Les magasins associés - 8/10 - Septième semaine de stage - histoire érotique

Après son séjour chez sa grand mère, Anne s'était rendu chez Karim le mardi soir suivant, bien décidée à dormir sur place.
Après lui avoir retiré son cache coeur sous lequel elle ne portait pas de soutien-gorge, son petit ami avait évidemment été surpris de découvrir le tatouage et les piercings de la jolie blonde et il lui avait demandé ce qui l'avait motivée à arborer ces accessoires.

Anne était très contente des anneaux en or insérés dans ses volumineux tétons et en bombant son torse pour présenter fièrement ses superbes seins nus à Karim, elle lui fit part de sa rencontre avec son ex-copine de classe et de sa fin de week-end avec les Béarn's angels.

Cette révélation n'enchanta guère le jeune homme qui voulut bien sûr savoir si sa petite amie avait eu un comportement exempt de reproches lors de sa sortie avec le groupe de bikers.
Anne avait répondu avec sa franchise habituelle, ne cachant rien des épreuves qu'elle avait acceptées de subir pour intégrer la bande.
Malgré cette manifestation de transparence, Karim ne se montra pas vraiment ravi de l'information qu'Anne venait de lui fournir et il le fit savoir explicitement à sa petite amie:- Tu es une sacrée salope de t'être envoyée en l'air avec ces mecs là ! s'était simplement exclamé le jeune homme déçu.

Le ton pris par son petit ami avait choqué Anne qui s'était mise à rougir sous l'insulte.
- Dis donc ! Nous ne sommes pas mariés, il me semble. Je m'envoie en l'air avec qui je veux et je fais ce que je veux de mon cul. Il me semble que je ne t'ai jamais rien refusé de ce côté là et que tu es bien content d'en profiter comme il te plaît.

Karim allait protester, mais Anne n'avait pas fini son petit laïus.
- Je connais ta réputation de chaud lapin et je ne t'ai jamais demandé si tu fricotais à droite à gauche. Et je ne t'ai jamais dit non plus que je voulais te garder pour moi toute seule et que j'allais t'être fidèle.

Karim était un peu abasourdi par la réaction d'Anne.
- Ok! tu fais ce que tu veux de ton cul. Même si moi, je pensais bêtement que lorsqu'on sort avec quelqu'un, on essaie de maintenir une certaine exclusivité dans les rapports sexuels.
D'autant plus que ces types des Béarn's angels ont la réputation de ne guère apprécier les types d'origine maghrébine comme moi.
Anne prit un ton adouci.
- Tu es sûr? Je l'ignorais et à aucun moment lorsque j'étais avec eux, j'ai eu l'impression qu'ils pouvaient avoir du ressentiment pour les Arabes.
- je suppose que tu ne leur as pas dit que tu sortais avec un mec nommé Karim.

Anne ne répondit pas et vint se coller face à son petit ami.
- Écoute... commença la jolie blonde en entourant Karim de ses bras. J'ai dit au chef que j'avais passé un bon moment avec sa bande mais que je n'avais aucune envie de devenir sa nana officielle et que le mieux était qu'il m'oublie.
- Qu'est-ce que je pourrais faire pour t'être agréable ? ajouta la jeune femme en massant la queue de son petit ami avant de se baisser pour approcher sa bouche accueillante de l'entrejambe du jeune homme.

Bien vite, le dard se dressa pour prendre son volume maximal et Anne libéra la belle queue bien dure pour l'emboucher. Karim qui avait du mal à avaler la couleuvre profita de la fellation experte de sa belle en se demandant comment il allait lui faire payer son incartade du week-end.
Après lui avoir baisé brutalement la bouche, il retira la jupe d'Anne et la porta dans ses bras jusqu'à la chambre avant de la jeter sur son lit sans ménagement.
Rapidement, il se déshabilla puis vint s'agenouiller entre les cuisses accueillantes qu'il attrapa à pleines mains avant de les écarter et de déclarer d'une voix dure à sa maîtresse- Je vais te défoncer la chatte ma belle. Je vais te faire jouir comme une bonne salope, ajouta-t-il avant de bouffer le minou d'Anne en faisant coulisser ses doigts dans la vulve béante.
Rapidement, Anne se mit à gémir alors que Karim la branlait avec trois doigts à la fois.
Le petit ami trompé se lança dans un flot d'insultes pour évacuer sa contrariété ce qui ne refroidit nullement la belle blonde.
- Écarte bien tes cuisses petite pute! lâcha Karim, très excité en insérant son auriculaire dans la chatte de plus en plus dilatée.
- Je vais fister ta grosse chatte de salope.

Anne était au bord de l'extase et elle entendait à peine les propos grossiers de Karim. Elle avait attrapé le poignet du garçon qu'elle maintenait solidement pour accompagner la main qui s'immiscait de plus en plus profondément dans son intimité. La blonde plantureuse était en sueur et elle tortillait du bassin pour faciliter l'intromission du membre dans ses chairs écartelées.
Lorsque la main droite disparut entièrement dans son con, cela déclencha immédiatement un formidable orgasme chez la jeune femme qui s'évanouit à moitié de plaisir.

Karim n'en revenait pas d'avoir pu introduire aussi facilement sa pogne dans la chatte toute dilatée de la belle blonde et après l'avoir tournée plusieurs fois dans l'orifice béant procurant un plaisir inouï mêlé de douleur à son amie, il se retira délicatement, soudainement calmé par la violence de la jouissance qu'Anne venait de ressentir.

Karim aurait voulu s'amuser un peu pluset tenter une exploration similaire dans le fondement de sa belle. Mais sentant une certaine irritation de ses muqueuses, la jolie blonde préféra en rester là ce qui ajouta un peu plus au dépit de son copain.

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La période des Ventes Ultra Privées des "Magasins associés" approchait à grands pas. Cet événement connu uniquement d'une clientèle haut de gamme triée sur le volet, s'étalait sur trois jours à la fin de l'avant dernière semaine de novembre juste avant la période de Noël cruciale pour tous les commerces du territoire.
Ces ventes très particulières débutaient officiellement le samedi à dix-sept heures trente pour prendre fin le lundi suivant à treize heures. Une partie seulement des rayons du magasin était concernée par l'événement commercial. C'était notamment le cas pour le prêt à porter et les accessoires.
On se pressait de tout le sud-ouest en espérant profiter des bonnes affaires mais aussi trouver des articles rares et confidentiels tout en ayant accès à des services et des prestations inhabituelles pour ce genre de commerce.

Madame Dalembre avait estimé qu'il était temps de renseigner Anne, qui était désormais suffisamment délurée pour l'entendre, sur les spécificités de ces journées commerciales qui allaient se dérouler deux semaines plus tard. La responsable avait donc convoqué la jeune beauté blonde dans son bureau le mercredi, après son service matinal, pour lui présenter la chose et s'assurer de sa participation. Linda, la marraine de stage rousse était aussi présente à la réunion. C'était elle qui allait être chargée, le cas échéant, d'éclairer Anne sur les détails de la manifestation.

Irène avait commencé sur un ton conspirateur.
- Tu n'as sans doute jamais entendu parler de nos Ventes Ultra Privées ma petite...
Anne confirma son ignorance avant que sa cheffe poursuive.
- il s'agit comme son nom l'indique d'un événement inaccessible au grand public.
Sur une durée de trois jours, le magasin accueille des clients aisés, voire très riches, à la recherche de biens et de services rares dans le commerce traditionnel.
La sélection à l'entrée est la clef du succès et pour éviter que n'importe qui accède à notre magasin pendant cet événement, les acheteurs intéressés doivent s'inscrire nominativement au moins quinze jours à l'avance sachant qu'ils ne pourront entrer les jours J. s'ils ne montrent pas patte blanche aux vigiles recrutés spécialement pour l'occasion.

Irène s'accorda une courte pause avant de poursuivre.

- La période des inscriptions sera close demain soir. Cette année s'annonce comme un très bon cru eu égard au nombre actuel de personnes ayant validé leur ticket d'entrée. En effet, pour éviter que des gens s'inscrivent mais nous fassent finalement faux bond, nous leur demandons de payer deux cent cinquante francs par personne au moment de l'inscription. Cette somme constituera un avoir utilisable lors du règlement des achats. Étant bien entendu que si certains inscrits ne se déplacent pas ou ne dépensent pas au moins le montant correspondant, le magasin ne les remboursera en aucune façon.

Irène avait fait consciencieusement son exposé à sa stagiaire avant de la confier à Linda qui allait lui parler des aspects logistiques de la manifestation.

Dans un premier temps, la vendeuse rousse avait fait découvrir à Anne les réserves spéciales destinées à recevoir une partie de la marchandise qui allait être proposée lors de l'événement. La jeune stagiaire avait été fort émoustillée en découvrant certains des invendus de l'année précédente et notamment les nombreux dildos d'aspects et de tailles divers dont le magasin s'était fait une spécialité et qui n'étaient évidemment proposés que lors de ces ventes ultra sélectives.

La révélation de Linda concernant les énormes plugs à ventouse en latex de couleur noire que certaines amatrices (ou amateurs) de dilatation extrême utilisaient pour se faire du bien marqua particulièrement Anne.
La jolie blonde qui avait découvert quelques semaines auparavant le plaisir incomparable que lui procurait une queue très épaisse lors de la sodomie se demandait évidemment ce qu'elle ressentirait avec un cône en plastique de dix centimètres de diamètre planté dans son anus et elle se disait qu'elle ne serait pas satisfaite tant qu'elle n'aurait pas vécu cette expérience.

Irène Dalembre lui avait aussi expliqué, sous le sceau du secret, la destination de certaines salles équipées d'un grand lit alignées dans un sous sol du magasin habituellement condamné.
- Nous appelons cette zone le "Monastère", avait alors expliqué la cheffe à la jeune stagiaire. Elle n'est utilisée que pendant nos Ventes Ultra Privées pour offrir certains services très particuliers à nos clients triés sur le volet.
- Comme tu as dû le comprendre, il s'agit de chambres de passage qui disposent de tout le mobilier et des accessoires nécessaires pour satisfaire bon nombre de demandes assez spéciales.

Comme la responsable n'avait pas caché à Anne le profit qu'elle pourrait obtenir en acceptant d'accompagner certains visiteurs des VUP dans ces discrètes alcôves, Linda lui proposa de visiter ce sanctuaire le lendemain et lui confirma qu'elle l'utilisait elle même depuis plusieurs années pour mettre du beurre dans les épinards.
La vendeuse confia en outre à Anne qu'une jeune femme blonde, peu farouche et dotée d'un physique tel que le sien pourrait aisément se faire une petite fortune pendant les trois journées dédiées à l'événement commercial.

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Lors de la pause déjeuner du vendredi, Linda emmena la jolie stagiaire visiter le "Monastère". Elle lui fit faire le tour des chambres lui indiquant de manière précise les emplacements où trouver les différents objets nécessaires à la prestation: préservatifs, sextoys, menottes, chaînes, cagoules, fouets, tenues fétichistes... et bien sûr les boissons offertes gracieusement aux clients.

- Tu vas rapidement comprendre comment ça se passe, expliqua la vendeuse rousse à la jeune femme.
Au début de chaque journée, les amateurs désireux de passer un moment au "Monastère" font le tour des rayons pour repérer les employés hommes où femmes disponibles pour les accompagner. Les membres du personnel prêts à participer au programme se voient attribuer en début de journée un badge distinctif numéroté. Les indications inscrites servent aux clients pour effectuer leur réservation. Il faut évidemment éviter que nos visiteurs un peu trop motivés sollicitent à tort des membres du personnel qui n'effectueront pas de prestations au Monastère.
Si une femme ou un homme, voire un couple, souhaite bénéficier d'un service, il note le numéro du badge de l'employé qui a retenu son intérêt puis il va rendre visite à Madame Dalembre pour lui indiquer la nature et la durée souhaitées de la prestation. Irène valide ou non la demande, met à jour le planning et bien sûr encaisse en liquide le montant correspondant.
Si tu souhaites faire partie du programme, tu devras d'une part négocier ton tarif avec la hiérarchie (la règle générale est que les deux tiers te reviennent), d'autre part indiquer avec qui tu es prête à fournir ta prestation : homme,femme ou couple ou n'importe lequel des trois et enfin le type de services que tu souhaites proposer:sexe classique, domination, soumission, sextoys, fétichisme... ou toute combinaison de ces pratiques. C'est pourquoi un badge comporte trois cases:Une avec un numéro: c'est ton identifiant.
Une pour le type de partenaire accepté H signifie homme, FHC signifie femme ou homme ou couple, HHC signifie homme ou Couple ou deux hommes à la fois, le plus universel étant FFHHC.
Enfin la troisième case indique le type de prestation que tu es prête à offrir :C : coït classiqueQ : sodomieP : pipeD : dominationS : soumissionO : utilisation d'objets divers (godes, plugs...) F : fétichismeToutes les combinaisons sont là aussi possibles.

Anne avait ecouté la vendeuse rousse lui détailler les conditions d'utilisation du "Monastère" avec une attention très particulière.

- Il y a beaucoup d'hommes qui proposent leurs services lors de ces Ventes Ultra Privées ? Avait aussi questionné Anne.
- Quelques uns. José notamment. Il bosse un service la paie et il indique qu'il est bisexuel. Mais plutôt actif il me semble.

- Généralement tu proposes quoi comme prestation toi ? avait ensuite demandé la stagiaire à Linda.
- FHHC + CQPOS avait répondu la rousse aussitôt. L'an dernier, j'ai eu droit à cinq doubles pénétrations classiques et à une double vaginale. Les clients avaient des queues de taille moyenne à part un libanais qui m'a prise pendant que je léchais sa maîtresse.
C'est le seul qui m'a fait jouir d'ailleurs avec les deux retraités qui m'ont prise en double vaginale.

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Le lendemain, lorsqu'Anne retrouva Karim chez lui après sa journée de travail aux magasins associés, le jeune homme n'avait toujours pas digéré la "trahison" de sa petite amie. Malgré tous les efforts de la jolie blonde pour le dérider, Karim restait bougon et peu enclin à remiser son orgueil de mâle offensé. Tant et si bien que la jolie blonde finit par en avoir marre et décida de retourner chez elle.

Il était plus de vingt-et-une heures et les rues de Pau étaient quasi désertes. Cuissardes à talons aiguille, robe portefeuille courte et fort décolletée, porte-jarretelle, veste en fausse fourrure descendant sous les fesses. Ni slip ni soutien gorge, Anne était extrêmement bandante. Et cet idiot de Karim avait été incapable ce soir là de recevoir sereinement une aussi belle plante qui ne demandait qu'à se faire butiner.

Alors qu'Anne attendait sagement à un carrefour que le feu devienne rouge pour pouvoir traverser, une voiture s'arrêta à son niveau. La jeune femme assise à la place passager ouvrit sa vitre avant de lui faire signe.
- Coucou Anne, qu'est ce que tu fais dehors à cette heure-ci ? s'étonna une jolie brunette en s'adressant à la stagiaire.

Anne reconnut Maryse une vendeuse de vingt-sept ans qui travaillait au rayon bijouterie des "Magasins Associés". Elle était en compagnie d'une rousse pulpeuse installée au volant de la Peugeot 205.
- Hello Maryse, répondit Anne en souriant. C'est drôle de se croiser à cette heure ci. Je rentre chez moi. Mon petit copain me fait la gueule alors j'ai préféré me tirer de chez lui.
- Mince! j'espère que ça va s'arranger, répondit poliment la jolie brune avant d'ajouter:- Je suis avec ma copine Stéphanie, on allait au Pacha club. Tu veux venir avec nous pour te changer les idées ?
Anne réfléchit quelques secondes avant de répondre.
- Pourquoi pas ? Je n'ai pas vraiment envie de dormir. Vous pensez rentrer tard?
- On ne sait pas encore. Ça dépendra des rencontres qu'on pourra faire là-bas, déclara Maryse avec un clin d'oeil appuyé à Anne.

La beauté blonde ouvrit alors la porte arrière droite et s'installa sur la banquette de la 205 dévoilant les attaches de son porte jarretelle à la conductrice.
- Salut Anne, lâcha Stéphanie. Tu es sacrément canon dis moi et fort sexy. Ton petit ami ne connaît pas sa chance.

Maryse s'adressa alors à sa jeune collègue:- Méfie toi de Stéphanie. Elle préfère les filles, alors elle ne va pas hésiter à te draguer.
- Ça ne me gêne pas, répondit Anne en souriant. J'ai déjà eu des relations avec des femmes. Mais j'aurais beaucoup du mal à me passer de mecs.

La franchise de la réponse fit rigoler la rouquine.
- Qu'est ce qui te manquerait le plus ? Les mecs ou leurs bites ? questionna-t-elle.
- Les deux! lâcha Anne en riant.
- Si c'est ce que tu cherches, tu ne devrais pas avoir de mal à le trouver au Pacha club ce soir. En général, le jeudi il y a un peu de monde.
Maryse confirma.
- En effet, et si tu aimes le genre balèze, il y a régulièrement quelques beaux specimen de l'equipe de basket de la ville.

Stéphanie intervint à son tour.
- Ma copine parle en connaissance de cause. Elle en pince pour un joueur américain qui est arrivé cette saison dans le club.
Maryse haussa les épaules en faisant la grimace ce qui fit rigoler son amie.
- Maryse fait la tête, expliqua Stéphanie, parce que le beau Steve lui a préféré Cindy Lamontagne mais à sa place, je serais plutôt contente parce que le type a une femme et un gosse qui l'attendent aux USA et après avoir tiré son coup, il n'a pas demandé son reste.

Anne se garda bien d'émettre un avis sur le comportement du basketteur.

- C'est bien un mec! déclara ensuite Stéphanie fataliste. Dès qu'il peut tremper son biscuit, il ne s'en prive pas. Tu en penses quoi toi Anne d'un type qui se tape une pouffe alors que sa femme l'attend à dix mille kilomètres de là ?
- J'ai l'impression que cette Cindy n'est pas vraiment ta copine, répondit Anne en riant avant de donner son opinion.
- En fait, je m'en fiche un peu. Je n'irais pas faire du gringue à un type marié mais s'il y en a un qui me drague et qui me plaît, je ne vois pas pourquoi je dirais non... sauf évidemment s'il sort avec une fille que je connais et que çà pourrait blesser. Et dans ce cas là, je conseillerais plutôt à ma copine de se trouver un autre mec.

Constatant l'absence de commentaire des copines assises devant, Anne continua:- Tout dépend s'il y a des sentiments partagés entre la fille et son copain. Si ma relation avec un garçon se résume à un plan cul, je ne vais pas m'empêcher d'aller voir ailleurs si l'occasion se présente. Mais si j'éprouve quelque chose de plus fort pour lui, tout dépendra des limites qu'on se fixe.
- C'est vrai admit Maryse en se marrant, si ton mec t'aime mais que çà ne le gêne pas que tu ailles te faire sauter ailleurs, pourquoi t'en priver. Moi j'aurais du mal à tromper mon amoureux à moins que ce soit son délire de me voir batifoler avec un autre gars.
- je ne sais pas trop reconnut Anne. Ça fait des années que je n'ai pas vraiment été amoureuse. En ce moment, je m'éclate bien et je ne me pose pas trop de questions.
Stéphanie rigola:- tu veux dire que du moment que le mec n'est pas trop moche et qu'il a une grosse queue, tu y vas?
- Non! Je ne veux pas une grosse queue... Je veux une énorme bite.
Les trois filles éclatèrent de rire après la réponse d'Anne.

- Il faudra qu'on présente Youssouf à la belle blonde sexy, lâcha alors Maryse à l'attention de la conductrice.
- Il n'est pas impossible qu'il soit au Pacha ce soir d'ailleurs, répondit Stéphanie avant d'ajouter.
- On ne va pas tarder à le savoir, on arrive justement.

Le videur ne se gêna pas pour se rincer l'oeil en matant la magnifique poupée blonde qui était en train de déposer sa veste au vestiaire du Pacha club en compagnie de ses copines.

Lorsque les trois filles pénétrèrent dans la grande salle en suivant l'hôtesse qui les conduisait vers une petite table située non loin de la piste, nombre de regards masculins se tournèrent vers la jeune inconnue blonde juchée sur ses talons aiguilles de quatorze centimètres. Ce spectacle inspirant déclencha une forte activité dans les slips et caleçons des mâles présents. Notamment chez Youssouf un grand black au crâne rasé qui arbora un sourire carnassier en découvrant la jolie et sexy jeune femme.
D'ailleurs le noir n'attendit pas très longtemps pour s'approcher de la table et saluer ses deux copines en espérant se faire présenter Anne par la même occasion.

Maryse fit un clin d'oeil à Stéphanie lorsque le trentenaire se pencha vers Anne pour lui faire la bise.

- Je ne t'avais jamais vue ici avant ce soir, déclara le noir après s'être installé sur le tabouret disponible près du fauteuil de la stagiaire. Qu'est ce qui nous vaut l'honneur de ta visite?
- Le hasard, répondit Anne simplement. Je suis une collègue de Maryse et lorsque nous nous sommes croisées ce soir, elle m'a proposé de venir ici.
- Tu as bien fait. C'est la meilleure boîte de la région.
- Vraiment ? Tu dis ça parce que tu y viens souvent sans doute.
- C'est vrai que je viens souvent parce que c'est un endroit cool et que les plus jolies filles y viennent aussi.

À ce moment là, le DJ enchaîna sur un morceau de Zouk. Youssouf attrapa alors la main d'Anne et se leva avant de l'entraîner sur la piste.
- Allez ma belle, viens donc remuer un peu ton magnifique derrière.

- Dis donc le Youssouf! il a pas mis longtemps à accaparer la belle blonde fit remarquer Stéphanie à sa copine.
- Normal, c'est une vraie queue sur pattes ce gars. Et d'après Cindy, c'est du très gros calibre.
- Celle-là, il n'y a vraiment que le train qui ne lui est pas passée dessus, lâcha Stéphanie dépitée avant d'ajouter:- Et ta collègue blonde, j'ai l'impression qu'elle aussi, elle a un peu le feu au cul.
- Tu crois ?
- Je suis sûre. Avec son côté jolie poupée bien sage, elle cache bien son jeu. Mais je vois bien que c'est une chaudasse. Je ne sais pas si tu as remarqué, mais elle est en porte-jarretelle et à mon avis elle est sortie sans culotte.
- Tu dois avoir raison. D'un autre côté, elle était censée passer un bon moment avec son mec... Elle a un sacré beau cul en tout cas et une de ces paires de seins. À mon avis, le Youssouf, il va pas tarder à faire exploser sa braguette à force de tripoter le bas du dos de la jeunette.

En effet, tout en se régalant du tressautement de ses beaux nichons que n'entravait aucune armature, le grand noir ne se privait pas de caresser le dos d'Anne et même ses fesses à l'occasion, ravi de constater que sa partenaire de zouk avait le cul nu sous sa robe sexy.

Au bout d'une dizaine de minutes, la jeune femme s'écarta et indiqua à Youssouf qu'elle souhaitait souffler un peu et rejoindre ses copines à la table.
Le noir masqua sa déception et se dit qu'il repasserait à l'attaque un peu plus tard.
Pendant que Maryse se trémoussait sur la piste, Stéphanie était en train de siroter un verre de vodka orange en fumant une cigarette. La rousse qui avait commandé une bouteille pour la tablée servit un verre à Anne et lui proposa une camel lorsqu'elle réintégra son siège.
- Merci, mais je ne fume pas, déclina la jeune femme.
- Même pas le cigare à moustache demanda stéphanie avec un sourire en coin.
Devant l'air interloqué de la jolie blonde, elle lui expliqua le sens de l'expression et Anne éclata de rire.
- Ah oui! Dans ce cas, je fume un peu de temps en temps, admit-elle.

Cindy Lamontagne, en bottes, mini-jupe et t-shirt moulant venait d'entrer dans la salle au bras de Khaled son nouveau petit copain, un vigile large comme une armoire à glace.

Les fêtards présents dans la salle n'arrêtaient pas de défiler à la table des filles pour faire connaissance avec la petite nouvelle. Cindy, la grande blonde maquillée comme un camion volé eut quelque mal à masquer sa jalousie en découvrant une nouvelle rivale aussi craquante qu'Anne. D'autant plus que Khaled son chevalier servant ne fit rien pour cacher son intérêt pour la beauté blonde.
Toute cette effervescence amusait beaucoup Stéphanie qui avait elle aussi sa propre idée sur la manière de terminer la nuit avec Anne.

Lorsque minuit arriva, les filles s'étaient bien démenées sur la piste et Anne était plutôt gaie après sa troisième vodka.
Ce dont profitaient les mâles présents pour se frotter plus que de raison contre le corps inspirant de la beauté blonde.
Comme à son habitude, le DJ attendit le changement de jour pour lancer la première série de slows.

Youssouf fut le plus prompt à proposer ses services à la jeune femme blonde qui se trouvait déjà sur la piste. Anne ne refusa pas l'invitation et laissa le type se coller contre elle ce qui lui permit de constater l'ampleur du paquet contenu dans son caleçon.
L'alcool avait rendu Anne un peu joueuse et elle n'hésitait pas à frotter son minou brûlant contre l'entrejambe du noir qui avait du mal à se retenir de bander.
Youssouf voulut embrasser Anne mais celle-ci détourna la tête.
- Allons, allons. Un peu de tenue. lâcha-t-elle rigolarde en se décollant légèrement.

Anne accepta ainsi de danser quelques slows avec divers cavaliers et même si elle avait une furieuse envie de se faire sauter, elle repoussa toutes les avances ne voulant pas passer pour une salope lors de sa première sortie au Pacha club. En plus, la vodka lui avait filé mal au crâne et lorsque peu après une heure du matin, Stéphanie lui proposa de partir, elle accepta immédiatement.
Les deux jeunes femmes quittèrent la boîte sans Maryse qui avait trouvé un garçon prévenant pour lui tenir compagnie.

Bien sûr la rouquine suggéra à Anne de venir dormir chez elle. La jeune femme accepta sans arrière pensée s'écroulant comme une masse dans le grand lit de Stéphanie avant de s'endormir aussitôt jusqu'au petit matin.

Allongée à ses côtés entièrement nue, son hôtesse se mit à caresser doucement le dos d'Anne qui profita quelques minutes du délicat massage avant de se retourner pour lui offrir ses lèvres.
Rapidement les doigts fins et agiles de Stéphanie s'insinuèrent dans l'intimité moite d'Anne.

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La fin de la semaine avait été plutôt calme. Linda avait continué à briffer Anne à propos de l'organisation des Ventes Ultra Privées. Celles-ci devaient débuter deux semaines plus tard et les préparatifs occupaient fortement l'ensemble du personnel.
De ce fait, la jeune femme n'avait pas pu quitter le magasin avant vingt heures le vendredi et le samedi.
Le premier jour, elle était passée par les réserves avant de regagner son domicile car sa sortie en boîte la veille l'avait bien crevée et elle avait une idée derrière la tête pour occuper le reste de la soirée.

En effet, avant de quitter le magasin ce vendredi soir, Anne se rendit aux réserves cachées et récupéra une boîte qu'elle enfouit dans un grand cabas avant de quitter le magasin. Lorsqu'elle franchit la porte de sa maison, sa mère avait déjà retrouvé sa place préférée face à la télévision.

Danielle prêta à peine attention à sa fille en train d'accrocher son manteau à la patère de l'entrée. Juchée sur ses cuissardes à talons aiguille, portant une mini jupe et un cache coeur en angora au profond décolleté, Anne salua sa mère avant de se diriger aussitôt vers sa chambre située à l'étage.
Après avoir verrouillé la porte elle se déshabilla ne conservant que ses bottes, ses bas et son porte-jarretelle puis elle sortit le dildo noir extra large de son emballage pour le savonner dans le petit lavabo de la pièce. Ensuite elle essuya le volumineux objet et le fixa avec sa ventouse sur le carrelage face à la porte de son armoire.
Anne était tellement excitée qu'elle avait l'impression que sa chatte ruisselait de cyprine. Une fois l'engin en latex solidement fixé au sol, en proie à une chair de poule qui hérissait tous les poils de son corps, la jolie blonde vint positionner son anus au dessus du cône à l'extrémité arrondie qui s'élargissait vers le sol. Grâce au miroir fixé à son armoire, elle pouvait suivre la progression de l'objet dans son fondement. Elle voyait distinctement son cul se dilater de façon déraisonnable alors que le plug la remplissait de plus en plus profondément. Lorsque la partie rétrécie franchit le sphincter, Anne avait les yeux clos et elle se laissa emporter dans un orgasme incroyable en projetant de puissants Jets de cyprine sur le sol. C'était la première fois que ça lui arrivait et elle crut qu'une partie de son anatomie s'était déchirée.

Folle d'inquiétude, elle passa son peignoir et se rua vers le téléphone installé dans la chambre de sa mère pour appeler sa collègue Linda n'osant pas parler à Danielle de ce qui venait de lui arriver.
Passant sous silence l'introduction du dildo géant dans son cul, elle tenta de décrire avec une certaine gêne les jets de cyprine qui s'étaient produits alors qu'elle se donnait du plaisir.

Linda ne put s'empêcher d'éclater de rire et lui expliqua que ce genre d'incident pouvait se produire lors d'un orgasme particulièrement puissant.
- Tu es ce qu'on appelle une femme fontaine. Ne t'inquiète pas, c'est assez courant et pas du tout problématique. Au contraire, certains hommes trouvent ces manifestations valorisantes pour leur virilité.
Malgré le discours rassurant de sa collègue, Anne ne se risqua pas à réitérer l'expérience avec le plug géant cette nuit là.

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Le lendemain, Karim était venu trouver Anne à son rayon, alors qu'il ne travaillait pas, pour s'excuser d'avoir été désagréable et la jolie blonde avait accepté de passer la fin du week-end avec lui à condition qu'il ne lui fasse plus de reproches. Anne était donc repassée chez elle pour prendre une douche et se changer avant de se rendre chez son petit ami pour un dîner prélude à une partie de jambes en l'air fort animée.

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