Giovanna femme de ma vie ? Ch III - histoire érotique

CH III

Avec Giovana nous mettions a profit tous les instants volés à son couple pour satisfaire nos désirs. On était jeunes et téméraires. Avec les copains on se retrouvait souvent le samedi chez l’un ou chez l’autre, naturellement la majorité adorait le foot. Seuls Giovan et moi étions réfractaires et tous étaient habitués à ce que je bavarde histoire avec elle, que je l’aide à effectuer ses recherches, voire parfois un petit coup de main à la cuisine. Du moment que j’étais avec elle j’étais heureux. Un baiser furtif, une petite caresse c’était notre petit secret. Il nous est arrivé d’être bien plus téméraire comme ce jour de championnat ou coupe de je je sais quoi où espagnols et allemands s’affrontaient. Les sportifs sur le canapé et la bière à la main faisait de gros efforts pour gagner. Moi j’étais à la cuisine avec Giovanna. Tous étaient absorbés par les images et vociféraient devant le poste. Nous en profitions pour échanger de profonds baisers Elle appuyée contre le plan de travail, moi plaqué contre elle. Elle portait une simple blouse fermée par un unique bouton a hauteur de sa ceinture. Il faisait beau un petit vent doux filtrait par la petite fenêtre. Les gros seins de Giovan jouaient à cacher cache derriére le tissu rose a petits carreaux de cette blouse, elle était totalement nue dessous. Sa toison bouclée luisait dans la pénombre de ses cuisses. Elle passa sa main sur ma braguette et senti que j’étais vraiment en forme.

- Oh tu bandes bien Gille, baises moi ils sont scotchés devant le match.

Et tu en a grave envie, tu es toute mouillée, dis-je lui montrant mes doigts que je venais de retirer de sa fente brulante.

- Oui, donnes tes doigts je vais les nettoyer et baise moi vite viens me prendre pendant qu’ils sont devant ce truc.

- Tu est vraiment ma petite salope tu sais çà?

- Oui et j’aimes être ton jouet, tu me fais tellement bien l’amour. Si seulement je ne m’étais pas mariée. Fit elle avec une moue triste.

- Tais toi, laisse moi te faire plaisir.

J’avais ouvert mon pantalon et ma queue était sortie, le gland contre la toison drue de ma belle amante. J’entendais son mari commenter le jeu, alors qu’elle se donnait a moi. Cette situation m’excitait vraiment énormément. Giovana les fesses sur le plan de travail, m’attira à elle pour un baiser profond, elle rejeta la tête en arrière dans un soupir quand elle sentit mon gland se frayer un passage dans son sexe trempé. Son visage avait une expression d’extase profonde. Son con était aussi brulant qu’il était liquéfié. Chaque coup de reins faisait naitre un gargouillis. Un vrai marécage. Mes mains sur ses seins pétrissaient les globes et mes pouces taquinaient ses gros tétons.

- C’est bon chéri, plus fort, tapes au fond j’aimes çà..

- Je sais cochonne, ma grosse queue te défonce bien. Tu le sens?

- Oui encore, fort oh j’aimes çà Gilles, vas y baise moi fort. Je te ferais jouir dans ma bouche

Giovana avait avec moi découvert le plaisir de la fellation menée à son terme. Et elle adorait me gratifier de ce plaisir. Il n’y avait qu’avec moi qu’elle acceptait de recevoir le sperme dans sa bouche et se régalait à le dévorer.

Le risque de se faire pincer nous aiguillonnait, elle aussi était excitée comme une folle, les joues rouges. Moi je sentais déjà mn plaisir venir me chatouiller les burnes.

- Je vais pas tarder a partir ma chérie dis-je

Elle se laissa glisser et s’agenouilla devant moi, sa bouche happa ma queue luisante de mouille, elle avait attrapé ma main droite. Quand elle resserra ses lèvres sur ma tige je ne pus rêprimer un long frisson tandis qu’elle avalait mon sexe.

- Oh ta bouche Giovan !!!Oh oui pompes moi comme çà.

Elle était devenue experte à ce jeu, ses yeux ne me quittaient pas, mon gland allait se loger au fond de sa gorge, c’est une sensation incroyable. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle avalait toute la longueur de ma queue qui était trop longue pour la profondeur de son vagin. Sa bouche me rendait fou, entendre les potes et son mari de l’autre côté du mur était surréaliste et me donnait des ailes. Je serrais les lévres pour ne pas trop manifester mon plaisir qui semblait sur le point de survenir. Sa main gauche massait mes couilles, les pressait. Luisante de salive ma queue vibrait alors que dans le fond de mes reins l’orage grondait. Je réussis a ne pas crier alors que je lâchais mon foutre sur sa langue, elle déglutissait doucement, avalant mon sperme par petites gorgées. Ses yeux braqués sur moi. Elle m’essorait jusqu’a la dernière goute à chaque fois et elle avait pris l’habitude de toujours venir m’embrasser avec du sperme dans la bouche. Elle avait été surprise quand je le lui ai demandé la première fois. Cette demande me permis de lui apprendre que j’étais bisexuel. Ce qui a priori l’attira bien plus qu’elle ne l’était déjà par moi.

Cette folie dans la cuisine fut un moment fort de notre relation, il y en eut bien d’autre. Et plus le temps passait plus je désirais être avec elle. Elle ressentait a priori la même chose et se désolait d’avoir autant insisté pour se marier rapidement. Contre l’avis de ses parents, au point qu’elle s’était mariée sans leur dire, sans leur présence chose que ces italiens Sardes très catholiques et attachés aux traditions ne lui ont jamais pardonné.



Nous filions le parfait amour en coulisse, Denis son mari semblait ne se rendre compte de rien. Pour ne pas lui mettre la puce à l’oreille, quand il était là elle faisait l’amour avec lui mais elle me confiait qu’elle avait de plus en plus de mal à supporter ces instants intimes avec son mari légitime. Je n’étais pas dérangé par ce qui se passais. J’étais peiné que cela lui coûte autant. Surtout qu’avec moi elle était toujours prête à faire l’amour. Je commençais même à lui parler de ma vie habituelle, des partouzes et de mes amitiés avec souvent plusieurs partenaires. Je fus enchanté quand elle me fit la confidence qu’elle adorerait essayer l’amour a plusieurs, avec une femme surtout mais également avec plusieurs hommes également. Cette attitude aventureuse était de mon goût et me confortais dans ma volonté de faire d’elle ma compagne officiellement. J’étais vraiment conquis , j’avais pour elle un amour sans borne qui se renforçait chaque jour un peu plus. Quand Denis était absent la semaine, j’étais là avec elle. Quel plaisir de me réveiller avec elle dans mes bras, elle était passé d’amante au statut de femme de ma vie en peu de temps et je commençais à penser famille, enfants, elle semblait réceptive à ces rêves, mais elle craignait certaines choses avec moi, mon implication dans la chose politique lui faisait peur et même si cela l’excitait mes multiples liaisons, ma vie de débauche l’attirait mais lui faisait peur également

Pourtant nous avons vécu de merveilleux instants. Puis un Lundi je la retrouvais comme habituellement. Elle était soucieuse et peu loquace. Je sentais qu’il y avait quelque chose de pas normal . Elle finit par me dire qu’elle était enceinte. Ma réaction a été immédiate j’ai pensé qu’elle était soucieuse car j’étais le papa. Douche froide quand elle me dit que c’était plus surement Denis son mari le papa. Elle vit tout de suite que j’étais déçu elle se fit plus douce, et me consola presque, s’excusant quasiment de me jouer ce mauvais tour. C’était quand même rageant, qu’elle fut enceinte de son mari qui n’était là que le week end alors que je couchais avec elle tous les soirs ou presque. Au début la question c’était posée, elle avait décidé que de toute façon elle voulait des enfants , elle admit qu’elle aurait bien aimé que ce soit moi l’auteur mais hélas. Je devais me résoudre à accepter la situation. Une fois l’annonce faite nous reprenions notre relation sans trop changer de choses.

Mais au bout de quelques temps, elle me confia que depuis qu’elle était enceinte Denis était moins empressé, plus du tout même. Alors que Giovanna était fortement travaillée par les hormones, elle sentait sa libido enfler de plus en plus, Denis ne la touchais plus. Je devais donc redoubler d’intérêt pour ma maitresse en qui prenait de plus en plus de place dans ma vie. J’étais déjà fermement décidé, à adopter ce bébé, à le reconnaitre si elle quittait son mari. On avait déjà évoqué cette possibilité, mais elle craignait par-dessus tout la colère de ses parents. Également celle de Denis qui je l’appris, l’avait maintes fois bousculée sous le coup de la colère. Elle me fit jurer que quoi qu’il se passe je ne m’en prendrais pas physiquement à Denis. Elle savait que j’avais peu de patience quand il y avait ce genre de problèmes.

C’est avec un émoi particulier que je vis son ventre s’arrondir, je ne l’ai jamais trouvée plus belle que dans son état de femme enceinte. Mon seul regret était de me dire que ce bébé n’était pas le mien. J’étais à un moment de ma vie ou j’aurais eu besoin de çà. Mon gout pour le sexe avec les femmes enceintes est né avec Giovanna.

Elle était enceinte de 6 mois quand un lundi je terminais assez tôt et me hâtais pour aller retrouver ma belle maitresse. C’était le printemps, il faisait beau et doux. Giovanna m’avait appelé pour me dire qu’elle se languissais de moi, qu’elle avait des idées coquines plein la tête sa libido explosait après un week end auprès de Denis qui avait comme toujours regardé ailleurs et n’avais compris aucun des signaux désespérés qu’elle avait lancés.

Je poussais la porte de son appartement (j’avais les clefs ) j’entendis tout de suite des gémissements dans le salon, j’approchais doucement. Je vis ma jolie brune, nue sur le canapé, son gros ventre rebondi parcouru de veines bleues, la peau tendue comme un tambour sur cette bosse phénoménale. Ses doigts allaient et venaiet de bas en haut dans sa fente inondée de son petit lait d’amour. Son clito tou gonflé saillant au haut de cette crevasse rose perdue dans sa toison bouclée. Son anus saillant et rougis, gonflé semblait attendre une pénétration énorme. Giovanna sur le point de jouir accéléra la cadence, elle ne m’avait pas vu, en un instant j’étais à poil la queue a la main, dure et gonflée, la voir ainsi m’excitait comme un malade. Je la désirais comme chaque fois que j’étais près d’elle. Je lui faisais l’amour a chaque instant, 6, 8 ,10 fois dans la soirée et la nuit. Je m’épuisais totalement, n’arrêtant que pour la bonne raison que je n’arrivais plus à éjaculer, et encore il arrivait souvent que j’ai l’orgasme, mais sans la moindre goutte de foutre lâché. C’est terriblement frustrant. Giovanna dans ce cas de figure, me suçait me branlait m’excitait de toutes les façons possibles pour arriver a me faire jouir pour de bon. Elle y arrivait la plupart du temps, tout en se faisant jouir elle-même ou que mes doigts et ma langue lui donne le frisson. Pour moi c’était violent, à l’extrême limite de mes capacités. Le plaisir confine à la douleur, a l’impossible j’ai toujours aimé çà.

Ses gémissements emplissaient la pièce les yeux clos elle ne me vit pas m’approcher et ne m’entendais pas. Ses doigts fouillaient son vagin et taquinait le clitoris, des spasmes ouvraient et fermaient son sexe qui ruisselait, quel joli spectacle, je m’étais agenouillé. Elle poussa un cri de surprise quand mes mains se posèrent sur ses cuisses. Et une longue plainte, quand mes lèvres aspirèrent son clito tandis que ma langue pénétrait son coquillage tout crémeux.

- Ohhhhh oui!!!!! Gilles bouffe moi la chatte, c’est bon !!!! Oh oui fort!!!!

Je ne pouvais voir son visage, je ne voyais que son ventre gonflé qui se balançais de gauche a droite. Son bassin roulait, ses pieds m’avaient capturé et elle écrasait mon visage contre son sexe. Comme si elle avait voulu faire entrer ma tête dans son sexe.

Ma langue passais de son vagin a son anus, très ouvert et gonflé. Elle adorait que je lui lèche et enfonce ma langue, mais aussi ma queue. Elle se mit à jouir n’y tenant plus, des cris rauques, presque bestiaux, elle tremblait de tous ses membres mais ne semblait pas rassasiée.

- Oh chéri encule moi vite viens dans moi fais moi encore jouir.

Je n’attendais que çà, me haussant un peu je posais mon gland gonflé sur son anus, et un coup de rein m’enfouis au plus profond d’elle.

- Ouiiii encore plus encore!!

Je donnais de grands coups qui la secouaient. Mes mains s’emparaient des seins gonflés aux mamelons tendus. Ses seins étaient d’une sensibilité incroyable avec cette grossesse et ses seins étaient devenus énormes, se mamelons gonflés étaient le prolongement de son sein et ils étaient comme une toile tendue, les caresses la faisait crier et elle aimait que je pétrisse ses mamelles.

- Oh Gilles chéri, jouis, je veux te sentir cracher en moi. Viens vite.. Donne moi tout.

Comment résister à ces mots, comment ne pas céder aux suppliques et aux expressions de ce visage torturé par le plaisir, le front moite les cheveux en bataille. Je l’embrassais profondément, suçant sa langue, tandis que je me répandais à n’en plus finir dans son cul. Ma jouissance fut dévastatrice, je me vidais longuement en elle, giclée après giclée j’avais l’impression de ne plus pouvoir m’arrêter. Je sortais ma queue de son anus, qui dégorgeait tout le foutre que je venais d’y déposer, et je me glissais dans sa chatte, brulante, trempée, je coulissais facilement, j’avais toujours la même trique, elle roulait ses hanches et croisant les pieds sur mes reins elle imprima son rythme.

- Oui oui baise moi fort, viens en moi oh je te sens au fond de moi encore plus fort.

Je me laissais emporter par le désir, Giovanna quelle passion j’avais en moi, je me perdais totalement en elle, je me serais dissous en elle si je l’avais pu. Elle était folle amoureuse ces yeux ne mentaient pas, on était tout l’un pour l’autre. Dans ces étreintes on se donnait totalement. C’était la sincérité totale, l’amour a l’état brut, le désir je désirais tout son corps comme elle désirait le mien. Sa grossesse faisait d’elle une bombe sexuelle. Je pense que de toutes les compagnes que j’ai eu c’est avec elle que le rythme de nos ébats fut le plus important.

Nous étions tous deux au seuil d’une nouvelle explosion, Giovan me précéda de quelques secondes, se tétanisant et enserrant ma queue dans un vagin aux muscles tendus elle accéléra ma jouissance. Et en faisant beaucoup de bruits comme toujours je me vidais totalement en elle. Avant de retomber sur elle, enfin sans trop comprimer le bébé, vus on état et je restait longtemps a caresser se ventre tout rond qui m’hypnotisait. Même si la grossesse déforme les corps j’ai toujours pensé qu’ils sont sublimés par cet état pour la plupart des femmes. Giovanna était la plus belle des femmes enceintes que j’ai connues. Certes j’étais fou amoureux et je la regardais avec mon cœur plus que mes yeux. Mais j’ai eu aussi les avis de quelques amis sur la question.

Ma chère Giovanna enceinte de 6 mois, ressentit le besoin dans son état d’expérimenter ma façon de vivre ma sexualité c’est à dire d’aimer multiplier les partenaires. Je lui avais proposé çà déjà pas mal de temps avant, elle m’avait dit peut-être mais là ce jour-là après nos ébats elle aborda franchement la question.

- Dis donc, Gilles tu m’avais dit que tu avais des amis, des couples avec lesquels on pourrait faire des choses. J’aimerais bien essayer pour voir, c’est gênant si je suis enceinte ? Bon je suis énorme mais je ne suis pas trop moche quand même.

- Idiote, tu es magnifique, je connais plus d’un ou une amie qui vont te trouver à croquer dans ton état. Et reconnait que tu es est particulièrement chaude depuis des semaines.

- Oui c’est vrai j’ai toujours envie, mais avec toi c’est normal. Pas comme mon idiot de mari qui me touche plus. Je ne sais pas s'il se branle en cachette ou s'il a une nana planquée.

- Je ne vais pas dire du mal de Denis, tu sais bien que je me sens mal d’être avec toi en cachette. Il faudra qu’on trouve une solution.

- Attends chéri, sois patient, laisse-moi accoucher, on verra ensuite ce que l’on fait. Je me suis mariée l’année dernière, oui c’était une erreur, mais c’est fait. J’ai failli me fâcher avec mes parents pour me marier, si maintenant je leur dis-je le quitte je veux divorcer j’ai trouvé le bon. Je pense qu’ils ne vont pas apprécier.

Cette conversation est gravée dans ma mémoire et je me demande toujours si je n’aurais pas dû être plus ferme à cet instant. Mais j’étais préoccupé plus par la perspective de galipettes a plusieurs que par le futur de notre relation. Surtout alors que Giovanna accédait à mes désirs, je n’envisageais pas une relation a long terme avec une femme qui refuserais ces amours multiples. Quand je dis amours, c’est du sexe.

L’amour il est unique, je ne peux aimer qu’une seule femme à la fois sur le plan sentimental. Oui parfois on est tiraillé entre deux amours, mais il y en a toujours un qui prend le pas sur l’autre. Même si parfois je me suis convaincu que je pouvais aimer deux femmes en même temps de la même façon.



Giovanna voulait se lancer dans la cour des grands en ce qui concernait le sexe. J’allais lui faire la courte échelle avec un plaisir non dissimulé. J’avais déjà en tête le couple d’amis que j’allais solliciter pour ce faire. Gaston et Annie on toujours été des complices sur ce genre d’affaires.