Isabelle et Judithe suite

- Par l'auteur HDS francine7 -
Récit érotique écrit par francine7 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 10 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de francine7 ont reçu un total de 26 149 visites.
Récit libertin : Isabelle et Judithe suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 178 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Isabelle et Judithe suite
Isabelle et Judithe

Le Dimanche midi Judithe me quitta pour se rendre chez sa mère pour prendre son fils Mathieu. Elle arriva chez sa mère toute pimpante et heureuse. Sa mère le constatât et lui posa quelques questions dont l’une qui portait sur elle. Judithe répondit :< je viens de connaitre une journée fantastique avec une amie et j’ai découverte ce que je suis réellement!> sa mère, lui répondit :< il est peu être temps.>
Elle prit quelques minutes pour lui conter sa journée ainsi que sa nuit. La maman dit;< tu sais ma fille une mère voit parfois des choses que nous ignorerons mais le temps arrange parfois les choses.> Je suis bien dans ce que je suis maintenant.
Elle habilla Mathieu et quitta. Son fils posa quelques questions et elle répondit avec franchise. Elle arriva chez elle et enleva les vêtements et ils se dirigèrent vers la cuisine et fit un petit souper pour les deux. Elle donna le bain à Mathieu et alla le coucher vers les 20 heures. Il s’en dormit rapidement. Elle fit le ménage dans ses papiers. Payer les factures et prépara sa journée de lundi. Elle appela Isabelle et elles jasèrent de leur rencontre à touts les points de vue. J’ai parlé de toi à ma mère et elle approuve ce que nous avons fait. Isabelle me demanda si j’avais parlé à Mathieu, je lui répondis que oui et qu’il avait hâte de te voire. Nous quittâmes en début de nuit avec un bisou.
Le lendemain midi, Isabelle alla dans une boutique pour enfant pour y faire un achat. Elle fit différents achats et les installa dans une chambre u 2ième étage. Judithe reçu un appel d’Isabelle lui faisant part des différents achats. Elle fût surprise. Elles discutèrent des achats et le pourquoi de cela. Les explications données par Isabelle allèrent dans un sens du cas ou. Judith accepta celles-ci.
La semaine passa rapidement et Le vendredi soir Isabelle reçu un appel étrange lui demandant si elle pouvait le recevoir pour la nuit. C’était Mathieu, elle lui demanda de lui passer sa mère pour confirmer le tout. Judithe prit l’appareil et demanda officiellement si Mathieu pouvait dormir chez elle car elle a une urgence pour le travail. Oui j’aimerais le voire et jouer avec lui. Alors arriva Mathieu 30 minutes plus tard avec son habit de neige et son petit sac qui contient des effets personnels. Judithe dit< j’espère que je ne te dérange pas?> Non pas du tout. Je vais le coucher à l’heure que tu voudras. Je le couche plus tard, ton heure sera la mienne. Et toi je demandai :<je ne sais pas à quel heure que je vais arriver. >
Vers 10h30, je décidai d’aller coucher Mathieu dans son nouveau lit et de nouveau drap. Je lui recommandai qu’a son réveil de venir me rejoindre et de faire attention en descendant les escaliers. Judithe arriva en milieu de nuit et me contât ce qui c’était passé. Elle se couchât près de moi et nous avons pris du temps pour nous. Une nuit agitée et nous nous sommes caressées et avons bu notre jus qui était un délice. Elle s’endormît et moi aussi. Mathieu arriva vers les 8 heure. Il me remarquât que j’étais nue ainsi que sa maman. Je me levai et il me posa une question lorsque nous nous rendons à la cuisine :< dit moi pourquoi toi et maman étiez comme ça?> Je lui répondis :< Parce que ta maman nous nous aimons tout comme toi quand tu seras grand tu aimeras une personne. > . Il se retourna, la réponse a du le satisfaire. Il est revenu plusieurs fois sur d’autres sujets.
Sa maman arriva quelques minutes plus tard. Elle avait vêtu une robe de chambre et des pantoufles. Elle avait les cheveux en broussaille et Mathieu se précipitât sur elle. Elle l’embrassât tendrement et il lui contât sa soirée et son nouveau lit. Ils montèrent à l’étage pour voir son lit. Judithe regardât le lit ainsi que le bureau et autres accessoires. Elle regardât sa complice et lui fit un sourire approbateur.
Judithe prit siège et discutât avec son fils. Isabelle préparât des crêpes pour ses invités. Mathieu posa une question qui embarrassât Isabelle. Le pourquoi que j’avais pas de petit garçon? Tu vois Mathieu je n’ai pas de papa. Il me regarda et je crois qu’il a comprit. Judithe sourit à la réponse. Ils quittèrent en fin d’après midi. Je me retrouvai seule et je me mis à penser `Mathieu. C’est un enfant qui en pose des questions pour un enfant de 4 ans. Je fis un feu dans le foyer et je m’étendis devant car l’hiver, la maison est humide.
Le dimanche matin, je reçu la visite de ma mère et avons jasée beaucoup. Elle me contât son voyage des fêtes et de ses aventures extra conjugales parfois avec son mari et parfois avec d’autres hommes Je ne m’en offusque pas et je trouve cela parfois drôle. Voire une femme comme ma mère aimer autant le sexe qu’elle. Je lui contai notre dernière aventure d’un soir avec Judithe. Je lui contai les questions que Mathieu m’avaient posées. Elle riait. Toi aussi quand tu étais enfant j’en ai eu une panoplie de questions. Nous avons dîner ensemble et ensuite elle est parti en milieu de pm. Le lendemain je rentrai u bureau. Je fis ma journée et à mon retour il y avait un message. Je le regardai et le mit à la poubelle. Quelques minutes plus tard, une personne sonna à la porte. Je répondis. C’était Judithe qui était là. Je l’ai prise dans mes bras et je refermai la porte.
Je pris la main de Judithe et je me dirigai avec au sous sol ou y pendait 2 câbles avec des lanières. Je lui donnai une baffe et elle fût sonnée. Elle s’effondra au sol et j’en profitai pour lui lier ses mains. Je pesai sur un bouton et le câble fut tiré ce qui permit à Judithe d’être soulevée. Encore sonné j’en profitai pour y attacher ses pied afin qu’elle soit bien fixe. Je soulevai sa chemise pour voir son dos et je descendis son pantalon pour y voir son sexe poilu et charnu. J’allai cherchez mon fouet et je lui donnai un premier coup de fouet violent et un cri sortit de sa bouche. Je lui parlai et je continuai. Son dos est devenu rouge. Je me mis devant elle et je la mangeai, Son sexe ne tardât pas à se vider de son jus que je bûvai. Je l’a fit jouir et crier de plaisir. Je l’ai détachée et elle s’effondra. Je lui mis une plogue dans son cul et je lui dis :< tu viens me revoir demain matin pour que je te l’enlève.> comprit je dis. Elle se revêtit et me remercia avant de partir. Le lendemain matin tel que convenu elle est revenue. Je lui enlevai sa plogue et je lui mis dans sa bouche et lui dit :<Suce la plogue tu vas y trouver un bon gout.> elle repartit toute heureuse pour son travail.
La journée se passa bien. Beaucoup de travail et beaucoup de rencontre avec des clients. Je quittai mon bureau en fin de pm pour me rendre à ma résidence. Chemin faisant je remarquai qu’il y avait une voiture qui me suivait. Je ne pouvais distinguer la personne. J’arrivai chez moi la voiture continua sa route. J’entrai chez moi et je déposai ma valise de travail. L’on sonna à ma porte. J’ouvris lentement celle-ci et je fus bousculée. Je reçu un coup de poing ce qui sonna et je me suis évanouie. Je me suis réveillée sur mon lit les vêtements déchirés et deux hommes masqués nus devant moi. J’avais les mains menottées et les pieds ficelés et écartelés. Je ne pouvais bouger. Un des deux hommes avança vers moi et caressa mon sexe qui humidifia rapidement. Il dit :< sa blonde doit aimer la manger!> il rait. Il s’approchât de mon visage et y déposa un crachat. Il plaça son membre qui était gros et il me l’enfonçât et fit le va et vient rapidement pour se soulager. Son copain fit la même chose. A chacun des moments je sentais les coups de reins et je sentais le liquide qui glissait en moi et qui me répugnait. Ils me détachèrent et l’un deux m’amena au sous-sol.
Il m’attacha les mains et les pieds et il chercha et ne trouva pas ce qu’il cherchait. Il prit sa ceinture et il me fouetta avec celle-ci. Son copain continua à chercher et lui trouva ce qu’il cherchait :<un fouet> et de différentes formes. La salope dit-il, Elle va aimer. Il le donna à son ami qui commençât la flagellation. Ils me détachèrent et mon dos fût lacéré et je m’évanouis. Je me réveillai durant la nuit et je montai les escaliers une à une. Je m’évanouis à nouveau et me réveillai aux petites heures du matin. J’appelai Judithe qui arriva quelques minutes plus tard avec une panoplie de policiers. Elle me vêtit et me soigna mes plaies. Elle fit venir une ambulance qui m’amena à l’hôpital la plus proche.
Chemin faisant je m’évanouis à nouveau. Je me réveillai quelques minutes plus tard dans un lit et plein de personnes autour de moi. L’infirmière avait pris des échantillons pour savoir qui était les messieurs qui avaient fait tout ça. Judithe avait appelé mes parents et ceux-ci était là. Judithe fit une enquête et commença par mon chez moi pour recueillir des indices. Elle ne découvrit rien. Elle en conclut qu’ils étaient très minutieux.
Je restai à l’hôpital durant 15 jours le temps que mes plaies se cicatrisent. Je rentrai chez moi avec Judithe et Mathieu. Je retournai au travail avec une certaine crainte. La première journée de travail se déroula passablement bien. Judithe et Mathieu demeurèrent chez moi durant 1 mois. Mes règles ne partirent pas cela faisait 2 mois et demi que rien ne s’était produit. Un matin de mai, je me sentis mal. Un vomissement me perturbât. Je pris une bon déjeuner et a nouveau un vomissement. Je rentrai au bureau et je me promis, une fois ma journée terminée, que je passerais à la pharmacie prendre le dit appareil pour test de grossesse. Je fis le teste le lendemain matin et celui-ci confirma que j’étais enceinte, comble de malheur, que vais-je faire maintenant.
Judithe continua ses recherches sans pouvoir retrouver les malfaiteurs. J’avais décidé de le garder. Judithe n’était pas d’accord avec ma décision. Je décidai de mettre fin à notre relation. Cet enfant n’a rien demandé de tel mais pourquoi ne lui donnerais-je pas une chance de vivre me dis-je. Après avoir fait le ménage dans ma vie personnelle, je commençai à y faire une place. Parfois je vais dans les boutiques de maternité. Je rencontre des dames qui sont comme moi soit je suis seule ou avec ma mère qui elle eut de la difficulté à l’accepter mais elle m’a dit un jour :< tu sais ce que tu fais tu es assez grande et tu devras l’aimer comme nous nous t’avons aimés.> et la discussion se termina ainsi.
Les mois passèrent et je prenais du volume. Je prends congé du travail car j’approchais du moment. La chambre est prête. Les achats sont faits. Ma mère et mon père viennent souvent pour voir si tout allait bien. Une fois ma mère arriva a brule pour point j’étais a faire un lavage de mur. Elle fût surprise de me voir ainsi à frotter. Dans sa tête de mère elle savait que le temps était venu. Dans sa voiture, elle avait apporté des choses pour demeurer ici quelques jours après la naissance. Je prends une pose et nous jasons entre mère et fille. Les contractions commencèrent je le dis à ma mère. Nous quittâmes la maison pour se rendre dans le dit lieu. J’accouchai comme dise les infirmières. Le médecin n’a même pas eu le temps d’arriver que le petit garçon avait hâte de voir le monde.
Je quittai le dit hôpital 2 jours après pour retourner chez moi. Nous prenons soin de ce petit garçon qui me semble un enfant bien dans sa peau. Je le regarde dormir et je ne me lasse pas de le regarder. La nuit, il fait sommeil dans ma grande chambre, je ne pensais pas être aussi maternel. Le temps passe vite et il prend une grande place dans ma vie et je m’en rends bien conte. Je retourne au travail j’ai une gardienne à la maison soit une mamie. Ma vie amoureuse est au point mort mais seul Pierre ( son Nom) y est présent. Quant je reviens du travail je vais le voire et il me sourit.
Une journée a mon retour la mamie me fit part qu’elle a reçu une boîte mais ne sait de qui elle provient, de petits vêtements pour enfant. Je pris la boîte et je vérifiai s’il y avait un petit mot. Rien seulement des vêtements. Je la défis et déposai ceux-ci dans différents tiroirs par ordre de grandeur d’enfants. La mamie sortait toujours avec Pierre pour qu’il soit bien aérer. Nous sommes en avril et Pierre a 2 mois, Je l’ai amené chez sa grand-mère et y avons fêté les fêtes. Grand-papa aussi prend des penchants avec son petit fils.
Ce soir je fête son 2ième mois de vie un petit souper soit bouteille de lait et suce et dodo avec un bain. Une fois dans son lit je le transfert dans ma chambre. Durant son transfert, l’on frappe à la porte. J’y vais prudemment. Je regarde et y voit 2 silhouettes un enfant et un dame. J’ouvre tranquillement et je l’ai reconnu. Judithe entra avec Mathieu. Ils enlevèrent leur botte. Mathieu arriva près du lit qui était près de ma chambre. Il regarda l’enfant. Il me demanda son nom. Je lui dis <Pierre> Judithe s’approchât et me demandât si elle pouvait le prendre. Je le pris et lui mit dans ses bras. Il se mit à crier. Mathieu reculât. Il pleure fort. Je ris à sa réflexion de Mathieu.
Nous allons nous assoir au salon Mathieu était intrigué. Je répondis à ses questions. Pierre se calma et s’endormit dans les bras de Judithe. Mathieu demandât s’il pouvait dormir ici. Je lui répondis :< demande à ta maman> et sa mère lui dit si Isabelle veut . Elle répondit Oui tu peux rester. Et toi demanda Mathieu à sa mère. Elle baissa la tête. Isabelle dit :< ta maman peut elle aussi faire son dodo ici si elle veut.> Mathieu en enfant dit : < avec toi > Je regardai Judithe et dit à Mathieu :< oui avec moi dans mon lit si elle veut.> Nous avons couché Mathieu tôt car il a commencé sa maternelle. Nous avons déposé pierre dans son lit un peu plus tard.
Nous avons parlées plus tard. Je me dévêtis la première et judithe s’est approchée près de moi et me regardât et me serra dans ses bras. Je compris ce qu’elle voulait soit se faire pardonner pour ne pas avoir comprise ce que je ressentais. Elle se mit nue et nous avons fait l’amour comme deux bêtes. Nous nous sommes endormis tard durant la nuit. Pierre fit sa première nuit et au réveil il gazouillait. Je me vêtis et en fit de même Judithe. Mathieu arriva et il était prêt pour la maternelle. Judithe prit un café et une rotis et partit pour le travail me promettant de revenir. Mathieu me donna un câlin et partit
Suite la prochainement
Judithe et Isabelle

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Isabelle et Judithe suite
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par francine7

Marysa - Récit érotique publié le 25-04-2024
Jean et Denise - Récit érotique publié le 07-02-2024
Jean et Denise - Récit érotique publié le 27-12-2023
Isabelle et Judithe suite - Récit érotique publié le 10-10-2023
Isabelle et Judithe suite - Récit érotique publié le 09-05-2023
Isabelle et Judithe - Récit érotique publié le 23-04-2023
Jean Louise et Isabelle - Récit érotique publié le 15-04-2023
Louise et jean - Récit érotique publié le 12-03-2023
Louise et jean - Récit érotique publié le 10-03-2023
Louise et jean - Récit érotique publié le 09-03-2023