Isabelle, femme fontaine

- Par l'auteur HDS Mirlaine -
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Isabelle, femme fontaine Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Isabelle, femme fontaine
Amis lecteurs cette histoire est vraie. La plupart des autres également.
Vous le savez donc déjà je suis amoureux des femmes qui portent des gilets ras du cou en angora ou en cachemire. Ne me demandez pas pourquoi c’est ainsi et je m’en porte très bien.

J’adore leur douceur, la sensualité qu’ils dégagent et la matière. A tel point qu’il m’arrive souvent d’en porter moi-même.

Voici donc mon histoire vraie.

Nous étions en 1999 et étant célibataire et âgé de 33 ans je m’étais inscrit sur meetic pour m’amuser un peu.
Je ne souhaitais pas vraiment faire de rencontres mais j’aimais discuter.
A cette période ce site était bien plus facile à appréhender et il était aisé de chatter tous les soirs avec de nouvelles personnes et de leur envoyer des messages.

J’étais inscrit depuis peu et je fis la connaissance d’une femme de 49 ans. Elle semblait intéressée par mon profil et nous avions échangé nos adresses mails.
J’adorai déjà écrire et je lui laissais plein de messages dans lesquels je lui exprimai mon fétichisme et la manière dont je comptais la recevoir si elle l’acceptait.

Ce site n’était pas censé être un site de cul comme on peux l’entendre mais un site de rencontres sérieuses.
J’avais passé un ou deux mois à séduire cette personne. Elle adhérait totalement à mon projet de rencontre.

Je ne me souviens absolument plus de son nom alors je la prénommerai Isabelle.

Après plusieurs messages tendres j’avais su la séduire par mes récits et nos discussions.

Elle résidait dans la banlieue de Rouen et nous avions décidé de nous voir un week-end.

Isabelle avait un enfant à charge et préférait se déplacer. Nous avions convenu d’un rv un samedi soir à la gare proche de chez moi et nous devions passer la nuit ensemble.

J’avais mis les petits plats dans les grands!

A l’heure exacte je l’attendais à la gare. Je laissai sortir le flot de voyageurs et l’aperçut qui attendait.

Je me suis approché d’elle et lui ai demandé timidement si elle était bien Isabelle.
Elle me répondit par l’affirmative. Je l’embrassai et lui demanda de me suivre.
Nous nous sommes dirigés vers ma voiture et nous sommes rendus chez moi.

Après nos nombreux échanges par mail nous savions tous les deux que cette rencontre n’avait aucun autre but que celui d’être sexuel. Je l’avais excitée avec mes récits et elle avait répondu favorablement à ma demande de rencontre, tentée par mon fétichisme des pulls doux.

Lors de notre trajet en voiture nous étions, surtout moi, un peu tendus. Il faut dire que l’on ne se connaissait pas.
Et ma timidité m’empêchait de décrocher un mot. Je n’étais plus dans le virtuel!

J’arrivai devant l’entrée, ouvrit le portail automatique et parcourrai l’allée avec mon véhicule.
J’ouvris la porte à Isabelle et pris sa valise.
J’avais laissé les lumières allumées et la table était déjà dressée.

Je débouchai une bouteille de Champagne et remplis deux verres afin que nous trinquions à notre rencontre.

Elle m’attendait patiemment dans le canapé. J’avais pris soin de déposer plusieurs cardigans en angora sur une table près de la cheminée.

Elle les avait remarqués immédiatement et me demanda si elle pouvait en choisir un car elle supposait que c’était pour elle. Elle avait parfaitement raison. Ils étaient là pour elle.
J’acquiesçai.


Elle ôta ses vêtements sans aucune pudeur et se mit nue devant moi. Elle n’avait que ses bas et son porte jarretelles.
Elle pris la décision de porter un cardigan de couleur rose foncé. Elle n’avait plus de soutien gorge et ses seins lourds me donnaient une érection.
J’étais assez stressé mais Isabelle faisait cela tout naturellement. Son sexe était rasé et luisant.

Elle était très jolie. Un beau visage, très souriant, une poitrine imposante qui tombait légèrement et des courbes magnifiques.
Une très belle femme de cinquante ans.
Elle déboutonna le gilet puis l’enfila. Je pouvais voir ses gros seins sous ce pull et me disait que nous allions passer un agréable moment.

Ses seins étaient d’une très belle taille et elle était terriblement désirable.
Je me dirigeai derrière elle et la pris par les hanches. Je pouvais la caresser, lui toucher le sexe et les seins, et elle se laissait faire sans souci.

Elle se retourna et me donna un baiser. Sa langue était douce et entreprenante. Pendant ce temps je m’étais permis de lui insérer deux doigts dans la chatte et elle était très très mouillée. Sa chatte humide était un appel à l’amour.
Tout son corps ondulait sous mes caresses et elle était très réceptive.
Cependant je n’avais pas remarqué qu’elle puisse mouiller autant.

Elle était chaude comme de la braise alors que mes mains venaient seulement de débuter à parcourir son corps.

Sa langue douce et chaude me procurait de tendres baisers et je ne pouvais m’empêcher de branler sa chatte et de palper ses gros seins au travers du cardigan. Mon membre était dur maintenant et je n’avais qu’une seule envie, la prendre.
Mais bien quelle semble très ouverte j’hésitais encore et ne voulais pas la brusquer.
Pourtant maintenant que j’y pense à nouveau je sais qu’il n’y avait aucun doute sur le fait qu’elle avait envie de faire l’amour.

Après cette séance de bisous et d’attouchements je me dirigeai vers la cuisine pour apporter les gâteaux apéritifs chauds.

Isabelle prit place en face de moi et nous fîmes plus ample connaissance.
Nous parlions de tout et de rien mais mes yeux n’en avaient que pour ses seins qui étaient superbes.

Nous avons dîné.

A la fin du repas je la caressai et elle aussi. Nous avions envie de faire l’amour.
Ce n’est que lorsque je me levai de la table que je me rendis compte qu’il y avait une flaque séchée juste à l’endroit où je l’avais masturbée une heure plus tôt.
Je n’y prêtai pas davantage attention.

Je lui pris la main et lui ai demandé de me suivre dans sa chambre. En effet nous avions décidé de faire chambre à part pour passer une bonne nuit. Mais cela ne voulait pas dire que nous n’allions pas faire l’amour.

Nous avions échangé de nombreux baisers et mon sexe était tendu à son maximum. J’avais très envie de son corps.

Une fois dans sa chambre elle me déshabilla tout doucement et ne me laissa conserver que mon boxer.
Elle approcha ses mains de ma queue et malaxa la bosse qui parcourait mon slip.
Ses mains douces et expertes firent glisser mon sous vêtement et mon sexe était maintenant dressé devant sa bouche.

Une de ses mains se saisit de mes testicules et l’autre dirigea mon gland vers sa bouche.
Je n’attendais qu’une seule chose. Qu’elle me suce! Mais elle s’attardait sur mes bourses et semblait y prendre un malin plaisir.

Finalement elle engloutit mon membre au plus profond de sa gorge et commença à me sucer.
Jamais personne ne m’avait procuré autant de plaisir.
Elle savait vraiment y faire et me gobait le gland comme une professionnelle.

J’avais un peu de mal à jouir malgré toute sa bonne volonté. Sans doute le champagne. Elle s’en rendit compte et m’inséra un doigt dans l’anus.
L’effet fut immédiat. Mon plaisir ne se fit pas attendre et je déversais tout mon sperme dans sa bouche.
Elle avala tout, releva la tête et me sourit.

- Alors qu’en penses-tu?
- C’était merveilleux, tu sais vraiment y faire avec les hommes.

Elle m’embrassa. Je sentais le gout de mon sperme dans sa bouche et trouvait cela bon et sensuel.
C’était maintenant à moi de lui donner du plaisir. Elle méritait et n’attendait que cela.

Je déboutonnai son cardigan et mes mains parcouraient tout son corps tandis que ma bouche lui léchait les oreilles, la nuque, les seins et le bas ventre. Je voulais la faire patienter.
Elle ouvrit largement ses jambes et dirigea ma tête vers son pubis.
J’attendais de lui bouffer le minou depuis le moment où je l’avais vue. Et elle était prête, très prête même dois-je dire.

Elle s’assit sur le bord du lit et je me mis à genou pour enfin prendre possession de son intimité avec ma langue.

Sa chatte rasée était désormais à hauteur de mes lèvres. Elle ouvrit grandement ses lèvres avec une main et dégagea son clitoris.
Je n’en fis qu’une bouchée. Elle était vraiment très excitée et ses mains me maintenaient le visage au plus près de sa vulve.
J’aspirai son clito et ne pouvait qu’adorer son minou si doux et mouillé.
Son corps se contracta très rapidement et je savais qu’elle allait jouir.
Je savais que dans ce cas il ne fallait pas que je me repose sur mes lauriers et je continuai donc à lui lécher son abricot quand d’un seul coup elle se mit à pousser des gémissements de plus en plus rapprochés et je sus qu’elle allait jouir. Ma langue s’inséra encore davantage dans sa chatte lorsque je reçus de longs jets sur le visage et dans la bouche.
Et ils ne s’arrêtaient pas! Isabelle jouissait comme une folle et me déversait toute l’envie de jouissance qu’elle avait accumulée en elle depuis notre rencontre.

Je dois vous avouer que je ne m’y attendait pas du tout! Mais je tentai d’en avaler le plus possible.
Les draps étaient trempés, mon visage aussi.
Isabelle avait les yeux mi clos et son visage dégageait une certaine sérénité et un un bien être indescriptibles.

Une fois ce déluge passé son corps se relâcha. J’avais en moi un terrible sentiment de fierté.
Ce n’était certes pas la première fois que je faisais jouir une femme avec ma langue mais je n’avais jamais vu cela auparavant.

J’étais devant une femme fontaine. Une vraie femme fontaine!
J’en avais entendu parler dans les livres mais sans y prêter une réelle attention.
Mais là je me rendis compte que c’était fabuleux. Un instant absolument magique.

Et d’ailleurs, depuis cette rencontre, ce souvenir restera à jamais gravé dans ma mémoire.


Isabelle était détendue et me souriait.
- Alors ça t’a plu? demanda-t-elle.
- Oui tu es extraordinaire. Vraiment. Je n’ai jamais connu un tel orgasme de la part d’une femme.
Allons boire un café.

Je descendis dans la cuisine et préparai deux nespresso.
Cette séance m’avait troublé et mon érection était à son comble.

Je restai dans la cuisine le temps que la machine chauffe.
J’entendis Isabelle descendre l’escalier mais elle resta dans le salon.

Je fis couler les cafés et les disposai sur un plateau puis me rendit dans le salon.

Isabelle en avait profité pour changer de pull et avait choisi de porter un cardigan en angora vintage de couleur bleu ciel en angora.

Elle était si jolie que je failli renverser le plateau!

Je déposai celui-ci sur la table.
Elle était debout et son sourire laissait apparaitre qu’elle était ravie.
Je m’approchai d’elle et l’enlaçai pour l’embrasser.

Notre baiser fut très long et intense.
Sa bouche se tourna vers mon oreille et me chuchota un : Merci chéri.

Nous prîmes notre café puis discutèrent un moment.
Je lui avouai que c’était la première fois que je faisais l’amour avec une femme fontaine et que j’avais été un peu déstabilisé au début. Mais aussi que c’était la plus belle chose qui me soit arrivée depuis bien longtemps.

- Je ne voulais pas te le dire Chéri, j’avais peur que tu n’aimes pas ça. Mais si ça t’a plu c’est génial.
- C’était assez inattendu mais j’ai bien cru que tu allais me faire jouir tant ton orgasme était intense. Je n’ai jamais vu ça. Et j’ai adoré!

Nous avons fini notre café et nous sommes dirigés en direction de la chambre.

J’étais nu et Isabelle ne portait que ses bas et porte jarretelles ainsi que son pull qu’elle avait pris soin de déboutonner.

Nous nous sommes embrassés pendant de longues minutes et je l’ai fait jouir à nouveau avec ma langue.
Puis n’en pouvant plus j’ai enfilé un préservatif pour lui prendre la chatte. Isabelle couinait et après quelques minutes me déversa encore de longs jets de cyprine sur le lit.
Je bandais toujours et décidai de lui prendre l’anus. Il me fut assez facile de le lubrifier tant ses sécrétions vaginales avaient été importantes.

Elle se mit à quatre pattes et cambra son corps au maximum. Après avoir introduit trois doigt dans son anus et l’avoir préparé je posai mon gland sur sa rosette.
Je poussai délicatement mais son anus s’ouvrit sans difficulté.
Elle marmonna des mots crus et voulait que je la prenne bien à fond comme une grosse salope.

Je lui labourai ce fourreau étroit tout en branlant son clito. Elle jouit plusieurs fois et arrosa encore les draps de son jus. Elle était quasiment en transe. Je déchargeai dans son anus tout mon foutre.

J’attendis quelques secondes et me retirai puis ôtais ma capote.

Son lit était vraiment trempé! Elle s’allongea sur le dos, je me postai sur elle et nous nous sommes embrassés pendant un long quart d’heure.

Je l’emmenai dans ma chambre, lui ouvrit ma couette, et elle se coucha pour que nous passions la nuit ensemble.


Je dormais profondément lorsque je me rendis compte que j’étais en train de me faire sucer.
J’ouvris les yeux. Isabelle s’activait sur mon gland. Elle avait les cheveux mouillés et sortait de la douche.
Elle portait un cardigan bleu marine en cachemire et rien d’autre.
Elle avait pris soin de le boutonner et je ne voyais pas ses magnifiques seins. Je déboutonnai les cinq premiers boutons de manière à libérer sa poitrine. Ses tétons étaient dressés. Je fus réveillé en quelques instants.

Je la laissai faire mais je ne voulais pas jouir immédiatement. Je le lui fis comprendre et elle s’allongea sur le dos.
Je me saisis de son sexe et ma langue débuta ses recherches. Son clito était déjà dur et découvert.
Je le léchai puis introduisis ma langue dans son sexe. Puis je me décidai à insérer trois doigts dans son sexe qui n’attendait que ça et la branlait avec précision et rapidité. Elle jouit très rapidement et inonda le lit de gros jets.

C’est alors que je lui demandai de se poster sur le dos. Je déposai ses jambes sur mes épaules et la pénétrai. Elle poussait de jolis cris et allait jouir. J’en voulait plus!
Je me retirai et l’enculai d’un seul coup. Elle ne résista pas et se branlait la chatte.
Plus je lui disais des mots crus et plus elle était excitée.
Finalement elle jouit à de nombreuses reprises et je finis par éjaculer dans son cul.

Puis nous avons refait l’amour toute la journée et je l’ai raccompagnée à la gare.

Nous devions nous revoir pour passer le nouvel an ensemble mais j’ai été contraint d’annuler.
Puis ensuite lorsque je l’ai contacté elle m’a dit qu’elle s’était calmée et qu’elle ne souhaitait plus sortir autant avec des inconnus.

Je la remerciai tout de même et lui dit que je ne l’oublierai jamais.

Depuis ce jour je rêve d’avoir une femme fontaine dans mon lit!
Celui qui n’y a jamais goûté ne peux se rendre compte à quel point il est fabuleux de donner du plaisir à ce type de femme.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je souscris complètement à l’érotisme des pulls angora, une douceur si rare et féminine qui n’intéresse pourtant quasi personne …

Histoire Erotique
C vrai cest totalement fantastique et inimaginable ce plaisir de voir une femme fontaine jouir intensse et completement dingue moi ca me rend fou... bravo j'adore ton recit

Histoire Erotique
C vrai cest totalement fantastique et inimaginable ce plaisir de voir une femme fontaine jouir intensse et completement dingue moi ca me rend fou... bravo j'adore ton recit



Texte coquin : Isabelle, femme fontaine
Histoire sexe : Une rose rouge
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