renconte (suite )

- Par l'auteur HDS francine7 -
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Récit libertin : renconte (suite ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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renconte (suite )
Rencontre ( suite )

Les deux mois passèrent rapidement. Debby vendit sa maison et aménagea avec moi. Je lui fis une grande place dans ma vie. Nous prîmes l’avion pour nous rendre dans ma province et dans ma ville. Nous avions prévu un véhicule de location pour le mois. Nous débarquons de l’avion en milieu de pm et arriveront dans ma ville une heure plus tard. Une fois à la maison je présentai à mes parents Debby. Debby parlais un français cassé en y introduisant des mots anglais ce qui faisait rire mes parents qui lui donnait le mot juste. Mon père discutât avec Debby moi et ma mère sommes allées préparer un petit souper. Je lui contai de long en large notre rencontre et maintenant que nous vivons ensemble depuis fin juin. Ma mère me serra dans ses bras et me dit que j’étais bien.
Le soir venu, Debby et moi avons prises une douche ensemble, mes parents ne furent pas surpris, Durant la nuit je me réveillai j’avais le gout de ma conjointe Debby, Je commençai à caresser ma douce. Celle-ci ripostât par un virulent baiser. Il n’en fallait pas plus pour que nos corps partent à la dérive. J’aime me sentir comme une chatte en chaleur et y laisser mon emprunte. Je faisais jouir Debby et parfois nous avions un orgasme ensemble et cette nuit là ce fut cela. Au matin, ma mère est venue dans notre chambre et nous a vues que nous étions enlacées. J’avais une cuisse qui était pardessus et elle voyait nos deux sexes me fit elle remarquer.
Elle trouvait cela normal me dit-elle. Nous avons passé la première semaine chez mes parents et fit quelques voyages dans mon patelin. Je lui fis découvrir les différentes spécialités de la région. Nous avons aussi visité la capital national et y avons hébergé deux nuitées et continuée à nous découvrir en tant que personne. Nous revîmes en fin de journée le dimanche. Le lundi matin je contactai Francine pour lui faire part que nous irions la visiter le mardi en pm. Elle accepta de nous recevoir. Eux aussi elles sont en vacance.
Le lendemain pm nous prîmes la route pour nous y rendre. Chemin faisant, je contai certaines anecdotes de nous deux étant à l’université moi très réservée et elle (Francine) très ouverte et vivace. La campagne est belle me fit remarquer Debby. J’avais prit soins d’apporter mon appareil photo. Il était environ 15hre quand nous sommes arrivées. Nous sommes accueillis à bras ouvert. Moi et Francine visitons leur grand jardin. Andréanne et Debby jasent ensemble de différents sujets. Francine et moi allons voir ses rénovations et nous sommes suivis de près par nos conjointes. Elles nous montrent leur agrandissement extérieur soit un salorium et ensuite le sous-sol. Elles nous font visiter les deux chambres soit une pour invité et la seconde leur chambre secrète. Debby regarda et s’approcha d’un objet qui la fascinait. Elle demanda à Andréanne ce que c’était! Elle lui expliquât le but de la torture à l’époque médiéval.
Andréanne et Debby restèrent longtemps à parler de cet instrument car cela fascinait Debby. L’antiquité la fascinait toujours. Une question vint à l’esprit d’Andréanne : < AS-TU DÉJÀ ÉTÉ FOUETTÉE PAR JUSTINE?> Non répondit-elle. < TU AIMERAIS L’ÊTRE>. Oui j’aimerais mais je n’ose pas lui demander dit-elle. Je lui ai faite la promesse qu’elle me fouetterait un jour. Je sens que tu es prêt à recevoir le fouet? < Oui et depuis longtemps>. Tu aimerais le faire ici? < OUI >. Est-ce que je te mets nue et que je t’attache ou tu te mets nue toi-même. < Je vais me mette nue et attache moi et tu iras cherchez Justine >. Elle mit à ses pieds le fouet qui fait le plus mal. Andréanne rejoignit Francine et Justine qui était en grande conversation. Andréanne dit à Justine de rejoindre Debby dans la chambre secrète.
Justine descendit les escaliers et rejoignit Debby. Debby lui dit : < je suis à toi >. Andréanne et Francine arrivèrent. Elles voulaient assister à la première flagellation de Debby. Le premier coup rata la cible. Francine donna un conseil comment tenir le fouet et de faire un geste brusque. Elle se reprit et le coup atteignit la cible ainsi de suite pour les 9 autres coups. Elles s’approchèrent pour regarder le dos de Debby pas de marque mais que de souffrance elle a eu. Elle fut détaché par Justice et s’embrassèrent langoureusement. Elle refusât la crème afin de sentir la chaleur de son dos. Chaque coup que je recevais, je jouissais de les recevoir de toi en regardant Justine dans les yeux.
Quelques jours plus tard elles partirent pour un voyage dans un lieu féérique soit dans les montagnes près de la mer. Justine parla de cet endroit qu’elle affectionnait particulièrement pour ses emplacements photographiques ce qui permit aux deux tourtereaux de se photographier et rire et souper en tête à tête. Justine demanda a sa complice si elle avait le goût un soir de la fouetter un soir près de la maison prêt du gros arbre centenaire. Debby lui dit^< je te satisferai un soir>. Elles couchèrent dans des hôtels pittoresques et rentrèrent chez ses parents 3 jours avant leur départ pour leur province.
En voyage, elles avaient profité de leur corps. Elles découvraient de plus en plus les limites de ceux-ci, allant de la jouissance extrême à la souffrance modérée. Avant le départ pour le pacific elle eut une discussion avec sa mère qui lui fit remarquer qu’elle était heureuse et aussi heureuse d’avoir rencontré une bonne personne qui la satisfasse. Elle lui dit que possiblement son père et elle irait la visiter l’Hiver prochain.
Elles prirent l’avion le samedi suivant et arrivèrent à leur de départ. Elles entrèrent dans leur chez soi et défirent leur bagage. Le dimanche elles prirent cela relaxe car le lendemain tout le monde entrent au travail avec plein de souvenirs. Une semaine se passa et nous étions épuisées. La fin de semaine sera relaxe. Épicerie ensemble, sortie dans un restaurant et visite d’un musé. A notre retour il y avait une voiture dans notre entrée. La personne nous y attendait. Elle ouvrit la portière, ma conjointe nous ne la connaissions pas. Elle se présenta, Margaret Longford pour les intimes. Je suis cinéaste et je recherche des femmes qui aiment le sexe érotique sous toutes ses formes. Elle est grande et svelte soit 6 pieds et un corps de déesse. Je regardai ma conjointe et nous sourions.
Debby l’invite à entrer. Nous lui offrons un verre de vin blanc. Elle nous expose ce qu’elle recherche et nous l’écoutons attentivement. Une question vint de Debby : < ou avez-vous prit notre nom ?> Elle nous confia nous avoir espionnée lors de notre première sortie lors de la réception il y a un an nous dit-elle. J’ai su que vous Mme Debby que vous aviez vendu votre maison et que vous avez aménagé ensemble. Votre voyage en province a donné des résultats probant soit rencontre sexuel chez vos parents et plusieurs autres en voyage et aussi j’oubliais la flagellation de Debby chez vos amies. Je ne serais pas surprise que Dame Debby vous l’aurait demandée. Vous en savez des choses sur nous! Alors mes Dames seriez vous partante? Se sera du porno dit Justine. Se sera votre histoire romancée. Justine ria et Debby fut stupéfaite. Justine se leva et prit Margaret par le bras et l’a mise à la porte.
Deux mois passèrent, Il faisait un temps torride dans la province, Debby tenu sa promesse en fin d’après midi un Samedi. Elle prit Justine par le bras et lui dit de ne pas bouger. Elle revient avec un fouet. Elle commença à dévêtir Justine de façon sensuelle. Une fois nue et bien caressée, elle prit ses menotte et attacha les mains et y glissa une corde qu’elle lança sur une branche du gros arbre et tira sur la corde et les bras de Justine se soulevèrent rudement. Elle s’ajusta pour le premier coup qui rata la cible. Le deuxième coup atteignit la cible et cela fit sursauter Justine car il était puissant. Elle continua jusqu’au dixième coup qui était aussi puissant que le premier. À chaque coup Justine émettait un petit cri de douleur et aussi de satisfaction. Le dos était rouge mais pas de marque. Elle fut détachée et elles s’embrassèrent tendrement. Elle passa deux doigts sur le sexe de Justine tout en l’embrassant et constata une humidité extrême et Debby mit les doigts dans la bouche de Justine qu’elle suça avec avidité.
Arriva le mois de décembre, une journée par temps plus vieux Justine reçu l’appel de sa maman pour lui faire part qu’ils seront chez elle le 22 décembre pour passer les fêtes avec eux. Les rénovations étaient terminées. Leur chambre secrète était faite et comprenait certaine choses qui leurs sont indispensable pour les satisfaire, leur bureau terminé un pour le travail et l’autre, le repos. Les fêtes approchèrent à grand pas. Party par party visite chez l’un et chez l’autre. Le samedi avant l’arrivé des parents elles se mirent à la popote. Beaucoup de choses faites et mis dans le congélateur.
Les préparatifs sont terminés, ses parents devraient arriver en fin de pm et Justine et Debby devraient aller les chercher à l’aéroport. Ils arrivèrent comme prévu à 16hrs. Tout le monde se rendirent à la résidence et prirent une apéritif avant de ce rendre dans un restaurant. Elles rencontrèrent par hasard Margaret et nous jeta un coup d’œil. De retour à la résidence en fin de soirée. Ses parents étaient fourbus et ils prirent place dans leur chambre. Au réveil ses parents voulaient voir la maison au complet et ils la visitèrent après un petit déjeuner. La matinée passa rapidement. Il restait encore des achats à faire. Justine et son père partirent pour chercher les quelques choses manquantes. La mère de Justine accompagna Debby et elles se mirent à Jaser. Elle racontât que sa vie avec son mari n’était pas de tout repos avant la naissance de Justine. Pour différentes circonstances elle resta avec son mari. Elle avoua son homosexualité à Debby et son attirance pour les Dames.
UN soir, nous étions 4 femmes et nous avons décidé de sortir dans les bars. J’avais 27 ans à cette époque. Ma sexualité avec mon mari était d’une monotonie extrême et je me cherchais dans se milieu. Ce fameux soir je découvris que les femmes me regardait et surtout une en particulier. Elle se nomme Albertine grande et mince. Célibataire et aussi notaire. Nous avons dansé ensemble une partie de la veillée et prit quelques verres. Lors de la dernière danse elle m’embrassa dans le cou et cela déclencha un frisson dans tout mon corps.
Un mois passa et elle m’invita à une sortie entre Dame. Mon mari trouvait cela normal entre consœur. Ce soir là, elle m’amena dans un bar gai et nous avons dansés. Elle m’invita à la suivre. Elle m’incitât à regarder par la vitre et elle mit sa main sur mes fesses et me caressa celles-ci et il n’en fallait pas plus pour que je me tourne vers elle et l’embrassai. Quelques minutes plus tard nous étions dans un lit et je me découvris ainsi. Je cherchai plus que cela et un soir je découvris qu’il y avait plus que cela. Pour déchainer ma sexualité je faisais l’amour avec mon mari violemment. Et mon mari ne se plaignait pas et je tombai enceinte de Justine.
Un an après la naissance de Justine je recommençai mes activités professionnelles et ma faubie, Parfois j’allais dans les bars et parfois dans des endroits pour faire connaissance avec la souffrance me dit-elle. Un soir elle découvrit un endroit dans une vieille usine désaffectée ou il y avait ce qu’elle voulait. Elle y entrât et fut prise d’assaut par un gardien qui lui ordonna de mettre un masque afin de ne pas être reconnue dit-elle. Une dame lui fit visiter les lieux et demanda un montant afin de pouvoir regarder et toucher. Elle prit une consommation et une dame bien vêtue s’approcha d’elle. Elles discutèrent longtemps pour convenir de ce qu’elle recherchait. La dame lui proposa une rencontre à hui clos ce qu’elle accepta. La date fut fixé le 8 du mois de Mai à 17hrs, Ce jour du 8 mai elle se présenta tel que convenu. Elle remit son masque ainsi que la Dame qui revêtait un latex rouge. Elles allèrent dans un salon afin de discuter de sexe étant donné qu’elle a près de la soixantaine. Rien ne sorti de probant avec la dame me dit-elle. Debby amena la mère de Justine dans leur endroit secrète. Elle débarra la porte et la mère de Justine y entra et fut stupéfaite de ce qu’elle y voyait.
Deby lui fit une démonstration du claquement du fouet. La mère de Justine aimait le son du fouet. Elle installa le dit fouet dans un appareil qu’elle mit en marche. Le fouet s’abattit sur un poteau en bois et y laissa une marque, puis elle baissa l’intensité du fouet. Debby se mit nue devant elle et se positionnât pour recevoir le fouet. Elle en reçu 5 coups. Elle se revêtit. Elle regarda la mère de Justine et lui ordonna de se mettre nue ce qu’elle fit. Debby mit les menottes et fit descendre un crochet et y accrocha les menottes qui soulevèrent les bras. Elle était en extension. Pour une femme de 58 ans elle était bien tournée. Debby mit en marche et ajusta le fouet pour qu’il arrive au milieu du dos. Elle le programma pour 10 coups. Le premier atteint sa cible et un petit cri sortit de la bouche et les suivant ne faisaient accentuer les cris et la douleur. Elle la détacha et lui caressa son dos rougi et s’approcha de sa mère et la prise dans ses bras. Lui caressa le dos et ses fesses. Elle lui mit ses doigts dans sa fente de son cul et remonta jusqu’au sexe qui était humide et y pénétra 3 doigts et fit le vas et viens dans on vagin. Elle sortit ses doigts et introduit les 3 doigts dans sa bouche qu’elle suça. Elles remontèrent au premier étage. La mère dit à Debby qu’elle avait apprécié ces gestes et qu’elle ressentait encore les coups de fouet et que pour elle se fut un délice de les recevoir.
Ils repartirent le 5 janvier. Nous nous sommes gâtées par un repos bien mérité. Deux mois se passèrent et nous reçûmes la visite encore une fois de dame Margareth. Elle voulait nous faire part de sa nouvelle offre qui est basée sur notre rencontre et sur notre façon de se voir dans ce monde. Comme nous sommes des professionnelle dans le travail il faudrait cacher notre visage et nos noms et changer ceux-ci alors nous pourrions pousser plus loin.
Un mois plus tard elle nous revient avec une réponse. Oui si vous faites cela dans nos studios nous dit-elle. Nous lui suggérons de nous suivre. Elle accepte, Nous descendons le pallier et nous voila dans notre chambre secrète. Nous nous dévêtissons devant elle et nous lui demandons de faire de même. Nous nous sommes dite elle n’accepterait jamais mais ce fut le contraire. Nous sommes trois personnes nues. J’attachai Debby et j’allai chercher un fouet et lui en donnai 10 coups sans aucune marque. Je détachai Debby et elle m’embrassa, Debby se retourna et demanda à Margareth si elle aimerait recevoir le fouet. Elle répondit :< non ce n.est pas pour moi>. Alors dit Debby il n’y aura pas d’entrevue. Elle se ravisa et demanda à le recevoir. Nous l’avons attachée solidement et chacun nous lui avons administrée chacun 5 coups de fouet bien placé. Le dos était d’un rouge écarlate et elle nous dit :< je comprends pourquoi certaine femme aime le recevoir >. Nous lui avons répondue :< pour nous c’est une forme de jouissance >. Regarder vos seins ils sont en érections et pensée a ce que nous vous avons fait subir dit Justine. Elles se vêtirent et elle quitta les lieux sans avoir au préalable confirmé le rendez-vous.
Un mois après. Margareth nous sommes convoquées à son bureau pour l’entrevue. Nous y arrivons un samedi matin pour l’entrevue et le reportage. Nous étions vêtues sobrement. Elles nous firent passer dans une salle de maquillage afin de nous masquer et de porter des vêtements très osés se que nous osons porter pour la circonstance. Elle nous montrât comme des femmes normales ayant des professions libérales mais des personnes ayant des fantasmes. L’entrevue servira de documentaire. Nous quittâmes l’endroit après une heure et prirent le temps de diner dans un restaurant en banlieu.
À notre retour nous avons fait notre routine journalière de la fin de semaine soit ménage lecture, faire l’épicerie, lavage et repassage. Une bonne lecture d’un bon roman policier. Le Lundi matin retour au travail. Deux mois passèrent et nous reçûmes un appel nous indiquant que notre entrevue sera mise en ligne sur un site érotique et qu’elle nous fait parvenir l’enregistrement par internet et que nous pourrons le regarder avant sa parution et lui donner nos commentaires. Nous lui répondons après le visionnement que tout était conforme. Six mois plus tard, nous reçûmes un appel d’un policier qui enquêtait sur le meurtre de Margareth retrouvée dans un endroit nue et avec plein de marque. Nous sommes convoquées à une entrevue et notre lien avec elle. Nous lui expliquons le but de l’entrevue et notre lien avec elle. La policière nous laissa et chercha une autre piste.

Francine Andréanne Justine Debby

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