Humiliation d'un cocu - histoire érotique

Ce samedi soir, je suis allé dîner avec Stéphanie, ma nouvelle compagne, chez ma sœur Coralie qui habite dans une maison cossue de la banlieue ouest. Ma sœur était en effet désireuse de faire la connaissance de ma dernière petite amie.
Stéphanie est gestionnaire de patrimoine dans une agence bancaire située à vingt minutes en métro de mon logement. Elle a trente-cinq ans, j'en ai deux de plus. Blonde et sportive à la silhouette élancée, Stéphanie mesure environ un mètre soixante-dix et possède des formes féminines bien fermes aux courbes délicates. Elle est en outre dotée d'un très joli visage mis en valeur par un magnifique regard d'un bleu profond.
Je suis particulièrement heureux de l'avoir rencontrée car elle est sans conteste la plus belle des femmes avec lesquelles j'ai eu une relation amoureuse. Et comme ça se passe plutôt bien entre nous, nous avons décidé, il y a quelques semaines, de nous installer ensemble dans mon appartement parisien situé dans le quinzième arrondissement.

Lorsque j'ai dit à Coralie que je me mettais en ménage, elle a bien sûr souhaité faire connaissance avec l'élue de mon cœur.
Physiquement, ma sœur, qui vient de passer le cap de la quarantaine, est très différente de Stéphanie. C'est une femme brune dotée de plantureux atours qu'elle met très souvent en valeur dans des tenues très féminines.
Je ne me souviens pas d'avoir croisé Coralie en pantalon et talons plats depuis qu'elle a épousé Franck, mais il est vrai que nous nous voyons rarement,car j'ai peu d'atomes crochus avec le mari de ma sœur.
Lorsque j'ai rencontré Franck la première fois, je l'ai trouvé frimeur et imbu de sa personne. Je pensais néanmoins que notre relation s'améliorerait avec le temps et c'est pourquoi j'ai accepté, malgré cet a priori négatif, de jouer plusieurs fois au tennis avec lui après qu'il m'a invité à venir taper la balle dans son club huppé.
Franck a quarante trois ans. C'est un homme brun et costaud qui mesure pas loin d'un mètre quatre-vingt cinq. Il dirige une équipe commerciale dans une grande entreprise de l'ouest parisien et il gagne très bien sa vie.
C'est tout à fait l'archétype du macho prétentieux qui fait la loi chez lui et qui estime que les tâches ménagères sont réservées aux femmes. Il tient évidemment beaucoup à ce que son épouse reste désirable et très féminine en toutes circonstances. Et il ne se gêne pas pour montrer à tous qu'elle est sa propriété et que c'est bien lui qui porte la culotte dans sa famille.

Malgré le caractère possessif de son mâle alpha, Coralie semble plutôt heureuse avec l'homme qui lui garantit un train de vie confortable et qui lui a en outre donné deux jolies filles actuellement âgées de douze et dix ans.
Bien sûr, quelques âmes charitables rencontrées à l'occasion de barbecues et de soirées diverses m'ont plus ou moins laissé entendre que mon beau frère est un fieffé coureur de jupons et que ma sœur devrait se préoccuper un peu plus des fréquentations de son mari. J'ignore s'il y a réellement anguille sous roche, car d'après les confidences que m'a faites Coralie, Franck et elle ont une sexualité très active et si son insistance à voir sa femme porter des bas, des talons hauts, des décolletés et des robes courtes est parfois pesante, il n'en reste pas moins que Franck est un amant remarquable et endurant.

Pour ma part, je me souviens qu'à l'époque où nous jouions au tennis ensemble, lorsque nous nous trouvions dans les vestiaires, il était visiblement fier, avant d'aller prendre sa douche, d'exhiber un manche de pioche plutôt impressionnant ainsi qu'une paire de couilles tout aussi imposante.

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Dès que je lui ai présenté Stéphanie, Franck n'a pu s'empêcher de manifester un intérêt suspect pour ma séduisante amie et il a passé une bonne partie de la soirée à lui faire du gringue sans réellement se soucier de son épouse ou de moi.

- Dis-donc, me déclare ma petite amie alors que nous roulons pour réintégrer mon trois pièces parisien, j'ai l'impression que ton beau frère est un sacré séducteur.
- J'irais même jusqu'à dire que c'est un dragueur compulsif.
- Oh! N'exagérons rien! Je crois que c'est plutôt un jeu car il ne m'a pas semblé que ta sœur considérait son comportement comme inapproprié.
- Tu sais, avec Coralie, on se voit assez peu. Alors, je ne saurais pas te dire ce qu'elle pense réellement lorsqu'elle voit son mari draguer une étrangère.
- Franck m'a pourtant dit qu'il vous arrivait de jouer au tennis ensemble.
- Dans les premiers mois qui ont suivi notre rencontre, en effet. Mais ça fait un bout de temps qu'on n'a pas eu l'occasion d'échanger des balles, lui et moi.
- Ah bon? il m'a quand même proposé que nous fassions un double mixte le weekend prochain.
- Tiens donc! C'est plutôt étonnant car ma sœur n'a pas dû touché une raquette depuis un paquet d'années.
- C'est ce que Franck m'a dit. Mais il a aussi ajouté qu'il a une partenaire habituelle de double mixte, une femme de son club qui est classée. Il a même précisé qu'elle est mariée à un dentiste réputé dans le coin.
- Je l'ignorais. Je me demande si leur relation se limite à l'échange de balles.

Stéphanie pose sa main sur mon bras avant de répondre.
- Écoute si ça t'embête, on laisse tomber la proposition de ton beau-frère. Nos parties hebdomadaires me conviennent très bien.
- Il n'y a pas de raison. Au contraire, ça me fera plaisir de jouer en double avec toi.
- Et si Franck propose d'échanger les partenaires ?
- Sur le court ou ailleurs ?
Stéphanie lâche un petit rire avant de répondre.
- Qui sait? J'ai déjà croisé ce genre de dragueurs. La plupart ne sont que des baratineurs mais quelques uns sont effectivement de très bons coups.
Je regarde mon amie avec une pointe de jalousie.
- C'est vrai que tu as pas mal vécu avant de me connaître.
- En effet, et je n'ai pas toujours été aussi sage que depuis que je t'ai rencontré.

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Nous voilà donc le dimanche suivant en tenue tennistique prêts à affronter Franck et Amélie.
Mon beau-frère semble apprécier le spectacle offert par la robe courte de mon amie car il n'arrête pas de mater ses cuisses musclées sans excès et ses jambes fuselées.
Amélie, la partenaire de Franck est une quadragénaire brune bien charpentée dotée d'une chevelure noire opulente et de formes en rapport. Elle tape plutôt fort dans la balle et elle a de surcroît un excellent revers.
Néanmoins, Stéphanie a, à mon avis, une meilleur technique de jeu. En ce qui me concerne, si mon service n'est pas aussi puissant que celui de Franck, je fais moins de fautes. Ces différents points font que le premier set que nous disputons est assez équilibré. Mais c'est bien Stéphanie et moi qui finissons par l'emporter six jeux à quatre.
Pour la manche suivante, comme l'avait prévu mon amie, Franck demande à ce que nous échangions nos partenaires. Et comme je n'ai pas envie de me faire battre par mon beauf, je me démène pour maintenir le contact au score. Alors que nous sommes sur le point de breaker, Amélie, en se déplaçant pour effectuer une amortie, glisse et chute lourdement sur la terre battue. Heureusement pour elle, plus de peur que de mal, mais nous décidons néanmoins de mettre fin à notre partie du jour et de passer aux vestiaires nous doucher avant de rejoindre le club house pour prendre un apéritif bien mérité.

Mon beau-frère s'adresse avec moi avec un ton moins condescendant que d'habitude.
- Dis-moi, Jean. On dirait que cette fois, tu es tombée sur une perle. Non seulement Stéphanie est canon mais en plus, son niveau de tennis est remarquable. Avec les beaux jours, vous devriez venir plus souvent jouer avec nous. Si tu le souhaites, je peux te parrainer pour que tu t'inscrives dans ce club.

Tout en me faisant sa proposition, Franck se fout à poil exposant d'un air satisfait sa bite de poney aux deux autres types présents dans le vestiaire et à moi-même.

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Stéphanie appréciant le match hebdomadaire qui nous oppose à Franck et à sa partenaire, nous finissons par accepter la proposition de mon beau-frère de nous inscrire dans son club de tennis.

Quelques semaines plus tard, alors que nous rentrons sur Paris après notre partie de double, ma chérie me fait part de la confession que lui a faite Amélie dans le vestiaire des femmes.
- J'ai demandé à Amélie si Franck était uniquement un partenaire de tennis pour elle et elle m'a avoué qu'il était aussi son amant.
- Quelle surprise! Je lâche ironique.
- Elle m'a même précisé que c'est un véritable étalon et qu'il est monté comme un âne.
- Elle t'a vraiment raconté ça?
- Oui, je suis désolée pour ta sœur mais Amélie a l'air enchantée de ses étreintes avec ton viril beau-frère.

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Un soir en rentrant plus tôt que d'habitude, je découvre que Stéphanie est sortie en oubliant son téléphone portable. Au même moment, je vois un message s'afficher sur l'écran.
> Coucou Stéphanie. Je passerai à proximité de ton bureau demain vers midi. Ça me ferait plaisir de t'inviter à déjeuner.
Je constate que c'est le nom de mon beau-frère qui est inscrit à côté du texte du SMS.
Je me dis que cet enfoiré ne rate pas une occasion de se placer et je commence à me demander si c'est une bonne idée de continuer à jouer au tennis avec un mec qui cherche visiblement à séduire ma copine.

Lorsque Stéphanie revient de la boulangerie avec une baguette, elle est étonnée de me trouver à l'appartement.
- Comment se fait il que tu sois déjà là ? Me demande-t-elle en s'approchant pour m'embrasser.
- Je devais voir un fournisseur dans le quartier et j'ai décidé de rentrer directement après notre entretien.
- C'est une agréablee surprise, me dit-elle, en m'enlaçant et en frottant son ventre contre mon sexe.
Vingt minutes plus tard, ma chérie quitte le grand lit de notre chambre entièrement nue, ma semence au fond de sa jolie chatte puis elle m'interroge après avoir regardé un peu partout dans la pièce.
- Tu ne saurais pas où est mon téléphone par hasard ?
- Il me semble l'avoir vu traîner sur la petite table du salon.
- Je te remercie.
Stéphanie va récupérer son appareil et je la vois revenir quelques minutes plus tard pour prendre son peignoir et se diriger vers la salle de bains.
Curieusement, elle ne fait aucune allusion au message envoyé par mon beau-frère. Je ne m'en formalise pas plus que ça, supposant qu'elle ne l'a pas vu ou qu'elle m'en parlera plus tard.

Le lendemain matin, lorsque je sors de la douche, je découvre Stéphanie vêtue d'une jupe plutôt courte et d'un top joliment décolleté. Cerise sur le gâteau, elle est chaussée d'escarpins à talons hauts. Je suis d'autant plus étonné qu'elle ne m'a guère habitué à ce genre de tenues, préférant d'ordinaire le pantalon, le pull ras du cou et les chaussures plates.
Je pousse une exclamation.
- Tu es splendide ce matin ma chérie. Tu as un rencard ou quoi?
Elle me répond spontanément avec un grand sourire.
- En effet; avec mon directeur d'agence, nous devons rencontrer un client important et comme nous espérons bien lui faire investir une somme à six chiffres dans une assurance vie, j'ai décidé de soigner ma présentation.
Je dépose un baiser sur ses lèvres avant de rétorquer.
- Honnêtement, si ma conseillère était aussi canon que toi, je signerais tous les contrats qu'elle me proposerait.
Ma remarque fait sourire Stéphanie.

Les semaines s'écoulent et nous continuons à faire nos parties de tennis hebdomadaires avec mon beau-frère et sa partenaire Amélie.
Un jour, alors que je me trouve à mon bureau, je reçois un coup de fil de ma sœur. Elle semble très nerveuse et me salue d'une voix triste.
- Hello, Coralie, je lui dis. Comment vas tu ? Et comment vont les filles ?
- Les filles, ça va, mais moi beaucoup moins.
- Comment ça ? qu'est ce qu'il se passe ?
- Franck a une maîtresse! Déclare Coralie sur un ton dramatique.
Je suis un peu embêté pour répondre car, a priori, ma sœur était sans doute, jusqu'à peu, la seule personne à croire à la fidélité de son époux - Tu es sûre ? À mon avis, tu te fais de la bile pour pas grand chose.
- Tu n'as pas compris Jean! Sache d'abord que je suis moins stupide que j'en ai l'air. Je sais pertinemment que mon mari est un coureur et qu'il me trompe depuis des années. Et je m'en accommodais très bien tant qu'il continuait à remplir ses devoirs familiaux et conjugaux. Mais cette fois, je suis vraiment inquiète.
- Comment ça ?
- Et bien j'ai découvert que depuis près de deux mois, mon mari se tape ta copine plusieurs fois par semaine.
- Quoi ! Qu'est ce que tu racontes ?
- La stricte vérité, mon vieux. Je suis aussi dégoûtée que toi.
Je dois prendre sur moi pour ne pas m'effondrer et j'essaie de prendre la voix la plus assurée possible avant de répondre.
- Écoute, je vais tirer ça au clair avec Stéphanie ce soir et je te tiendrai au courant dès que j'en saurai plus.

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Je décide de réintégrer mon appartement plus tôt que d'habitude et une fouille improvisée dans la commode de Stéphanie me permet de découvrir des dessous affriolants que ma petite amie n'a jamais daigné porter en ma compagnie.
Pire, en explorant le panier à linge sale, je découvre que les tangas en dentelle de ma chérie sont maculés de taches poisseuses dont l'origine laisse peu de doutes.

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Lorsque je fais part à Stéphanie de ma conversation avec Coralie, mon amie ne fait même pas mine de nier.
- Ça tombe bien que ta sœur t'ait mis au courant. Je me demandais comment j'allais faire pour te l'annoncer.
- Mais pourquoi as-tu fait ça ?
- D'après toi ?
- Je croyais que tu m'aimais.
- C'est pas le sujet. Au pieu, tu ne vaux pas tripette. Franck lui, il me baise comme un dieu. Il me fait jouir comme jamais ça ne m'était arrivée. Et il est capable de me prendre plusieurs fois en débandant à peine entre deux giclées.

Je ne peux m'empêcher de rougir violemment alors que Stéphanie poursuit ses confidences.
& Quand Franck me fourre sa queue énorme entre les cuisses ou dans le cul, je me sens tellement femme que rien d'autre n'a d'importance. Ton beau-frère apprécie que je me comporte comme sa chienne, et même si ça peut te surprendre, j'adore ça.

Devant ma mine atterrée, Stéphanie enfonce le clou.
- Tu n'y peux sans doute pas grand chose mon pauvre Jean, mais tu n'es vraiment pas à la hauteur. Franck, pour sa part, est un vrai mâle qui sait procurer du plaisir à une femme et ce n'est pas ta sœur qui me contredira.

La révélation de ma "fiancée" m'anéantit et j'ai du mal à retenir une larme.
- Bon sang, tu vas pas te mettre à chialer. Comporte toi en homme au moins ce soir même si tu en es incapable dans un lit!
Le téléphone de Stéphanie se met alors à sonner et elle décroche aussitôt.
- Salut bel étalon, lâche-t-elle.
Après un court silence, elle répond à son interlocuteur.
- Écoute, si tu es libre ce soir, je serai ravie de te retrouver parce que mon mec est en train de me faire une crise de jalousie et je n'ai pas du tout envie d'entendre ses jérémiades.

Après quelques échanges avec son interlocuteur, Stéphanie s'éclipse une dizaine de minutes dans la chambre et la salle de bains, me laissant ruminer ma détresse, puis je la vois se diriger, sans un mot vers la porte d'entrée et disparaître sans scrupules pour aller passer la nuit avec son étalon.

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Sans nouvelles de ma compagne, j'ai donc dû me résoudre à dormir seul, le cœur meurtri. Mais en l'imaginant malgré moi remplie par l'énorme queue de mon rival, je n'ai pu m'empêcher de ressentir une formidable excitation à tel point que je me suis branlé à deux reprises avant de trouver le sommeil.

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En arrivant au Bureau, le lendemain matin, je reçois un appel de Franck.
- Salut mon pote, me salue t-il d'un ton ironique lorsque la communication est établie...
- Je voulais te dire que j'ai passé une nuit de folie avec Stéphanie. On peut dire que t'as trouvé une perle. Dommage pour toi qu'elle préfère se faire enfiler par ton beauf et qu'elle semble préférer les mâles montés comme des ânes à leur copain doté d'une petite bite.

J'encaisse la remarque comme un uppercut en plein foie. Le salopard enfonce le clou:- Crois moi je vais en faire une vraie salope de ta blonde. Une bonne chienne comme j'aime que soient mes maîtresses. Visiblement, Elle est douée pour ça.

Mon cœur se met à battre la chamade. Mon beauf continue sa tirade: - Ce soir j'ai un rencard avec Alice une jolie pouliche, m'apprend-t-il. Son mec est en déplacement et comme ta copine, elle raffole des bites énormes. Elle m'a donc invité à passer la nuit dans son pieu. Mais demain soir, promis je serai disponible pour venir chez toi honorer ta chérie par tous les trous. Eh oui mon vieux, il va falloir que tu t'habitues à dormir sur le canapé, ajoute ce fumier dans un grand rire.

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Lorsque je rentre vers dix-neuf heures, je suis accueilli par Stéphanie qui me toise d'un air méprisant.
Elle arbore une robe décolletée et plutôt courte ainsi que des bas noirs et des talons hauts. Elle m'apostrophe avec un ton ironique.
- Tiens voilà ma lopette qui rentre du boulot. Inutile de te donner du mal à me préparer à manger. Ce soir, je dîne avec des copines. Qui sait, peut-être qu'on tombera sur des mecs dotés de grosses paires de couilles qui auront envie de nous baiser.

Alors que je rougis et accuse le coup en baissant les yeux, mon amie saisit son téléphone sur la table pour passer un appel.
Comme si elle souhaitait m'humilier un peu plus, elle active le haut-parleur.
Je reconnais la voix de Franck lorsque son correspondant répond. Mais la phrase que Stéphanie adresse à son amant est un vrai coup de poignard.
- Je m'apprêtais à sortir pour aller rejoindre des amies. Tu t'es bien mis d'accord avec ma lopette à propos de la nuit de demain.
- Tout à fait ma belle, il a bien compris que je viendrais demain chez lui pour baiser sa copine.
- Bien sûr mon bel étalon, je serai ravie de te recevoir dans mon lit. Je t'ai bien dit que je ne pouvais rien te refuser, continue Stéphanie sans hésitation. Ça apprendra à ton beau-frère que quand on est incapable de baiser convenablement sa nana, on la laisse aux mains des vrais mâles.
Franck éclate de rire.
- Je n'aurais pas dit mieux. C'est cool ça. Tu as vraiment toutes les qualités pour devenir ma bonne salope blonde.
- Oui je serai ta salope obéissante, confirme Stéphanie d'une voix ferme.
- Voici ce que je propose pour demain, reprend alors mon beau-frère. Ton cocu va nous organiser un bon petit dîner aux chandelles et c'est lui qui fera le service à poil avec un gros plug planté dans le cul. Tu iras lui acheter un beau modèle dans l'après-midi dans un sex shop et tu lui ordonneras de l'enfiler ce soir pour qu'il s'habitue à avoir le fion rempli. Et comme je suis un gars sympa, demain soir je lui permettrai de nous sucer avant qu'on aille baiser toi et moi, ajoute mon rival pour mieux me ridiculiser.
- J'ai hâte de voir ma petite lopette sucer ton énorme matraque répond Stéphanie en rigolant. Tu risques de lui éclater les commissures des lèvres. Et ne t'inquiètes pas, j'ai bien compris ce que tu attends de nous, ajoute mon amie blonde avec perversité avant de conclure: Jean gardera son plug dans le cul toute la nuit, j'y veillerai bien.
- C'est parfait ma jolie pute, conclut Franck avant de couper la conversation.

Stéphanie me fixe alors avec mépris.
- Figure toi que Franck m'a dit qu'il aimerait bien me sauter devant toi. C'est peut être tout ce que tu mérites après tout.
Le regard et le rire ironique de Stéphanie me vrillent le cœur et pourtant, je ne peux m'empêcher de bander en imaginant ma petite amie se faire prendre par son amant devant moi.
- Mais c'est que ça t'excite en plus ce que je te raconte. Franck a bien raison. T'es vraiment qu'une lopette. Il est temps qu'il te montre comment s'y prennent les vrais mâles pour baiser une femme.

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Au repos, l'engin de Franck est déjà très imposant mais déployé c'est un vrai monstre et ma belle Stéphanie sert les dents alors que le pieu turgescent s'immisce lentement en elle.
Les cris qu'elle pousse sous les coups de boutoirs de mon beau frère, me démontrent le plaisir qu'elle ressent à se faire démonter par l'étalon.
Jamais elle n'a manifesté aussi bruyamment son plaisir lors de nos étreintes.

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En constatant le trouble que j'ai éprouvé lorsque Stéphanie m'a avoué avec aplomb qu'elle était devenue la maîtresse de Franck et m'a expliqué à quel point il la fait jouir avec sa bite énorme, le comportement de ma petite amie à mon égard a complètement changé.
Non seulement je dois me charger de toutes les charges ménagères mais elle m'interdit l'accès à mon propre lit qu'elle réserve à son bon plaisir et à ses étreintes à ses amants de passage.
Stéphanie les choisit particulièrement bien membrés m'obligeant à sucer les mieux montés dans le séjour avant qu'ils aillent la sauter dans notre chambre.
- Ma petite lopette va te tailler une pipe mon chéri, déclare-t-elle au nouveau mâle qu'elle a invité dans mon appartement.
Même ma sœur me considère désormais comme un sous-homme depuis qu'elle a vu son mari m'enculer à la demande de Stéphanie.