Et c’est moi qui te mes dans cet état là.
- Oui, Ghislaine, tu m’attires tellement. Je pense à toi très souvent en m’endormant.
- Mais, c’est très coquin tout çà ! Tu n’as pas honte de me l’avouer.
Si elle savait que c’était une chose qui me passer au-dessus de la tête. Que seul m’intéressé, la vision de son chemisier opulent devant mes yeux.
- Si c’est çà, je vais te faire un grand plaisir comme une femme peut en procurer à un monsieur. Tu veux bien.
Comme le disait le Rapport Hite, les femmes aiment les puceaux et encore plus quand ils sont timides. Et ça c‘était dans mes cordes.
Sans attendre ma réponse, Ghislaine s’agenouilla devant moi et entoura de ses doigts fins et manucurés ma verge raide. Elle commença à tripoter mon sexe sensuellement en massant parfois de son pouce mon gland rose. Puis elle plaça ses doigts en cercle et me branla délicieusement de haut en bas sans arrêt. Je sentais le contact froid des bagues qu’elle portait aux doigts et j’entendais le bracelet lourd qui tintinnabulait à chaque branlé de sa main sensuelle.
- Tu aimes mon chéri ? Tu aimes te faire branler ? Tu aimes ma main sur ton sexe.
- oh oui Ghislaine.
- Tu fais pareille en pensant à moi ?
- Pas aussi bien. Cela ne me fait pas le même effet.
- Comme tu me donnes chaud mon petit chéri. Si tu n’y vois pas d’inconvénient, je vais aussi me découvrir un peu aussi. Tu veux m’aider ?
-Oui si je peux.
- Alors dégrafe-moi mon chemisier, s’il te plait.
J’avais bien essayé de me contenir, mais le désir de la dénuder fut le plus fort, je tendais mes mains pour atteindre le chemisier, puis je le déboutonnais fiévreusement bouton après boutons. Et mon Dieu qu’ils étaient nombreux. Ghislaine finit le travail en déboutonnant ceux des poignets puis fit glisser son chemisier, et cela pour mon plus grand plaisir. Je pouvais alors admirer sa poitrine que la dentelle ne pouvait tout cacher.
Puis elle me dit, dans un grand sourire.
- Je vais continuer à te branler, mon petit puceau, mais avec une caresse très spéciale. J’espère que tu vas aimer. Tu sais, c’est quelque chose qu’une dame ne fait pas à n’importe qui. C’est une caresse d’amoureuse à son amoureux.
J’avais bien une idée sur le sujet, lorsque je la vis passer ses deux mains sous sa jupe, puis faire descendre sa petite culotte qu’elle me tendait.
-Je sais maintenant que tu les aimes.
Il s’agissait d’une adorable culotte mauve faite de voile de nylon d’une finesse incroyable et de dentelles fines et fleuries. Pas le temps d’en plus, que déjà elle me l’approcha de mon visage et me dit.
- Tu sens mon parfum mon chéri ? Tu sens bien mon odeur de femme amoureuse ? Elle est toute mouillée, tu sais, et à cause de toi ! Maintenant, tu vas voir comme c’est bon ce que je vais te faire.
Je la vis prendre la petite culotte et la déposer sur mon sexe, juste sur le haut de mon gland. Puis elle la rabattit et en empoignant ma verge, elle l’entoura dans le nylon mouillé et encore chaud. Je fus surpris par la sensation que cela me donna, je ne pus me retenir de lâcher un long gémissement d’extase. Le doux tissu excitait merveilleusement la peau fine de mon sexe. Ghislaine enveloppa aussi mes testicules avec le dessous de la culotte et les caressa tendrement de son autre main.
- Tu aimes çà mon petit cochon ? Tu aimes la branlette dans une culotte de femme ? Alors, tu vas jouir dedans et me donner tout ton jus de garçon ! Allez, il faut juter maintenant mon chéri ! Jute bien dans le nylon de ma culotte !
J’avais les yeux entrouverts, regardant cette femme me masturber, ses seins presque à ma portée que je n’osais pas toucher. Ghislaine activa le mouvement de son poignée tout en continuant à me parler de façon si impudique.
- Voila, je sens que tu vas partir mon chéri ! Tu sens ton petit foutre venir ? Allez, vas-y ! Décharge vite mon bébé ! Salis la culotte de la salope de Ghislaine, déverse bien tout ton petit sperme de garçon !
Je ne pus me retenir plus longtemps, je déchargeai alors toute ma sève dans la culotte fine et douce, en de longs traits de foutre en ayant l’impression que mon pénis allait exploser dans la main de ma branleuse.
Lorsque Ghislaine m’eut bien vidé dans sa culotte, je la vis la déplier et sentir le sperme gluant qui la souillée. Avec un sourire salace aux lèvres, elle se passa sa culotte et la remonta, jusqu’à la faire disparaître sous sa jupe, tout en poussant un petit râle étouffé.
Puis elle se pencha légèrement, frotta sensuellement ses cuisses l’une contre l’autre amoureusement. Puis elle prit appui sur le mur pour ne pas perdre son équilibre, avant de se raidir en se pâmant.
- Oh mon petit chéri, comme je jouis, Oh c’est merveilleux, sentir ton jus tout frais contre mes chairs. Oh, çà me vient encore, Oh comme c’est bon.
Ghislaine resta debout contre le mur un long moment, les yeux fermés, perdue dans son plaisir de femme, resplendissante et si impudique à la fois.
Une fois avoir cuvée son plaisir, elle ouvrit les yeux et me lança : - Il faut te sauver maintenant, ta maman va s’inquiéter. Mais avant promets-moi de bien tenir ta langue ! Sinon, nous ne pourrons plus nous amuser comme nous l’avons fait !
Elle pouvait compter sur moi, je n’allais rien avouer à personne sur ce que nous venions de faire, Ghislaine pouvait être rassurée de ce côté-là. Je me rajustais et me sauvais, les jambes en coton.
Ce soir-là, une fois dans mon lit, je me remémorais les paroles qu’elle m’avait dit. De savoir le sens qu’elle voulait bien donner à ses autres amusements qu’elle m’avait promis. Je m’imaginais plein de chose, comme celle de pouvoir la posséder, elle que je trouvais si sensuelle et passionnée.
Allais-je pouvoir y parvenir ? Ghislaine allait-elle me prendre comme jouet à plaisir comme l’avait fait avant elle ma tante ? ou alors, continuer à s’amuser avec moi en me faisant découvrir les autres facettes de la sexualité ?

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Histoire sexe : Une rose rouge
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