si une histoire m'était conté - histoire érotique

Si une histoire m’était contée
Marie Andrée une jolie femme de 38 ans, professionnelle, Avocate de profession et redevenue célibataire, a été mariée 3 ans. C’est une femme fonceuse de nature, n’ayant peur de rien si ce n’est que des hommes, ayant été violée très jeune. Sa profession la fait les détester encore plus. Une femme très timide et nous dirions elle enfonce 6 pieds sous terre lorsqu’un homme l’approche ainsi qu’une femme aussi. Elle déteste les sorties mondaines. Elle demeure chez ses parents qui sont à la retraite. Elle leur sert de bâton de vieillesse.
Elle entretient la maison voit au paiement des factures et de l’achat de la nourriture. Dernièrement elle a fait faire un agrandissement à la résidence pour avoir un plus de confort pour ses parents et pour elle aussi ce que ses parents ont apprécié. Il y a eu un foyer au sous-sol, un solarium et aussi sa chambre fut agrandit de 20 pieds. Elle y fit son endroit de repos et de travail. Elle travaille dans un cabinet réputé et elle reçoit une rémunération dans les 6 chiffres. Elle adore les voyages, mais voyage seule car elle peut visiter à sa guise. Elle est aussi judoka et le pratique assidument. Elle déteste le sexe sur toutes ses formes. C’est une dame de qualité mais très frustrée.
En juin souvent elle prend ses vacances. Elle choisit toujours un endroit où elle peut visiter des endroits pittoresques. Cette année, elle a choisit un endroit de repos soit en Alaska afin d’y pêcher le saumon et la tranquillité. Elles se feront en juillet. Elle partira le 10 juillet et reviendra vers le 10 Août. Elle aura 1 mois pour se préparer et de faire la location pour un chalet prêt d’une rivière à saumon à Anchorage en Alaska. Le mois de juin passa très rapidement.
Elle prit un avion Air Canada pour s’y rendre. Une fois sur les lieux, elle constatât la beauté du paysage. Elle se présenta pour récupérer une voiture et se rendit non loin d’Anchorage pour récupérer les clés du chalet. Elle y entra et défit ses bagages. Elle repartit pour le petit village non loin de sa résidence temporaire, pour y faire des achats. Une fois les achats faits, elle entra à son chalet. Elle se dévêtit et se fit un petit souper. Après celui-ci, elle alla prendre une douche et y fut surprise par une eau glacée. Tout bonnement son corps réagit à cette eau. Ses seins réagirent à l’eau qui coulait sur son corps. Elle n’avait jamais eu une réaction comme celle-là depuis des années tellement qu’elle avait oublié celui-ci. Cette grande dame de 6 pieds et 2 pouces s’étendit sur le divan et regarda les émissions de télé et alla se coucher tard en soirée. Après une bonne nuit de sommeil, elle se leva tôt et se prépara un déjeuner et partit pour la pêche.
Le soir venu elle décide de sortir et d’aller au village voir ce qui s’y passe. Une fois rendue, elle se dirigea vers un bar et y commanda un scotche qu’elle dégusta lentement. Quelques minutes plus tard arriva un homme qui voulait lui demander d’où elle venait elle lui répondit gentiment < du Canada> puis il prit siège près d’elle, elle lui dit :< allez vous en je ne veux rien savoir de vous.> L’homme ignora ce qu’elle venait de lui dire. Elle répéta à nouveau et ajouta : <si tu reste je vais me fâcher!> L’homme ne broncha pas. Marie se leva et voulu quitter. L’homme saisit Marie par le bras et celle-ci d’un mouvement rapide fit tomber l’homme tout en lui donnant un coup de point au visage ce qui brisa son nez et aussi l’os de la joue. Ses amis le ramassèrent et le conduire dans un hôpital de la région. Marie retourna chez elle.
Durant la nuit, l’on frappa à sa porte, Elle regarda par la fenêtre et y remarqua une dame policière. Elle ouvrit à celle-ci qui venait l’interroger pour l’incident du bar. Elle lui expliqua ce qui s’était passé. Ceci corroborait avec les versions des gens du Bar. Elle quitta les lieux pour se rendre au bureau et y rédiger son rapport.
Le lendemain matin, Marie continua à faire ses affaires pris une douche se vêtit et sorti pour courir et pour continuer à être en forme. Elle revint tout en sueur et prit une douche, elle relaxa quelques minutes et sortit pour aller taquiner le poisson. Elle commença et remarqua au loin il y avait une dame qui pêchait elle aussi. La dame s’approcha après quelques heures de pêche. Marie l’a reconnu. La dame policière qui aime la pêche, elle aussi. Elle se prénomme Maria. Maria est une dame au physique grassette et visage d’ange mesurant 6 pieds elle aussi.
Marie retourne à son chalet et y arrangea sa prise. Elle le mit au congélateur. Elle se dévêtit et mis un pantalon de circonstance. L’on frappa à la porte et elle regarda à la fenêtre et y remarqua la dame policière vêtu de son agréât de pêche. Elle lui ouvrit. Elle avait un visage rond et dit à Marie qu’aujourd’hui c’était sa journée de congé et qu’elle aimait bien la pêche pour la détente. Marie lui dit qu’elle était en vacance pour un mois dans la région Marie lui offrit un ver de scotch. Maria accepta et elles discutèrent de leur profession. Marie se sentait confortable avec Maria. Les questions fusaient de part et d’autre. Maria est une dame indienne de la nation des Abénaquis du Vermont qui demeure dans la région pour exercer sa profession.
Marie offrit le souper a son invité à condition qu’elle le prépare, Marie était vêtu d’un ensemble de jogging et Maria de son ensemble de pêche. Maria prépara le souper durant ce temps Marie regardait ses messages. Elle y remarqua un message de sa mère lui faisant par que son père avait eu un malaise et qu’il était pris en charge par son médecin mais qu’il ne fallait pas s’inquiéter. Il y avait des messages du bureau rien d’important. Maria s’était approchée d’elle. Maria prit la main de Marie et la dirigea vers la table. Elle tira la chaise et Marie s’y installa. Maria servit le plat principal avec un riz et un ver de caribou qu’elle avait apporté. Marie goutta pour la première fois au caribou qu’elle trouva délicieux.
Marie regarda Maria et trouva celle-ci délicieuse dans ses propos. Elle avait un beau sourire et de belles dents. Après de nombreuses discussions, elles se retirèrent de la table et passèrent au salon. Marie ouvrit le téléviseur et s’était l’heure des informations rien d’intéressant. Maria passa sa main dans les cheveux de Marie qui regarda celle-ci d’un air qui laisse présager un regard de feux. Maria dit à Marie :< tes cheveux sont lisses>, Marie remercia Maria. Elle regarda les yeux de celle-ci qui voulait tout dire. Maria se leva et alla à la toilette et revint quelque minutes plus tard. Elle s’approcha de la télé et mit un poste de musique pour détendre l’atmosphère. Elle s’approcha de Marie et lui prit la main et se mirent à danser. Une danse endiablée et réjouissante une musique entraînante. Après quelque pas de danse la musique changea de rythme, Maria approcha Marie près d’elle et celle-ci opposa une résistance. Maria fit sentir à Marie qu’elle était en sécurité avec elle. Marie le sentit très bien.
Maria se colla de plus près de Marie afin qu’elle sente bien sa présence. La tête de Maria se colla contre la joue de Marie. Maria retire son visage contre celui de Marie. Son regard signifie beaucoup dans les yeux de Marie qui sont lumineux, Les mains de Marie étreignent le corps de Maria. Marie qui a toujours été timide avec tout le monde, mais avec Maria s’est si facile. Son cerveau et en ébullition. Marie sent couler quelque chose dans sa petite culotte. Maria caresse le dos de Marie qui ne refuse pas ses caresses. Maria regarde Marie dans les yeux. Marie fait de même mais ceux-ci la supplie. Maria approche sa bouche à celle de Marie. Un léger souffle qui sort de la bouche de Marie. Maria approche son visage de plus près et le contact se fit que légèrement. Marie qui est une femme très mais très timide ne se comprend plus. Ces barrières sont entrain de tomber. Elle ne se comprend plus. Maria le sait bien.
Maria éloigne Marie pour lui indiquer qu’elle doit quitter pour son travail car elle travaille de nuit. Marie compris que le temps pressait pour Maria. Maria se rendit chez elle pris une bonne douche. Elle pensa à Marie et la désirait, mais il y avait un HIC. Elle avait comprise que Marie était une femme très timide mais très timide. Maria est sur et certaine que cette femme cache quelques choses mais elle est sur aussi quel est une femme sensuelle et aussi vicieuse. Elle doit aimer surement autre chose mais quoi se posa-t-elle comme interrogation.
Maria se vêtit de son équipement de policière et se rendit à son poste. Les jours suivant Maria pensa quelque fois à Marie qui est pour elle une énigme. Le samedi Maria décida d’aller à la pêche pour se reposer de sa semaine de travail. Elle apporte ses aigrets de pêche et différentes choses pour pratiquer différentes facettes de sa personnalité. Elle arrive à la rivière soit son endroit de prédilection. Elle regarde au loin si elle ne verrait pas Marie. Elle lance quelque mouches et rien ne mors à son hameçon. Cela fait 3 heures qu’elle lance et relance mais rien n’y fait pas de poisson. Elle regarde au loin et il y a une personne. Elle s’approche et elle la reconnait, c’est bien Marie. Marie très concentré ne remarque pas son approche. Marie relève sa tête et remarque la présence de Maria.
Marie se bat depuis une vingtaine de minute avec un saumon mais ne peut le retirer de l’eau. Marie demande son aide et Maria prit la relève. Elle réussi à le sortir de la rivière non sans difficulté. La prise pesait 15 livres. Marie remercia sa compagne de pêche par une accolade et repartir pour le chalet. Maria alla reprendre sa voiture et se rendit chez Marie. À son arrivée, Marie était à la préparation du poisson. Elles commencèrent la conversation et Maria commença par demander si elle avait de vieille canne car elle doit s’exercer pour un concours dans son tribut d’adoption. Marie lui en sortit une douzaine de vieille canne de conserves. Maria les installât sur des buches puis elle alla dans son véhicule et prit un fouet serpent de six pieds. Elle visait avec habileté chaque petite canne. Marie qui était à la préparation du saumon attendait chaque claquement de fouet. Elle se dirigea vers la porte et remarqua l’action de Maria. Elle retourna à son ouvrage et s’imaginait être nue et recevoir chaque coup. Elle senti ses seins qui pointaient. Elle se ressaisit et sur le fait Maria entra et remarqua que le fouet ne laissait pas indifférente Marie mais ne fit pas de remarque.
Maria s’approcha de Marie et lui dit : < tu as un beau petit cul!> Marie se retourne et administre une violente gifle à son invitée. Maria est surprise de sa réaction. Maria prend Marie par le bras et sort Marie et l’amène à l’extérieur du chalet. Marie se débat mais la force de Maria et son poids neutralise Marie. Maria assène un violent coup de poing dans les parties génitales, Marie s’effondre. Marie porte à ce moment là une chemise et un pantalon de jogging et des sandales. Maria va dans sa voiture et prend une corde et ficelle les mains de Marie. Elle lance la corde sur une grosse branche et celle-ci tire dessus et Marie est soulevée les bras tendus au maximum.
La chemise de Marie est salle et mouillée ce qui permet à sa compagne de remarquer que les seins pointent. Elle s’approche de sa compagne et veut la dominer. Elle retire du pantalon sa chemise et caresse son dos. Marie fortement cri mais sa compagne prend un mouchoir salle qu’elle insère dans sa bouche. Celui-ci a un gout de selle. Maria va prendre son fouet et s’installe non loin derrière Marie. Le premier coup atteint la chemise de Marie qui déchire sans toucher à son corps. Le deuxième aussi et ainsi de suite jusqu'à dix. La chemise n’est que landau. Elle s’approche et regarde Marie et déchire sa chemise d’un coup de main. Elle regarde Marie dans les yeux et ceux-ci l’implore. Maria lui dit :< C’est moi qui domine ici je suis ta dominante. Je vais te donner 3 coups de fouet je vais réveiller en toi touts tes sens de femme réelle.>
Elle s’installa à l’arrière et le premier coup atteint sa cible. La tête de Marie alla dans tout les sens et le deuxième fit beaucoup de dommage mais Marie ne broncha pas. Le troisième fut terrible et une déchirure apparut du milieu du nombril au dos en entier. Maria s’approcha de la fouettée et constate la réussite des coups soit des marques dans son dos. Maria détacha la fouettée et celle-ci s’effondra. Maria laissa Marie parterre et entra dans le chalet. Quelque minutes plu tard, Marie réussit à se relever et se rendit en titubant au chalet. Elle y entrât et Maria ne bronchât pas. Marie regarda Maria toute avachie et se retourna.
Maria s’approcha de la fouettée et la retourne vers elle. Maria d’un coup de main descend le pantalon. Marie regarde Maria dans les yeux. D’un autre coup de main elle déchire le slip de la fouettée. Marie ne bronche pas. Un regard de Maria se dirige vers le sexe de Marie qui est très poilu et Maria se lèche les lèvres. Marie approche son visage de Maria. Elle approche ses lèvres et embrasse affectueuse sa complice qui répond avec tendresse. Maria tend sa main et Marie la prend et se dirigèrent vers le lit. Les baisers fusèrent de toutes parts. Maria fut nue rapidement. Les caresses de sa complice la faisaient jouir. Maria transpirait beaucoup mais Marie aimait l’odeur de son corps. Maria qui avait déjà gouté a une relation avec une dame il y a bien des lunes était excitée par le corps de Marie.
Elle prit Marie dans ses bras et celle-ci aimait voir la réaction des seins de sa complice. Chaque fois que Marie suçait un sein Maria gémissait de plaisir. Elle tenta une expérience sur le corps de Marie. Elle ouvrit les cuisses de sa complice et y alla lui sucer le clito ce que jamais son mari lui avait fait. Les sens de Marie se mirent à fonctionner de tel sorte qu’elle jouissait énormément. Les deux corps étaient en sueur. Maria se leva et revint quelque second plus tard avec un Strap-on. Un sexe gros et long. Marie ouvrit ses cuisses au maximum, car elle était en confiance. Maria se mit sur le dos et Marie prit le sexe volumineux et l’introduit dans son intérieur. Maria poussa au plus profond et Marie fit des va et vient longtemps. Marie retira le strap-on d’elle et s’étendit à coter de Maria.
Quelque minutes plus tard, elle lécha le sexe de Marie et suça avec avidité le clito. Marie criait de plaisir. Maria qui avait toujours le strap-on prit sa complice et le retourna. Marie est à quatre pattes. Maria approcha le strap-on et cracha sur celui-ci pour qu’il lubrifie bien le sexe. Marie sait ce qu’elle va faire et accepte le fait qui deviendra réel. Tranquillement l’engin entre dans son rectum cela lui fait mal mais elle endure. Maria sait que cela ne fait pas de bien mais elle y va encor plus doucement. Elle sait que c’est sa première sodomisation. Marie a adoré être sodomiser. Après elles se reposèrent mais Marie caressait les fesses de sa compagne et Maria répondait par des gémissements de satisfaction. Elles se levèrent et se prirent par la taille pour se rendre dans la cuisine. Elles discutèrent du plaisir charnel qu’elles ont. Elles convenaient que le sexe et leur discussion étaient importants pour eux.
Marie et Maria mangèrent le repas lentement. Elles discutèrent de leur vie. Maria lui fit une confidence qu’elle avait déjà eu une relation il y a bien longtemps avec une dame, et que cela n’a pas duré. Marie avait déjà comprise qu’elle connaissait les points sensibles chez une femme. Maria lui fit un constat :< je crois Marie que tu aimes recevoir le fouet>. Marie pencha la tête et dit :< oui >. Elles allèrent se coucher vers minuit. Au réveil elles s’enlacèrent et Marie alla préparer le café. Maria aimait amener une femme au bout de ses actions. Elle posa différentes questions de tout genre pour voir sa perception de son intérieur.
Maria lui posa une question qui portait un sens pratique et lourde de conséquence. Maria fit un préambule et Marie porta une attention spéciale à sa demande dans le préambule. Elle répondit dans l’affirmation en autant qu’elle garderait le fait. Marie fixa une journée ou elle sera en congé. Les préparatifs allaient bon train, Marie savait à quoi s’attendre de l’individu. C’est un homme de 6pieds et six pouces. Il avait un rêve soit de faire l’amour avec une blanche. Il a 48 ans et bien bâtit et bien membré.
Un samedi matin il arriva avec Maria qui avait placé des caméras dans la chambre. Maria alla dans la chambre installée le rituel indien. Après l’installation, Marie arriva dans la chambre avec OKINAWA est sont nom. Marie et ok avait déjà commencé certain préliminaire. Elle s’était aperçue qu’il avait les mains rugueuses mais ce qui lui donnait un certain charme. Devant Maria ils s’embrassèrent tendrement. Ok commença à déboutonner le chemisier de Marie. Il découvrit deux seins plats. Marie lui enleva son pantalon et remarqua qu’il était déjà en érection. Elle lui enleva son slip et vue un énorme sexe et long. Il prit Marie dans ses bras et la déposa sur le lit. Il s’étendit à coté de Marie. Elle prit dans sa main le dit membre et le dirigea à sa bouche et le suça lentement. Ok jouissait et Marie continuait de plus belle. Maria voit à ce que tout fonctionne bien
Marie aimait se faire caresser par Ok qui lui est de toutes les attentions. Ok est un homme qui est timide car il a peur de poser des gestes qui déplaisent à sa partenaire. Marie le rassure en prenant son membre dans sa bouche et passant sa langue sur le gland très tranquillement afin qu’il ressent tout le feeling et les sensations que cela apporte. OK adore la façon dont Marie l’amène à l’extase. Marie continue son acharnement sur le sexe d’OK. Il prend Marie dans ses bras musclés et l’amène sur lui. Marie prend position afin de bien recevoir ce membre volumineux. Ok dirige lentement son sexe vers le vagin. Il y a tellement de liquide que le sexe de OK glisse lentement dans l’intérieur ce qui surprit OK. Marie le reçoit bien et commence les aller et retour. Marie aime le sexe et le découvre encor plus. Elle se retire de OK, non que cela lui fait mal mais pour faire découvrir son jus à OK. Il le boit et elle reprend le membre afin de déguster son jus qui coule sur le membre d’OK. Elle reprend le membre et le dirige à nouveau dans son intérieur qui est bien lubrifié. Cela dura un bon 3heures. À la fin, Marie reçu une éjaculation forte et chaude ce qui satisfait OK, et ce qui permit à Marie d’être une femme accomplit et pleinement satisfaite. Maria avait regardé la scène et décida d’aller se mettre la tête entre les cuisses de Marie afin de boire le nectar qui sortirait du vagin. OK toujours bien membré sorti du lit et enleva le pantalon de Maria et la pénétra. Maria n’opposa pas de résistance. Ok la pénétra sans difficulté et fit des va et viens et une autre fois il éjaculat dans l’intérieur de Maria qui continuait à boire le nectar. Maria écarta les jambes sur le visage de Marie afin qu’elle goute au nectar de OK. Ce qu’elle fit.
Maria .moi et Ok prirent un petit diner et Maria partit pour le travail de soir. Ok lui partit quelques minutes sans me coller contre le mur et me pénétrer à nouveau de façon délicate. Il me fit l’amour comme un dieu et remplit encore mon vagin de son liquide et il partit.
Il ne me reste qu’ une semaine avant mon départ pour ma région. Maria et moi avons passé nos soirées et nos nuits ensembles. Le jeudi elle prit congé. Elle arriva en milieu de matinée j’étais sous la douche quand elle fit son entrée. Je fus surprise de la voir là. Elle se leva et vint me rejoindre et m’embrassa avec passion. Je mis un pantalon de jogging et une chemise.. Je nous fis un café et nous le dégustâmes en faisant des projets. Je sortis pour étendre ma serviette de bain afin qu’elle sèche. Maria alla dans sa voiture prit un sac qu’elle déposa près de la roue arrière. Je descendis les escaliers et je m’approchai d’elle. Elle me demanda de tendre les bras et de fermer les yeux car elle avait quelque chose dans ses mains. Je fermai les yeux et elle mit les menottes. Elle prit une corde et avec un crochet et le lança pardessus une branche. Elle mit le crochet après le menotte et tira pour que mes bras soit bien tendus.
Elle alla dans sa voiture et sorti un fouet à 8 lanières, Elle arriva derrière moi et déchira ma chemise. Mon dos était ouvert. Elle prit une bouteille d’huile et m’en mit sur le dos et mes seins qui déjà pointaient. L’huile fait que le dos ne déchire pas mes les coups sont amplifiés, La douleur est très forte et insupportable. Elle commença et ne s’arrêta au 25 ième coups. Mon dos était rouge vif. Elle me détacha de l’arbre et je m’effondrai. Elle me laissa là afin que je reprenne mes sens. Je me relevai titubante et je me dirigeai vers le chalet. Elle me mit une crème afin d’atténuer la douleur. Nous passâmes la nuit ensemble une nuit que je n’oublierai pas se dit-elle,
Elle reprit l’avion et arriva chez elle le vendredi soir. Elle entra dans la maison vers les 23 heures. Il n’y avait un message sur la table d’entrée disant qu’ils seront de retour dimanche en soirée. Elle commença à placer ses choses quand une sonnerie se fit entendre. Elle se présente à la porte et il y avait 2 policiers en uniforme qui voulait lui parler. Ils lui annoncèrent la mauvaise nouvelle. Marie-Andrée s’effondra. Elle prit en charge le lendemain de faire l’inventaire et de contacter les personnes d’usage.
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Francine7