Jean et Denise - histoire érotique

Jean et Denise

Cela m’a été conté par Elizabeth. Je me nomme Francine en couple avec Andréanne. Cela se passa au début des années 1980. Denise travaillait dans une librairie comme gérante et Jean était étudiant. .A l’époque, Jean avait 19ans et Denise avait 28 ans une différence d’âge qui était peu fréquent pour cette époque.
Denise était très active soit elle faisait du ski en hiver et de la natation dans la piscine familiale. Jean durant les temps mort travaillait 2 jours par semaine à la librairie. Denise paraissait bien, toujours bien habiller. Jean arrivait toujours bien propre au travail. Il connaissait bien Denise car elle demeurait a proximité de Jean se qui lui permettait de voir arriver Denise de son travail Denise demeurait chez ses parents.
Jean aimait le père de Denise. Parfois celui-ci demandait à Jean s’il voulait L’aider à faire quelques ouvrages sur le terrain de sa résidence. Jean acceptait toujours afin de voir Denise. Parfois le père de Denise lui parlait d’elle. Il lui disait que Denise était une fille de tête et qu’il pensait lui laisser la librairie. Par contre son père ne comptait pas sur elle pour avoir des petits enfants. Il lui contait une histoire de sa fille sur le genre de relation qu’elle tenait avec ses employés
Un jour lui dit-il, il l’avait surpris avec une femme, une femme beaucoup plus âgée qu’elle. Jean lui demanda que faisait-elle! Elle s’embrassait à pleine bouche. Jean lui répondit simplement : il n’y a rien de mal a cela. Monsieur Bertrand fut surpris de la réaction de Jean et se mit à lui poser des questions. La nature est ainsi faite et nous devons l’accepter. Les cours reprennent et Jean retourne au collège, l’automne arrive et Jean reprend le boulot et ses études et va 2 fois semaines à la librairie pour y travailler.
Jean fait une découverte qui le surprend, Il voit Denise dans un coin de la librairie, qui se fait caresser par ladite dame. Il remarqua que Denise semblait aimer cela. Denise vu Jean mais ne dit rien. Un jour Denise convoqua Jean à son bureau que ce qu’il avait vu il ne devait pas le dire à qui que ce soit. Jean lui répondit : cela ne me regarde pas, point à la ligne.
L’hiver arrive et le ski est proche pour Denise. Jean est à terminer un gros travail de comptabilité pour la finition du trimestre. Le samedi, il entre au travail et voit Denise qui avait les yeux rouges. Jean devinait se qui venait de lui arriver. Il s’assit près et lui dit< si tu as besoins de parler je suis là>.Jean va avoir 20 ans durant les fêtes qui approche à grand pas.
Jean, souvent, revient chez lui en voiture avec Denise. Parfois il pense à Denise et se masturbe en imaginant son corps nu devant lui. Le travail de Jean achève pour la fin session. Un dimanche en soirée il regarde tomber la neige par sa fenêtre. Il voit Denise arriver de sa fin de semaine de ski. Le mercredi en pm, Denise demande à Jean si son gros travail est terminé. Jean lui répondit< non mais je devrais le terminer si je peux être tranquille chez mes parents. Le vendredi soir, Denise demande à Jean s’il a quelque chose à faire samedi :< Non rien de spécial si se n’est que de finir le travail>. Denise lui dit :< je t’invite avec moi dans un chalet dans une montagne. Moi je fais du ski et toi tu finis ton travail. Nous partirons à 5am. Tu viens ou pas. Je vais t’accompagner lui répondit-il>.
Le samedi matin Denise et Jean sont en route. Ils arrivèrent ver 9am. Denise avait apporté des provisions pour faire un bon souper pour 2 personnes ainsi qu’un bon déjeuner. Denise quitta le chalet pour les pentes de ski et jean se mit au travail. La journée se passa rapidement. Denise entra au chalet vers les 7hrs pm. Elle se changea et alla préparer le souper. Jean sortit de l’endroit ou il avait travaillé. Denise décida d’aller prendre une douche. Elle sortit de la douche et revient rejoindre Jean qui lui avait continué à préparer le repas.
Denise demande à Jean comment il se sentait après l’avoir vue embrassé une femme? Il lui répondit comme la dernière fois. <Que cela ne le regardait pas>. Ils abordèrent d’autres sujets : Tel que la politique, les finances. Le dernier sujet qu’ils ont abordé est l’amour. Denise dit qu’elle aimerait une forme d’amour et toi Jean, Moi je ne crois pas à un amour, je crois plus à une complémentarité des deux êtres. Voila ce que je crois lui dit-il.
Ils se servirent le souper un bon petit plat cuisiné à deux. Quelles sont tes gouts en matière de femmes lui posa Denise? < Je crois que le gout d’une femme vient avec ce qu’elle est. Quel soit grassette ou mince cela m’importe peu pour moi>. Denise déservît la table et Jean partit prendre une douche. Il sortit quelques minutes plus tard et entendit comme des claquements sur une fenêtre, Il regarda par la serrure et y remarqua le corps de Denise qui se donnait des coups de fouet. Il retourna dans sa chambre pour se revêtir. Il en ressortit et passa devant la chambre de Denise qui en sortit. Elle demanda à Jean si tout allait bien. Elle portait un peignoir blanc et sa figure était rouge. Jean lui en fit la remarque. Elle devient encore plus rouge. Jean alla faire un feu de foyer pour réchauffer la maison et aussi y mettre un peu deromantiime.
Denise s’approcha du foyer et jean lui ordonna de se mettre nue devant lui. Elle regarda jean d’un air stupéfait. Elle refuse l’offre de Jean. Jean se releva et s’approcha de Denise. Il lui redemande de se mettre nue devant lui. Elle refuse à nouveau. Jean lui prend le collet de son peignoir et la lance sur le divan en la giflant. Elle se relève du divan et fait face à Jean. Elle tente de le gifler mais intercepte sa main et lui tord la main et elle se met à genoux devant Jean. Il la relève lentement en continuant à serrer sa main pour qu’elle souffre un peu.
Elle lui demande de la lâcher et Jean refuse et lui assène un coup de poing dans le ventre. Elle se penche en avant plié en deux. Elle relève le visage et Jean remarque 2 larmes qui coulent sur ses joues. De l’autre main elle défit son peignoir et Jean voit une femme grassette avec un triangle parfait. Jean lui dit tourne toi et enlève ton peignoir. Elle refuse à nouveau et là saisie par la gorge et lui enlève lui-même son peignoir. Jean l’a retourne et elle se met à pleurer à chaude larme parce que Jean avait découvert se qu’elle aimait soit recevoir le fouet.
Jean pris Denise et lui ordonne de prendre siège sur le divan, Elle le fit. Jean lui dit qu’il l’avait vue à travers la serrure car a sa sortit de la douche il avait attendu comme un claquement et j’ai regardé et j’ai vu ce que tu te faisais. Elle interrompit Jean et se leva. Elle alla se sécher les yeux et revient quelques minutes plus tard. Elle prit place sur le divan, Jean à coté d’elle. Et les questions ont fusé de Jean et elle lui expliqua comment cela a commencé. Elle avait honte de cela mais Jean la réconforta,
Elle retourna son visage vers Jean et lui souri. Jean l’a pris dans ses bras. Jean Lui caressa le dos et remarqua qu’elle avait des lacérations.
Le feu du foyer commence à baisser Denise se leva et ajouta 2 buches pour alimenter le feu et vient prendre place a coté de Jean. Denise mit sa tête sur l’épaule de Jean. Jean appréciait le geste de celle-ci. Le feu dégageait une bonne chaleur. Jean demanda à Denise si elle aimait être fouettée. <Oui >répondit-elle. Donc tu aimes souffrir dit-il! < oui j’aime cela si j’aime la personne> dit-elle. Elle sourit et jean voit une belle bouche. Jean approche sa bouche contre celle de Denise qui s’offre à Jean. La langue de Denise force l’ouverture de la bouche de Jean. Celui-ci accepte la langue de Denise avec avidité. Les mains baladeuses des deux font que les deux sont nus. Denise découvre le corps de Jean magnifique et ainsi que le membre de celui-ci qui est grand et gros et juteux.
Denise prend le membre de Jean et le suce lentement pour qu’il jouisse. La réaction de Jean fut immédiate et dit simplement que cela était bon. . Denise continua sa succion et Jean caressa le sexe de Denise et celle-ci passa une jambe au dessus de la tête de Jean. Elle lui présenta son sexe et lui aussi la mangea. Denise cria de plaisir et Jean mis dans son vagin un doigt puis 2 et un 3ième et Denise se mit à crier encore plus. Elle éjacula dans la figure de Jean qui fut surpris. Elle demande à Jean s’il avait une capote et celui-ci répondit dans le négatif. Denise fut déçue de sa réponse. Elle se retourne vers Jean et s’étend à coté de lui. Jean regarde sa bien aimé d’un soir et lui prend sa main pour la diriger vers son sexe. Elle le caresse lentement et se met à 4 pattes et embrasse le sexe de son homme. Elle hésite son corps et ses seins sont en érection et son corps désire plus et son cerveau commande de passer à l’action. Elle qui ne fut pénétrer que par des doigts de femme, elle s’avance lentement et prend le sexe et le dirige dans l’intérieur de son corps.
Il glisse facilement et se couche sur Jean et lui souffle a l’oreille un petit mot doux. Le vas et vient se fait avec délicatesse. Le corps de Denise et de Jean répondent bien à leurs ébats. Denise crie de plaisir ainsi que Jean, Jean est au bout du rouleau et Denise le sait. Elle lui dit j’ai le gout de recevoir entièrement en moi. Elle lui demande d’y aller : Elle se couche sur le ventre de Jean et lui dit :< éjacule en moi mon cœur>. Jean commença le va et vient et Denise aimait cela et jouissait. Jean accéléra la cadence et Denise prononça un cri très fort à réveiller les morts. Elle venait d’atteindre un orgasme et Jean venait d’éjaculer. Les deux cœurs battaient à l’unisson. Denise resta sur Jean jusqu’au moment ou le sexe de Jean sorti de son vagin, et repris le membre et le lécha avec avidité. Une fois bien lavée avec sa langue elle s’étendit sur Jean à nouveau pour sentir son corps.
Ils discutèrent quelques minutes pour mettre au point leur relation. Jean dit à Denise que si elle avait des envies de coucher avec une femme qu’il ne s’objecterait pas. Il lui dit ce qu’il exigerait d’elle lorsqu’il serait ensemble. La nudité était primordiale et que la souffrance ferait parti d’eux. J’ai une chose à te demander pour demain. Elle se ravisa je te le demanderai demain. Ils s’endormirent. Au matin Denise ouvrit l’œil et regarda son homme qui dormait. Elle admira le sexe de son homme et s’y approcha. Elle lui donna un petit baisé et se leva, Elle alla dans la cuisine y préparer le café. Jean se réveilla quelques minutes plus tard. Il vit Denise nue. Il s’approcha d’elle et la pris dans ses bras, et ils s’embrassèrent tendrement, Tu sais je vais te demander de m’attacher à ce poteau et je veux que tu me fouettes. Le fouet est sous le lit.
Il alla le chercher et à son retour il y avait une corde et il la lia les mains au tour du poteau. Elle lui a demandé de lui donner 10 coups de fouet. J’étais bien attacher au poteau je ne pouvais pas bouger me dit-elle. Un coup arriva sans brutalité, Je lui demandai d’être plus brutal. Le 2ième fut brutal celui-ci me saisi ainsi de suite. Le dos se déchira au 8ième coup et fit le 9 et 10 et mon dos se déchira plus. Il me détacha et je tombai parterre. Il me regarda et me pris dans ses bras. Je me mis à genoux et je pris son sexe dans ma bouche et je lui fis fellation jusqu'à ce qu’il éjacule dans ma bouche et je bus son jus et c’était la première fois que je me laissai aller avec un homme me dit-elle. Il me soigna et mit sur mes plaies un alcool pour désinfecter celles-ci.
Je mis une vieille chemise et je me présentai devant mon homme et il me caressa le dos afin que les plaies se collent à la chemise. Je le quittai pour la journée et je reviens en fin de pm, Jean en profita pour terminer le dit travail. Je me dévêtis devant lui et je lui demandai de m’enlever la chemise pour voire les plaies. Je le remerciai de la souffrance reçu. Notre retour se fit sans encombre nous tenions la main. Une fois rendue a destination Il repris ses études et remis le travail qui était parfait . Denise repris le travail et Jean allait lui aussi faire du travail à la librairie, Ils se voyaient et se souriaient. Les fêtes arriva Denise demanda `Jean de l’accompagner à un party de la chambre de commerce de la ville. Il accepta. Ils dansèrent plusieurs fois.
Les fêtes sont du passer et Denise retourne au travail et Jean lui aussi à 2 jours semaines. Denise demande à Jean de le rejoindre dans son bureau en fin de journée. Jean fit la fermeture et rejoignit Denise dans le bureau. Jean prit une chaise vint s’assoir sur le coin du bureau. Elle lui parla de son inquiétude depuis 2 semaines. Elle lui dit : < mes règles ne sont encor parti> jean lui répondit;< Bon bien je le savais car tu n’es plus la même car ton corps à changer. As-tu envie de vomir le matin et tes seins te font-ils mal ????> Oui cela répondit-elle. As-tu passé un test de grossesse. Non pas encor répondit-elle!!!. Tu es enceinte et je suis convaincu dit Jean. Montre moi tes seins. Elle enleva sa chemise et Jean remarqua que les 2 seins étaient plus gros et foncés.
Maintenant que veux-tu faire? Je veux le garder et toi Jean demanda Denise? Moi aussi je veux que tu le garde et nous allons l’éduquer. Il va falloir l’annoncer à tes parents et toi aussi. Comme tu sais ils sont dans le sud et ils ne reviendront qu’au mois d’avril. Ils entrèrent à la maison de ses parents et ils prirent leur aise. Denise annonça à ses parents la venue d’un nouveau né dans la famille. Ils lui demandèrent qui était le père et je vais vous le présenter vendredi soir a mon retour du travail. Elle me présentât le dit vendredi et son père et sa mère furent heureux.
Il naquit une fille qu’ils prénommèrent Marysa. Le temps passa les parents de Denise décédèrent. Denise hérita de la librairie et Jean oeuvrait dans le milieu financier tout en regardant un œil sur la librairie. Denise aimait autant les femmes que les hommes. Des années passèrent et Denise fit la rencontre d’une dame grande et mince qui elle fut mariée mais pas d’enfant. C’est une femme grande et une infirmière auprès des personnes âgées et surtout une dominatrice. Elles se sont rencontrées par hasard à la librairie, Louise est son prénom.
Après cette brève rencontre à la librairie, elles se revirent à nouveau dans une lingerie pour dame. Denise fut très surprise de la revoir. Denise se mis à la regarder de nouveau et remarqua une démarche hésitante lorsque Louise la revit au dit endroit. Denise se dit-elle :< elle cache quelque chose comme un secret> Denise s’avança et lui dit :< tu aimerais aller prendre un café avec moi> Elle ne répondit pas immédiatement . A sa sortie du magasin Louise qui suivait Denise lui dit :< Ok pour le café>. Elles se dirigèrent vers un petit resto. Elles commandèrent un café et la discussion commença. Denise posa des questions et Louise répondait brièvement. Denise déposa une main sur la table pour voir ce que Louise ferait. Dans la main de Denise il y avait un jonc. Louise remarqua le jonc et lui dit; <vous êtes marié> si on veut répondit Denise.
Mon mari est un homme compréhensible. Il sait que je suis BISEXUEL et cela ne le dérange pas. Vous savez que les temps changent et qu’il y a un monde de différenciation et lui il le comprend. Vous vous en pensez quoi??? Je crois que les gens font ce qu’ils veulent. Je peux vous dire Louise que vous êtes une dominante et une directrice et que vous faites peur aux gens mais a moi vous ne me faites pas peur et que vous avez beau être une dominante mais je suis sur que vous voulez être dominée n’est ce pas!! Je ne me suis jamais posé la question brève réponse comme toujours!!
Louise se leva et quitta rapidement et Denise retourna à son travail, et en fin de pm elle entra chez elle et parla à Jean de sa rencontre avec la dite personne. Jean lui dit simplement :< cette dame est intrigante, tu la veux n’est-ce pas> oui lui répondit-elle. Alors fait un effort. Un trimestre passa sans qu’elle la revoit. Denise avançait en âge soit 53 ans et sa fille 24 ans et Jean 43 ans. Marysa fut promu comme médecin dans une ville de la banlieu. Louise 43 ans et infirmière toujours seule.
Louise alla dans la librairie pour faire des achats de livre pour une personne âgée soit des romans policiers. Denise revit Louise mais ne s’en préoccupa pas. Une préposée la servit. Le nouveau protocole exige d’avoir soit une adresse ou un numéro de téléphone. Elle donna l’adresse simplement et celui-ci fut enregistré dans l’ordinateur. Denise décida de copier l’adresse de Louise. Un soir Denise alla passer devant la résidence de celle-ci. Une résidence discrète sans trop de fla fla.
Denise décida un vendredi soir de suivre Louise pour savoir ou elle va. Louise se dirigea vers l’autoroute et prit celle-ci. Louise se dirigea vers un entrepôt et y entra. Denise attendit quelques minutes puis se décida d’y entrer. A sa grande surprise Denise fut reçue par un homme qui lui demanda un montant pour y avoir accès, Elle paya le dit montant et alla s’installer à une table. Quelques minutes plus tard, elle vit Louise revenir en petite tenue et monta sur le stage et commença à danser, et elle se dénuda complètement.
Denise la regarda toute ébahie de voir cette grande femme nue devant ses yeux. Un homme se leva de son siège et y mit entre ses deux cuisses un billet. Elle reprit le billet et le remit dans sa poche du veston du Monsieur et les gens applaudirent Louise. Elle se retira du stage pour aller dans sa loge. Elle revient et me reconnait et vient faire causette. Je lui dit :< tu as remis a sa place ce monsieur. Il vient souvent me voir danser et il me fait le coup mais je refuse à chaque fois> Répondit-elle. Vient je vais te montrer ce que j’aime faire aussi. Je me levai et elle me prit la main et nous dirigeâmes sur la piste de danse.
Elle tendit une mais nous avons dansé une danse et je me sentais fondre en elle. Je transpirais beaucoup et ma petite culotte est venue toute trempée. Elle me demanda si je voulais la suivre :< oui.> elle me prit par la taille et ensuit la main dans un passage étroit. Elle me demande de choisir laquelle des portes que je dois ouvrir. Elle me dit :<tu choisis ou je le fais> je vais choisir dis-je, et je l’ouvris.
Elle me fit découvrir ce que c’est un homme brutal. Je fus attaché, mise à nue devant 3 hommes musclés et bien membrés. L’on m’avait attaché les mains et les pieds et l’un des 3 choisit un fouet et le remit à Louise.qui commença à me fouetter. Elle arrêta après 20 coups et mon dos se déchira à plusieurs endroits. Je fus laissé entre les mains des 3 hommes. Je fus battu et pénétrer à plusieurs reprisent. Cela dura environ 3 heures tout un supplice. Quand je rentrai chez moi je dis à Jean ce qui s’était passé. Il m’enleva mes vêtements et alla dans la salle de bain et y prit de l’alcool pour désinfecter mes plaies
Le lendemain matin Jean alla à la librairie pour me remplacer. Il reçu une agréable surprise, Marysa, notre fille qui est venue chercher un livre de médecine qu’elle avait commandé pour elle et son travail. Jean compta l’histoire de la randonné de sa mère et des blessures de celle-ci. Marysa se rendit chez sa mère et y constata les blessures. Marysa amena sa mère à la clinique ou elle travaillait. Elle lui fit passer des examens thoraciques pour constater qu’elle avait des côtes de fêler. Elle lui imposa un repos et aussi des activités restreints. Marysa savait que sa mère était bisexuelle et que parfois elle aimait différentes activités sexuelles
Francine