Giovanna, femme de ma vie? Ch I

- Par l'auteur HDS Prospero -
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Récit libertin : Giovanna, femme de ma vie? Ch I Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Giovanna, femme de ma vie? Ch I
Voici l’une des femmes les plus importantes de ma vie. J’ai longtemps hésité avant d’en écrire quelques moments. Elle a compté énormément et c’est sans doute une des plus douloureuses histoires que j’ai vécu. Il y en a qu’une pire dans ma tête et je ne sais pas si j’aurais le courage de revivre çà. Pour le moment, Giovanna, sera le doux sujet de mon récit. Ce sera plus souvent Giovan car c’était le diminutif habituel que j’employais.

Je ne suis pas habitué a briser les ménages, j’ai eu des tas d’aventures avec des femmes mariées mais j’ai toujours essayé de ne pas foutre la pagaille dans les couples. Mais parfois cela arrive plus ou moins sans intention maligne. Giovan en fait était la jeune épouse d’un copain, je dis copain pas ami c’est pour moi deux choses très différentes. Copain rencontré au cours de mes études, du collège aux études supérieures nous avons été potes, simplement car Denis était ami avec deux autres de mes amis. Disons que questions femmes les choses ont fait que nous avons tous deux pratiqué les mêmes femmes a deux reprises. Françoise (lire Françoise et Fabienne) avait été sa copine du temps du collège et Giovanna était sa jeune femme fraichement épousée lors de ces études à Paris, étudiante elle-même Giovan était en licence d’histoire et Denis dans un cursus ingénieur en TP. Rencontre et coup de foudre, suivi d’un mariage en douce, contre l’avis des parents de Giovan. Sa famille est d’origine Sarde, pour cadrer cette famille le père de Giovan pensait que le meilleur homme politique italien de tous les temps était Benito Mussolini. Mais ses parents étaient adorables, mais catholiques pratiquants pas trop enclins à une certaine liberté de mœurs moderne, disons.

Denis avait terminé ses études, Giovan continuait ils se sont mariés et rentraient en province. C’est là que j’ai rencontré Giovanna.

Que dire d’autre sinon, coup de foudre. La première fois que je l’ai rencontrée j’ai tout de suite senti que c’était elle, elle qui devait être ma compagne, c’est aussi clair que çà, au premier regard j’étais certain que le la désirait plus que toutes les autres. Je précise que le sentiment fut instantanément partagé par Giovanna. Elle me l’a dit après, mais ce fut pour elle une évidence. Cela ne faisait même pas un an qu’elle était mariée et au premier regard elle a su qu’elle avait commis une énorme erreur.

Drôle de sensation quand dans une pièce ont ne vois plus qu’une seule personne, que dans le regard on sent que le courant passe, que ses yeux disent déjà oui. Elle et moi on en riait en disant que si on c’était simplement croisé comme çà, sans personne autour on se serait sauté dessus et retrouvés au lit sans autre complication sociale. C’était une réaction totalement animale. Je me souviens avoir eu quelques soucis à masquer l’érection presque instantanée que j’ai eu lors de cette rencontre et l’amical bisou échangé n’a rien arrangé. C’était amusant de l’entendre raconter ce moment, elle a eu la même sensation charnelle.

Petite, brune aux yeux bruns, elle était un petit peu ronde, si peu disons des courbes à caresser sans modération. Un paire de seins magnifique sous un t-shirt léger qui laisser deviner des tétons durs sous le fin tissu. Un cul bien serré dans son jean. J’étais amoureux au premier regard.

J’étais assez désespéré, voir la fille qui représentait tout ce que je désirais, mariée à un copain, c’était une journée noire, même si j’avais bien senti que le trouble était partagé. Cette première rencontre fut suffisamment banale pour que je ne m’étende pas dessus.

J’avais craqué pour cette fille, coincé entre mon envie de ne pas foutre la panique dans la vie d’un copain, pour une affaire de sexe. Mais je me rendais compte au fil de semaines que ce n’était pas juste envie de coucher avec elle. C’était bien plus profond. J’aurais peut-être dû laisser tomber la bande m’éloigner mais être avec les potes c’était être près d’elle. Et souvent les samedis soir, voir les vendredis étaient des occasions de se retrouver. Dans la bande tous étaient des fans de foot ou de rugby j’étais le seul a détester ce genre de choses, comme Giovanna, voilà qui nous rapprochait encore plus. Et quand tous étaient devant la télé à supporter je ne sais quelle équipe, je tenais compagnie a Giovanna, on parlait histoire, littérature ou tout autre sujet. Nous étions jeunes et un peu dingues, Giovanna adorait cuisiner et on se tapait des plats italiens qu’elle cuisinait à la perfection. On devenait complices, et entre nous le désir non-dit grandissait a vue d’œil.

Denis diplôme en poche avait trouvé un job qui hélas pour eux le tenait éloigné de chez lui souvent toute la semaine. Giovan se retrouvait seule et assez rapidement elle me demandait de passer la voir pour tromper l’ennui. Inutile d dire que je ne refusais pas l’invitation. Je passais beaucoup de temps à la regarder alors qu’elle me parlait histoire. Plus le temps passait plus j’avais un désir qui grandissait. Combien de fois suis-je rentré chez moi après une soirée avec elle, pour me masturber comme un dingue. Cela devenait une obsession. J’avais bien d’autres partenaires épisodiques. Mais rapidement je ne les voyais plus.

Un soir je me décidais à tenter non pas ma chance car il était évident qu’elle avait également une forte attirance à mon endroit. Mais c’était de franchir l’écueil du mariage. J’invitais Giovan dans un restaurant que je fréquentais assez régulièrement. Je n’ai pas eu vraiment de mal à la décider, on sortait en amis assez souvent mais c’était la première fois que je l’invitais aussi formellement. Naturellement elle se fit, la plus belle possible pour l’occasion et ce fut le coup de grâce pour moi. J’ai eu du mal à cacher mon émoi quand je la vis sortit de l’appartement, une robe légère bordeaux, fendue sur le côté, un décolleté vertigineux mettait en valeur se poitrine généreuse. Pas de soutien-gorge, ses tétons marquaient le fin tissu. Si elle n’avait rien eu pour cacher ses seins j’aurais vu avec autant de précision, la forme de ses pointes dressées. Ses cheveux bruns bouclés cascadaient sur ses épaules nues. Elle portait des hauts talons, c’était la première fois que je la voyais aussi apprêtée. L’échange de bisous sur les joues fut franchement d’une incroyable intensité pour moi. Elle sentait, bon, ses yeux bruns piquetés d’or semblaient heureux. Nos bouches étaient bien proches. Inutile de vous dire que j’avais une trique de malade, rien qu’en la voyant ainsi. Dans ma tête le fait qu’elle soit la femme d’un copain venait de voler en éclat. Dans la sienne cette barrière venait également de céder. Je le sentais confusément à la façon qu’elle eut de prendre mon bras et de se coller à moi. Le repas fut parfait, on parlait de tout de rien comme toujours, assez peu de Denis son mari, elle passait a semaine seule, ses études, les soirées avec moi. Elle m’avoua que c’était important pour elle, ma présence. Plusieurs fois durant le repas je caressais sa main, loin de la retirer à plusieurs reprises elle retint mes doigts, alors que ses yeux lançaient un message muet. Elle plaça une banderille quand elle me dit.

- Je n’avais jamais remarqué que tu avais de si beaux yeux verts Gilles

- Pourtant je les ai depuis longtemps tu sais. Et toi aussi tu as de très jolis yeux Giovanna

- C’est gentil, ça me fait plaisir, ce n’est pas Denis qui me dirait çà.

- Je la regardais avec un petit sourire. Elle tapotait le dessus de ma main.

- Il est tard, tu me ramènes, j’ai des cours demains de bonne heure.

- Tes désirs sont des ordres. Dis-je

- Je sais que tu ferais tout pour me faire plaisir. Tu es un charmeur.

- Non un bon copain, rien de plus.

- Rien de plus ? Tu es sûr.

Elle avait dit çà avec un regard qui m’avait transpercé. Si je n’avais pas compris, je ne comprendrais jamais. Malgré tout j’étais un peu mal à l’aise car je n’ai pas l’habitude te draguer les femmes des amis. C’était la première fois. Giovanna et moi on avait flashé au premier regard, mais on était tous les deux fidèles et sans détours. Tout nous attirait mais femme mariée à un ami je ne pouvais craquer aussi facilement. Mais ce soir-là ce n’était plus de mise.

Une fois au bas de son appartement, Giovanna me regarda intensément.

- Gilles, tu vas bien monter boire un whisky, et je vais t’accompagner pour une fois.

- Toi boire un whisky ? C’est un jour spécial ?

- Je ne sais pas, peut-être, mais je ne veux pas te laisser partir comme ça, j’ai vraiment passé une belle soirée avec toi, comme toujours en fait.

- Giovan, tu sais que je suis toujours là quand tu en aura besoin.

- Oui tu es plus présent que mon mari, c’est certain.

- Ne dis pas çà il bosse et ça ne durera pas tout le temps crois moi.

- Mais je t’ai toi, fit-elle me posant un baiser sur la joue. Allez viens boire ce verre.

Je la suivais, contrairement à mon habitude et à la bienséance, je montais les quelques étages légèrement derrière elle. Je ne pouvais détacher mon regard de ses fesses rondes m’hypnotisant avec ce balancement sensuel. En revoyant la scène, la coquine avait tout fait pour passer devant moi et franchement elle balançait ses hanches volontairement. Arrivé au 2eme étage j’avais une trique de folie. J’essayais de masquer mon état, mais je sentais que cela n’avait plus d’importance..

Dans l’appartement, je me mis à l’aise sur le canapé, Giovan avait pour habitude de se mettre dans le fauteuil près de la fenêtre. Elle ouvrit le bar en extirpant une bouteille de scotch et deux verres, posant le verre devant moi elle se pencha tellement que je pu contempler ses seins libres sous sa robe. Son regard me disait je sais ce que je fais, je veux que tu puisses voir mes seins. Elle me servi une ration plus que sérieuse de scotch, en versa un peu moins dans son verre et y ajouta deux glaçons.

- Je sais que tu ne mettre pas de glaçon c’est un sacrilège tu me l’a dit si souvent. Mais ce soir j’ai besoin de force et de fraicheur.

- En effet pas de glace pour moi, mais qu’est-ce que tu as à avoir besoin de çà ce soir.

- Gilles on ne va pas se mentir, çà fait 6 mois qu’on s'est rencontré, cela fait 6 mois que tu es aux petits soins pour moi, surtout depuis que je suis célibataire la semaine. Tu n’es pas idiot et tu as remarqué que j’aimais être avec toi, je ne suis pas aveugle et je sais ce que tu as dans la tête. Hé bien moi aussi je l’ai dans la tête. Comme toi, tu es honnête, loyal et tu ne feras pas le premier pas si je ne dis rien, si je ne donne pas un signe.



Giovanna vint s’assoir près de moi sur le canapé, pressée contre moi, je sentais la chaleur de son corps contre le mien. Je ne pouvais résister, je passais mon bras autour de ses épaules, et lentement je l’attirais vers moi, sa bouche frémissait et des yeux pétillaient, elle tremblait. Mon cœur battait à tout rompre, l’instant dont je rêvais depuis six mois était arrivé. Elle m’enlaça de ses bras et nos lèvres entrèrent en contact. Le baiser fut sans doute un des plus torride que j’ai échangé avec une femme.

- Je ne sais combien de temps cela a duré, mais c’est le souffle court qu’on c’est regardés après.

- J’en avais envie depuis que je t’ai vu tu sais Gilles

- Comme moi j’en rêve depuis notre premier regard, Giovanna, ne ris pas, je suis amoureux vraiment.

- Je sais ça se voit tu sais. Mais les copains et Denis ne semblent pas le voir. Et toi tu te sens mal, comme moi.

_ Oui mais j’ai envie de toi, je crois que tu a envie de moi, on fait peut-être une bêtise, mais je ne reculerais pas on a été trop loin.

- Moi aussi j’ai envie de toi, dit Giovanna, ça m’obsède. Pourquoi on ne s'est pas rencontré avant ? Je pense de plus en plus que la bêtise c’est mon mariage.

- Ne dis pas çà chérie,

- Chérie... oh oui dis le moi encore.

- Je peux te le dire autant de fois que tu le souhaite. Viens embrasse-moi encore.

Elle ne se fit pas prier et s’allongeais sur moi, reptilienne elle se frottait contre moi, tandis que nous langues se mêlaient. La main de Giovanna glissait sur la bosse de mon pantalon, mes mains pétrissaient ses seins, puis ses fesses au travers de sa robe.

- Mon chéri, dit Giovan, on est un peu trop habillés non ? J’ai envie de te voir sans rien.

- Et moi aussi je voudrais te contempler nue, je te trouve si jolie, si belle.

- Depuis tout ce temps, je vois dans tes yeux combien je suis belle pour toi. Et maintenant j’ai envie d’être à toi, envie de me donner totalement a toi. Je ne suis pas mariée depuis 1 ans que j’ai envie de mon amant. Je sais que tu a bien d’autres filles a mettre dans ton lit, je ne demanderais pas à être la seule, je sais quelle vie tu a. Mais j’aimerais une place dans cette vie. Un instant son, visage s’assombrit, je pensais avoir fait le bon choix, mais ma vie n’est pas joyeuse. Ma seule joie actuellement ce sont les moments avec toi.

- Viens dans mes bras, Giovan, laisse-moi être ton secret, je te désire depuis que je t’ai vue.

Elle se leva, fit glisser les bretelles de sa robe, qui se retrouva a ses pieds et enfin je l’avais devant moi totalement nue dans toute sa splendeur. A ce moment je compris que j’étais vraiment profondément amoureux d’elle. Je me levais et la serrait dans mes bras en l’embrassant alors que ses mains habiles faisaient tomber un a un mes vêtements sur le sol. Jusqu’au moment où peau contre peau nous étions sur le point de consommer cette liaison interdite. Début d’un immense bonheur qui se terminera en drame hélas.

A suivre

Les avis des lecteurs

@Daniel
Merci bien, en effet je suis entré dans une série de textes pas faciles a écrire compte tenu de la charge émotionnelle toujours présente. Un regret indélébile, une erreur d'aiguillage due aux circonstances. Avec le recul un gâchis et des regrets( partagés )
Mais la vie a continué.

Histoire Erotique
Très beau texte toujours aussi bien écrit tu nous présente là une compagne qui a beaucoup compté pour toi on le sent dans tes phrases et les mots choisis c’est évident qu’on attend la suite . Daniel



Texte coquin : Giovanna, femme de ma vie? Ch I
Histoire sexe : Une rose rouge
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