Les magasins associés - 10/10 - Le triomphe de l'amour - histoire érotique

En prenant son poste lundi à quatorze heures, Anne avait du mal à ne pas penser à Malcolm qu'elle avait quitté quelques heures plus tôt pour effectuer un rapide passage à son domicile avant de commencer une nouvelle semaine de stage aux Magasins Associés.

Cette semaine s'annonçait fort chargée. En effet, le samedi à dix-sept heures trente devaient débuter les Ventes Ultra Privées du grand magasin.
Anne avait déjà été avisée que cette première journée de travail de la semaine finirait plus tard que d'habitude. La beauté blonde était donc convoquée avec ses collègues du rayon lingerie à partir de sept heures et demie pour l'attribution des tenues qu'elles allaient devoir porter pendant toute la durée de l'événement commercial.

De même, Madame Dalembre avait prévu de communiquer à chacune de ses collaboratrices son planning pour ces trois jours. Elle souhaitait aussi qu'Anne lui confirme si elle était toujours volontaire pour effectuer quelques vacations au "monastère" ainsi que la jeune stagiaire l'avait laissé entendre deux semaines plus tôt.
Mais cette fois, avant de se décider, la jolie blonde souhaitait avoir l'avis de Malcolm. Elle était en train de tomber amoureuse de l'acteur et elle ne voulait pas avoir l'impression de le tromper en faisant la pute sans qu'il soit au courant et avant qu'il lui ait donné son accord.

Car c'était bien de ça dont il s'agissait. Celles et ceux qui acceptaient de passer un moment avec des clients dans une des chambres du "monastère" le faisaient pour leur fournir des prestations sexuelles tarifées.
Certes, Anne avait imaginé divers stratagèmes censés lui permettre de proposer certains services connotés sans que Malcolm y trouve à redire.
Et elle avait sur se montrer très créative dans ce domaine.
Par exemple pourquoi ne pas satisfaire le voyeurisme d'un client en faisant l'amour devant lui avec son chéri. Un spectacle porno exclusif en quelque sorte dans lequel l'épouse pourrait éventuellement participer si elle est suffisamment bandante et pourquoi pas le mari s'il est suffisamment bien membré voire les deux s'ils remplissent les critères requis.

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Bottes à talons aiguille en cuir vernis rouge, bas autofixants à motifs carreaux rouge, blanc et beige, mini jupe plissée écossaise très courte dévoilant la naissance des cuisses sous les fesses appétissantes et top brassard très décolleté et assorti à la jupe laissant à l'air libre toute la partie du ventre et du dos située sous les seins, la tenue d'Anne aurait fait bander un mort.

À la demande de sa chérie, Malcolm avait accepté de participer à l'événement commercial et il vaquait dans le magasin, véritable attraction pour une bonne partie du public qui connaissait la réputation montante du jeune acteur.
En effet, lorsque la stagiaire s'était présentée à son bureau le mardi précédent en compagnie du grand noir, Irène Dalembre avait tout de suite vu l'intérêt à mettre en avant son physique exotique pour assurer l'animation des Ventes Ultra Privées des "Magasins Associés".
Malcolm arpentait donc les rayons du magasin vêtu uniquement d'un pagne et de Spartiates, le torse et le visage recouverts de peintures rituelles. Le photographe embauché pour l'occasion enchaînait les clichés des bourgeoises toutes fières de poser en compagnie de la star montante du porno et les plus aventureuses étaient prêtes à dépenser une petite fortune pour être possédées par l'étalon d'albâtre devant leur compagnon.

Parmi les premiers clients qu'elle croisa le dimanche, Anne eut la surprise de reconnaître le patron du grand garage du Béarn. Il était accompagné de Gisèle son épouse, une femme plantureuse et sexy d'une quarantaine d'années environ.
Profitant du fait que madame s'était isolée dans une cabine pour essayer une guépiere sans bonnets particulièrement stimulante, Robert Delasson s'approcha de la jolie blonde qu'il avait honorée quelques semaines plus tôt dans son luxueux cabriolet américain.
- Coucou ma jolie lâcha t-il fort emoustillé en s'adressant à Anne. Tu es de loin la plus bandante de la soirée. Ça ne me déplairait pas de passer un petit moment avec toi comme l'autre jour.
- Pourquoi pas répondit Anne laconique mais ça ne pourra se faire que si mon chéri est d'accord.
Le garagiste eut une moue de surprise.
- Depuis quand as-tu besoin de l'avis de ce freluquet d'Aurélien pour t'envoyer en l'air avec un vrai mâle. L'autre jour, quand je t'ai sautée dans ma bagnole, je ne me souviens pas que tu lui aies demandé sa permission avant.

Anne allait expliquer au garagiste macho que de l'eau avait coulé sous les ponts depuis cette étreinte improvisée lorsque Gisèle qui revenait silencieusement de la cabine d'essayage s'immisça dans la conversation avec une contrariété non feinte.
- Qu'est ce que c'est que cette histoire ! S'exclama t-elle en fixant Robert d'un air peu amène alors que le rouge lui montait aux joues. Tu as déjà rencontré cette jeune personne ?

Robert éprouva d'un coup un profond sentiment de solitude.
- Bien sûr que non! argua-t-il dans un premier temps avant de se rétracter.
- Euh enfin si. Elle m'a conseillé dans l'achat des bas que je t'ai offerts il n'y a pas très longtemps.
La femme se tourna vers Anne avec un air furieux.
- j'ai l'impression qu'on se paie ma tête ici.
- En effet madame, avoua Anne avec franchise. Il y a quelques semaines, monsieur m'a emmenée faire un tour dans sa belle voiture américaine et il m'a littéralement sauté dessus juste après qu'il se soit arrêté sur une aire de stationnement.
- Salopard! lâcha Gisèle en regardant son mari le visage courroucé.
- Tu vois bien que cette fille dit n'importe quoi! se défendit Robert en proie à un malaise grandissant.
Anne s'adressa alors à la femme trompée.
- je suis désolée madame mais je ne connaissais pas la situation matrimoniale de monsieur quand cet événement s'est produit, expliqua-t-elle avec aplomb.

Malcolm qui avait rejoint le petit groupe quelques minutes plus tôt s'approcha de sa fiancée et lui chuchota quelques mots à l'oreille.
- Dis à cette dame que je peux l'aiderà se venger de son mari en la baisant dans une alcôve du monastère.

La jolie stagiaire considèra son amoureux avec un sourire gourmand et s'adressa à Gisèle.
- Mon ami pense que votre mari mérite une petite leçon, déclara t-elle.
Il est prêt à vous honorer dans la chambre qui nous a été allouée pendant ces trois jours pour le plaisir de nos clients. Cette prestation vous sera bien entendu offerte par la maison,ajouta la belle stagiaire en soulevant le pagne de Malcolm dévoilant à Gisèle l'incroyable colonne de chair marron qui pendait entre les cuisses de son amant.

Le visage de la femme du garagiste prit une couleur rouge pivoine tandis que Robert devenait tout pâle.
- Allez Gisèle. Ça suffit pour ce soir. Il est temps de rentrer! décréta l'homme quelque peu dépassé par la tournure prise par les événements.

Mais madame Delasson ne l'entendait pas de cette oreille.
- Allons chéri. Pour une fois que ce magasin me propose une promotion vraiment intéressante. Je ne vais pas laisser passer une occasion pareille.
- Bien sûr. Monsieur pourra assister à l'exécution de la prestation s'il le souhaite, continua Anne mutine.

Le garagiste fulminait mais il se garda bien de faire du grabuge espérant que sa femme n'irait pas au bout de sa menace. Mais l'homme se trompait car moins de dix minutes plus tard, Gisèle se retrouva en porte-jaretelle et talons aiguille à quatre pattes sur le grand lit de la cellule 69 du ministère, le pieu d'ébène de Malcolm plantée dans le vagin. Les vocalises poussées par la bourgeoise brune prouvaient combien elle appréciait le coulissage du chibre qui lui démontait un peu plus la chatte à chaque coup de rein. Robert qui avait fini par se résoudre à voir son épouse fourrée par la plus grosse bite du magasin ne pouvait rien faire contre la trique qui l'avait gagnée dès que son épouse avait commencé à absorber la poutre entre ses grandes lèvres luisantes de cyprine.

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Lorsqu'Irène Dalembre eut vent de l'initiative d'Anne d'offrir les services de son incroyable étalon à une des bonnes clientes des "Magasins Associés", elle eut aussitôt l'idée d'organiser une tombola.
Le principe en était d'une simplicité redoutable. Chaque cliente allait se voir attribuer un ticket pour cent francs d'achats jusqu'au tirage au sort planifié une heure avant la fermeture du magasin.
Ce qui allait permettre à la titulaire du ticket de pouvoir bénéficier d'un tête à tête d'une demi-heure en compagnie de Malcolm dans la cellule 69.

Ce concours boosta les ventes au delà des espérances du directeur Frachon car chaque femme intéressée par le gros lot essayait de récupérer le plus grand nombre possible de tickets pour maximiser ses chances de l'emporter.

À la clôture des ventes ultra privées des "Magasins Associés", Malcolm avait beaucoup donné et il se dit qu'il était temps pour lui de prendre un peu de repos. Il avait en effet besoin de récupérer l'influx nécessaire pour honorer ses partenaires alors qu'il allait devoir rejoindre Paris pour tenir le rôle principal dans la prochaine production de Dick Londar.

Anne avait, elle aussi, été exemptée de travail jusqu'au lendemain quatorze heures pour se remettre de sa prestation éreintante pendant les VUP des "Magasins Associés".
Les deux tourtereaux s'étaient alors retrouvés dans le grand lit de la chambre d'apparat de la maison de Richard Longequeue et pour une fois ils se contentèrent d'un seul coït qu'ils entamèrent après avoir été réveillés par les cris de plaisir de Sonia Péchenot qui se faisait conscieusement démontée par Riton, le père de Richard.
- Alors? avait demandé Malcolm à sa chérie blonde à l'issue de leur étreinte aussi brève qu'intense. Vas-tu accepter l'offre de contrat que t'a faite Richard et devenir toi aussi une star du porno?
Anne se serra tendrement contre son amant avant de répondre.
- Je ne sais pas encore. Mais je sais que j'ai envie d'être près de toi, mon amour. Alors si tu le veux bien, je vais venir m'installer avec toi à Paris mais il faut d'abord que je valide mon diplôme.
Le harder noir embrassa la jeune beauté blonde avec passion avant de répondre.
- Tu vas me manquer ma chérie. Moi je vais avoir plein d'occasions de baiser pour le boulot mais toi, vas-tu pouvoir te passer de sexe entre mes visites à Pau?
- Je ne sais pas trop, avoua Anne en regardant Malcolm avec émotion. Je ne veux pas te tromper mon amour mais c'est vrai que j'ai du mal à résister à une belle grosse queue. Surtout la tienne.
D'un autre côté, ça va être difficile de trouver un aussi bel engin que le tien dans le quartier, ajouta la belle blonde avant de saisir fermement la magnifique mentule noire dans sa main et d'embrasser à nouveau Malcolm avec fougue.
Lorsque leurs lèvres brûlantes se décollèrent, Malcolm s'exprima:- Richard m'a dit qu'il te trouverait une place dans un grand magasin parisien pour terminer ton stage. Il va négocier avec les responsables des "Magasins Associés" pour que tu puisses valider les semaines déjà effectuées. Je crois que ta cheffe va te regretter.
- J'espère que ça va marcher. J'ai envie d'être à tes côtés pour la vie et de devenir ta femme. Je t'aime Malcolm...

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