Isabelle et Judithe suite

- Par l'auteur HDS francine7 -
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Récit libertin : Isabelle et Judithe suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Isabelle et Judithe suite
Isabelle et Judithe

Judithe continue son travail de détective et moi en finance. Nous nous voyons régulièrement avec les enfants. Nos enfants vieillissent Mathieu commence sa 2ième année et Pierre fête son 2ième anniversaire et se sera la fête avec ses grands parents et Judithe et Mathieu.
La soirée se déroulera parfaitement. La nuit par contre fut très courte car moi et mon amoureuse avons faite causette sur nos vies et ce que nous attendions de notre relation actuelle et future.
Le Lundi matin je vais au travail et sur mon bureau il y a une grande enveloppe que j’ouvre rapidement. Il y a dans celle-ci un avis de convocation qui provient du bureau chef me convoquant a une réunion la semaine en 15 dans une hôtel pour différente conférence sur de nouveaux produits financiers. Je pris connaissance du dit document, Il me semblait conforme a ce que faisait notre institution. Je pris mes dispositions pour que Pierre soit bien pris en charge par sa nounou et mes parents durant mon absence.
En après midi la nounou de Pierre m’appela pour m’informer qu’elle était à l’hôpital et que celui-ci n’allait pas bien. Je quittai mon travail pour me rendre dans ledit endroit. Mes parents étaient là, la nounou. Je remarquai que mes parents avaient les larmes aux yeux ainsi que la nounou. Le médecin arriva quelques minutes plus tard. Il m’expliqua ce qui était arrivé à Pierre et que j’avais une décision à prendre pour son avenir. Son cœur avait cédé et que présentement il était sous respirateur et que son cerveau est atteint par manque d’air. Je me suis rendu à son chevet. Je fus confrontée à le voir inerte. Je dis au médecin combien a-t-il de chance de revenir comme avant. Il me dit< même pas une chance> me dit il alors je le débranchai après avoir signé un paquet de papier.
Je sortis de la chambre avec mes parents et la nounou. Je ne retournai pas au bureau avant 1 mois. Je fis incinérer Pierre et je les fis mettre dans une urne. Je les déposai dans un endroit où je m’y retrouverai un jour avec lui. Quelque jours plus tard je quittai ma maison pour un voyage et me remettre de mes émotions. J’avertis mes parents s’il le voulait bien de vérifier la maison une fois de temps en temps et ils acceptèrent. Je quittai et avertit mon patron que je ne serai pas de retour avant un mois suite au drame dans ma vie. Il comprenait et il me dit< Prenez le temps qu.il vous faut> ce que je fis.
Une fois rendue à destination j’envoyai un texto à ma mère. Un jour Judithe se présenta à ma résidence, car au moment du drame, elle était en mission. Elle y rencontra ma mère qui lui annonça ce qui était arrivé et que sa fille était partie en voyage et qu’elle ne savait pas ou elle était. Je visitai des musés et mangeai dans différents restaurants. Je sortais le jour mais le soir épuisé que je fus, je dormais. La première semaine passa rapidement et je reçu un texto de ma mère me spécifiant la rencontre avec Judithe et l’annonce du drame.
Le vendredi soir je sortis et je me retrouvai dans un bar. Je pris siège et une serveuse est venue me demander si je voulais une consommation. Je trouvai le bar un drôle d’endroit. Une dame s’approcha de moi et me demanda si j’étais seule. Je lui confirmai. Elle me confirma le genre d’endroit. Nous discutâmes de choses et d’autres. Elle m’invita à danser et nous dansâmes pendant une heure. Elle sentait bonne. Je lui demandai son âge elle me dit simplement< un certain âge pour jouir de la vie>. Elle alla au toilette et je sortis à l’extérieure pour prendre l’air. Ingrid est son nom demanda à la barmaid ou j’étais. Elle lui indiquât la sortie, Elle se précipitât à l’extérieur. Elle arriva et je lui dis que je retournais à mon hôtel.
Je me rendis à mon hôtel et je savais qu’elle me suivait. J’avais une bonne longueur d’avance. Je montai à ma chambre. Ingrid demanda au maitre d’hôtel quelle chambre que j’occupais. Je venais de me dévêtir quand l’on frappa à ma porte. Je revêtis une robe de chambre et j’allai ouvrir, Ingrid étais là devant moi. Je la fis entrer et nous avons jasé. Elle me fit une proposition de sorti pour le lendemain soir soit une soirée mondaine elle viendrait me chercher vers les 21hr30. Elle me dit de bien me vêtir et elle sera bien vêtu me dit-elle.
En Pm je sortis pour aller acheter une robe de soirée. Elle était noire avec un dos ouvert et une devanture ouverte qui montrait que très peu mes seins. Ingrid était satisfaite de ma tenue et je la regardai dans sa robe rouge écarlate. Je pouvais y dessiner ses hanches et le début de ses fesses, qui me semble bien ferme. Nous mimes nos masques et nous entrâmes mains dans la main. Le maitre et sa dame nous reçûmes. Ingrid me dit a l’oreille se sont des arabes. Je lui fis remarquer que je me doutais de leur origine. Ingrid me présenta à des amis. Ingrid vain me prendre pour me diriger ver la piste de danse. Nous dansâmes jusqu’au moment ou un jeune homme se présenta et me demanda si je voulais lui laisser la place pour danser avec Ingrid.
Je me retirai et la mère de celui-ci s’approcha de moi et me pris le coude pour me faire visiter les lieux de cette somptueuse demeure, Nous descendîmes les escaliers et elle me fait visiter les soubassements de l’édifice. Nous entrâmes dans un endroit ou il y avait une grande chambre et un grand lit. Elle me parla de son fils Ibrahim et que aujourd’hui s’était son anniversaire soit 18 ans qu’il a. Elle dit il est encore puceau et nous voulons lui offrir une femme, pas en mariage, vous me voyez venir me dit-elle! Oui je crois! Vous êtes partante me demande-elle. Je réfléchis et elle me montra les vêtements que je devrais porter lors de la cérémonie du dépucelage de son fils. J’acceptai. Nous remontâmes rejoindre Ingrid qui dansait toujours avec le jeune homme.
Il est rendu2h00 du matin et je descendis avec la Maman pour aller me changer. Je mis les vêtements d’usage. Je me présentai dans la chambre et je vis Ingrid qui était attachée à un poteau. Ibrahim tenait à la main un fouet. Son père vient me rejoindre dans le lit,. Il me caressa lentement pour bien me préparer à l’acte pour son fils. Il me demande à l’oreille si je voulais le sucer, Je lui fis signe que Oui. Je pris son gros membre et le sucé lentement, Il était énorme. Je le pris dans ma main et le dirigeai dans mon intérieur, Il fit beaucoup de va et vient j’avais de belles sensations. Il se retira de moi et éjacula abondamment sur moi.
Ibrahim avait donné 25 coups de fouet à Ingrid. Il s’approcha de moi et je le voyais qu’il était gêné. Je commençai par l’embrasser tendrement. Je lui glissai des petits mots doux. Il se détendait et son sexe grossit lentement. Je lui dictai quoi faire pour me faire jouir et il procéda. Je le sentais fébrile. Je le pris dans mes bras et nous nous embrassâmes tendrement. Je vis un sexe qui était appétissant. Je le suçai lentement et le jeune homme jouit. Je me couchai et j’ouvris mes cuisses la mon sexe était prêt a le recevoir. Il entra lentement dans ma caverne, Je lui dis à l’oreille quand tu voudras éjaculer fait le en moi. Le va et vient se fait lentement ma tête va de chaque coté car j’aimais son sexe. Il accéléra plus vite. Des coups de hanche me faisait le mordre l’épaule, Je lui tenais les fesses pour que son organe aille au plus profond. Lors d’un coup de hanche je sentis une chaleur en moi qui me fit crier de joie. Il resta en moi un cinq minutes et il se retira. Les gens autour du lit applaudir.
Ingrid reçu 5 coups supplémentaire du père pour sa coopération. Tout le monde quitte les lieux. Ibrahim détacha Ingrid qui s’affaisa. Je la relevai et nous assîmes sur le bord du lit. Nous discutâmes quelque peu. Je me revêtis et nous partîmes pour mon hôtel. Nous avons pris un bon bain et ensuite le dodo. A mon réveil Ingrid était partie. Je restai seule et je passai la journée à l’hôtel.
Comme il me reste une semaine avant de retrouver mon chez moi je décidai de faire les boutiques pour moi. J’achetai différent vêtement dans différentes boutiques. En milieu de pm je décidai de m’arrêter prendre un thé dans un resto. Je pris un thé et à un moment je reconnue la mère de Ibrahim. Elle s’arrêta et nous primes le thé ensemble. Elle me remercia pour ladite soirée. Nous parlâmes de nos vies. Je lui demandai son âge elle me dit j’ai 38 ans et je me suis marié j’avais 18 ans et mon mari en avait 42 un mariage arrangé. Nous avons immigré ici 2 ans après. J’ai eu Ibrahim a ce moment là. Maintenant il a 18 ans et mon mari 60 ans et il en est fier. Et vous madame me demanda-t-elle? Moi jamais marié mais en couple plus ou moins en ce moment et je viens de perdre mon fils. Nous parlâmes de d’autres choses. Quelque temps plus tard je décidai de quitter pour l’hôtel. Elle s’offrit pour me raccompagner . J’acceptai. Nous montâmes dans sa voiture une mercédes de l’année.
Nous entrâmes à l’hôtel avec mes achats je saluai le maitre d’hôtel et Magdaléna salua le maître d’hôtel. Nous prîmes l’ascenseur pour me rendre à ma chambre. J’ouvris la porte et nous entrâmes. Je déposai mes achats sur le lit. Elle prit un divan et moi l’autre. Elle me demanda de bien vouloir lui montrer mes achats. Ce que je fis. Je lui montrai mes achats dont une robe de nuit qu’elle trouvait belle. Je fus surprise de sa demande. J’exécutai et j’allai dans la salle de bain pour revêtir le vêtement. J’hésitai à enlever mes sous-vêtements. Je les enlevai et je revêtis mon achat. Je sortis de la salle de bain et je remarquai son regard.
Je m’approchai d’elle afin qu’elle me regarde de plus près. Vous êtes très belle me dit-elle. Je lui souris. Je lui propose de faire un essaie de L’autre. Je vois immédiatement sa gène. Je m’approche encore plus près d’elle pour que nos visage soit proche l’un de l’autre. Je lui souffle un petit vent à son visage. Elle me regarde avec délice je la sens me vouloir. Je me recule un peu Pour qu’elle me contemple. Elle me dit simplement < je n’ai jamais vu une femme nue proche comme ça> . Je lui dis simplement< vous n’avez jamais touché à une femme ou coucher avec une femme> Non jamais me répondit-elle. Et vous me demanda-t-elle. Moi j’ai une amante je lui dis.
Je vois qu’elle est très gênée. Je lui ordonne de se mettre nue devant moi. Je lui dis :< tu le fais ou tu sors d’ici>. Elle va dans la salle de bain et moi je mets les achats sur le divan et je m’étends sur le lit. Elle sort de la salle de bain et je vois pour son âge une belle femme. Je la complimente pour la beauté de son corps. Elle rougit. Je me lève et je vais la chercher et je l’amène dans le lit. Je vais dans ma valise et j’en sorts un fouet avec des plombs au bout de chaque lanières. Je lui fais signe de me rejoindre. Ce qu’elle fit. Je lui remets le fouet lui ordonne de me fouetter. Elle ne voulait pas. Elle me dit< pas ici>. Je lui demandai>ou> elle dit chez moi. Je lui souris. Ton mari va y être, je suis seule pour 4 jours et Ibrahim est au lycé jusqu'à vendredi. Nous ne serons pas dérangées. Je la revêtis lentement pour qu’elle comprenne que je la veux.
Nous dirigeâmes chez elle. Nous entrons. Elle me prend la main. Sa main est moite. Elle me montre sa chambre à coucher. Elle me dit viens avec moi. Nous descendons plusieurs escaliers et nous voilà dans le plus profond de son habitat. Elle ouvre une porte et elle me regarde. Elle se met nue devant moi et m’ordonne d’en faire autant. Me voila nue devant elle. Elle descend une corde avec des ganses. Elle m’attacha et souleva mes bras au maximum pour que mon dos soit bien exposé à recevoir le fouet.
Elle me montra le genre de fouets qui déchiraient le dos et faisaient souffrir. Par contre elle m’indiquait d’autres qui ne faisaient pas de marques mais qui faisaient mal et affaiblissaient la personne. Je lui dis de choisir ce qui lui convient le mieux pour elle. Elle prit la décision. Elle alla chercher un fouet qui ferait mal. Elle revient avec et le dépose sur une table qui était dans la pièce. Elle plaça un miroir devant moi et un derrière. Genre de miroir qui reflète l’un vers l’autre. Ce qui lui permettrait de voir mes réactions.
Elle est devant moi, elle s’approche et m’embrasse avec passion. Elle va en arrière et tape le fouet sur le sol plusieurs fois. Elle me donne le premier coup avec violence. Je crie de douleur. Elle continue pendant 30 minutes. Je faiblissais à chaque coup. Je m’évanouis. Elle me détachât et je tombai parterre. Elle quitta et est revenu me retrouver quelques temps après. Elle me prit dans ses bras et nous montâmes dans son intimité. Elle avait eu le temps de préparer un petit souper que nous avons dégusté. J’étais faible. J’enlevai un vêtement dont elle m’avait recouverte. J’étais nue devant elle. Elle est venue se coller contre moi et s’excusa pour le fouet et la violence avec lequel elle a procédée. Je lui dit :< J’aime être fouetté et souffrir et être affaibli. Chaque coups de fouet j’avais hâte au suivant, je te remercie pour la souffrance que tu m’as procuré>. Après avoir mangé nous nous sommes aimées. Je lui montrai comment me manger en lui montrant mon savoir faire. Elle dégusta le moment que nous avons passé ensemble. Le lendemain elle est venue me reconduire à mon hôtel.
Je rejoignis Judithe à son travail pour lui faire savoir que je rentrais chez moi vendredi en pm et que je voudrais la voir absolument à mon retour. Je pris l’avion et durant le voyage de retour, je repensai à tout ce qui s’était passé, la jouissance avec Ibrahim et la soirée avec Magdaléna et les souffrances qu’elle m’avait procurées.
Je débarquai de l’avion et me rendis prendre mes bagages. Je pris la direction du débarcadère et je vis Judithe qui était là à mon retour. Elle me regarda et me sourie à pleine bouche. Je m’approchai d’elle et nous nous embrassâmes avec fougue. Nous nous dirigeâmes vers sa voiture. Nous arrivâmes chez moi et nous y entrâmes. Nous nous étendîmes sur le grand divan et lui expliquai pourquoi je ne lui ai pas donné de nouvelles depuis un mois. Elle me mit un doigt sur la bouche ce qui signifiait qu’elle avait bien compris. Je l’ai prise dans mes bras et je lui demandai si elle avait des objections à venir vivre avec moi ici! Sa réponse fut très clair :< Je veux vivre avec toi le restant de mes jours>. Nous nous embrassâmes avec passion et nous nous dévêtir.
La nuit se passa en amoureuse, Je retrouvai toute sa splendeur et nous nous endormîmes au petit matin. Nous nous réveillâmes vers midi et nous allâmes prendre une bonne douche. Nous en ressortîmes quelques minutes plus tard et nous primes un petit déjeuner et partîmes pour aller chercher Mathieu. En voyant sa mère il lui sauta dans les bras et se rapprocha de moi et me donna un bisou. Elle me reconduit chez moi.
Quelques mois plus tard elle arriva chez moi avec Mathieu et celui-ci était tout émerveillé de voir touts les nouveaux aménagements à la résidence.

Judithe

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