Hadés vs Persephonne
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Hadés vs Persephonne
Perséphone est d'une rare beauté, et sa mère Déméter l'élève en secret en Sicile, son île favorite, où la jeune fille est en sécurité. Dans les bois d'Enna, Perséphone se divertit en compagnie des Océanides.
Perséphone se divertit en compagnie des Océanides. Et en plus elle et la préférées de son oncle Hadès, son oncle, qui souhaite en faire sa reine. Il enlève la jeune fille qui d'un cri alerte sa mère mais celle-ci arrive trop tard. Elle aimait les filles. C’est une brute qui la désire. Habituée aux douces caresses des ses amantes, ne cherchant pas les pénétrations souvent brutales d’un dieu maître des enfers, qui en plus avait mauvaise réputation dans tout l’Olympe. Il s’était fâché dit-on avec le patron Zeus pour ne sombre histoire de boite (certains parlent de boite de chocolats, ce qui ‘étonnerais beaucoup, le chocolat n’était pas la boisson préférée de l’époque, d’autre par plus macabrement de cercueil. Etonnant aussi que des dieux immortels parlent de chose au ras de terre)
Quoiqu’il en soit, Hadès, peu diplomate, ayant une seule envie depuis longtemps qu’il pouvait satisfaire juste au moment où les appelées chez lui arrivaient. C’était son habitude de baiser les nouvelles venues en enfer. Attention ce n’était pas l’enfer comme on l’imagine avec les flammes, des braises partout, des fourches, des machins pas trop rigolos : non les enfers étaient le lieu de repos définitif des mortels. (Les médecins de l’époque étaient de forts pourvoyeurs de l’enfer par leur ignorance).
Revenons, si vous le voulez bien au flirt engagé par Hadès près de Perséphone. Il était attiré par la beauté angélique de la nana, déesse quand même. C’est vrai qu’elle se montrait trop en compagnie de l’une ou l’autre des Océanides dans des tenues peu compatibles avec sa position. Outre les cheveux à la garçonne, elle portait une grande cape qui enveloppait tout son corps, laissant voir souvent des secrets que les déesses bien élevées ne montraient jamais ou presque un sein, les jambes depuis les pieds vers les hanches. Quand elle marchait en se dandinant elle laissait voir sa crémaillère. Elle mettait le feu au cœur et plus bas des mortels qui l’apercevaient. Alors pensez d’un dieu comme Hadès.
Lassé des refus réitérés de la belle Perséphone, il s’adresse à Maman : Déméter. Elle ne peut rien aux préférences sexuelles de sa fille, elle-même elle est des fois tentée par une mortelle, celle qui habite juste en bas à gauche en sortant …Elle veut bien parler à sa fille.
Elle a du le faire parce qu’une semaine plus tard, Perséphone aperçoit cherchant des champignons Hadès. Finalement il n’est pas mal, un peu pale sans doute à cause de son activité, mal rasé. Elle veut en connaitre d’avantage sur lui, elle attend le moment où Hadès a une envie présente : il sort son bigoudis pour faire son pipi.
Ca va, il est correctement dressé, fin et long. Elle en fait part à maman qui répercute les résultats à l’intéressé. Il pense qu’il a une belle queue, longue (c’est vrai) grosse (c’est faux). Il est certain de pouvoir baiser celle qu’il désire. Il a des manques dans son éducation : il s’adresse à une mortelle, celle qui habite juste en bas à gauche en sortant. Elle faisait sa lessive avec la mère Denis. Hadès ne connaissait pas la voisine, il demande à la mère Denis de lui apprendre à embrasser une femme. Flattée qu’on ne l’a pas oubliée, la mère Denis lui flanque un baiser sur la bouche qu’il n’oubliera jamais plus. En prime il a droit de poser, juste poser (n’exagérons pas) une main sur la chatte de la lavandière.
Il est fier Hadès, il sait embrasser (bien selon lui), il sait où se trouve la boite à bijoux. Perséphone, attention il arrive, il veut te baiser, il va te baiser, pars vite en courent si tu ne veux pas de lui, pars, cours………Elle reste là à attendre. On dira après que les filles se font agresser (mensonge, elles n’attendent que ça.) Elle fait plus : quand Hadès arrive, elle lui tend les bras Le Océanides sont désespérées. Une des leurs change de camps, elle oublie les filles pour un dieu.
C’est là, en plein champs, juste à coté de la flaque de pipi qu’ils s’embrassent. Baiser très long qui laisse estourbi le dieu des enfers. La coquine sait quand même comment faire avec un dieu. Elle lui chipe la queue, elle la lui tord un peu, elle fait sortir le gland, le regarde avec désir. Elle se couche, l’attire sur elle. Presque mort (pour un immortel c’est bizarre) il gît un instant. Ce bonheur de l’avoir pour lui seul, de ne pas la partager avec les Océanides, lui plait beaucoup, trop sans doute : il entre dans son vagin inutilisé depuis un bon bout de temps, en profondeur au moins. La queue entre en entier jusqu’à la matrice. L’amante jouit trop vite, l’entraînant aussi vers Eros. Le jet de sperme est violent trop violent. Il agit comme un réacteur en mettant en marche arrière le corps entier d’Hadès. Depuis, Perséphone qui le pris goût à avoir une bite dans son ventre se contente seul pour ne pas avouer comment s’est fini sa première communion (non pas celle là) avec un dieu.
Perséphone se divertit en compagnie des Océanides. Et en plus elle et la préférées de son oncle Hadès, son oncle, qui souhaite en faire sa reine. Il enlève la jeune fille qui d'un cri alerte sa mère mais celle-ci arrive trop tard. Elle aimait les filles. C’est une brute qui la désire. Habituée aux douces caresses des ses amantes, ne cherchant pas les pénétrations souvent brutales d’un dieu maître des enfers, qui en plus avait mauvaise réputation dans tout l’Olympe. Il s’était fâché dit-on avec le patron Zeus pour ne sombre histoire de boite (certains parlent de boite de chocolats, ce qui ‘étonnerais beaucoup, le chocolat n’était pas la boisson préférée de l’époque, d’autre par plus macabrement de cercueil. Etonnant aussi que des dieux immortels parlent de chose au ras de terre)
Quoiqu’il en soit, Hadès, peu diplomate, ayant une seule envie depuis longtemps qu’il pouvait satisfaire juste au moment où les appelées chez lui arrivaient. C’était son habitude de baiser les nouvelles venues en enfer. Attention ce n’était pas l’enfer comme on l’imagine avec les flammes, des braises partout, des fourches, des machins pas trop rigolos : non les enfers étaient le lieu de repos définitif des mortels. (Les médecins de l’époque étaient de forts pourvoyeurs de l’enfer par leur ignorance).
Revenons, si vous le voulez bien au flirt engagé par Hadès près de Perséphone. Il était attiré par la beauté angélique de la nana, déesse quand même. C’est vrai qu’elle se montrait trop en compagnie de l’une ou l’autre des Océanides dans des tenues peu compatibles avec sa position. Outre les cheveux à la garçonne, elle portait une grande cape qui enveloppait tout son corps, laissant voir souvent des secrets que les déesses bien élevées ne montraient jamais ou presque un sein, les jambes depuis les pieds vers les hanches. Quand elle marchait en se dandinant elle laissait voir sa crémaillère. Elle mettait le feu au cœur et plus bas des mortels qui l’apercevaient. Alors pensez d’un dieu comme Hadès.
Lassé des refus réitérés de la belle Perséphone, il s’adresse à Maman : Déméter. Elle ne peut rien aux préférences sexuelles de sa fille, elle-même elle est des fois tentée par une mortelle, celle qui habite juste en bas à gauche en sortant …Elle veut bien parler à sa fille.
Elle a du le faire parce qu’une semaine plus tard, Perséphone aperçoit cherchant des champignons Hadès. Finalement il n’est pas mal, un peu pale sans doute à cause de son activité, mal rasé. Elle veut en connaitre d’avantage sur lui, elle attend le moment où Hadès a une envie présente : il sort son bigoudis pour faire son pipi.
Ca va, il est correctement dressé, fin et long. Elle en fait part à maman qui répercute les résultats à l’intéressé. Il pense qu’il a une belle queue, longue (c’est vrai) grosse (c’est faux). Il est certain de pouvoir baiser celle qu’il désire. Il a des manques dans son éducation : il s’adresse à une mortelle, celle qui habite juste en bas à gauche en sortant. Elle faisait sa lessive avec la mère Denis. Hadès ne connaissait pas la voisine, il demande à la mère Denis de lui apprendre à embrasser une femme. Flattée qu’on ne l’a pas oubliée, la mère Denis lui flanque un baiser sur la bouche qu’il n’oubliera jamais plus. En prime il a droit de poser, juste poser (n’exagérons pas) une main sur la chatte de la lavandière.
Il est fier Hadès, il sait embrasser (bien selon lui), il sait où se trouve la boite à bijoux. Perséphone, attention il arrive, il veut te baiser, il va te baiser, pars vite en courent si tu ne veux pas de lui, pars, cours………Elle reste là à attendre. On dira après que les filles se font agresser (mensonge, elles n’attendent que ça.) Elle fait plus : quand Hadès arrive, elle lui tend les bras Le Océanides sont désespérées. Une des leurs change de camps, elle oublie les filles pour un dieu.
C’est là, en plein champs, juste à coté de la flaque de pipi qu’ils s’embrassent. Baiser très long qui laisse estourbi le dieu des enfers. La coquine sait quand même comment faire avec un dieu. Elle lui chipe la queue, elle la lui tord un peu, elle fait sortir le gland, le regarde avec désir. Elle se couche, l’attire sur elle. Presque mort (pour un immortel c’est bizarre) il gît un instant. Ce bonheur de l’avoir pour lui seul, de ne pas la partager avec les Océanides, lui plait beaucoup, trop sans doute : il entre dans son vagin inutilisé depuis un bon bout de temps, en profondeur au moins. La queue entre en entier jusqu’à la matrice. L’amante jouit trop vite, l’entraînant aussi vers Eros. Le jet de sperme est violent trop violent. Il agit comme un réacteur en mettant en marche arrière le corps entier d’Hadès. Depuis, Perséphone qui le pris goût à avoir une bite dans son ventre se contente seul pour ne pas avouer comment s’est fini sa première communion (non pas celle là) avec un dieu.
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