Jacqueline, Jenny et une inconnue
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jacqueline, Jenny et une inconnue
Résumé des épisodes précédents.
J’avais contacté Jacqueline ma tante, 65 ans, et mon oncle Paul pour leur louer leur villa en bord de mer située en Vendée.
Ils n’y étaient pas particulièrement favorables mais j’avais découvert qu’ils étaient libertins.
Tous les deux m’avaient invité chez eux pour que nous en discutions. J’étais arrivé un peu en avance et avait eu tout le loisir
de besogner ma tante. Le seul souci étant qu’elle était nymphomane et disait tout à mon oncle.
A la fin du repas Paul m’avait sodomisé.
Finalement j’avais pu, grâce à mon cul, occuper leur appartement gratuitement et venait d’arriver en Vendée ou seule
ma tante m’attendait. Nous avions fait l’amour ensemble, puis nous étions rendu sur une plage naturiste que Jacqueline connaissait.
Sur cette plage elle s’était fait prendre et moi aussi.
Mes vacances commençaient bien pour un début.
Pour nous calmer un peu j’avais demandé à Jacqueline, le lendemain, de nous rendre au casino pour jouer,
mais aussi faire de nouvelles rencontres et un pari.
A cette occasion, nous avions fait la connaissance de Jennyfer alias Jenny qui nous avait invité chez elle pour prendre un dernier verre.
Jenny était une jeune femme de 25 ans, issue d’une famille bourgeoise de Genève et était en vacances.
Elle appréciait, tout comme Jacqueline et moi, les gilets en angora ou en cachemire et en possédait une quantité impressionnante.
Nous allions bien nous amuser. Jenny nous avait invité pour finir la soirée chez elle.
Elle avait revêtu un gilet vintage en angora rouge sombre qui lui allait à merveille. De son côté Jacqueline avait opté pour le
même mais avait préféré un vert clair qui allait très bien avec son teint. Elles étaient toutes deux maintenant seulement vêtues de
leur pull si doux et de leurs bas et porte jarretelles. Autant vous dire qu’elles étaient à croquer!
Pour ma part aucun de ces vêtements n’étaient à ma taille. Jenny s’en aperçut et me demanda de patienter un instant.
Elle quitta la pièce quelques minutes et revint avec les bras chargés de trois cardigans vintage eux aussi et tout aussi doux.
Leur matière était faite d’angora et de laine et ils étaient identiques aux leurs.
Juste plus grands.
Elle les déposa sur le canapé et me demanda de faire mon choix. Il y en avait un bleu marine, un saumon et un gris foncé.
Je me décidai pour le saumon. Ce n’était certes pas la couleur la plus masculine qui soit mais c’était celle sur laquelle
s’était porté mon dévolu. De plus c’était le seul à comporter de jolis boutons perlés et je n’y étais pas insensible.
Je me levai pour l’essayer.
Il était parfaitement à ma taille et m’allait comme un gant. Je me décidai à le boutonner partiellement et demandai
à Jenny et Jacqueline ce qu’elles en pensaient.
- Tu es superbe Benoit. Ca te va très bien cette couleur. Et puis tant de douceur sur ta peau cela m’excite me dit Jenny.
- Oui tu es terriblement sexy ajouta ma tante Jacqueline.
- Nous étions certaines que tu allais choisir celui-ci! Nous en avions parlé au casino avec Jenny et je lui avais fait comprendre
que tu étais bi et fan des gilets comportant des perles commenta Jacqueline.
Je n’en pouvais plus. J’avais en face de moi ma maitresse qui de surcroit était ma tante ainsi qu’une inconnue rencontrée il y avait à peine quelques
heures et nous étions tous les trois nus et profitions des joies et de la sensualité de la laine avec chacun le même plaisir,
la même envie, et le même fantasme.
- Vous êtes superbes mesdames balbutiai-je. J’ai envie que vous vous fassiez l’amour. Si vous en ressentez l’envie.
Je n’avais pas terminé ma phrase que déjà Jenny s’était emparé de la bouche de Jacqueline et lui prodiguait un
tendre baiser. Seule une femme pouvait faire cela à une autre femme. Elles se caressaient ,se léchaient les seins,
les jambes, les oreilles. Elles ne faisaient plus qu’une.
Jacqueline avait maintenant les jambes largement ouvertes et n’attendait que de se faire triturer le clito par sa jeune
amante.
Jenny comprit immédiatement la situation et se glissa entre les jambes de ma tante pour se saisir de sa chatte
et la lécher avidement.
Elle lui aspirait le clitoris et en même temps introduisait un doigt dans son anus.
Jacqueline souleva son bas ventre comme pour mieux apprécier les caresses de Jenny et lui intimer de continuer ses caresses.
Jenny s’affairait sur sa fente et ne laissait aucune partie vierge de ses doigts ou de sa langue. Jacqueline approchait son sexe le plus possible de
notre nouvelle amie et finit par jouir dans la bouche de la jeune femme.
Les longs jets de cyprine ne découragèrent pas Jenny, bien au contraire. Elle tenta s’avaler au maximum les
sécrétions de Jacqueline et se délectait de son nectar. Jacqueline quant à elle avait joui énormément mais ne semblait
pas rassasiée.
- Merci, lui dit Jenny, j’adore les femmes fontaines comme toi. Tu es un amour.
Elle embrassa Jacqueline et lui caressa les seins à travers son gilet.
A ce moment je pense que j’aurai pu les laisser tous les deux la nuit entière. Elles étaient très complices et s’accordaient
parfaitement.
Patiemment j’avais assisté à cette scène et avait apprécié. Quel privilège de pouvoir voir deux femmes
faire l’amour ensemble!
Jacqueline demanda à Jenny de s’allonger sur le dos et lui déposa un coussin sous les reins.
Elle entreprit à son tour de lui rendre la pareille et sa langue s’introduit dans sa chatte toute mouillée.
Jenny se cambrait au maximum. Jacqueline avait pris soin de déboutonner son cardigan et jouait en même temps avec les tétons de Jenny.
Ceux-ci étaient durs et semblaient maintenant vouloir percer le pull tant elle était excitée. Ma tante glissa un doigt dans l’anus de sa partenaire
tout en poursuivant l’inspection de son vagin avec sa langue experte. Je n’aurai jamais imaginé qu’elle soit une aussi bonne suceuse de
chatte. Je la savais experte avec les hommes mais j’ignorai qu’elle possédait de vrais atouts pour donner du plaisir à une femme.
Jenny se tordait de bonheur et son orgasme ne se fit pas attendre. Il était impressionnant, son corps se cambrait dans tous les sens. Jacqueline avait toujours un doigt inséré dans l’anus
de Jenny et malgré les spasmes de sa partenaire elle ne semblait pas vouloir s’arrêter et son seul but était de voir jouir Jenny.
Celle ci n’en pouvant plus nous délivra un orgasme extraordinaire.
Ca continuait à me plaire mais pour le moment je me contentai d’assister à leur jeu. Je bandai mais attendais bien mieux.
- Vous êtes superbes mes Chéries leur dis-je.
Pour réponse elles s’embrassèrent. Jenny fourra ses doigts dans la chatte de Jacqueline et la masturba jusqu’à ce que celle
ci jouisse à nouveau très fort. Cette fois ci Jenny avait porté son visage juste à la bonne hauteur de la chatte de ma tante
et avait pu profiter de tout son jus.
Je pensai qu’il était temps que j’intervienne car je n’avais pour l’instant eu que le rôle de voyeur.
Je m’approchai des deux femmes et celles ci commencèrent à me caresser et m’embrasser. Je sentais la langue de Jenny puis celle
de Jacqueline au fond de ma bouche. C’était divin.
Jacqueline s’installa confortablement et ouvrit en grand ses jambes. Elle voulait que je la lèche.
J’entrouvris son cardigan, et m’emparai de ses seins, les malaxai. J’étais en amour devant ses seins.
Sa chatte s’ouvrait et me demandait de la lécher. Elle était trempée.
Pendant ce temps Jenny avait disparu.
Je m’attardai sur la chatte de Jacqueline et sur son clitoris. Elle jouit une fois encore et son sourire ravi me
laissait penser qu’elle passait une bonne soirée.
Inutile de vous dire que j’avais pris encore plusieurs giclées dans la bouche pour mon plus grand plaisir.
Ma tante était décidément multi orgasmique!
Mais je bandais toujours. Nos corps n’avaient pas bougé et j’étais toujours à quatre pattes devant ma tante et sa chatte trempée.
J’entendis juste un léger bruit. Je tournai la tête. Jennyfer venait de refaire son apparition. Elle portait un gode ceinture assez conséquent.
Il était bien noué à sa taille et je pensai qu’elle allait s’en servir avec Jacqueline.
Au lieu de cela, elle me fit signe de ne pas bouger. Elle releva mon cardigan doucement.
- Si tu as choisi ce cardigan saumon avec de très jolis boutons perlés, Benoit, c’est que tu dois aimer toi aussi te faire prendre?
- Oui tu as raison j’aime bien mais avec deux femmes comme vous je pense que pour ce soir deux chattes en chaleur seraient
davantage adaptées à mes envies.
- Ne dis pas cela je te sens déjà prêt. Si tu ne jouis pas tu pourras nous baiser toutes les deux.
Elle se plaça derrière moi. Elle avait pris soin de mettre un préservatif sur le gode et l’enduisit de gel.
Jenny avança ce membre en plastique jusqu’à ma rosette et força mon entrée.
J’étais à quatre pattes et me cambrai le plus que je pouvais. Au bout de quelques minutes elle finit par s’introduire
dans mon sphincter. Mes fesses me faisaient mal mais c’était bon. Il faut dire que j’avais pris l’habitude de me faire enculer
ces derniers jours et que j’y éprouvai du plaisir.
Elle me ramonait l’anus et ma tante, excitée par la situation, rapprochait son vagin de ma bouche pour que je la fasse jouir à nouveau.
Jennyfer accéléra la cadence puis cessa toute activité. Elle sortit délicatement de mon anus et se débarassa de son gode.
- Tu es un bon garçon. Ça m’a vraiment excité de t’enculer. Maintenant c’est à mon tour. Je veux que tu me prennes l’anus Benoit.
Ces paroles m’excitaient et j’avais terriblement envie de la sodomiser.
Je lui dis que j’allais mettre un préservatif.
- Non s’il te plait. Fais le naturellement je suis saine. J’ai trop envie de sentir ton sperme chaud entre mes fesses.
Elle se leva et revint avec une attestation médicale datant d’une quinzaine de jours.
- Je n’ai rien de tel lui répondis-je. Je suis sain mais tu n’es pas forcée de me croire.
- Je te crois. Encules-moi stp.
Jacqueline n’avait pas bougée et se branlait comme toute nympho qui se respecte.
La tête de Jenny vint rejoindre la chatte de Jacqueline. Jenny se cambra.
J’avais devant mes yeux un spectacle fabuleux.
Jenny avait relevé son gilet rouge sombre et son corps se cambrait au maximum. Je pouvais distinguer son
joli petit trou qui était déjà ouvert. Ma tante l’avait lubrifié comme il fallait.
Je me plaçai derriere Jennyfer. Son cardigan déboutonné dont les pans, de chaque côté de son frêle corps, pendaient inexorablement, me
faisait encore plus bander. Je n’avais désormais qu’une seule envie. L’enculer.
Visiblement elle voulait que je jouisse en elle et j’étais prêt à le faire. J’en mourrais d’envie.
Je posai mon gland sur sa rosette. Je sentis qu’elle poussait comme pour me signifier
qu’elle était prête à m’accueillir.
D’un grand coup je pénétrai entre ses reins. Mon sexe était entré tout seul et mes couilles touchaient ses fesses désormais.
Elle gémit. Non pas de douleur mais de bonheur.
Je ne bougeais pas puis entamai des allers- retours assez lents puis plus rapides.
Je saisis ses seins avec mes mains. Bien fermement. Ils étaient fermes et gros. Je les caressai et pincait ses tétons.
Jenny n’en pouvait plus. Je pénétrai bien à fond dans son anus et éjaculai de longs jets de sperme chaud.
Elle jouissait maintenant et se branlait la chatte.
Elle poussa un peu et mon sperme sortit de son anus. Elle s’en enduisit les doigts et se les fourra dans la bouche
pour tout avaler.
Pendant ce temps Jacqueline qui avait assisté à la scène avait une nouvelle fois joui sous les coups de langues
de sa partenaire d’un soir.
Nous étions tous un peu crevés. Jacqueline décida qu’il était grand temps de nous éclipser et de laisser notre
nouvelle compagne dormir un peu.
Nous allions prendre congé et nous apprêtions à nous déshabiller pour lui rendre ses pulls si doux.
Mais avec un malin sourire elle nous pria de les conserver et de les porter au casino le lendemain.
Elle embrassa Jacqueline et me roula une pelle.
Elle avait insisté pour que nous rentrions ainsi.
Jacqueline reprit sa robe pull en cachemire et j’en fis de même avec mes affaires.
Une fois dans la voiture je me retrouvai avec ma tante uniquement vêtue de son cardigan vert clair en angora
et de ses bas et porte jarretelles. Je n’avais que pour seul vêtement un cardigan saumon avec des boutons
perlés.
Pourvu que la police ne nous arrête pas!
Le trajet n’était pas très long.
Arrivés chez nous ma tante se jeta sur moi et me procura une pipe d’enfer.
Puis nous fimes l’amour pendant une heure.
Ce n’est que le lendemain vers dix heures en voyant nos tenues que nous nous rendîmes
compte que nous avions rendez vous avec Jennyfer.
Et cette journée allait être mémorable.
Nous venions donc de nous lever. Nous avions fait l’amour et nous étions réveillés vêtus chacun d’un
cardigan en angora ce qui nous rappela la soirée fabuleuse que nous avions passé la veille.
Nous avons pris une douche chacun de notre côté et un copieux petit déjeuner nous attendait. La journée allait être longue.
Et si elle s’avérait aussi inattendue que la précédente alors nous allions vivre encore une journée emplie de sexe
et de caresses.
Une fois le petit déjeuner avalé, je demandai à Jacqueline ce que nous allions faire aujourd’hui.
Elle me dit que ce serait une surprise et que je ne devais pas oublier que nous avions rendez vous avec Jenny au casino
à 16H00.
Je me couchai à nouveau pour dormir une heure. Je fut réveillé par Jacqueline qui s’amusait à me sucer le sexe.
Elle avait pris soin de porter son cardigan vert pale et sa langue s’activait sur mon membre tendu.
Je lui demandai de stopper. Je voulais être en forme pour notre soirée.
Il était maintenant midi. Jacqueline me proposa d’aller à la plage naturiste histoire de bronzer un peu
et j’allais enfin pouvoir me reposer après mes fantaisies de la veille.
Nous avons pris sa voiture et nous sommes rendus sur cette plage qui désormais m’était familière.
Sur place ma tante choisit un coin tranquille dans les dunes et installa les serviettes.
Elle enleva ses vêtements un à un et sorti de son sac son cardigan vert pâle de la veille. Elle l’enfila puis se mit de la
crème anti uv sur les jambes et le visage.
De mon côté je me déshabillai et m’installai sur ma serviette.
Jacqueline me tendit mon gilet saumon afin que je le porte.
- Mais pourquoi lui demandai-je?
- Nous l’avons promis à Jenny, Chéri. Cette journée lui est dédiée.
Je l’enfilai puis me mis sur le ventre pour bronzer un peu.
Rien que de penser que ma tante et moi même portions chacun un gilet en angora féminin m’excitait
mais je ne voulais pas le montrer.
Je m’approchai de ma tante et me serrai contre son corps chaud.
Je la caressai au travers de son pull et mon sexe était tout contre sa chatte humide.
J’avais très envie d’elle mais je me disais aussi qu’il fallait que je me retienne pour assurer et profiter
de la soirée avec notre nouvelle amie.
Nous étions là tous les deux, à nous caresser et nous embrasser amoureusement lorsqu’un homme fit son
apparition.
Il avait fait un peu de bruit en marchant sur les différents arbustes séchés par le soleil.
- Mmm vous avez de très beaux culs tous les deux!
Je relevai la tête et lui demandai de s’éloigner.
- Non je vais rester là mes chéris. Vous m’excitez tous les deux avec votre pull!
Jacqueline me donna un baiser et me fit comprendre que cet inconnu lui plaisait.
Elle lui fit signe d’approcher.
Il avait une cinquantaine d’années, une légère barbe de trois jours, et un corps sculpté comme un culturiste.
Il était totalement nu et la taille de sa verge témoignait qu’il était déjà excité.
Ma tante se tourna sur le dos et ouvrit son cardigan pour dévoiler ses seins. Une de ses mains caressait son entrejambe.
Elle était déjà toute mouillée.
J’avais également modifié ma position et était maintenant sur le dos. Mais la vue de ce sexe me fit bander immédiatement.
- Tu peux me prendre maintenant si tu veux, j’ai terriblement envie de ta belle queue lui dit Jacqueline.
- Non je voudrais prendre le petit trou de ton copain. Nous sommes sur une plage gay et il m’excite trop avec son gilet. Je suis certain qu’il n’attend
que cela.
Je n’en croyais pas mes oreilles!
- En revanche si tu veux tu peux lui lécher le trou du cul pour le préparer car il serait plus approprié que son anus soit bien ouvert dit-il.
Jacqueline me demanda de me mettre à quatre pattes et commença à me branler l’anus. Sa langue sur ma rosette était
d’une douceur infime et elle savait vraiment y faire pour me dilater l’anus.
Pendant ce temps l’inconnu avait pris place devant moi et présentait son sexe tendu vers ma bouche.
Je n’avais pas envie de le sucer. Je savais que ma soirée allait être prise avec Jennyfer et n’avait aucune envie
d’avoir une relation sexuelle dans la journée. Et surtout je ne voulais pas jouir.
Il insista et déposa son gland sur mes lèvres fermées. Mais celles ci s’ouvrirent tant son insistance était déterminée et je ne pus
que me résoudre à sucer sa large bite. J’ouvris légèrement la bouche et ma langue s’attarda sur son gland circoncis.
Jacqueline continuai à m’ouvrir l’anus et je finis par engoufrer cette belle queue dans ma bouche.
Elle allait et venait sans se soucier de mes pensées. J’étais son jouet.
Il me baisait la bouche comme une chatte ou un cul et adorait ça.
Je m’apprêtais à recevoir son sperme en bouche mais il se dégagea et pris place derrière moi.
Il demanda à ma tante de s’éclipser et approcha son sexe de ma rosette.
Mon cul était maintenant largement ouvert. Il m’encula sans prendre la peine de faire attention.
Son pénis entra dans mes entrailles d’un seul coup et je ressentis une douleur extrême.
Il s’en moquait totalement et me lima comme une grosse pute.
D’ailleurs il accompagnait chacun de ses mouvements de mots crus. Mon cul me faisait très mal.
Je ne bandais plus mais j’étais aux anges. Alors qu’il me ramonait depuis une dizaine de minutes je
sentis que son sexe se durcissait davantage et il jouit dans mon anus abondamment.
J’étais épuisé. Il se retira, m’embrassa et me dit qu’il était là tous les jours.
Il disparut comme il était arrivé.
Je n’avais pas joui. Jacqueline non plus. Mais elle souriait.
- J’étais certaine que ton cardigan saumon avec ses boutons perlés auraient de l’effet sur
ces petits pédés!
- Merci Chérie, mais je ne sens plus mon anus.
- Je te soignerai n’aies crainte!
Elle s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement.
- Nous devrions rentrer, Jenny va nous attendre Chéri me dit-elle.
- Oui Bébé je pense que ce sera mieux. Cet endroit est sympa mais un peu trop dangereux pour moi! Je riai.
Nous avons replié nos serviettes et sommes rentrés à la maison.
Il était 15H30.
Je décidai de prendre une douche car j’en avais vraiment besoin.
Je mis un jean, une chemise et des souliers en cuir.
Jacqueline m’attendait. Elle portait son cardigan angora vert pâle et une jupe très courte.
Elle avait aussi pris soin de porter des chaussures à talons très hauts qui mettaient en valeur
ses chevilles d’une manière extraordinaire. Ses jambes étaient ornées de bas blancs, ce qui n’était pas
pour me déplaire.
- Nous y allons lui dis-je. Nous allons être en retard.
Elle s’approcha de moi et me demanda à l’oreille si je n’avais pas oublié quelque chose.
- Non je ne pense pas.
- Tu dois mettre ton gilet saumon avec ses boutons en perles sinon Jenny ne sera pas contente.
- Tu n’y penses pas, je ne vais pas mettre ce type de cardigan en public?
- Tu lui as promis, rappelles-toi. Si elle ne te voit pas ainsi nous pourrions faire une croix sur
sa collaboration.
Je me saisis du cardigan de Jenny et l’enfilai rapidement mais à contre coeur. Je me sentais mal. J’avais l’habitude de porter ce
type de gilet en privé mais jamais en public et je redoutais la réaction de mon entourage et des clients du casino.
Néanmoins je m’éxécutai après avoir pris soin d’enlever mon tee shirt.
Cette fois ci nous primes la voiture de Jacqueline, une Mercedes, et nous sommes dirigés vers le casino.
Jacqueline conduisait. Elle était très sexy avec son cardigan et ses seins libres de tout sous vêtement
me donnaient des idées.
Pour ma part je me sentais plutôt ridicule avec mon gilet saumon dont j’avais pris soin, comme me l’avait recommandé Jenny,
de boutonner jusqu’au cou.
Nous sommes arrivés juste à l’heure au casino.
Le voiturier nous demanda nos clés.
Après les dernières vérifications de la part du personnel nous pouvions pénétrer dans la salle des machines à sous.
Jacqueline me tenait la main. Elle était chaque jour plus amoureuse de moi. Et chaque nouvelle expérience sexuelle
semblait accentuer son attirance envers moi.
Une fois entrés elle me tendit deux billets de 100 euros.
- C’est mon tour cette fois! me dit-elle.
- Il y a toujours un pari en jeu?
- Oui celui qui perds aura un gage me dit elle en souriant. Elle était assez sûre d’elle. Cela ne fit que conforter mon sentiment
que j’allais la battre et pouvoir lui infliger mon gage favori.
- Mais où est Jenny? lui demandai-je
- Elle ne devrait pas tarder. A moins qu’elle ne nous ait posé un lapin.
Nous nous sommes dirigés tous les deux vers les distributeurs automatiques de jetons
et avons rempli nos gobelets de 200 euros convertis en jetons.
Mais Jenny était toujours absente.
Nous nous sommes séparés et avons décidé de jouer chacun de notre côté.
Je possédai 200 euros et n’étais pas décidé à les perdre!
Je connaissais une machine qui habituellement « donnait » un peu.
Je m’y installai et commençai à jouer.
Les pièces défilaient et au bout d’un certain temps j’eu le loisir de décrocher le jackpot qui s’élevait
à 1400 euros.
Je dus attendre la venue des employés du casino car la machine ne possédait pas cette somme.
Ils me fournirent un bon de 1000 euros ainsi que 400 jetons de un euro.
Mon gain, comme d’habitude, avait attiré certaines habituées du casino. Il faut dire que la plupart du temps
les femmes sont plus joueuses que les hommes mais aussi plus âgées dans ce genre de lieu.
Une femme d’une cinquantaine d’années, peut être un peu moins, pris place à mes côtés.
Je continuais à jouer sans y prêter attention. Bien décidé à augmenter mes gains.
C’est alors qu’elle fit sonner la cloche ce qui signifiait qu’elle avait gagné le jackpot.
Je me retournai vers elle et la félicitai comme il est de mise dans les casinos.
Elle était très belle. C’était une personne BCBG et était habillée en conséquence. Elle portait un corsage transparent,
une jupe assez courte, des talons hauts, un collier de perles, et plein de bijoux luxueux. Elle était très sexy
mais absolument pas vulgaire.
Avec mon gilet saumon et mon jean j’avais vraiment l’impression de ne pas faire partie de son monde.
Je continuais à jouer alors qu’elle attendait le responsable pour pouvoir toucher son gain.
Le responsable du casino semblait prendre son temps et ma collègue semblait s’impatienter.
Elle se décida à me parler.
- Vous gagnez?
- Oui un peu mais j’ai à nouveau presque tout perdu. Il ne me reste que 200 euros. Et c’est bien dommage car j’ai parié avec ma
compagne que j’allais la battre à plates coutures et là je suis mal parti!
- Qu’avez vous parié, si ce n’est pas indiscret?
- C’est assez personnel. Nous avons parié que celui qui gagnerait aurait un gâge sexuel. Et je pense être en train de perdre.
- Ah je comprend. Et est il normal que vous portiez un gilet féminin? Cela a tout de suite attiré mon attention et, en réalité,
c’est la raison pour laquelle je me suis placée à vos côtés.
- Cela fait parti de notre deal car nous avons fait connaissance hier d’une jeune femme qui aime les gilets féminins et comme j’ai perdu
je dois en porter un aujourd’hui mais je suis assez honteux.
- Vous ne devriez pas, cela vous va très bien.
A cet instant je devais être rouge de honte.
Le responsable du casino vint interrompre notre conversation. Il revint avec un bon de 6000 euros et félicita cette dame.
Nous avons continué à jouer et mon solde était presque à zéro.
Elle posa sa main sur ma cuisse et me regarda droit dans les yeux.
- Prends tes gains et suis moi!
Je ne savais que penser. Elle se leva de son siège promptement et se dirigea vers les toilettes.
Autant j’avais eu du mal à trouver les toilettes la veille, autant aujourd’hui je connaissais leur position.
J’ignorais où se trouvait Jacqueline et n’avais pas encore vu Jenny.
Je pris mon ticket de gain et suivit ma compagne d’un jour.
Elle était entrée dans les toilettes et je pris quelques minutes pour la rejoindre.
J’entrai. Elle m’attendait et son corsage était entrouvert. Elle avait ôté son soutien gorge.
Elle bloqua la porte et me poussa contre sa cloison.
Sa langue se posa sur ma bouche et en força le passage.
Elle me donna un splendide baiser.
Elle enleva son corsage et me demanda d’en faire de même avec mon pull.
Elle s’en empara et à peine l’avais je enlevé qu’elle l’enfila.
Il lui allait très bien.
- Puisque tu aimes les gilets féminins vas-y fais de moi ce que tu aimes. J’adore faire l’amour
et je veux que tu prennes ton pied.
De telles paroles dans la bouche de cette femme me paraissaient déplacées.
Elle était devant moi, portant mon gilet en angora, et écartait ses cuisses au maximum.
Son sexe était largement ouvert et suintait tel un fruit top mur.
Je ne savais que faire. Elle enleva ma ceinture et mon pantalon et les fit glisser au sol.
Elle en fit de même avec mon slip.
Mon sexe était bandé. Elle s’en empara et me procura une fellation telle que je ne l’aurai jamais espérée.
J’allais jouir mais elle s’en rendit compte. Elle se retourrna et me présenta ses fesses.
Je présentai ma queue devant sa chatte mais elle me demanda de l’enculer.
- Je ne voudrais pas que tu trompes ta femme! Encules-moi bien à fond ce n’en sera que meilleur!
Je ne pris pas la peine de lubrifier son anus et posai mon sexe devant sa rosette. Je m’y introduisis d’une poussée.
Elle ne gémit même pas et attendit que je rentre bien profondément en elle.
Je la tenais par les hanches, son gilet allait au rythme de mes mouvements saccadés et je jouis dans son cul
sans retenue. De son côté elle ne cessait de hâleter et de me remercier.
Je me retirai doucement pour ne pas lui faire de mal.
Elle me rendit mon pull et remit son corsage. Elle sortit des toilettes. J’étais vidé.
Cette situation avait été si rapide et inattendue que j’avais du mal à y croire.
Je me rajustai, remis mon gilet et me décidai enfin à retourner dans la salle de jeux.
Ma compagne du jour n’était plus là. Elle avait disparu.
Je m’installai à nouveau à ma machine lorsqu’une personne du casino me tapa sur l’épaule.
Je me retournai, sur mes gardes. Il venait juste me remettre un gobelet comportant 3000 euros de
la part de la personne que je venais d’honorer.
Visiblement c’était mon jour!
Il me glissa également une carte de visite du casino.
Au dos de celle-ci était inscrit un numéro de téléphone portable ainsi que ces mots.
« A demain Chéri, à 12H00.
De la part de Chantal, bisous. »
A suivre….
J’avais contacté Jacqueline ma tante, 65 ans, et mon oncle Paul pour leur louer leur villa en bord de mer située en Vendée.
Ils n’y étaient pas particulièrement favorables mais j’avais découvert qu’ils étaient libertins.
Tous les deux m’avaient invité chez eux pour que nous en discutions. J’étais arrivé un peu en avance et avait eu tout le loisir
de besogner ma tante. Le seul souci étant qu’elle était nymphomane et disait tout à mon oncle.
A la fin du repas Paul m’avait sodomisé.
Finalement j’avais pu, grâce à mon cul, occuper leur appartement gratuitement et venait d’arriver en Vendée ou seule
ma tante m’attendait. Nous avions fait l’amour ensemble, puis nous étions rendu sur une plage naturiste que Jacqueline connaissait.
Sur cette plage elle s’était fait prendre et moi aussi.
Mes vacances commençaient bien pour un début.
Pour nous calmer un peu j’avais demandé à Jacqueline, le lendemain, de nous rendre au casino pour jouer,
mais aussi faire de nouvelles rencontres et un pari.
A cette occasion, nous avions fait la connaissance de Jennyfer alias Jenny qui nous avait invité chez elle pour prendre un dernier verre.
Jenny était une jeune femme de 25 ans, issue d’une famille bourgeoise de Genève et était en vacances.
Elle appréciait, tout comme Jacqueline et moi, les gilets en angora ou en cachemire et en possédait une quantité impressionnante.
Nous allions bien nous amuser. Jenny nous avait invité pour finir la soirée chez elle.
Elle avait revêtu un gilet vintage en angora rouge sombre qui lui allait à merveille. De son côté Jacqueline avait opté pour le
même mais avait préféré un vert clair qui allait très bien avec son teint. Elles étaient toutes deux maintenant seulement vêtues de
leur pull si doux et de leurs bas et porte jarretelles. Autant vous dire qu’elles étaient à croquer!
Pour ma part aucun de ces vêtements n’étaient à ma taille. Jenny s’en aperçut et me demanda de patienter un instant.
Elle quitta la pièce quelques minutes et revint avec les bras chargés de trois cardigans vintage eux aussi et tout aussi doux.
Leur matière était faite d’angora et de laine et ils étaient identiques aux leurs.
Juste plus grands.
Elle les déposa sur le canapé et me demanda de faire mon choix. Il y en avait un bleu marine, un saumon et un gris foncé.
Je me décidai pour le saumon. Ce n’était certes pas la couleur la plus masculine qui soit mais c’était celle sur laquelle
s’était porté mon dévolu. De plus c’était le seul à comporter de jolis boutons perlés et je n’y étais pas insensible.
Je me levai pour l’essayer.
Il était parfaitement à ma taille et m’allait comme un gant. Je me décidai à le boutonner partiellement et demandai
à Jenny et Jacqueline ce qu’elles en pensaient.
- Tu es superbe Benoit. Ca te va très bien cette couleur. Et puis tant de douceur sur ta peau cela m’excite me dit Jenny.
- Oui tu es terriblement sexy ajouta ma tante Jacqueline.
- Nous étions certaines que tu allais choisir celui-ci! Nous en avions parlé au casino avec Jenny et je lui avais fait comprendre
que tu étais bi et fan des gilets comportant des perles commenta Jacqueline.
Je n’en pouvais plus. J’avais en face de moi ma maitresse qui de surcroit était ma tante ainsi qu’une inconnue rencontrée il y avait à peine quelques
heures et nous étions tous les trois nus et profitions des joies et de la sensualité de la laine avec chacun le même plaisir,
la même envie, et le même fantasme.
- Vous êtes superbes mesdames balbutiai-je. J’ai envie que vous vous fassiez l’amour. Si vous en ressentez l’envie.
Je n’avais pas terminé ma phrase que déjà Jenny s’était emparé de la bouche de Jacqueline et lui prodiguait un
tendre baiser. Seule une femme pouvait faire cela à une autre femme. Elles se caressaient ,se léchaient les seins,
les jambes, les oreilles. Elles ne faisaient plus qu’une.
Jacqueline avait maintenant les jambes largement ouvertes et n’attendait que de se faire triturer le clito par sa jeune
amante.
Jenny comprit immédiatement la situation et se glissa entre les jambes de ma tante pour se saisir de sa chatte
et la lécher avidement.
Elle lui aspirait le clitoris et en même temps introduisait un doigt dans son anus.
Jacqueline souleva son bas ventre comme pour mieux apprécier les caresses de Jenny et lui intimer de continuer ses caresses.
Jenny s’affairait sur sa fente et ne laissait aucune partie vierge de ses doigts ou de sa langue. Jacqueline approchait son sexe le plus possible de
notre nouvelle amie et finit par jouir dans la bouche de la jeune femme.
Les longs jets de cyprine ne découragèrent pas Jenny, bien au contraire. Elle tenta s’avaler au maximum les
sécrétions de Jacqueline et se délectait de son nectar. Jacqueline quant à elle avait joui énormément mais ne semblait
pas rassasiée.
- Merci, lui dit Jenny, j’adore les femmes fontaines comme toi. Tu es un amour.
Elle embrassa Jacqueline et lui caressa les seins à travers son gilet.
A ce moment je pense que j’aurai pu les laisser tous les deux la nuit entière. Elles étaient très complices et s’accordaient
parfaitement.
Patiemment j’avais assisté à cette scène et avait apprécié. Quel privilège de pouvoir voir deux femmes
faire l’amour ensemble!
Jacqueline demanda à Jenny de s’allonger sur le dos et lui déposa un coussin sous les reins.
Elle entreprit à son tour de lui rendre la pareille et sa langue s’introduit dans sa chatte toute mouillée.
Jenny se cambrait au maximum. Jacqueline avait pris soin de déboutonner son cardigan et jouait en même temps avec les tétons de Jenny.
Ceux-ci étaient durs et semblaient maintenant vouloir percer le pull tant elle était excitée. Ma tante glissa un doigt dans l’anus de sa partenaire
tout en poursuivant l’inspection de son vagin avec sa langue experte. Je n’aurai jamais imaginé qu’elle soit une aussi bonne suceuse de
chatte. Je la savais experte avec les hommes mais j’ignorai qu’elle possédait de vrais atouts pour donner du plaisir à une femme.
Jenny se tordait de bonheur et son orgasme ne se fit pas attendre. Il était impressionnant, son corps se cambrait dans tous les sens. Jacqueline avait toujours un doigt inséré dans l’anus
de Jenny et malgré les spasmes de sa partenaire elle ne semblait pas vouloir s’arrêter et son seul but était de voir jouir Jenny.
Celle ci n’en pouvant plus nous délivra un orgasme extraordinaire.
Ca continuait à me plaire mais pour le moment je me contentai d’assister à leur jeu. Je bandai mais attendais bien mieux.
- Vous êtes superbes mes Chéries leur dis-je.
Pour réponse elles s’embrassèrent. Jenny fourra ses doigts dans la chatte de Jacqueline et la masturba jusqu’à ce que celle
ci jouisse à nouveau très fort. Cette fois ci Jenny avait porté son visage juste à la bonne hauteur de la chatte de ma tante
et avait pu profiter de tout son jus.
Je pensai qu’il était temps que j’intervienne car je n’avais pour l’instant eu que le rôle de voyeur.
Je m’approchai des deux femmes et celles ci commencèrent à me caresser et m’embrasser. Je sentais la langue de Jenny puis celle
de Jacqueline au fond de ma bouche. C’était divin.
Jacqueline s’installa confortablement et ouvrit en grand ses jambes. Elle voulait que je la lèche.
J’entrouvris son cardigan, et m’emparai de ses seins, les malaxai. J’étais en amour devant ses seins.
Sa chatte s’ouvrait et me demandait de la lécher. Elle était trempée.
Pendant ce temps Jenny avait disparu.
Je m’attardai sur la chatte de Jacqueline et sur son clitoris. Elle jouit une fois encore et son sourire ravi me
laissait penser qu’elle passait une bonne soirée.
Inutile de vous dire que j’avais pris encore plusieurs giclées dans la bouche pour mon plus grand plaisir.
Ma tante était décidément multi orgasmique!
Mais je bandais toujours. Nos corps n’avaient pas bougé et j’étais toujours à quatre pattes devant ma tante et sa chatte trempée.
J’entendis juste un léger bruit. Je tournai la tête. Jennyfer venait de refaire son apparition. Elle portait un gode ceinture assez conséquent.
Il était bien noué à sa taille et je pensai qu’elle allait s’en servir avec Jacqueline.
Au lieu de cela, elle me fit signe de ne pas bouger. Elle releva mon cardigan doucement.
- Si tu as choisi ce cardigan saumon avec de très jolis boutons perlés, Benoit, c’est que tu dois aimer toi aussi te faire prendre?
- Oui tu as raison j’aime bien mais avec deux femmes comme vous je pense que pour ce soir deux chattes en chaleur seraient
davantage adaptées à mes envies.
- Ne dis pas cela je te sens déjà prêt. Si tu ne jouis pas tu pourras nous baiser toutes les deux.
Elle se plaça derrière moi. Elle avait pris soin de mettre un préservatif sur le gode et l’enduisit de gel.
Jenny avança ce membre en plastique jusqu’à ma rosette et força mon entrée.
J’étais à quatre pattes et me cambrai le plus que je pouvais. Au bout de quelques minutes elle finit par s’introduire
dans mon sphincter. Mes fesses me faisaient mal mais c’était bon. Il faut dire que j’avais pris l’habitude de me faire enculer
ces derniers jours et que j’y éprouvai du plaisir.
Elle me ramonait l’anus et ma tante, excitée par la situation, rapprochait son vagin de ma bouche pour que je la fasse jouir à nouveau.
Jennyfer accéléra la cadence puis cessa toute activité. Elle sortit délicatement de mon anus et se débarassa de son gode.
- Tu es un bon garçon. Ça m’a vraiment excité de t’enculer. Maintenant c’est à mon tour. Je veux que tu me prennes l’anus Benoit.
Ces paroles m’excitaient et j’avais terriblement envie de la sodomiser.
Je lui dis que j’allais mettre un préservatif.
- Non s’il te plait. Fais le naturellement je suis saine. J’ai trop envie de sentir ton sperme chaud entre mes fesses.
Elle se leva et revint avec une attestation médicale datant d’une quinzaine de jours.
- Je n’ai rien de tel lui répondis-je. Je suis sain mais tu n’es pas forcée de me croire.
- Je te crois. Encules-moi stp.
Jacqueline n’avait pas bougée et se branlait comme toute nympho qui se respecte.
La tête de Jenny vint rejoindre la chatte de Jacqueline. Jenny se cambra.
J’avais devant mes yeux un spectacle fabuleux.
Jenny avait relevé son gilet rouge sombre et son corps se cambrait au maximum. Je pouvais distinguer son
joli petit trou qui était déjà ouvert. Ma tante l’avait lubrifié comme il fallait.
Je me plaçai derriere Jennyfer. Son cardigan déboutonné dont les pans, de chaque côté de son frêle corps, pendaient inexorablement, me
faisait encore plus bander. Je n’avais désormais qu’une seule envie. L’enculer.
Visiblement elle voulait que je jouisse en elle et j’étais prêt à le faire. J’en mourrais d’envie.
Je posai mon gland sur sa rosette. Je sentis qu’elle poussait comme pour me signifier
qu’elle était prête à m’accueillir.
D’un grand coup je pénétrai entre ses reins. Mon sexe était entré tout seul et mes couilles touchaient ses fesses désormais.
Elle gémit. Non pas de douleur mais de bonheur.
Je ne bougeais pas puis entamai des allers- retours assez lents puis plus rapides.
Je saisis ses seins avec mes mains. Bien fermement. Ils étaient fermes et gros. Je les caressai et pincait ses tétons.
Jenny n’en pouvait plus. Je pénétrai bien à fond dans son anus et éjaculai de longs jets de sperme chaud.
Elle jouissait maintenant et se branlait la chatte.
Elle poussa un peu et mon sperme sortit de son anus. Elle s’en enduisit les doigts et se les fourra dans la bouche
pour tout avaler.
Pendant ce temps Jacqueline qui avait assisté à la scène avait une nouvelle fois joui sous les coups de langues
de sa partenaire d’un soir.
Nous étions tous un peu crevés. Jacqueline décida qu’il était grand temps de nous éclipser et de laisser notre
nouvelle compagne dormir un peu.
Nous allions prendre congé et nous apprêtions à nous déshabiller pour lui rendre ses pulls si doux.
Mais avec un malin sourire elle nous pria de les conserver et de les porter au casino le lendemain.
Elle embrassa Jacqueline et me roula une pelle.
Elle avait insisté pour que nous rentrions ainsi.
Jacqueline reprit sa robe pull en cachemire et j’en fis de même avec mes affaires.
Une fois dans la voiture je me retrouvai avec ma tante uniquement vêtue de son cardigan vert clair en angora
et de ses bas et porte jarretelles. Je n’avais que pour seul vêtement un cardigan saumon avec des boutons
perlés.
Pourvu que la police ne nous arrête pas!
Le trajet n’était pas très long.
Arrivés chez nous ma tante se jeta sur moi et me procura une pipe d’enfer.
Puis nous fimes l’amour pendant une heure.
Ce n’est que le lendemain vers dix heures en voyant nos tenues que nous nous rendîmes
compte que nous avions rendez vous avec Jennyfer.
Et cette journée allait être mémorable.
Nous venions donc de nous lever. Nous avions fait l’amour et nous étions réveillés vêtus chacun d’un
cardigan en angora ce qui nous rappela la soirée fabuleuse que nous avions passé la veille.
Nous avons pris une douche chacun de notre côté et un copieux petit déjeuner nous attendait. La journée allait être longue.
Et si elle s’avérait aussi inattendue que la précédente alors nous allions vivre encore une journée emplie de sexe
et de caresses.
Une fois le petit déjeuner avalé, je demandai à Jacqueline ce que nous allions faire aujourd’hui.
Elle me dit que ce serait une surprise et que je ne devais pas oublier que nous avions rendez vous avec Jenny au casino
à 16H00.
Je me couchai à nouveau pour dormir une heure. Je fut réveillé par Jacqueline qui s’amusait à me sucer le sexe.
Elle avait pris soin de porter son cardigan vert pale et sa langue s’activait sur mon membre tendu.
Je lui demandai de stopper. Je voulais être en forme pour notre soirée.
Il était maintenant midi. Jacqueline me proposa d’aller à la plage naturiste histoire de bronzer un peu
et j’allais enfin pouvoir me reposer après mes fantaisies de la veille.
Nous avons pris sa voiture et nous sommes rendus sur cette plage qui désormais m’était familière.
Sur place ma tante choisit un coin tranquille dans les dunes et installa les serviettes.
Elle enleva ses vêtements un à un et sorti de son sac son cardigan vert pâle de la veille. Elle l’enfila puis se mit de la
crème anti uv sur les jambes et le visage.
De mon côté je me déshabillai et m’installai sur ma serviette.
Jacqueline me tendit mon gilet saumon afin que je le porte.
- Mais pourquoi lui demandai-je?
- Nous l’avons promis à Jenny, Chéri. Cette journée lui est dédiée.
Je l’enfilai puis me mis sur le ventre pour bronzer un peu.
Rien que de penser que ma tante et moi même portions chacun un gilet en angora féminin m’excitait
mais je ne voulais pas le montrer.
Je m’approchai de ma tante et me serrai contre son corps chaud.
Je la caressai au travers de son pull et mon sexe était tout contre sa chatte humide.
J’avais très envie d’elle mais je me disais aussi qu’il fallait que je me retienne pour assurer et profiter
de la soirée avec notre nouvelle amie.
Nous étions là tous les deux, à nous caresser et nous embrasser amoureusement lorsqu’un homme fit son
apparition.
Il avait fait un peu de bruit en marchant sur les différents arbustes séchés par le soleil.
- Mmm vous avez de très beaux culs tous les deux!
Je relevai la tête et lui demandai de s’éloigner.
- Non je vais rester là mes chéris. Vous m’excitez tous les deux avec votre pull!
Jacqueline me donna un baiser et me fit comprendre que cet inconnu lui plaisait.
Elle lui fit signe d’approcher.
Il avait une cinquantaine d’années, une légère barbe de trois jours, et un corps sculpté comme un culturiste.
Il était totalement nu et la taille de sa verge témoignait qu’il était déjà excité.
Ma tante se tourna sur le dos et ouvrit son cardigan pour dévoiler ses seins. Une de ses mains caressait son entrejambe.
Elle était déjà toute mouillée.
J’avais également modifié ma position et était maintenant sur le dos. Mais la vue de ce sexe me fit bander immédiatement.
- Tu peux me prendre maintenant si tu veux, j’ai terriblement envie de ta belle queue lui dit Jacqueline.
- Non je voudrais prendre le petit trou de ton copain. Nous sommes sur une plage gay et il m’excite trop avec son gilet. Je suis certain qu’il n’attend
que cela.
Je n’en croyais pas mes oreilles!
- En revanche si tu veux tu peux lui lécher le trou du cul pour le préparer car il serait plus approprié que son anus soit bien ouvert dit-il.
Jacqueline me demanda de me mettre à quatre pattes et commença à me branler l’anus. Sa langue sur ma rosette était
d’une douceur infime et elle savait vraiment y faire pour me dilater l’anus.
Pendant ce temps l’inconnu avait pris place devant moi et présentait son sexe tendu vers ma bouche.
Je n’avais pas envie de le sucer. Je savais que ma soirée allait être prise avec Jennyfer et n’avait aucune envie
d’avoir une relation sexuelle dans la journée. Et surtout je ne voulais pas jouir.
Il insista et déposa son gland sur mes lèvres fermées. Mais celles ci s’ouvrirent tant son insistance était déterminée et je ne pus
que me résoudre à sucer sa large bite. J’ouvris légèrement la bouche et ma langue s’attarda sur son gland circoncis.
Jacqueline continuai à m’ouvrir l’anus et je finis par engoufrer cette belle queue dans ma bouche.
Elle allait et venait sans se soucier de mes pensées. J’étais son jouet.
Il me baisait la bouche comme une chatte ou un cul et adorait ça.
Je m’apprêtais à recevoir son sperme en bouche mais il se dégagea et pris place derrière moi.
Il demanda à ma tante de s’éclipser et approcha son sexe de ma rosette.
Mon cul était maintenant largement ouvert. Il m’encula sans prendre la peine de faire attention.
Son pénis entra dans mes entrailles d’un seul coup et je ressentis une douleur extrême.
Il s’en moquait totalement et me lima comme une grosse pute.
D’ailleurs il accompagnait chacun de ses mouvements de mots crus. Mon cul me faisait très mal.
Je ne bandais plus mais j’étais aux anges. Alors qu’il me ramonait depuis une dizaine de minutes je
sentis que son sexe se durcissait davantage et il jouit dans mon anus abondamment.
J’étais épuisé. Il se retira, m’embrassa et me dit qu’il était là tous les jours.
Il disparut comme il était arrivé.
Je n’avais pas joui. Jacqueline non plus. Mais elle souriait.
- J’étais certaine que ton cardigan saumon avec ses boutons perlés auraient de l’effet sur
ces petits pédés!
- Merci Chérie, mais je ne sens plus mon anus.
- Je te soignerai n’aies crainte!
Elle s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement.
- Nous devrions rentrer, Jenny va nous attendre Chéri me dit-elle.
- Oui Bébé je pense que ce sera mieux. Cet endroit est sympa mais un peu trop dangereux pour moi! Je riai.
Nous avons replié nos serviettes et sommes rentrés à la maison.
Il était 15H30.
Je décidai de prendre une douche car j’en avais vraiment besoin.
Je mis un jean, une chemise et des souliers en cuir.
Jacqueline m’attendait. Elle portait son cardigan angora vert pâle et une jupe très courte.
Elle avait aussi pris soin de porter des chaussures à talons très hauts qui mettaient en valeur
ses chevilles d’une manière extraordinaire. Ses jambes étaient ornées de bas blancs, ce qui n’était pas
pour me déplaire.
- Nous y allons lui dis-je. Nous allons être en retard.
Elle s’approcha de moi et me demanda à l’oreille si je n’avais pas oublié quelque chose.
- Non je ne pense pas.
- Tu dois mettre ton gilet saumon avec ses boutons en perles sinon Jenny ne sera pas contente.
- Tu n’y penses pas, je ne vais pas mettre ce type de cardigan en public?
- Tu lui as promis, rappelles-toi. Si elle ne te voit pas ainsi nous pourrions faire une croix sur
sa collaboration.
Je me saisis du cardigan de Jenny et l’enfilai rapidement mais à contre coeur. Je me sentais mal. J’avais l’habitude de porter ce
type de gilet en privé mais jamais en public et je redoutais la réaction de mon entourage et des clients du casino.
Néanmoins je m’éxécutai après avoir pris soin d’enlever mon tee shirt.
Cette fois ci nous primes la voiture de Jacqueline, une Mercedes, et nous sommes dirigés vers le casino.
Jacqueline conduisait. Elle était très sexy avec son cardigan et ses seins libres de tout sous vêtement
me donnaient des idées.
Pour ma part je me sentais plutôt ridicule avec mon gilet saumon dont j’avais pris soin, comme me l’avait recommandé Jenny,
de boutonner jusqu’au cou.
Nous sommes arrivés juste à l’heure au casino.
Le voiturier nous demanda nos clés.
Après les dernières vérifications de la part du personnel nous pouvions pénétrer dans la salle des machines à sous.
Jacqueline me tenait la main. Elle était chaque jour plus amoureuse de moi. Et chaque nouvelle expérience sexuelle
semblait accentuer son attirance envers moi.
Une fois entrés elle me tendit deux billets de 100 euros.
- C’est mon tour cette fois! me dit-elle.
- Il y a toujours un pari en jeu?
- Oui celui qui perds aura un gage me dit elle en souriant. Elle était assez sûre d’elle. Cela ne fit que conforter mon sentiment
que j’allais la battre et pouvoir lui infliger mon gage favori.
- Mais où est Jenny? lui demandai-je
- Elle ne devrait pas tarder. A moins qu’elle ne nous ait posé un lapin.
Nous nous sommes dirigés tous les deux vers les distributeurs automatiques de jetons
et avons rempli nos gobelets de 200 euros convertis en jetons.
Mais Jenny était toujours absente.
Nous nous sommes séparés et avons décidé de jouer chacun de notre côté.
Je possédai 200 euros et n’étais pas décidé à les perdre!
Je connaissais une machine qui habituellement « donnait » un peu.
Je m’y installai et commençai à jouer.
Les pièces défilaient et au bout d’un certain temps j’eu le loisir de décrocher le jackpot qui s’élevait
à 1400 euros.
Je dus attendre la venue des employés du casino car la machine ne possédait pas cette somme.
Ils me fournirent un bon de 1000 euros ainsi que 400 jetons de un euro.
Mon gain, comme d’habitude, avait attiré certaines habituées du casino. Il faut dire que la plupart du temps
les femmes sont plus joueuses que les hommes mais aussi plus âgées dans ce genre de lieu.
Une femme d’une cinquantaine d’années, peut être un peu moins, pris place à mes côtés.
Je continuais à jouer sans y prêter attention. Bien décidé à augmenter mes gains.
C’est alors qu’elle fit sonner la cloche ce qui signifiait qu’elle avait gagné le jackpot.
Je me retournai vers elle et la félicitai comme il est de mise dans les casinos.
Elle était très belle. C’était une personne BCBG et était habillée en conséquence. Elle portait un corsage transparent,
une jupe assez courte, des talons hauts, un collier de perles, et plein de bijoux luxueux. Elle était très sexy
mais absolument pas vulgaire.
Avec mon gilet saumon et mon jean j’avais vraiment l’impression de ne pas faire partie de son monde.
Je continuais à jouer alors qu’elle attendait le responsable pour pouvoir toucher son gain.
Le responsable du casino semblait prendre son temps et ma collègue semblait s’impatienter.
Elle se décida à me parler.
- Vous gagnez?
- Oui un peu mais j’ai à nouveau presque tout perdu. Il ne me reste que 200 euros. Et c’est bien dommage car j’ai parié avec ma
compagne que j’allais la battre à plates coutures et là je suis mal parti!
- Qu’avez vous parié, si ce n’est pas indiscret?
- C’est assez personnel. Nous avons parié que celui qui gagnerait aurait un gâge sexuel. Et je pense être en train de perdre.
- Ah je comprend. Et est il normal que vous portiez un gilet féminin? Cela a tout de suite attiré mon attention et, en réalité,
c’est la raison pour laquelle je me suis placée à vos côtés.
- Cela fait parti de notre deal car nous avons fait connaissance hier d’une jeune femme qui aime les gilets féminins et comme j’ai perdu
je dois en porter un aujourd’hui mais je suis assez honteux.
- Vous ne devriez pas, cela vous va très bien.
A cet instant je devais être rouge de honte.
Le responsable du casino vint interrompre notre conversation. Il revint avec un bon de 6000 euros et félicita cette dame.
Nous avons continué à jouer et mon solde était presque à zéro.
Elle posa sa main sur ma cuisse et me regarda droit dans les yeux.
- Prends tes gains et suis moi!
Je ne savais que penser. Elle se leva de son siège promptement et se dirigea vers les toilettes.
Autant j’avais eu du mal à trouver les toilettes la veille, autant aujourd’hui je connaissais leur position.
J’ignorais où se trouvait Jacqueline et n’avais pas encore vu Jenny.
Je pris mon ticket de gain et suivit ma compagne d’un jour.
Elle était entrée dans les toilettes et je pris quelques minutes pour la rejoindre.
J’entrai. Elle m’attendait et son corsage était entrouvert. Elle avait ôté son soutien gorge.
Elle bloqua la porte et me poussa contre sa cloison.
Sa langue se posa sur ma bouche et en força le passage.
Elle me donna un splendide baiser.
Elle enleva son corsage et me demanda d’en faire de même avec mon pull.
Elle s’en empara et à peine l’avais je enlevé qu’elle l’enfila.
Il lui allait très bien.
- Puisque tu aimes les gilets féminins vas-y fais de moi ce que tu aimes. J’adore faire l’amour
et je veux que tu prennes ton pied.
De telles paroles dans la bouche de cette femme me paraissaient déplacées.
Elle était devant moi, portant mon gilet en angora, et écartait ses cuisses au maximum.
Son sexe était largement ouvert et suintait tel un fruit top mur.
Je ne savais que faire. Elle enleva ma ceinture et mon pantalon et les fit glisser au sol.
Elle en fit de même avec mon slip.
Mon sexe était bandé. Elle s’en empara et me procura une fellation telle que je ne l’aurai jamais espérée.
J’allais jouir mais elle s’en rendit compte. Elle se retourrna et me présenta ses fesses.
Je présentai ma queue devant sa chatte mais elle me demanda de l’enculer.
- Je ne voudrais pas que tu trompes ta femme! Encules-moi bien à fond ce n’en sera que meilleur!
Je ne pris pas la peine de lubrifier son anus et posai mon sexe devant sa rosette. Je m’y introduisis d’une poussée.
Elle ne gémit même pas et attendit que je rentre bien profondément en elle.
Je la tenais par les hanches, son gilet allait au rythme de mes mouvements saccadés et je jouis dans son cul
sans retenue. De son côté elle ne cessait de hâleter et de me remercier.
Je me retirai doucement pour ne pas lui faire de mal.
Elle me rendit mon pull et remit son corsage. Elle sortit des toilettes. J’étais vidé.
Cette situation avait été si rapide et inattendue que j’avais du mal à y croire.
Je me rajustai, remis mon gilet et me décidai enfin à retourner dans la salle de jeux.
Ma compagne du jour n’était plus là. Elle avait disparu.
Je m’installai à nouveau à ma machine lorsqu’une personne du casino me tapa sur l’épaule.
Je me retournai, sur mes gardes. Il venait juste me remettre un gobelet comportant 3000 euros de
la part de la personne que je venais d’honorer.
Visiblement c’était mon jour!
Il me glissa également une carte de visite du casino.
Au dos de celle-ci était inscrit un numéro de téléphone portable ainsi que ces mots.
« A demain Chéri, à 12H00.
De la part de Chantal, bisous. »
A suivre….
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