Hélène et Mariejo (suite)
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2008 dans la catégorie Plus on est
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Hélène et Mariejo (suite)
A notre retour du restaurant, à peine rentrés dans l'appartement, mon amante Hélène entreprend à nouveau sa cousine Mariejo. Pourtant l'après midi a été assez mouvementé pour nous trois: baise entre amants baise entre les filles, branlette de Mariejo, 69 entre elles. Orgasmes multiples.
Mais les fille sont infatigables. De toutes façon si je ne peux pas les suivre tout le temps dans leurs amours, elles disposent d'autre moyens. Après tout les godemichets que j'ai offert à Hélène peuvent leur servir en cas de besoin.
Dans l'immédiat les deux amantes ne me demande rien. Elle s'embrassent longuement, ce qui me fait bander: on ne dirait pas que j'ai jouis depuis 16 heures plus de 5 fois. Mais ma pine bandée ne les interressent pas: elles veulent se branler et sans doute se payer un bon 69 comme elles aiment les faire. Le peu de vêtements portés pour aller au restaurant se trouvent jetés au sol Une fois dans la tenue d'Eve, Elles se caressent les seins, les fesses et continuent à se sucer et même se lécher les lèvres. il faut dire que lécher les lèvres de la ou du compagnon d'amour est très exsitant.leut corps à corps se poursuit : les tétons se cherchent pour se caresser.
Hèlène pousse Mariejo vers le divan: je pense qu'elles vont se faire l'amour une fois encore devant moi Mais non, elles veulent que je participe à leur débauche: je dois m'assoir entre elles et me laisser faire. Je dois surtout obéir à leus ordres. Je ne sert que l'instrument à leur plaisir. J'en tire suffisemment de plaisir pour me plaindre. Après tout ma maîtresse est sa cousine, malgré la différence d'âge de 10 ans , ont en commun la demande continuelle de jouisssance.
Hélène à ma gauche m'embrasse lentement et me caresse la poitrine. Mariejo préfère s'occuper de mon bas ventre. elle me caresse le pubis elle ne prend ma bite dans ses mains que par "accident". Elle me fait écarter les jambes, me caresse les couilles et cherche plus bas encore mon cul. Elle mouille des doigts avec sa ciprine en enduit mon fondement et y rentre l'un après l'autres quatre doigts qui en pénétrant me font bander d'vantege. Mariejio dit à Hélène: ça y est je l'encule. Il aime . Hélène lui dit qu'elle fait bien puisque elles aussi se font enculer par ma pine. Mariejo friande de sperme décide de me sucer la bite en concervant ses doigts en moi. Hélène m'embrase toujours aussi goulement et laisse le soin à la bouche de Mariejo de me faire jouir. Je lâche dans sa bouche un jet de sperme qui est avalé jusqu'à la dernière goutte. Hélène gronde sa cousine: tu ne m'en a pas laissé même un peu sur ta langue!
Devenant pour m'instant inutile à ses dames, je me lève pour m'installer confortablement dans le fauteuil où tout à l'haure, Mariejo se branlait en nous regardant nous baiser avec Hélène. Les deux filles se branlent un peu, puis Hélène sort les gods. Elle veulent se branler chacune devant l'autre. Tout d'abord Hélène montre à sa cousine comment se servir des godemichets, munis chacun des piles nécessaire à leur fonctionnement.. Puis chacune pose les faux sexes sur leur cons largement ouverts et se donne du plaisir en se regardant: elles commentent leur action et le degré d'excitation atteint. Elles ont un orgasme encore. C'est le premier d'une série qui n'est pas prête de cesser. maintenant je bande à nouveau: leur spectacle ne me laissent pas du tout indiférents. Je demande à la cantonade qui veut ma bite. Mariejo déclare qu'elle la veut bien dans son cul si dans le même temps Hélène la baise avec un des gods. Elle aime semble t-il les doubles pénétrations. C'est également un des façon de baiser qu'aime sa cousine. Mais elle me laisse libre d'enculer Mariejo. Celle-i prépare son cul avec de sa muoille qu'ellese met sur le prtit trou tout en y mettent un doigt. Je la fait mettre en levrette. Elle ne veut pas, elle veut rester sur le divan. Pour être baisé et enculée elle s'avance pour qu'Hélène lui mette d'abord dans le con une bite artificielle et que je lui pénètre le cul. Lorsqu'elle est prises des deux cotés, elle accompagne les mouvenents pour bien sentir en elle ce qui va la faire jouir. Tout en baisant sa cousine, Hélène se branle directement le clitoris . Nous jouissons pratiquement ensemble, moi d'abors dans ce cul qui m'était inconnu, ensuite Hélèune et enfin Mariejo.
Nous avons continuéà baiser, à vraire dire se sont plutôt les filles qui ont baisé. La nuit courte nous a mis tous à plat, mais pas suffisement pour décider qu'une fois par moi Mariejo viendrait à la maison pour à nouveau prendre son pied avec nous. C'est une chose que nous faisonc donc. Maintenant, il arrive qu'Hélène me dise qu'elle a passé un moment avec sa cousine et qu'lle ont joui plusieurs fois. Ces jours là elle me damende toujours de lui faire l'amour plus ford ue l'habitude.
Mais les fille sont infatigables. De toutes façon si je ne peux pas les suivre tout le temps dans leurs amours, elles disposent d'autre moyens. Après tout les godemichets que j'ai offert à Hélène peuvent leur servir en cas de besoin.
Dans l'immédiat les deux amantes ne me demande rien. Elle s'embrassent longuement, ce qui me fait bander: on ne dirait pas que j'ai jouis depuis 16 heures plus de 5 fois. Mais ma pine bandée ne les interressent pas: elles veulent se branler et sans doute se payer un bon 69 comme elles aiment les faire. Le peu de vêtements portés pour aller au restaurant se trouvent jetés au sol Une fois dans la tenue d'Eve, Elles se caressent les seins, les fesses et continuent à se sucer et même se lécher les lèvres. il faut dire que lécher les lèvres de la ou du compagnon d'amour est très exsitant.leut corps à corps se poursuit : les tétons se cherchent pour se caresser.
Hèlène pousse Mariejo vers le divan: je pense qu'elles vont se faire l'amour une fois encore devant moi Mais non, elles veulent que je participe à leur débauche: je dois m'assoir entre elles et me laisser faire. Je dois surtout obéir à leus ordres. Je ne sert que l'instrument à leur plaisir. J'en tire suffisemment de plaisir pour me plaindre. Après tout ma maîtresse est sa cousine, malgré la différence d'âge de 10 ans , ont en commun la demande continuelle de jouisssance.
Hélène à ma gauche m'embrasse lentement et me caresse la poitrine. Mariejo préfère s'occuper de mon bas ventre. elle me caresse le pubis elle ne prend ma bite dans ses mains que par "accident". Elle me fait écarter les jambes, me caresse les couilles et cherche plus bas encore mon cul. Elle mouille des doigts avec sa ciprine en enduit mon fondement et y rentre l'un après l'autres quatre doigts qui en pénétrant me font bander d'vantege. Mariejio dit à Hélène: ça y est je l'encule. Il aime . Hélène lui dit qu'elle fait bien puisque elles aussi se font enculer par ma pine. Mariejo friande de sperme décide de me sucer la bite en concervant ses doigts en moi. Hélène m'embrase toujours aussi goulement et laisse le soin à la bouche de Mariejo de me faire jouir. Je lâche dans sa bouche un jet de sperme qui est avalé jusqu'à la dernière goutte. Hélène gronde sa cousine: tu ne m'en a pas laissé même un peu sur ta langue!
Devenant pour m'instant inutile à ses dames, je me lève pour m'installer confortablement dans le fauteuil où tout à l'haure, Mariejo se branlait en nous regardant nous baiser avec Hélène. Les deux filles se branlent un peu, puis Hélène sort les gods. Elle veulent se branler chacune devant l'autre. Tout d'abord Hélène montre à sa cousine comment se servir des godemichets, munis chacun des piles nécessaire à leur fonctionnement.. Puis chacune pose les faux sexes sur leur cons largement ouverts et se donne du plaisir en se regardant: elles commentent leur action et le degré d'excitation atteint. Elles ont un orgasme encore. C'est le premier d'une série qui n'est pas prête de cesser. maintenant je bande à nouveau: leur spectacle ne me laissent pas du tout indiférents. Je demande à la cantonade qui veut ma bite. Mariejo déclare qu'elle la veut bien dans son cul si dans le même temps Hélène la baise avec un des gods. Elle aime semble t-il les doubles pénétrations. C'est également un des façon de baiser qu'aime sa cousine. Mais elle me laisse libre d'enculer Mariejo. Celle-i prépare son cul avec de sa muoille qu'ellese met sur le prtit trou tout en y mettent un doigt. Je la fait mettre en levrette. Elle ne veut pas, elle veut rester sur le divan. Pour être baisé et enculée elle s'avance pour qu'Hélène lui mette d'abord dans le con une bite artificielle et que je lui pénètre le cul. Lorsqu'elle est prises des deux cotés, elle accompagne les mouvenents pour bien sentir en elle ce qui va la faire jouir. Tout en baisant sa cousine, Hélène se branle directement le clitoris . Nous jouissons pratiquement ensemble, moi d'abors dans ce cul qui m'était inconnu, ensuite Hélèune et enfin Mariejo.
Nous avons continuéà baiser, à vraire dire se sont plutôt les filles qui ont baisé. La nuit courte nous a mis tous à plat, mais pas suffisement pour décider qu'une fois par moi Mariejo viendrait à la maison pour à nouveau prendre son pied avec nous. C'est une chose que nous faisonc donc. Maintenant, il arrive qu'Hélène me dise qu'elle a passé un moment avec sa cousine et qu'lle ont joui plusieurs fois. Ces jours là elle me damende toujours de lui faire l'amour plus ford ue l'habitude.
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