Godes et auto-fellation
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Godes et auto-fellation
On a bien baisé dans la pièce d'essayage, puis dans les salles ciné, et nous voici à
nouveau dans la boutique. Je veux offrir un plug à mon chéri, et on refait du lèche
vitrine. Phil revient nous proposer son aide, et en profite pour nous dire qu'il est
là tous les samedi, et qu'il espère bien nous revoir. On se décide pour un superbe
objet, maintenant que l'on connait nos possibilités anales. On règle nos achats, et la
patronne nous reparle de sa proposition et nous donne une carte en nous demandant de
la rappeler au numéro indiqué, et de demander Brigitte. On s'en va, ravi de notre
aventure.
On est chez Guillaume et on se déshabille à la chambre d'amis. Il récupère le plug
pour lui, puis un des deux godes de Peggy, le plus joli, pour moi. Je veux qu'il
m'offre le même spectacle que l'inconnu du sex-shop. On va au salon et on s'installe
chacun dans un fauteuil, face à face.
Je relève les jambes sur les accoudoirs, suce le gode, me le plante dans le cul, et me
branle le manche. Mon nouveau copain fait de même et s'enfonce son joujou jusqu'au
socle. Puis il prend sa jambe, la fait passer derrière l'épaule et se penche sur sa
bite pour se sucer. Ohhhh, le salaud. Il est mince, souple, sa longue queue est bien
dressée, et il se gobe le gland entier sans aucune difficulté. Il me chauffe au
maximum, et je me lève pour venir m'agenouiller entre ses jambes relevées.
Je le caresse tendrement, les cuisses, les fesses, les couilles, et le félicite pour
sa prestation:
- Hummmm, mon chéri, tu es trop beau. C'est bon de te voir te pomper et te défoncer le
cul, tu es magnifique mon amour. Je n'ai jamais rien vu d'aussi
beau....................
J'accompagne et entrecoupe mes paroles de bisous partout, de léchouilles. Je gobe ses
boules, les suce, puis remonte ma langue sur son membre, jusque dans sa bouche, pour
la joindre à la sienne et lécher son gland. Je retire sa queue pour lui rouler une
pelle, puis lui redonne pour m'occuper de son fion.
Je m'empare du socle de son toy, et lui ramone l'anus. Puis je le retire, son trou est
bien ouvert, et j'y enfourne ma langue au plus profond. Je me délecte de ses parois
intimes, puis me recule. Je suce son plug, me l'enfonce dans la gorge, et le remets en
place dans son cul.
Je recommence à plusieurs reprises, ses couilles, son manche, son gland, sa bouche,
son fion. Il s'abandonne à mes caresses gourmandes, m'encourage en me disant que c'est
trop bon, et qu'il n'aurait jamais imaginé prendre autant de plaisir avec un homme et
continue à se sucer pour mon plus grand plaisir; je me défonce le cul avec le gode de
sa femme.
On est en fin d'après midi, et sa femme rentre de chez ses parents. Elle nous trouve,
tels que décrits ci-dessus:
- Eh bien mes salauds, ça vous a excités votre visite au sex-shop. Ne bougez pas
j'arrive.
Elle part à sa chambre, puis revient toute nue, avec son gode le plus petit. Elle
s'installe sur le canapé, et se masturbe avec, tout en nous reluquant. Elle s'inquiète
de ne pas avoir trouvé son autre jouet, et je lui dis qu'il est bien au chaud dans mon
cul. Puis comme pour lui prouver mes dires, je me remets en position sur le fauteuil,
et me ramone moi aussi. Son mari qui se suce ne peut lui parler, et elle s'adresse à
moi:
- Vous êtes vraiment des vicieux, mais j'aime ça. J'adore quand mon mari se suce, et
maintenant il se gode en plus, c'est génial. Et toi, tu ne te suces pas?
- J'aimerais bien, mais je ne peux plus. Crois bien que je regrette, encore plus que
toi.
- C'est dommage pour ta queue, elle mérite une bonne bouche. Ne t'en fais pas, je vais
arranger ça.
Elle se lève, et vient s'accroupir pour me sucer. Elle ne s'est pas mise face à moi,
mais sur le côté, pour que Guillaume ne perde rien du spectacle:
- Salope, ça te plait de me pomper devant ton mari, de le rendre jaloux. Ohhhh, ouiii,
ohhh putain que tu suces bien. Prends la toute, bien profonds, je veux te foutre mes
couilles dans ta gueule, en plus de mon manche.
Elle veut bien tenter l'expérience, à condition que je lui raconte notre après midi.
C'est ce que fais, dans les moindres détails, à part la proposition de la patronne
dont je laisse le soin à son mec de lui annoncer. Elle me gobe jusqu'à la garde, et se
décroche la mâchoire pour me laisser pousser me boules en elle. Elle se retire pour
respirer, et me reprends de plus belle, à maintes reprises. J'ai finit mon récit, elle
trouve ça superbe, mouillant, même si elle a du mal à croire que de telles orgies
puissent exister si près de chez elle, en pleine ville, en plein jour.
Elle veut maintenant voir notre achat, et part le chercher à la chambre. Elle revient,
le déballe, et reste suffoquée:
- C'est quoi ce truc?
- Mais ton gode ceinture ma chérie, tu le vois bien.
- Oui, mais vous avez vu l'engin! Je ne peux pas vous mettre ça dans le cul!
- Oh si, tu vas pouvoir. La patronne l'a bien fait, sans souci.
- Mais vous êtes fous, je vais vous déchirer.
Je la sens sincèrement inquiète, et je vais lui faire une démonstration. Elle me le
tends à ma demande, sans le lubrifiant dont je n'ai pas besoin, tellement mon trou est
mouillé. J'ai toujours l'autre gode bien enfoncé, et je le secoue dans tous les sens
pour m'ouvrir davantage.
Je suis chaud bouillant, et rêve de ce sceptre dans mes entrailles; elle a raison la
petite, il est monstrueux, mais je le veux.
Je retire mon jouet, et plaque le gland du nouveau venu sur ma rondelle dilatée. Je
pousse doucement, mais fermement, pour me l'introduire, tout en m'encourageant à voix
haute pour m'exciter et exciter mes deux spectateurs:
- Ouvre toi salope de cul, ne me laisse pas tomber. Montre leur que tu n'es qu'un
garage à bites, et moi un putain d'enculé. Fais pas ton timide mon trou chéri, fais
leur voir qu'il n'y a pas de bite trop grosse pour te faire
plaisir............................
Je continue mes propos salaces, qui m'aident à fourrer ce gode magique. Le gland
énorme est passé, et le reste n'est que formalité. Je l'ai presque tout en moi, et le
veux en entier. Je me lève et m'approche de la table basse. Je protège l'angle avec le
magazine tv, puis m'abaisse pour poser le socle dessus. Je descend alors sur ce
sceptre inespéré, jusqu'à écraser mes miches sur la table, et l'avoir tout en moi. Je
me relève et m'adresse à Peggy:
- Ohhhh, tu ne peux pas savoir comme c'est bon. Tu devrais essayer, je te jure,
demande à Guillaume.
Elle ne veut pas croire que son mec, encore puceau du cul il y a 24 heures, puisse
engranger un tel instrument. Je retire notre bite phénomène, et la donne à Guillaume.
Il m'a bien observé, et refait tout à l'identique, à part que mes paroles ordurières
sont remplacées par des gémissements non feints. Il retire son gros visiteur anal, et
conseille à son tour à sa femme d'essayer, mais elle décline l'offre sous prétexte
qu'elle doit préparer à manger.
Elle nous laisse seuls, et on continue à s'amuser. Il se suce à nouveau, et je suis à
genoux entre ses cuisses relevées. Il retire sa queue et se branle énergiquement,
sauvagement. Il remet son gland en bouche, et je vois sa bite s'agiter de nombreux
soubresauts, qui délivrent autant de longues giclées chaudes et savoureuses. Son sexe
se calme, il relève légèrement la tête, et recrache tout sur son gland. Ca dégouline
sur sa hampe, il remonte tout avec ses doigts, gobe son gland submergé de foutre, puis
recrache tout.
Le salaud, il s'inspire du mec du sex-shop, conjugué à mon désir de renouvellement. Il
remet ça et je n'en peux plus, il faut que je me soulage moi aussi. Je ne peux jouir
dans ma bouche, et il m'offre la sienne pour y décharger à volonté. Ohhhhhhhh, putain
que ça fait du bien.
Je rajoute ma sauce à la sienne, il mélange tout dans sa bouche, et déverse encore sur
sa bite qui prend son temps pour débander. Il remonte tout une nouvelle fois, mais me
laisse gober son gland inondé de nos deux semences. Je recrache, on gobe à tour de
rôle, encore et encore.
Peggy annonce qu'elle a bientôt fini, et demande à Guillaume de servir l'apéritif. Du
coup on met fin à notre séance. Nos deux bouches se rejoignent sur le bout de sa queue
pour se partager notre friandise. On avale, puis il se lèche les doigts tandis que je
nettoie sa queue, et on termine par une chaude pelle.
Je l'aide à servir l'apéro, et Peggy nous rejoint. Le repas cuit tout seul au four, et
nous laisse une demi-heure de détente.
Elle est vêtue de son seul tablier de cuisine, sans rien dessous. Elle l'enlève, et je
l'invite à venir sur mes genoux. Elle est chaude, douce, je la caresse partout, puis
on s'embrasse à pleine bouche devant son mari conciliant.
Il y a des olives en amuse gueule. J'en prends une, la glisse dans sa fente super bien
huilée, puis l'introduit dans ma bouche pour la savourer. J'en prends une autre, la
remets dans sa chatte, et lui offre. D'autres suivent, dans sa fente, ou que je roule
sur son clito. Guillaume ne veux pas rester en rade, et approche son fauteuil pour se
régaler avec nous de ces olives de plus en plus assaisonnées, puisque la chatounette
de notre petite salope ruisselle de plaisir.
Le four sonne, c'est l'heure de passer à ta table, le temps de finir les quelques
olives qui restent.
On mange en discutant de choses et autres, puis on l'aide à débarrasser et faire la
vaisselle. On est prêt pour une nouvelle baise. On est gentil avec elle, et on la
laisse diriger nos ébats. On commence par des jeux de bouches où elle nous suce, on la
lèche, on l'embrasse. Puis elle veut nos bites dans ses orifices, en ajoutant un gode
pour les satisfaire les trois en même temps. On passe tour à tour, et plusieurs fois,
dans sa bouche, sa chatte et son cul. On la lime de notre mieux, on échange des
insultes et obscénités, et elle enchaine les orgasmes et dégouline de partout. On l'a
défoncée, on l'a épuisée, et elle demande grâce.
On tient à ce qu'elle nous sodomise avec le superbe gode ceinture, et on la laisse se
reposer un peu. Pendant ce temps on s'enfile entre hommes, on se pénètre, on s'encule,
on se monte, histoire de bien préparer nos trous à bites. Ca l'excite de nous voir et
nous entendre, elle reprend des forces, et s'équipe pour nous satisfaire.
On s'installe en 69 avec Guillaume, je suis sur lui, le cul offert. Il écarte mes
fesses pour bien dégager ma rondelle. Je sens le gros gland se plaquer sur mon œillet
et pousser doucement. Peggy semble hésitante pour sa première sodomie active, et je
demande à son mari de l'aider à me mettre. Il glisse sa main entre le socle du gode et
le pubis de sa femme, et il pousse sans hésitation ce salaud. Le gland traverse mon
cercle rapidement, et tout le manche suit. Je pousse un cri silencieux, étouffé par la
bite qui emplit ma bouche. Peggy se met en lentement en mouvement, puis elle se prend
au jeu, accélère et finit par me matraquer comme pour se venger, ou plutôt se
dédommager, de tout ce que je lui ai mis dans le fion. Guillaume à pris ma queue en
charge.
C'est bon, hyper bon, j'en voudrais encore, mais je tiens à ce qu'elle garde des
forces pour son mari. Elle se retire, c'est lui qui vient sur moi, et je l'aide à le
pénétrer. Elle le bourre à grand coups de reins, et je sens sa bite gonfler et durcir
dans ma bouche, tandis qu'il s'active sur la mienne.
Elle est à nouveau épuisée par ses assauts, et prend une pause. On continue à se sucer
avec son mec, et on se fouille le cul. On va bientôt jouir, et elle veut bien nous
servir de vide couilles. Elle se met à genoux, nous debout, et elle nous suce
avidement. On ne retient rien pas et on se soulage dans de grands soupirs dans sa
bouche assoiffée. Elle prend tout et avale jusqu'à la dernière goutte.
On s'allonge, elle entre nous, pour un câlin, et on finit par la persuader d'essayer
le gode ceinture. Elle se met à quatre pattes, et nous laisse faire. On la prépare
tendrement, on lui broute l'oignon, on la doigte, on lui fourre successivement ses
deux godes, en commençant par le plus mince, puis le plug qui est plus gros. Tout se
passe à merveille, et on passe à la minute de vérité. On prend le gode ceinture, on le
lubrifie, on crache dans son cul, et on tente l'insertion. Elle serre les dents,
pousse des petits cris comme des miaulements, puis n'en revient pas quand on lui
annonce que ce bel engin a disparu au trois quart dans son fondement. Elle est
soulagée, et ce n'est plus que du plaisir quand on le fait aller et venir entre ses
reins. On la fait jouir, puis on retire ce sceptre qui nous aura comblé tous les
trois.
Guillaume sent que c'est le moment de lui parler de la proposition de Brigitte.
Il lui dit que si elle avait pris une femme à ma place, pour partenaire, elle aurait
pu se faire bien baisée avec cet ustensile. Elle rétorque que ça aurait sans doute
super, mais qu'à choisir elle préfère ma queue bien réelle et juteuse. Il enchaîne en
lui disant qu'alors il faudrait être quatre pour ne pas avoir de regrets. Elle le voit
venir avec ses gros sabots, et lui demande d'accoucher.
Il lui avoue alors l'offre de la patronne du sex-shop, son envie autant que la mienne
que ça se réalise, et elle se joint à nous pour accepter. A charge pour Guillaume de
l'appeler et fixer un rendez-vous.
Il est tard, on la laisse seule, et je vais coucher avec mon jeune et ardant amant
pour une nouvelle nuit blanche. On baise sans répit, je me fais surtout baiser, bien
plus que je ne le baise. On baise encore le lendemain, tous les trois, et puis je
rentre chez moi en attendant qu'on se revoit le week-end suivant.
A suivre............................
nouveau dans la boutique. Je veux offrir un plug à mon chéri, et on refait du lèche
vitrine. Phil revient nous proposer son aide, et en profite pour nous dire qu'il est
là tous les samedi, et qu'il espère bien nous revoir. On se décide pour un superbe
objet, maintenant que l'on connait nos possibilités anales. On règle nos achats, et la
patronne nous reparle de sa proposition et nous donne une carte en nous demandant de
la rappeler au numéro indiqué, et de demander Brigitte. On s'en va, ravi de notre
aventure.
On est chez Guillaume et on se déshabille à la chambre d'amis. Il récupère le plug
pour lui, puis un des deux godes de Peggy, le plus joli, pour moi. Je veux qu'il
m'offre le même spectacle que l'inconnu du sex-shop. On va au salon et on s'installe
chacun dans un fauteuil, face à face.
Je relève les jambes sur les accoudoirs, suce le gode, me le plante dans le cul, et me
branle le manche. Mon nouveau copain fait de même et s'enfonce son joujou jusqu'au
socle. Puis il prend sa jambe, la fait passer derrière l'épaule et se penche sur sa
bite pour se sucer. Ohhhh, le salaud. Il est mince, souple, sa longue queue est bien
dressée, et il se gobe le gland entier sans aucune difficulté. Il me chauffe au
maximum, et je me lève pour venir m'agenouiller entre ses jambes relevées.
Je le caresse tendrement, les cuisses, les fesses, les couilles, et le félicite pour
sa prestation:
- Hummmm, mon chéri, tu es trop beau. C'est bon de te voir te pomper et te défoncer le
cul, tu es magnifique mon amour. Je n'ai jamais rien vu d'aussi
beau....................
J'accompagne et entrecoupe mes paroles de bisous partout, de léchouilles. Je gobe ses
boules, les suce, puis remonte ma langue sur son membre, jusque dans sa bouche, pour
la joindre à la sienne et lécher son gland. Je retire sa queue pour lui rouler une
pelle, puis lui redonne pour m'occuper de son fion.
Je m'empare du socle de son toy, et lui ramone l'anus. Puis je le retire, son trou est
bien ouvert, et j'y enfourne ma langue au plus profond. Je me délecte de ses parois
intimes, puis me recule. Je suce son plug, me l'enfonce dans la gorge, et le remets en
place dans son cul.
Je recommence à plusieurs reprises, ses couilles, son manche, son gland, sa bouche,
son fion. Il s'abandonne à mes caresses gourmandes, m'encourage en me disant que c'est
trop bon, et qu'il n'aurait jamais imaginé prendre autant de plaisir avec un homme et
continue à se sucer pour mon plus grand plaisir; je me défonce le cul avec le gode de
sa femme.
On est en fin d'après midi, et sa femme rentre de chez ses parents. Elle nous trouve,
tels que décrits ci-dessus:
- Eh bien mes salauds, ça vous a excités votre visite au sex-shop. Ne bougez pas
j'arrive.
Elle part à sa chambre, puis revient toute nue, avec son gode le plus petit. Elle
s'installe sur le canapé, et se masturbe avec, tout en nous reluquant. Elle s'inquiète
de ne pas avoir trouvé son autre jouet, et je lui dis qu'il est bien au chaud dans mon
cul. Puis comme pour lui prouver mes dires, je me remets en position sur le fauteuil,
et me ramone moi aussi. Son mari qui se suce ne peut lui parler, et elle s'adresse à
moi:
- Vous êtes vraiment des vicieux, mais j'aime ça. J'adore quand mon mari se suce, et
maintenant il se gode en plus, c'est génial. Et toi, tu ne te suces pas?
- J'aimerais bien, mais je ne peux plus. Crois bien que je regrette, encore plus que
toi.
- C'est dommage pour ta queue, elle mérite une bonne bouche. Ne t'en fais pas, je vais
arranger ça.
Elle se lève, et vient s'accroupir pour me sucer. Elle ne s'est pas mise face à moi,
mais sur le côté, pour que Guillaume ne perde rien du spectacle:
- Salope, ça te plait de me pomper devant ton mari, de le rendre jaloux. Ohhhh, ouiii,
ohhh putain que tu suces bien. Prends la toute, bien profonds, je veux te foutre mes
couilles dans ta gueule, en plus de mon manche.
Elle veut bien tenter l'expérience, à condition que je lui raconte notre après midi.
C'est ce que fais, dans les moindres détails, à part la proposition de la patronne
dont je laisse le soin à son mec de lui annoncer. Elle me gobe jusqu'à la garde, et se
décroche la mâchoire pour me laisser pousser me boules en elle. Elle se retire pour
respirer, et me reprends de plus belle, à maintes reprises. J'ai finit mon récit, elle
trouve ça superbe, mouillant, même si elle a du mal à croire que de telles orgies
puissent exister si près de chez elle, en pleine ville, en plein jour.
Elle veut maintenant voir notre achat, et part le chercher à la chambre. Elle revient,
le déballe, et reste suffoquée:
- C'est quoi ce truc?
- Mais ton gode ceinture ma chérie, tu le vois bien.
- Oui, mais vous avez vu l'engin! Je ne peux pas vous mettre ça dans le cul!
- Oh si, tu vas pouvoir. La patronne l'a bien fait, sans souci.
- Mais vous êtes fous, je vais vous déchirer.
Je la sens sincèrement inquiète, et je vais lui faire une démonstration. Elle me le
tends à ma demande, sans le lubrifiant dont je n'ai pas besoin, tellement mon trou est
mouillé. J'ai toujours l'autre gode bien enfoncé, et je le secoue dans tous les sens
pour m'ouvrir davantage.
Je suis chaud bouillant, et rêve de ce sceptre dans mes entrailles; elle a raison la
petite, il est monstrueux, mais je le veux.
Je retire mon jouet, et plaque le gland du nouveau venu sur ma rondelle dilatée. Je
pousse doucement, mais fermement, pour me l'introduire, tout en m'encourageant à voix
haute pour m'exciter et exciter mes deux spectateurs:
- Ouvre toi salope de cul, ne me laisse pas tomber. Montre leur que tu n'es qu'un
garage à bites, et moi un putain d'enculé. Fais pas ton timide mon trou chéri, fais
leur voir qu'il n'y a pas de bite trop grosse pour te faire
plaisir............................
Je continue mes propos salaces, qui m'aident à fourrer ce gode magique. Le gland
énorme est passé, et le reste n'est que formalité. Je l'ai presque tout en moi, et le
veux en entier. Je me lève et m'approche de la table basse. Je protège l'angle avec le
magazine tv, puis m'abaisse pour poser le socle dessus. Je descend alors sur ce
sceptre inespéré, jusqu'à écraser mes miches sur la table, et l'avoir tout en moi. Je
me relève et m'adresse à Peggy:
- Ohhhh, tu ne peux pas savoir comme c'est bon. Tu devrais essayer, je te jure,
demande à Guillaume.
Elle ne veut pas croire que son mec, encore puceau du cul il y a 24 heures, puisse
engranger un tel instrument. Je retire notre bite phénomène, et la donne à Guillaume.
Il m'a bien observé, et refait tout à l'identique, à part que mes paroles ordurières
sont remplacées par des gémissements non feints. Il retire son gros visiteur anal, et
conseille à son tour à sa femme d'essayer, mais elle décline l'offre sous prétexte
qu'elle doit préparer à manger.
Elle nous laisse seuls, et on continue à s'amuser. Il se suce à nouveau, et je suis à
genoux entre ses cuisses relevées. Il retire sa queue et se branle énergiquement,
sauvagement. Il remet son gland en bouche, et je vois sa bite s'agiter de nombreux
soubresauts, qui délivrent autant de longues giclées chaudes et savoureuses. Son sexe
se calme, il relève légèrement la tête, et recrache tout sur son gland. Ca dégouline
sur sa hampe, il remonte tout avec ses doigts, gobe son gland submergé de foutre, puis
recrache tout.
Le salaud, il s'inspire du mec du sex-shop, conjugué à mon désir de renouvellement. Il
remet ça et je n'en peux plus, il faut que je me soulage moi aussi. Je ne peux jouir
dans ma bouche, et il m'offre la sienne pour y décharger à volonté. Ohhhhhhhh, putain
que ça fait du bien.
Je rajoute ma sauce à la sienne, il mélange tout dans sa bouche, et déverse encore sur
sa bite qui prend son temps pour débander. Il remonte tout une nouvelle fois, mais me
laisse gober son gland inondé de nos deux semences. Je recrache, on gobe à tour de
rôle, encore et encore.
Peggy annonce qu'elle a bientôt fini, et demande à Guillaume de servir l'apéritif. Du
coup on met fin à notre séance. Nos deux bouches se rejoignent sur le bout de sa queue
pour se partager notre friandise. On avale, puis il se lèche les doigts tandis que je
nettoie sa queue, et on termine par une chaude pelle.
Je l'aide à servir l'apéro, et Peggy nous rejoint. Le repas cuit tout seul au four, et
nous laisse une demi-heure de détente.
Elle est vêtue de son seul tablier de cuisine, sans rien dessous. Elle l'enlève, et je
l'invite à venir sur mes genoux. Elle est chaude, douce, je la caresse partout, puis
on s'embrasse à pleine bouche devant son mari conciliant.
Il y a des olives en amuse gueule. J'en prends une, la glisse dans sa fente super bien
huilée, puis l'introduit dans ma bouche pour la savourer. J'en prends une autre, la
remets dans sa chatte, et lui offre. D'autres suivent, dans sa fente, ou que je roule
sur son clito. Guillaume ne veux pas rester en rade, et approche son fauteuil pour se
régaler avec nous de ces olives de plus en plus assaisonnées, puisque la chatounette
de notre petite salope ruisselle de plaisir.
Le four sonne, c'est l'heure de passer à ta table, le temps de finir les quelques
olives qui restent.
On mange en discutant de choses et autres, puis on l'aide à débarrasser et faire la
vaisselle. On est prêt pour une nouvelle baise. On est gentil avec elle, et on la
laisse diriger nos ébats. On commence par des jeux de bouches où elle nous suce, on la
lèche, on l'embrasse. Puis elle veut nos bites dans ses orifices, en ajoutant un gode
pour les satisfaire les trois en même temps. On passe tour à tour, et plusieurs fois,
dans sa bouche, sa chatte et son cul. On la lime de notre mieux, on échange des
insultes et obscénités, et elle enchaine les orgasmes et dégouline de partout. On l'a
défoncée, on l'a épuisée, et elle demande grâce.
On tient à ce qu'elle nous sodomise avec le superbe gode ceinture, et on la laisse se
reposer un peu. Pendant ce temps on s'enfile entre hommes, on se pénètre, on s'encule,
on se monte, histoire de bien préparer nos trous à bites. Ca l'excite de nous voir et
nous entendre, elle reprend des forces, et s'équipe pour nous satisfaire.
On s'installe en 69 avec Guillaume, je suis sur lui, le cul offert. Il écarte mes
fesses pour bien dégager ma rondelle. Je sens le gros gland se plaquer sur mon œillet
et pousser doucement. Peggy semble hésitante pour sa première sodomie active, et je
demande à son mari de l'aider à me mettre. Il glisse sa main entre le socle du gode et
le pubis de sa femme, et il pousse sans hésitation ce salaud. Le gland traverse mon
cercle rapidement, et tout le manche suit. Je pousse un cri silencieux, étouffé par la
bite qui emplit ma bouche. Peggy se met en lentement en mouvement, puis elle se prend
au jeu, accélère et finit par me matraquer comme pour se venger, ou plutôt se
dédommager, de tout ce que je lui ai mis dans le fion. Guillaume à pris ma queue en
charge.
C'est bon, hyper bon, j'en voudrais encore, mais je tiens à ce qu'elle garde des
forces pour son mari. Elle se retire, c'est lui qui vient sur moi, et je l'aide à le
pénétrer. Elle le bourre à grand coups de reins, et je sens sa bite gonfler et durcir
dans ma bouche, tandis qu'il s'active sur la mienne.
Elle est à nouveau épuisée par ses assauts, et prend une pause. On continue à se sucer
avec son mec, et on se fouille le cul. On va bientôt jouir, et elle veut bien nous
servir de vide couilles. Elle se met à genoux, nous debout, et elle nous suce
avidement. On ne retient rien pas et on se soulage dans de grands soupirs dans sa
bouche assoiffée. Elle prend tout et avale jusqu'à la dernière goutte.
On s'allonge, elle entre nous, pour un câlin, et on finit par la persuader d'essayer
le gode ceinture. Elle se met à quatre pattes, et nous laisse faire. On la prépare
tendrement, on lui broute l'oignon, on la doigte, on lui fourre successivement ses
deux godes, en commençant par le plus mince, puis le plug qui est plus gros. Tout se
passe à merveille, et on passe à la minute de vérité. On prend le gode ceinture, on le
lubrifie, on crache dans son cul, et on tente l'insertion. Elle serre les dents,
pousse des petits cris comme des miaulements, puis n'en revient pas quand on lui
annonce que ce bel engin a disparu au trois quart dans son fondement. Elle est
soulagée, et ce n'est plus que du plaisir quand on le fait aller et venir entre ses
reins. On la fait jouir, puis on retire ce sceptre qui nous aura comblé tous les
trois.
Guillaume sent que c'est le moment de lui parler de la proposition de Brigitte.
Il lui dit que si elle avait pris une femme à ma place, pour partenaire, elle aurait
pu se faire bien baisée avec cet ustensile. Elle rétorque que ça aurait sans doute
super, mais qu'à choisir elle préfère ma queue bien réelle et juteuse. Il enchaîne en
lui disant qu'alors il faudrait être quatre pour ne pas avoir de regrets. Elle le voit
venir avec ses gros sabots, et lui demande d'accoucher.
Il lui avoue alors l'offre de la patronne du sex-shop, son envie autant que la mienne
que ça se réalise, et elle se joint à nous pour accepter. A charge pour Guillaume de
l'appeler et fixer un rendez-vous.
Il est tard, on la laisse seule, et je vais coucher avec mon jeune et ardant amant
pour une nouvelle nuit blanche. On baise sans répit, je me fais surtout baiser, bien
plus que je ne le baise. On baise encore le lendemain, tous les trois, et puis je
rentre chez moi en attendant qu'on se revoit le week-end suivant.
A suivre............................
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