Histoire de mon sexe - histoire érotique

Je ne suis pas plus dévergondée qu'une autre, c'est ce que je
croyais quand j'ai joui la première fois avec une homme: j'avais 17
ans. Pourtant avant je me branlais souvent (deux à trois fois par jour)
et j'ai même couché avec une copine qui me disait qu'avec les filles
c'était aussi bon qu'avec un garçon. Elle n'avait pas tord: nous
baisions une ou deux fois par mois.
Maintenant je pense que j'ai dépassé les limites du raisonnable:
j'adore me faire baiser par plusieurs personnes à la fois, et peu
importe le sexe du ou de la partenaire. J'aime jouir; c'est pour moi le
soucis majeur du moment, maintenant que j'ai 25 ans. Le petit
copain viendra sans doute mais plus tard.
Oui, c'est vrai j'aime me faire mettre à peu près partout où c'est
possible. Pas plus tard qu'hier, invitée par des "ami(e)s" j'allais
comme toujours dans ces cas là revêtue de mon uniforme de garce:
Mini jupe, ras de la touffe, un chemisier en dentelle, donc
transparent comme ce n'est pas permis, et c'est tout. J'allais en
voiture et en conduisant, bien sur ma jupe montait au niveau de mon
sexe nu. Un motard, à ma droite jetait un coup d'oeil intéressé sur
mon pubis. Pour l'exciter un peu, je posai une main sur mon clito et
commençais à me branler. Il me regardait toujours et quand j'ai
clignoter pour me garer, il est venu à ma hauteur. Je continuais ma
masturbation en surveillant le bas de son ventre: il bandait déjà le
salop. Ma morale personnelle m'interdit de laisser un candidat
possible à me faire jouir. Je le faisais rentrer à la place du mort, je
l'embrassais et lui posait immédiatement sa main sur moi et me
branlait. Je me laissais faire, j'adore toutes caresses sur ce point
particulièrement sensible chez moi. Pour ma part je lui prenais la
bite à travers son pantalon, la serrais un peu et la lui sortais: un
beau membre que j'aurais aimé avoir dans mon con. Je ne pouvais
me pencher et le sucer. Je me contentais de le branler. Il me laissait
faire. Je jouissais rapidement et me consacrais toute entière à sa
bite. Elle était douce dans ma main. J'arrêtais souvent pour le faire
durer. Je sentais venir son orgasme: j'accélérais mon mouvement et
je pouvais voir partir son sperme qui allait se perdre sur le tapis de
sol de la voiture. Nous nous sommes séparés comme ça, juste un
bisou sur la joue: je devait aller baiser sérieusement, on devait sans
doute m'attendre.
Arrivée chez les copains et copines qui, comme je m'en doutais,
étaient en plein boum, Je me dépêchais de trouver un ou une qui
soit libre. Je tombais sur Marinette, une fille presque aussi garce que
moi. J'aimais bien baiser avec elle: elle avait le rôle actif alors que je
préfère être passive, ce qui ne veut pas dire que je subis en ma
laissant faire. Nous avions trouvé un petit coin dans une chambre où
un couple d'hommes semblaient bien affairés à un 69 bien mené. Ils
nous excitaient et pour faire comme eux, Marinette après un baiser
plus que profond voulait qu'on fasse nous aussi un 69. Je ne
demandais pas mieux: j'aime faire les 69 avec les filles bien que je
préfère les garçons à cause du sperme dans ma bouche. La cyprine
me plait moins sans plus. J'étais dessous comme toujours avec
elle. Je sentais sa poitrine sur mon abdomen et surtout sa langue
qui venait me fouiller ma fente de haut en bas. Elle commençait
toujours par frôler mon clitoris, les lèvres et enfin mon anus. J'aime
cette liberté d'avoir sur mon cul une langue qui allait me faire jouir.
Elle ne faisait que lécher le tour de mon cul, sans y mettre
directement sa langue: c'est la seule qui savait me faire cette
caresse très jouissive. Cette fois elle cessait pour revenir se mettre
sur mon bouton. Elle le prenait totalement dans sa bouche et le
sucer pour en avaler un peu avant de le frotter avec le bout de sa
langue.
De mon coté, connaissant ses goût je lui prenais directement le clito
pour le sucer. Mes mains ne restaient pas immobiles: j'allais
directement vers son anus et lui rentrais directement deux doigts
que je faisais aller et venir. Nous jouissons un peu après.
Le couple masculin nous regardait avec des yeux intéressés. Je ne
sais pourquoi je leur donnais mon con. Rapidement ils rebandaient
et le plus grand venait sur moi, m'embrassait: je trouvais dans sa
bouche le goût de sperme de son compagnon. J'ouvrais mes
jambes: je n'avais pas à le conduire vers mon con: il savait
parfaitement où chercher. Il commençait à me baiser quand l'autre à
son tour venait sur mon amant du moment et lui crachait sur le cul. Il
venait sur nous et il rentrait sa bite. Celui qui me baisait était baisé
par une autre. Cette situation m'excitait plus que de les voir en 69,
comme tout à l'heure. Marinette nous regardait et se branlait,
jambes bien ouvertes avec deux doigts dans le cul.
Je sentais le sperme gicler dans mon vagin: je jouissais à mon tour.
Je pensais que peut-être son amant viendrait m'enculer aussi, il
n'aimait que les culs masculins, dommage.
Je revenait dans la pièce principale. Il y avait des mélanges bizarres
entre femmes et hommes. Je ne désirais maintenant qu'une seule
façon de jouir: me faire mettre dans le cul. Je voyais un de mes
amants habituels, j'allais lui proposer la botte alors qu'il sans
vergogne. Quand je dis habituel c'est que nous avons dû baiser trois
ou quatre fois. Il était avec une fille, une blonde bien fichue avec qui
j'aurais bien passé une heure. Ils finissaient à peine de jouir. Je
savais qu'il bandait plusieurs fois de suite sans mollir.
Je lui proposer de m'enculer. La blonde voulait nous voir faire en se
masturbant. Ce n'était pas gênant. Heureusement pour moi, arrivait
un autre homme qui voulait baiser. Il demandait à la blonde de venir
avec lui. J'arrivais à lui proposer de venir me baiser pendant que je
me faisais enculer. Prendre une femme à deux hommes est excitant
et il venait se coucher sur le dos, j'allais m'empaler sur lui par le
vagin. Je sentais contre mon cul l'autre venir m'envahir. Je ne peux
pas décrire ce que je ressentais, un vrai bonheur pour moi. J'aurais
eu une autre queue dans la bouche que j'aurais été sans doute plus
satisfaite. Heureusement que la blonde a envie de se faire sucer par
une fille. Je suis prête à lui rendre ce service; ce n'est pas parce que
je suis bien occupée en bas que ma bouche ne peut pas servir. Elle
vient sur moi, s'assoit presque et l'offre la totalité de son sexe. Il sent
encore le sperme et bien sur la cyprine. Elle m'excite en décrivant
ce que me font ces deux hommes. Je l'imagine bien et surtout ce
que je sens quand les deux queues se croisent en moi. Je fais jouir
la blonde qui se retire et je peut enfin commencer à gémir du plaisir
qui va venir dans peu de temps. Il arrive quand celui qui m'encule
me jouit dans les entrailles. Il se retire et je n'ai plus quand à moi
l'autre pine qui remue dans mon con. Elle me fait jouir quand à son
tour elle éjacule.
Je ne suis pas encore rassasiée: j'ai encore besoin d'une baise
lesbienne. Je trouve mon bonheur dans une femme d'un quarantaine
d'année qui regarde qui pourrait lui faire l'amour. Je la rejoins et
sans rien demander, je l'embrasse: " veux-tu me baiser". La réponse
est claire: elle pose sa main sur mon clitoris et commence une
masturbation comme j'en ai rarement connu. C'est une artiste dans
son genre. Je la branle à mon tour et nous voilà au vu et su de tout
le monde en train de nous branler. Le spectacle doit être bon:
plusieurs personnes, les hommes en particulier nous regardent en
se branlant. Cette femme fait durer mon plaisir un très long moment:
quand je jouis il me semble que je ne peux arrêter les spasmes de
mon con. Elle me dit merci de l'avoir faite bien jouir elle aussi: je ne
m'en étais même pas aperçue.
Vivement la prochaine nuit de baise. En attendant dès mon arrivée
chez moi je me suis encore branlée