Ma coloc de Prépa m'initie
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma coloc de Prépa m'initie
Nous étions en septembre. J’avais dix huit ans et venais d’obtenir mon baccalauréat.
J’avais choisi de poursuivre ma scolarité par une prépa dans une école supérieure de commerce proche de la suisse.
C’était une école mixte et jusqu’à présent mes parents avaient choisi une école privée réservée aux garçons pour ma scolarité.
Malgré mes dix huit ans j’étais toujours puceau.
En octobre, la rentrée se passa sans problème. Je fis connaissance avec mes camarades de classe et il y avait autant de filles que de garçons.
J’avais dû trouver en ville un appartement que je partageais avec l’une des élèves de cet établissement.
Elle s’appelait Claire et venait de Lyon.
Etant parisien, et né à Paris, je n’aimais pas particulièrement les lyonnaises. Je les trouvai ingrates et imbues de leur personne. Et elle devait en penser la même chose de moi. Parisiens et Lyonnais se sentaient le nombril de la France.
Mais Claire semblait toute autre. Et moi aussi.
Certes elle aimait porter des vêtements BCBG mais elle ne se prenait pas la tête et était très ouverte. C’était une fille charmante,qui était issue d’un milieu bourgeois mais n’en faisait pas étalage.
Mes parents faisaient davantage partie de la classe populaire mais j’adorai ce genre de filles et la façon dont elless’habillaient.
La rentrée se passa bien et chaque soir nous rentrions pour dîner.
Au début nous dînions chacun dans notre coin car j’étais assez timide mais après une semaine nous avions décidé deprendre notre repas du soir ensemble et de discuter de notre journée. C’était sa troisième et dernière année dans cet établissement scolaire et moi je débutais. Elle comptait finir sa scolarité et intégrer un grand groupe financier pour effectuer des audits comptables.
Claire était assez grande et possédait un très beau corps. Ses seins étaient volumineux mais sans toutefois être énormes. Et ils étaient naturels. Il faut dire qu’à son âge (elle avait 21 ans) et à cette époque en 1985, rares étaient les jeunes femmes qui se faisaient refaire la poitrine.
Nous nous étions tout de suite bien entendus tous les deux. Elle blaguait souvent sur ma timidité et aimait me faire rougir mais avec gentillesse.
Elle s’avérait très bonne en classe et je ne doutais pas un seul instant de sa future carrière. Elle possédait tout ce qu’il fallait pour réussir.
Intelligente, drôle, ordonnée ou plutôt organisée devrais-je dire, et acharnée au travail. Mais contrairement à d’autres personnes elle savait faire la part des choses et aimait beaucoup s’amuser le week-end. Elle disait que cela lui permettait de décompresser et que rien ne valait une bonne fête le week end pour repartir du bon pied le lundi matin.
Les cours avaient débuté depuis trois semaines et j’avais un peu de mal à suivre. De surcroit, à cette époque, et dans les écoles de commerce préparatoires à HEC, il se déroulait une période de bizutage que je redoutais activement. Je n’étais pas très sportif. Une carrure normale mais des abdos peu développés et surtout un manque de confiance en moi.
Ce bizutage durait une semaine entière et se composait de jeux pas toujours réjouissants et parfois humiliants.
C’est ainsi que je rentrai un soir en pleurs. Claire était déjà présente et préparait le dîner. Nous avions d’un commun accord, décidé que nous nous partagerions les taches ménagères. Et par conséquent c’était son jour de cuisine.
Je filai dans ma chambre pour pleurer. C’était en effet le dernier jour de bizutage et les « chefs » avaient décidés que sur une vingtaine de candidats les dix qui auraient le plus petit sexe devaient avoir un gage.
Et ce gage était « la bite au cirage ». Rien de bien méchant me direz-vous mais pourtant terriblement humiliant.
Je faisais partie bien évidemment des perdants et avait dû me soumettre à cette épreuve sans broncher. Ils avaient sorti des boites de cirage bien noir et nous avaient enduit le sexe de cette substance qui dégageait une odeur peu commune et surtout n’était pas appropriée pour être appliquée sur des organes sexuels.
J’en avais partout! Mes poils pubiens, mon sexe, mon gland. Toute cette zone était couverte de cirage qui avait durci.
Et maintenant cela commençait à coller et à me faire mal.
Allongé sur mon lit à me morfondre, j’entendis toquer à ma porte. C’était Claire. Elle m’avait entendu entrer et souhaitait me signaler que nous allions passer à table.
Essayant d’étouffer un sanglot je lui dit que je n’avais pas faim.
Elle se rendit compte, au son de ma voix, que je n’étais pas dans la meilleure des formes. Elle retoqua à la porte puis ouvrit celle ci. Je n’avais pas pris le temps de fermer la porte de ma chambre. De toute façon je n’avais pas à le faire car ici j’étais en sécurité. Elle se tenait dans l’entrebâillement puis constatant mon état se décida à entrer.
- Pourquoi pleures-tu Benoit? Quelque chose ne va pas?
- C’est assez personnel lui dis-je.
Elle me questionna et je lui avouai que la cause de ma détresse était liée au bizutage de ce jour.
Elle éclata de rire et me donna un baiser sur les deux joues.
- Que t’est-il arrivé?
Je ne savais que lui dire. C’était difficile à expliquer.
- Tu sais Benoit, nous y avons tous eu droit et moi la première! Comme je suis plutôt bien fichue j’ai dûe me mettre entièrement nue et embrasser une fille. Et le dernier jour, certains anciens m’ont même obligé à leur faire une fellation. Ce n’est pas si grave, c’est l’apprentissage de la vie.
- J’espère tout de même que tu n’as pas eu à faire une fellation à l’un des anciens? Elle riait davantage.
Je commençai à me détendre mais pleurai toujours.
Elle me prit dans ses bras. Elle posa ma tête contre son cardigan et j’explosai en sanglots.
- Vas- y, racontes-moi. Je suis ta confidente, tu peux avoir confiance.
Je lui fit part de ma journée et que finalement j’avais eu droit à la « bite au cirage ».
Je comprends que tu sois choqué me dit-elle mais c’est la tradition ici. N’y prêtes pas attention.
Il y a bien plus grave dans la vie.
Elle me consola et me demanda si nous pouvions aller dîner.
-C’est à dire que pour le moment j’ai toujours le sexe enduit de cirage et comme celui ci a séché
je vais avoir du mal à l’enlever.
Elle déposa un léger baiser sur mes lèvres et me prit la main.
- Viens, suis-moi, je vais arranger ça.
Elle me dirigea vers la salle de bain et me fit déshabiller complètement. J’étais nu comme un ver.
Claire fit couler un bain bien chaud et me demanda d’y prendre place.
C’était la première fois que j’étais nu devant une femme mais pourtant j’étais loin d’avoir une érection tant la situation me rendait mal à l’aise.
Je m’installai dans la baignoire.
- On va nettoyer tout ça, me dit-elle.
Elle s’empara d’un savon et d’un gant de toilette puis me savonna le dos et le torse. Elle avait remonté les manches de son pull pour ne pas le mouiller. C’était une jeune femme active et ne perdait pas de temps.
- Il faut que tu trempes un peu sinon je n’arriverai jamais à décoller ce sacré cirage! Ils ne t’ont pas loupé, les bougres!
Elle continuait de sourire.
-Tu sais à présent je pense que je vais pouvoir continuer seul Claire.
- Non laisse moi faire je suis certaine que tu ne vas pas pouvoir tout enlever.
Elle s’empara de la bouteille de shampoing et me lava les cheveux. C’est à cet instant que je pris conscience qu’elle pouvait aussi être vraiment très douce.
Ses mains parcouraient mon cuir chevelu tout en me faisant des massages. Elle s’appliquait sur mon cuir chevelu et ses mains faisaient des ronds qui me donnaient des frissons.
J’étais maintenant tout à fait détendu.
La chaleur du bain semblait avoir eu un peu raison du cirage qui me faisait de moins en moins mal.
J’avais de la mousse dans les yeux et Claire prit le pommeau de douche pour me rincer le cuir chevelu.
- Il ne me reste plus qu’à te nettoyer le sexe me dit-elle en souriant.
- Tu n’es pas certaine que je puisse le faire moi-même? J’ai un peu peur de ma réaction. J’avais dû rougir et elle s’en aperçut.
- Non n’ai aucune crainte je serai très douce et tu n’auras aucun mal.
- Ce n’est pas ça que je crains Claire.
Elle ne me répondit pas et pris une noisette de gel douche dans le creux de ses mains.
Ses mains se posèrent sur mes jambes. Elles étaient si douces que je ne pus que commencer à bander.
Ses mouvements étaient très lents et sensuels. Comme si elle voulait me préparer à quelque chose d’inattendu.
Petit à petit, elle faisait mousser le gel douche, elle glissa sa main sous mes bourses et s’activa à les nettoyer.
Le cirage partait peu à peu et s’écoulait dans l’eau savonneuse.
Mon sexe avait maintenant une érection maximale et elle ne pouvait s’en apercevoir.
Malgré tout elle continuait mon lavage avec minutie et ne semblait pas du tout se préoccuper de mon membre.
Elle nettoya mes bourses jusqu’à ce qu’aucun morceau de cirage ne soit présent puis s’attaqua à mes poils pubiens.
Ceux ci étaient couverts de cirage noir et commençaient seulement à se décoller malgré ma présence depuis un moment dans le bain.
Elle prit soin de bien leur enlever cette substance collante et si désagréable puis se décida à me laver le pénis.
Elle reprit le pommeau de douche pour me rincer puis enduit une nouvelle fois ses mains de gel douche.
Je ne savais plus que dire. Ses mains parcouraient tout mon membre avec délicatesse et enlevaient chaque morceau de cirage qui tentait de lui tenir tête.
Elle me décalotta. Ses mains sur mon gland étaient une première pour moi mais c’était si bon.
Alors qu’elle avait presque terminé mon lavage intime je sentis l’excitation et le plaisir m’envahir.
Je me crispai et déversai de long jets de sperme dans la baignoire. C’était la première fois qu’une main féminine m’avait fait autant de bien.
Je m’excusai auprès de Claire et lui dit que c’était parti tout seul. Je n’avais pas su contrôler mon plaisir.
Elle prit une serviette et me demanda de me lever. Elle m’essuya les cheveux, le dos, le torse, les jambes et mon sexe sur lequel elle s’attarda.
Elle se baissa et posa un délicat baiser sur mon gland.
- Allez habilles- toi Benoit, tu es propre maintenant et le dîner nous attend.
Je retournai dans ma chambre, pris un jean et un pull et oubliai même de mettre un slip.
Ce moment avec Claire resterait à jamais gravé dans mon esprit. C’était la première femme qui m’avait vue nu et m’avait procuré un orgasme. Je me sentais bien mieux qu’une heure auparavant.
Quand j’arrivai dans la cuisine Claire avait mis la table et m’attendait patiemment pour dîner comme s’il ne s’était rien passé entre nous.
Elle avait toujours son cardigan en cachemire vert bouteille mais elle avait enlevé son chemisier et je constatai qu’elle ne portait plus de soutien gorge. Une mini jupe écossaise agrémentait sa tenue et elle avait pris soin de mettre des bas noirs sur lesquels de hautes chaussettes en laine venaient embellir ses jambes.
J’aurai à cet instant pu croire qu’elle voulait me tester. Mais ma honte de la journée était toujours présente et ma timidité également.
Elle avait préparé le couvert et installé nos assiettes l’une à côté de l’autre.
- Ce soir c'est sushis et sashimis avec du riz! Heureusement car sinon le repas serait brûlé.
- Je te remercie tu es un ange.
Elle avait déjà disposé sur la table de la sauce soja agrémentée de wasabi. Dans une coupelle étaient disposées des lamelles de gingembre.
Je m’installai. Elle posa sur la table les plats japonais et me proposa de commencer notre repas.
Je me rendis compte que son cardigan en cachemire était assez ouvert pour laisser percevoir le début de ses seins.
Sans doute un oubli.
Je n’osai pas lui en parler. Visiblement elle n’avait pas été troublée par notre séance dans le bain mais pour ma part c’était déjà un bon début mais aussi une toute nouvelle expérience.
Nous avons dîné tranquillement et alors que j’allais débarrasser la table elle me fit signe qu’elle allait le faire.
Elle se leva et pris soin de mettre les assiettes, les bols et les tasses dans le lave vaisselle.
Elle se penchait et je pouvais voir qu’elle avait mis des porte jarretelles pour soutenir ses bas.
Après mon épisode sous la douche je ne savais plus quoi en penser.
Elle m’avait fait jouir si naturellement que je me demandais si finalement je devais vraiment m’attacher à Claire ou bien si elle avait agit tout naturellement.
Elle se saisit des baguettes japonaises et des verres et se baissa encore davantage. J'avais une belle vue sur ses bas, son porte jarretelles et son string.
J’étais prêt à la prendre par les hanches mais ne pût me résoudre à le faire. Elle avait sans doute rendez vous avec un copain plus tard dans la soirée.
Je lui informai que j’allai me coucher pour réviser un peu et lui fis une bise sur ses deux joues.
J’avais pourtant tant envie de la prendre! Mais ma timidité me faisait agir autrement.
Je me dirigeai vers ma chambre. Je me dénudai entièrement et me mis sous la couette.
J’étais bien et avais du mal à dormir. Je ne cessais de penser à cet orgasme que Claire avait sû me procurer. C’était si inattendu.
Je fermai la lumière et tentai de dormir un peu.
Après une telle journée faîte d’humiliation et de bonheur je ne tardai pas à trouver le sommeil au bout de quelques minutes.
Je me réveillais en pleine nuit. En fait j’ignorai totalement l’heure hormis le fait que je venais de me soustraire à un profond sommeil.
Après avoir jeté un oeil à mon réveil je constatai qu’il n’était que 23H30.
Dans cette location je possédais un lit deux personnes et je me rendis compte rapidement que quelques chose ne tournait pas rond.
Mon bras droit était en effet disposé sur une matière douce qui n’avait rien à faire dans mon lit.
Il s’était entouré tout simplement autour du corps de Claire qui m’avait rejoint et en fait je caressais son pull doux.
Je n’en croyais pas mes yeux malgré la pénombre. Je devais rêver.
J’allumai la lumière. Claire dormait. Son visage et son corps étaient tournés vers moi. Son gilet était déboutonné partiellement et je pouvais voir pour la première fois de ma vie une partie de ses seins de femme. Elle dormait paisiblement à côté de moi et après chaque respiration profonde ses seins se dressaient.
Elle avait du avoir peur du froid pour garder son pull pour dormir.
La lumière ne semblait pas la déranger. Elle dormait toujours. Je défit les trois boutons de son gilet qui voulaient me résister.
Elle bougea légèrement mais ne s’éveilla pas. J’aventurai une main sur sa poitrine imposante. Elle était magnifique. Splendide même.
Je la caressai un moment. Sa respiration semblait s’accélérer mais elle ne se réveillait pas pour autant.
Plein de pensées me vinrent à l’esprit et j’en arrivai à la conclusion que si elle s’était habillée si sexy lors de notre dîner elle l’avait fait pour me séduire ou m’aguicher.
Je me décidai à explorer son corps plus amplement. C’était une vraie découverte pour moi.
Elle dormait et j’avais toute latitude pour pouvoir la caresser.
Ma main alla vers son sexe. Elle était parfaitement rasée et son minou était tout doux.
J’y introduis un doigt. Mais très doucement car je ne souhaitais pas la réveiller.
C’était ma première fois et je constatait que sa vulve était toute chaude.
J’insérai un second doigt très délicatement. Son corps se mit à se cambrer comme si elle y prenait du plaisir.
Alors que je continuai très délicatement à la masturber elle se mit à bouger puis se cambrer encore davantage.
J’étais persuadé qu’elle dormait mais j’entendis une voix me dire: Lèches- moi s’il te plait Benoit.
Je sursautai mais m’exécutai. Je balançai la couette au dessus du lit et pris place entre ses jambes.
Je ne savais pas comment faire. J’approchai ma langue de son sexe et la léchai. Ses mains m’ouvrirent son clitoris et je me délectai de son petit bouton. Instinctivement ma langue et ma bouche lui procuraient de légers sucions sur son clito. Elles s’activaient comme une pompe et aspiraient ce petit bout de chair qui m’était jusqu’alors inconnu. Je continuai à m’appliquer à lui lécher son petit bouton d’amour et lui remis deux doigts dans sa chatte. Instinctivement, j’accélerai la cadence et Claire me prit par les cheveux et poussa ma langue au plus profond de sa grotte.
- Oh oui Benoit, continues comme ça!
Je n’avais plus trop de souffle et elle me tenait la tête si serrée entre ses cuisses que je manquai d’étouffer.
Elle se lâcha et je vis tout son corps trembler. Elle jouissait dans ma bouche et ne s’arrêtait pas de gémir.
Peu à peu elle reprit ses esprits. Elle m’embrassa tendrement et me remercia.
- Je ne sais pas si c’est la première fois que tu lèches une femme mais je peux te dire que tu t’y prend très bien.
C’est mon premier orgasme de la rentrée.
C’était la première fois que j’avais l’occasion de faire un cunnilingus à une femme et le fait qu’elle y ait pris du plaisir me rendait fier.
- Mmm c’était si bon! me dit -elle.
Je la pris entre mes bras et la remerciai.
- Pourquoi me remercies-tu? ce serait plutôt à moi de te le faire.
- Je te remercie car tu es la première femme de ma vie que je fais jouir et le fait que tu m’aies laissé te lécher la chatte m’a fait très plaisir.
Nous étions totalement éveillés malgré l’heure tardive.
Elle me fit mettre sur le dos.
De mon côté je continuais à lui caresser les seins et sa vulve encore trempée.
Sa langue chercha la mienne une nouvelle fois et nous nous embrassions comme deux êtres inséparables.
Claire prit soin de me lécher tout le corps, de m’embrasser la nuque, de me mordiller l’oreille puis descendit très doucement vers mon bas ventre.
Sa bouche se posa sur mon sexe en érection. Elle me léchait maintenant les testicules et la hampe.
Jamais aucune fille ne m’avait fait celà.
Claire ne se servait pas de ses mains mais juste de sa bouche et de sa langue.
Elle remonta ma hampe et sa bouche engouffra mon pénis. Elle serra davantage et me fit décalotter tout en continuant ses allers-retours sur mon sexe. J’ai bien cru que j’allais encore éjaculer précocement comme dans la baignoire mais elle savait y faire et cadençait ses mouvements de manière à ce que je ne jouisse pas.
- Tu aimes Chéri?
- Oui Claire, tu es divine, ne stoppes pas.
- Je vois bien que ça te plait mais j’aimerai sentir ton sexe en moi.
J’étais assez paniqué car cela ne m’était jamais arrivé de pénétrer une femme et j’avais peur de m’y prendre mal.
- Tu sais je suis encore puceau, Claire. Je suis désolé.
- Ne sois pas désolé Chéri je vais t’offrir le cadeau que tu mérites depuis tant de temps.
Claire m’embrassa à nouveau et me caressai le sexe.
J’étais toujours sur le dos.
- Tu vas voir, tu n’auras pas mal.
Elle me chevaucha, prit mon sexe et le posa délicatement sur sa vulve. Puis très délicatement elle l’introduit en elle et le fit coulisser. C’était ma première fois et je ne ressentais que du bonheur.
J’avais la sensation d’être chevauché par une vraie femme qui était en train de me faire l’amour et de me dépuceler.
Elle accéléra le mouvement. Mon sexe était maintenant introduit profondément dans son vagin et elle allait au rythme de mes mouvements de reins. A chacune de mes poussées je pouvais voir son cardigan s’entrouvrir et me laisser découvrir ses seins majestueux.
Elle les malaxait et m’ordonnai d’accélérer la cadence. Je sentis son corps et son bas ventre s’emparer de mon sexe et j’éjaculai au fond d’elle. Mon sperme chaud s’écoulait le long de ses parois.
Elle gémissait. Elle se courba et me donna un long baiser. Sa langue me semblait aussi douce que son sexe. Nous nous sommes endormis ainsi. Elle au dessus de moi et ses bras autour de mon cou.
Le lendemain matin fut tout aussi fabuleux. Un nouvel amour venait de naître entre nous.
Je dormais profondément. J’avais passé un début de nuit torride.
Je voulais me tourner sur le dos mais une main me maintenait sur le ventre. J’étais inconscient et me laissai faire.
Je continuai à somnoler et à rêver. Je rêvais souvent et me rappelai de mes rêves la plupart du temps.
Bien que n’étant pas encore éveillé je continuai à rêver que j’avais fait l’amour avec Claire. Je suppose que je bandais.
Tous les hommes bandent le matin après tout…
J’étais donc dans mes songes les plus profonds. Je rêvais qu’une femme était en train de me sucer.
Il m’arrivait fréquemment de faire des rêves érotiques.
Cela me réveilla et j’ouvrais mes yeux un peux endoloris. Je mis quelques minutes à me rendre compte de la situation.
Claire, sur moi, était en train de me sucer. Elle ne portait que son cardigan vert bouteille de la veille et ses yeux bleus étaient plein de malice.
Mon sexe dressé, se laissait faire et mon corps bougeait au rythme de sa langue.
Je ne pris que peu de temps à me rendre compte que la réalité dépassait la fiction.
Claire était vraiment en train de me sucer.
J’ouvris peu à peu les yeux. Elle s’en rendit compte et m’offrit un sourire accueillant.
Nous étions un samedi et n’avions pas cours.
Elle stoppa son geste et vint s’installer sur mon corps.
- Comment vas-tu Chéri?
- Super bien et toi?
Je l’embrassai tendrement.
-Je ne te remercierai jamais assez lui dis-je.
- Pourquoi donc?
- Tu m’as dépucelé d’une manière fabuleuse. Je ne t’en serai jamais assez reconnaissant.
Tu es un amour.
- C’est toi qui est un amour, tu m’as fait jouir comme jamais. J’ai apprécié ta fougue et ton enthousiasme.
Je t’aime Benoit.
Elle me redonna un tendre baiser.
- J’ai encore envie de toi me dit-elle à l’oreille. Tu es si fougueux. Tu sais me procurer tout le plaisir dont j’ai besoin.
J’aimerai que tu me prennes l’anus s’il te plait.
Je n’avais jamais fait cela et ça me paraissait une pratique sale. Je n’étais pas tenté du tout.
- Si ça ne te dérange pas je ne préfèrerai pas lui dis-je. Allons plutôt prendre notre petit déjeuner.
- Tu as raison, je vais me préparer pout toi. Tu ne seras pas déçu.
Elle se leva, m’embrassa à nouveau et prit la direction de la salle de bain.
De mon côté je me disais que je n’avais pas rêvé et que j’avais bien fait l’amour avec cette splendide personne qu’était Claire. Elle avait pris mon pucelage de la plus belle des manières.
J’étais un homme maintenant!
Je restai dans mon lit en attendant que Claire ait terminé de se doucher.
Quand je n’entendis plus de bruit je me dirigeai vers la salle de bain et me lavai copieusement.
Mon sexe était plein de sperme collé à mes poils et j’avais beaucoup de mal à débander tant la nuit passée avait troublé mon esprit.
Je terminai par un douche froide et retournai dans ma chambre pour m’habiller.
Claire m'attendait dans la cuisine.
Elle portait une nuisette blanche totalement transparente qui ne cachait absolument rien de ses jolis seins et de son pubis.
Elle avait par dessus cette nuisette pris la peine de vêtir un cardigan en angora rose pâle extrêmement doux pour ne pas prendre froid.
- Je t'ai préparé des oeufs et du bacon, du café, du jus d'orange pressé et des biscottes. Ca te va?
- Je ne pourrai rêver mieux. Tu es une fée du logis lui dis je en souriant.
- Cette nuit m'a donné faim Benoit. Pas toi?
- Oui je crois que je mangerai plus qu'un ogre. Je me sens si différent.
Je m'installai à table et Claire apporta tout ce qu'il fallait pour prendre un bon petit déjeuner copieux.
Elle était vraiment très belle. Sa nuisette ne cachait rien de ses seins et son doux cardigan la rendait encore plus sensuelle.
Nous avions tous les deux très faim après cette nuit d'amour.
Le petit déjeuner étant fini je me dis qu'il était temps que nous allions faire un tour en ville.
J'en fis part à Claire mais en guise de réponse elle approcha sa bouche de la mienne et me donna un baiser.
- Tu viens? lui demandai-je
- Non, il me semble que nous avions prévu quelque chose ensemble. Et maintenant je suis prête pour toi.
Vraiment prête.
Elle me prit la main et cette fois me guida vers sa chambre. Je n'avais encore jamais eu l'occasion d'y pénétrer mais elle était bien aménagée.
Elle glissa une main sur ma hanche et l'autre dans mes cheveux et m'embrassa goulument. Visiblement elle avait encore envie de faire l'amour.
Mes mains s'empressèrent de lui pétrir les seins et ses fesses si fermes et de caresser son gilet. Ce pull en angora me plaisait décidément beaucoup.
Je ne sais pas pourquoi mais il m'excitait autant qu'elle. Mais dans une moindre mesure tout de même.
- Je vais te faire découvrir ce que j'aime par dessus tout Benoit.
Claire m'ordonna de me dévêtir et de m'allonger sur son lit.
Je bandais comme un taureau.
Elle ouvrit son armoire et en sortit un flacon ainsi qu'un objet d'une forme assez bizarre.
En apercevant mon regard interrogateur elle me dit qu'il ne s'agissait que d'un flacon de lubrifiant et d'un plug anal.
- Un plug anal ? Qu'est ce donc?
- C'est un objet que j'utilise tous les jours chéri. N'aies aucune crainte. Il me permet juste de dilater mon anus pour me préparer à ce que tu me prennes. Tu verras c'est très pratique.
Je lui faisais confiance. Après tout alors que je n'avais que dix huit ans, pouvoir faire l'amour à une femme de trois ans mon ainée me paraissait extraordinaire.
Elle se planta devant moi et se décida à me faire un strip tease. Il faut avouer qu'elle n'avait pas grand chose à ôter.
Son corps ondulait au rythme de la musique qui se diffusait depuis sa chaine stéréo. Elle ressemblait à ces pin ups des années cinquante et je la trouvais très sexy.
Elle ôta son gilet puis me fit un numéro digne des plus grandes strip teaseuses de cabaret et enleva sa nuisette.
Elle continuait à danser nue devant moi puis se décida à remettre son cardigan en angora rose pâle.
Elle le boutonna entièrement mais la laine si douce me laissait entrevoir ses tétons durs et je bandais comme un cerf.
Claire se saisit du flacon, l'inclina, et pressa dessus pour laisser jaillir une fine couche de lubrifiant sur ses doigts.
Elle se mit dos à moi et cambra son corps au maximum. Je pouvais entrevoir sa chatte et son anus.
Un doigt s'inséra dans son anus, puis un second. Elle était en train de se masturber le cul. Jamais je n'avais été confronté à pareille situation.
Elle entra un troisième doigt ce qui sembla lui procurer encore davantage de plaisir. Ses doigts allaient et venaient dans son petit trou sans aucune gêne et je m'aperçus que de son autre main elle se branlait la chatte.
Claire s'empara du plug et l'enfonça dans son anus sans difficulté. Je n'avais jamais rien vu de tel.
Elle semblait dans un état second. Elle conserva le plug et déboutonna son gilet. Elle continuait à se caresser la chatte.
Elle s'approcha de moi et me sourit. Elle enleva son plug anal et prit position au dessus de moi en 69.
- Allez Benoit lèches moi le cul s'il te plait.
J'avais devant le nez sa chatte humide et son trou du cul grand ouvert. Ma langue s'attarda sur son anus et je lui administrai la feuille de rose qu'elle demandait.
Son cul était bien dilaté et elle se branlait doucement tout en me suçant langoureusement.
- Prends moi Chéri. J'ai vraiment envie de te sentir dans mon cul. Dépêches-toi.
Elle prit position à 4 pattes sur son lit et se cambra le plus possible. J'approchai mon sexe de son trou et poussai un grand coup. Elle gémit mais pas de douleur. Visiblement elle avait pour habitude de se faire plaisir de ce côté.
Son anus bien que distendu était serré en comparaison de sa chatte et c'était une toute nouvelle impression pour moi.
Je la ramonai de plus en plus fort et elle semblait prendre un pied incroyable.
Elle avait joui déjà deux fois mais ses cris et ses paroles eurent raison de moi. J'éjaculai au plus profond de ses reins en de longs jets.
Claire était parcourue de spasmes comme toujours et ne cessait de me dire merci.
A suivre....
J’avais choisi de poursuivre ma scolarité par une prépa dans une école supérieure de commerce proche de la suisse.
C’était une école mixte et jusqu’à présent mes parents avaient choisi une école privée réservée aux garçons pour ma scolarité.
Malgré mes dix huit ans j’étais toujours puceau.
En octobre, la rentrée se passa sans problème. Je fis connaissance avec mes camarades de classe et il y avait autant de filles que de garçons.
J’avais dû trouver en ville un appartement que je partageais avec l’une des élèves de cet établissement.
Elle s’appelait Claire et venait de Lyon.
Etant parisien, et né à Paris, je n’aimais pas particulièrement les lyonnaises. Je les trouvai ingrates et imbues de leur personne. Et elle devait en penser la même chose de moi. Parisiens et Lyonnais se sentaient le nombril de la France.
Mais Claire semblait toute autre. Et moi aussi.
Certes elle aimait porter des vêtements BCBG mais elle ne se prenait pas la tête et était très ouverte. C’était une fille charmante,qui était issue d’un milieu bourgeois mais n’en faisait pas étalage.
Mes parents faisaient davantage partie de la classe populaire mais j’adorai ce genre de filles et la façon dont elless’habillaient.
La rentrée se passa bien et chaque soir nous rentrions pour dîner.
Au début nous dînions chacun dans notre coin car j’étais assez timide mais après une semaine nous avions décidé deprendre notre repas du soir ensemble et de discuter de notre journée. C’était sa troisième et dernière année dans cet établissement scolaire et moi je débutais. Elle comptait finir sa scolarité et intégrer un grand groupe financier pour effectuer des audits comptables.
Claire était assez grande et possédait un très beau corps. Ses seins étaient volumineux mais sans toutefois être énormes. Et ils étaient naturels. Il faut dire qu’à son âge (elle avait 21 ans) et à cette époque en 1985, rares étaient les jeunes femmes qui se faisaient refaire la poitrine.
Nous nous étions tout de suite bien entendus tous les deux. Elle blaguait souvent sur ma timidité et aimait me faire rougir mais avec gentillesse.
Elle s’avérait très bonne en classe et je ne doutais pas un seul instant de sa future carrière. Elle possédait tout ce qu’il fallait pour réussir.
Intelligente, drôle, ordonnée ou plutôt organisée devrais-je dire, et acharnée au travail. Mais contrairement à d’autres personnes elle savait faire la part des choses et aimait beaucoup s’amuser le week-end. Elle disait que cela lui permettait de décompresser et que rien ne valait une bonne fête le week end pour repartir du bon pied le lundi matin.
Les cours avaient débuté depuis trois semaines et j’avais un peu de mal à suivre. De surcroit, à cette époque, et dans les écoles de commerce préparatoires à HEC, il se déroulait une période de bizutage que je redoutais activement. Je n’étais pas très sportif. Une carrure normale mais des abdos peu développés et surtout un manque de confiance en moi.
Ce bizutage durait une semaine entière et se composait de jeux pas toujours réjouissants et parfois humiliants.
C’est ainsi que je rentrai un soir en pleurs. Claire était déjà présente et préparait le dîner. Nous avions d’un commun accord, décidé que nous nous partagerions les taches ménagères. Et par conséquent c’était son jour de cuisine.
Je filai dans ma chambre pour pleurer. C’était en effet le dernier jour de bizutage et les « chefs » avaient décidés que sur une vingtaine de candidats les dix qui auraient le plus petit sexe devaient avoir un gage.
Et ce gage était « la bite au cirage ». Rien de bien méchant me direz-vous mais pourtant terriblement humiliant.
Je faisais partie bien évidemment des perdants et avait dû me soumettre à cette épreuve sans broncher. Ils avaient sorti des boites de cirage bien noir et nous avaient enduit le sexe de cette substance qui dégageait une odeur peu commune et surtout n’était pas appropriée pour être appliquée sur des organes sexuels.
J’en avais partout! Mes poils pubiens, mon sexe, mon gland. Toute cette zone était couverte de cirage qui avait durci.
Et maintenant cela commençait à coller et à me faire mal.
Allongé sur mon lit à me morfondre, j’entendis toquer à ma porte. C’était Claire. Elle m’avait entendu entrer et souhaitait me signaler que nous allions passer à table.
Essayant d’étouffer un sanglot je lui dit que je n’avais pas faim.
Elle se rendit compte, au son de ma voix, que je n’étais pas dans la meilleure des formes. Elle retoqua à la porte puis ouvrit celle ci. Je n’avais pas pris le temps de fermer la porte de ma chambre. De toute façon je n’avais pas à le faire car ici j’étais en sécurité. Elle se tenait dans l’entrebâillement puis constatant mon état se décida à entrer.
- Pourquoi pleures-tu Benoit? Quelque chose ne va pas?
- C’est assez personnel lui dis-je.
Elle me questionna et je lui avouai que la cause de ma détresse était liée au bizutage de ce jour.
Elle éclata de rire et me donna un baiser sur les deux joues.
- Que t’est-il arrivé?
Je ne savais que lui dire. C’était difficile à expliquer.
- Tu sais Benoit, nous y avons tous eu droit et moi la première! Comme je suis plutôt bien fichue j’ai dûe me mettre entièrement nue et embrasser une fille. Et le dernier jour, certains anciens m’ont même obligé à leur faire une fellation. Ce n’est pas si grave, c’est l’apprentissage de la vie.
- J’espère tout de même que tu n’as pas eu à faire une fellation à l’un des anciens? Elle riait davantage.
Je commençai à me détendre mais pleurai toujours.
Elle me prit dans ses bras. Elle posa ma tête contre son cardigan et j’explosai en sanglots.
- Vas- y, racontes-moi. Je suis ta confidente, tu peux avoir confiance.
Je lui fit part de ma journée et que finalement j’avais eu droit à la « bite au cirage ».
Je comprends que tu sois choqué me dit-elle mais c’est la tradition ici. N’y prêtes pas attention.
Il y a bien plus grave dans la vie.
Elle me consola et me demanda si nous pouvions aller dîner.
-C’est à dire que pour le moment j’ai toujours le sexe enduit de cirage et comme celui ci a séché
je vais avoir du mal à l’enlever.
Elle déposa un léger baiser sur mes lèvres et me prit la main.
- Viens, suis-moi, je vais arranger ça.
Elle me dirigea vers la salle de bain et me fit déshabiller complètement. J’étais nu comme un ver.
Claire fit couler un bain bien chaud et me demanda d’y prendre place.
C’était la première fois que j’étais nu devant une femme mais pourtant j’étais loin d’avoir une érection tant la situation me rendait mal à l’aise.
Je m’installai dans la baignoire.
- On va nettoyer tout ça, me dit-elle.
Elle s’empara d’un savon et d’un gant de toilette puis me savonna le dos et le torse. Elle avait remonté les manches de son pull pour ne pas le mouiller. C’était une jeune femme active et ne perdait pas de temps.
- Il faut que tu trempes un peu sinon je n’arriverai jamais à décoller ce sacré cirage! Ils ne t’ont pas loupé, les bougres!
Elle continuait de sourire.
-Tu sais à présent je pense que je vais pouvoir continuer seul Claire.
- Non laisse moi faire je suis certaine que tu ne vas pas pouvoir tout enlever.
Elle s’empara de la bouteille de shampoing et me lava les cheveux. C’est à cet instant que je pris conscience qu’elle pouvait aussi être vraiment très douce.
Ses mains parcouraient mon cuir chevelu tout en me faisant des massages. Elle s’appliquait sur mon cuir chevelu et ses mains faisaient des ronds qui me donnaient des frissons.
J’étais maintenant tout à fait détendu.
La chaleur du bain semblait avoir eu un peu raison du cirage qui me faisait de moins en moins mal.
J’avais de la mousse dans les yeux et Claire prit le pommeau de douche pour me rincer le cuir chevelu.
- Il ne me reste plus qu’à te nettoyer le sexe me dit-elle en souriant.
- Tu n’es pas certaine que je puisse le faire moi-même? J’ai un peu peur de ma réaction. J’avais dû rougir et elle s’en aperçut.
- Non n’ai aucune crainte je serai très douce et tu n’auras aucun mal.
- Ce n’est pas ça que je crains Claire.
Elle ne me répondit pas et pris une noisette de gel douche dans le creux de ses mains.
Ses mains se posèrent sur mes jambes. Elles étaient si douces que je ne pus que commencer à bander.
Ses mouvements étaient très lents et sensuels. Comme si elle voulait me préparer à quelque chose d’inattendu.
Petit à petit, elle faisait mousser le gel douche, elle glissa sa main sous mes bourses et s’activa à les nettoyer.
Le cirage partait peu à peu et s’écoulait dans l’eau savonneuse.
Mon sexe avait maintenant une érection maximale et elle ne pouvait s’en apercevoir.
Malgré tout elle continuait mon lavage avec minutie et ne semblait pas du tout se préoccuper de mon membre.
Elle nettoya mes bourses jusqu’à ce qu’aucun morceau de cirage ne soit présent puis s’attaqua à mes poils pubiens.
Ceux ci étaient couverts de cirage noir et commençaient seulement à se décoller malgré ma présence depuis un moment dans le bain.
Elle prit soin de bien leur enlever cette substance collante et si désagréable puis se décida à me laver le pénis.
Elle reprit le pommeau de douche pour me rincer puis enduit une nouvelle fois ses mains de gel douche.
Je ne savais plus que dire. Ses mains parcouraient tout mon membre avec délicatesse et enlevaient chaque morceau de cirage qui tentait de lui tenir tête.
Elle me décalotta. Ses mains sur mon gland étaient une première pour moi mais c’était si bon.
Alors qu’elle avait presque terminé mon lavage intime je sentis l’excitation et le plaisir m’envahir.
Je me crispai et déversai de long jets de sperme dans la baignoire. C’était la première fois qu’une main féminine m’avait fait autant de bien.
Je m’excusai auprès de Claire et lui dit que c’était parti tout seul. Je n’avais pas su contrôler mon plaisir.
Elle prit une serviette et me demanda de me lever. Elle m’essuya les cheveux, le dos, le torse, les jambes et mon sexe sur lequel elle s’attarda.
Elle se baissa et posa un délicat baiser sur mon gland.
- Allez habilles- toi Benoit, tu es propre maintenant et le dîner nous attend.
Je retournai dans ma chambre, pris un jean et un pull et oubliai même de mettre un slip.
Ce moment avec Claire resterait à jamais gravé dans mon esprit. C’était la première femme qui m’avait vue nu et m’avait procuré un orgasme. Je me sentais bien mieux qu’une heure auparavant.
Quand j’arrivai dans la cuisine Claire avait mis la table et m’attendait patiemment pour dîner comme s’il ne s’était rien passé entre nous.
Elle avait toujours son cardigan en cachemire vert bouteille mais elle avait enlevé son chemisier et je constatai qu’elle ne portait plus de soutien gorge. Une mini jupe écossaise agrémentait sa tenue et elle avait pris soin de mettre des bas noirs sur lesquels de hautes chaussettes en laine venaient embellir ses jambes.
J’aurai à cet instant pu croire qu’elle voulait me tester. Mais ma honte de la journée était toujours présente et ma timidité également.
Elle avait préparé le couvert et installé nos assiettes l’une à côté de l’autre.
- Ce soir c'est sushis et sashimis avec du riz! Heureusement car sinon le repas serait brûlé.
- Je te remercie tu es un ange.
Elle avait déjà disposé sur la table de la sauce soja agrémentée de wasabi. Dans une coupelle étaient disposées des lamelles de gingembre.
Je m’installai. Elle posa sur la table les plats japonais et me proposa de commencer notre repas.
Je me rendis compte que son cardigan en cachemire était assez ouvert pour laisser percevoir le début de ses seins.
Sans doute un oubli.
Je n’osai pas lui en parler. Visiblement elle n’avait pas été troublée par notre séance dans le bain mais pour ma part c’était déjà un bon début mais aussi une toute nouvelle expérience.
Nous avons dîné tranquillement et alors que j’allais débarrasser la table elle me fit signe qu’elle allait le faire.
Elle se leva et pris soin de mettre les assiettes, les bols et les tasses dans le lave vaisselle.
Elle se penchait et je pouvais voir qu’elle avait mis des porte jarretelles pour soutenir ses bas.
Après mon épisode sous la douche je ne savais plus quoi en penser.
Elle m’avait fait jouir si naturellement que je me demandais si finalement je devais vraiment m’attacher à Claire ou bien si elle avait agit tout naturellement.
Elle se saisit des baguettes japonaises et des verres et se baissa encore davantage. J'avais une belle vue sur ses bas, son porte jarretelles et son string.
J’étais prêt à la prendre par les hanches mais ne pût me résoudre à le faire. Elle avait sans doute rendez vous avec un copain plus tard dans la soirée.
Je lui informai que j’allai me coucher pour réviser un peu et lui fis une bise sur ses deux joues.
J’avais pourtant tant envie de la prendre! Mais ma timidité me faisait agir autrement.
Je me dirigeai vers ma chambre. Je me dénudai entièrement et me mis sous la couette.
J’étais bien et avais du mal à dormir. Je ne cessais de penser à cet orgasme que Claire avait sû me procurer. C’était si inattendu.
Je fermai la lumière et tentai de dormir un peu.
Après une telle journée faîte d’humiliation et de bonheur je ne tardai pas à trouver le sommeil au bout de quelques minutes.
Je me réveillais en pleine nuit. En fait j’ignorai totalement l’heure hormis le fait que je venais de me soustraire à un profond sommeil.
Après avoir jeté un oeil à mon réveil je constatai qu’il n’était que 23H30.
Dans cette location je possédais un lit deux personnes et je me rendis compte rapidement que quelques chose ne tournait pas rond.
Mon bras droit était en effet disposé sur une matière douce qui n’avait rien à faire dans mon lit.
Il s’était entouré tout simplement autour du corps de Claire qui m’avait rejoint et en fait je caressais son pull doux.
Je n’en croyais pas mes yeux malgré la pénombre. Je devais rêver.
J’allumai la lumière. Claire dormait. Son visage et son corps étaient tournés vers moi. Son gilet était déboutonné partiellement et je pouvais voir pour la première fois de ma vie une partie de ses seins de femme. Elle dormait paisiblement à côté de moi et après chaque respiration profonde ses seins se dressaient.
Elle avait du avoir peur du froid pour garder son pull pour dormir.
La lumière ne semblait pas la déranger. Elle dormait toujours. Je défit les trois boutons de son gilet qui voulaient me résister.
Elle bougea légèrement mais ne s’éveilla pas. J’aventurai une main sur sa poitrine imposante. Elle était magnifique. Splendide même.
Je la caressai un moment. Sa respiration semblait s’accélérer mais elle ne se réveillait pas pour autant.
Plein de pensées me vinrent à l’esprit et j’en arrivai à la conclusion que si elle s’était habillée si sexy lors de notre dîner elle l’avait fait pour me séduire ou m’aguicher.
Je me décidai à explorer son corps plus amplement. C’était une vraie découverte pour moi.
Elle dormait et j’avais toute latitude pour pouvoir la caresser.
Ma main alla vers son sexe. Elle était parfaitement rasée et son minou était tout doux.
J’y introduis un doigt. Mais très doucement car je ne souhaitais pas la réveiller.
C’était ma première fois et je constatait que sa vulve était toute chaude.
J’insérai un second doigt très délicatement. Son corps se mit à se cambrer comme si elle y prenait du plaisir.
Alors que je continuai très délicatement à la masturber elle se mit à bouger puis se cambrer encore davantage.
J’étais persuadé qu’elle dormait mais j’entendis une voix me dire: Lèches- moi s’il te plait Benoit.
Je sursautai mais m’exécutai. Je balançai la couette au dessus du lit et pris place entre ses jambes.
Je ne savais pas comment faire. J’approchai ma langue de son sexe et la léchai. Ses mains m’ouvrirent son clitoris et je me délectai de son petit bouton. Instinctivement ma langue et ma bouche lui procuraient de légers sucions sur son clito. Elles s’activaient comme une pompe et aspiraient ce petit bout de chair qui m’était jusqu’alors inconnu. Je continuai à m’appliquer à lui lécher son petit bouton d’amour et lui remis deux doigts dans sa chatte. Instinctivement, j’accélerai la cadence et Claire me prit par les cheveux et poussa ma langue au plus profond de sa grotte.
- Oh oui Benoit, continues comme ça!
Je n’avais plus trop de souffle et elle me tenait la tête si serrée entre ses cuisses que je manquai d’étouffer.
Elle se lâcha et je vis tout son corps trembler. Elle jouissait dans ma bouche et ne s’arrêtait pas de gémir.
Peu à peu elle reprit ses esprits. Elle m’embrassa tendrement et me remercia.
- Je ne sais pas si c’est la première fois que tu lèches une femme mais je peux te dire que tu t’y prend très bien.
C’est mon premier orgasme de la rentrée.
C’était la première fois que j’avais l’occasion de faire un cunnilingus à une femme et le fait qu’elle y ait pris du plaisir me rendait fier.
- Mmm c’était si bon! me dit -elle.
Je la pris entre mes bras et la remerciai.
- Pourquoi me remercies-tu? ce serait plutôt à moi de te le faire.
- Je te remercie car tu es la première femme de ma vie que je fais jouir et le fait que tu m’aies laissé te lécher la chatte m’a fait très plaisir.
Nous étions totalement éveillés malgré l’heure tardive.
Elle me fit mettre sur le dos.
De mon côté je continuais à lui caresser les seins et sa vulve encore trempée.
Sa langue chercha la mienne une nouvelle fois et nous nous embrassions comme deux êtres inséparables.
Claire prit soin de me lécher tout le corps, de m’embrasser la nuque, de me mordiller l’oreille puis descendit très doucement vers mon bas ventre.
Sa bouche se posa sur mon sexe en érection. Elle me léchait maintenant les testicules et la hampe.
Jamais aucune fille ne m’avait fait celà.
Claire ne se servait pas de ses mains mais juste de sa bouche et de sa langue.
Elle remonta ma hampe et sa bouche engouffra mon pénis. Elle serra davantage et me fit décalotter tout en continuant ses allers-retours sur mon sexe. J’ai bien cru que j’allais encore éjaculer précocement comme dans la baignoire mais elle savait y faire et cadençait ses mouvements de manière à ce que je ne jouisse pas.
- Tu aimes Chéri?
- Oui Claire, tu es divine, ne stoppes pas.
- Je vois bien que ça te plait mais j’aimerai sentir ton sexe en moi.
J’étais assez paniqué car cela ne m’était jamais arrivé de pénétrer une femme et j’avais peur de m’y prendre mal.
- Tu sais je suis encore puceau, Claire. Je suis désolé.
- Ne sois pas désolé Chéri je vais t’offrir le cadeau que tu mérites depuis tant de temps.
Claire m’embrassa à nouveau et me caressai le sexe.
J’étais toujours sur le dos.
- Tu vas voir, tu n’auras pas mal.
Elle me chevaucha, prit mon sexe et le posa délicatement sur sa vulve. Puis très délicatement elle l’introduit en elle et le fit coulisser. C’était ma première fois et je ne ressentais que du bonheur.
J’avais la sensation d’être chevauché par une vraie femme qui était en train de me faire l’amour et de me dépuceler.
Elle accéléra le mouvement. Mon sexe était maintenant introduit profondément dans son vagin et elle allait au rythme de mes mouvements de reins. A chacune de mes poussées je pouvais voir son cardigan s’entrouvrir et me laisser découvrir ses seins majestueux.
Elle les malaxait et m’ordonnai d’accélérer la cadence. Je sentis son corps et son bas ventre s’emparer de mon sexe et j’éjaculai au fond d’elle. Mon sperme chaud s’écoulait le long de ses parois.
Elle gémissait. Elle se courba et me donna un long baiser. Sa langue me semblait aussi douce que son sexe. Nous nous sommes endormis ainsi. Elle au dessus de moi et ses bras autour de mon cou.
Le lendemain matin fut tout aussi fabuleux. Un nouvel amour venait de naître entre nous.
Je dormais profondément. J’avais passé un début de nuit torride.
Je voulais me tourner sur le dos mais une main me maintenait sur le ventre. J’étais inconscient et me laissai faire.
Je continuai à somnoler et à rêver. Je rêvais souvent et me rappelai de mes rêves la plupart du temps.
Bien que n’étant pas encore éveillé je continuai à rêver que j’avais fait l’amour avec Claire. Je suppose que je bandais.
Tous les hommes bandent le matin après tout…
J’étais donc dans mes songes les plus profonds. Je rêvais qu’une femme était en train de me sucer.
Il m’arrivait fréquemment de faire des rêves érotiques.
Cela me réveilla et j’ouvrais mes yeux un peux endoloris. Je mis quelques minutes à me rendre compte de la situation.
Claire, sur moi, était en train de me sucer. Elle ne portait que son cardigan vert bouteille de la veille et ses yeux bleus étaient plein de malice.
Mon sexe dressé, se laissait faire et mon corps bougeait au rythme de sa langue.
Je ne pris que peu de temps à me rendre compte que la réalité dépassait la fiction.
Claire était vraiment en train de me sucer.
J’ouvris peu à peu les yeux. Elle s’en rendit compte et m’offrit un sourire accueillant.
Nous étions un samedi et n’avions pas cours.
Elle stoppa son geste et vint s’installer sur mon corps.
- Comment vas-tu Chéri?
- Super bien et toi?
Je l’embrassai tendrement.
-Je ne te remercierai jamais assez lui dis-je.
- Pourquoi donc?
- Tu m’as dépucelé d’une manière fabuleuse. Je ne t’en serai jamais assez reconnaissant.
Tu es un amour.
- C’est toi qui est un amour, tu m’as fait jouir comme jamais. J’ai apprécié ta fougue et ton enthousiasme.
Je t’aime Benoit.
Elle me redonna un tendre baiser.
- J’ai encore envie de toi me dit-elle à l’oreille. Tu es si fougueux. Tu sais me procurer tout le plaisir dont j’ai besoin.
J’aimerai que tu me prennes l’anus s’il te plait.
Je n’avais jamais fait cela et ça me paraissait une pratique sale. Je n’étais pas tenté du tout.
- Si ça ne te dérange pas je ne préfèrerai pas lui dis-je. Allons plutôt prendre notre petit déjeuner.
- Tu as raison, je vais me préparer pout toi. Tu ne seras pas déçu.
Elle se leva, m’embrassa à nouveau et prit la direction de la salle de bain.
De mon côté je me disais que je n’avais pas rêvé et que j’avais bien fait l’amour avec cette splendide personne qu’était Claire. Elle avait pris mon pucelage de la plus belle des manières.
J’étais un homme maintenant!
Je restai dans mon lit en attendant que Claire ait terminé de se doucher.
Quand je n’entendis plus de bruit je me dirigeai vers la salle de bain et me lavai copieusement.
Mon sexe était plein de sperme collé à mes poils et j’avais beaucoup de mal à débander tant la nuit passée avait troublé mon esprit.
Je terminai par un douche froide et retournai dans ma chambre pour m’habiller.
Claire m'attendait dans la cuisine.
Elle portait une nuisette blanche totalement transparente qui ne cachait absolument rien de ses jolis seins et de son pubis.
Elle avait par dessus cette nuisette pris la peine de vêtir un cardigan en angora rose pâle extrêmement doux pour ne pas prendre froid.
- Je t'ai préparé des oeufs et du bacon, du café, du jus d'orange pressé et des biscottes. Ca te va?
- Je ne pourrai rêver mieux. Tu es une fée du logis lui dis je en souriant.
- Cette nuit m'a donné faim Benoit. Pas toi?
- Oui je crois que je mangerai plus qu'un ogre. Je me sens si différent.
Je m'installai à table et Claire apporta tout ce qu'il fallait pour prendre un bon petit déjeuner copieux.
Elle était vraiment très belle. Sa nuisette ne cachait rien de ses seins et son doux cardigan la rendait encore plus sensuelle.
Nous avions tous les deux très faim après cette nuit d'amour.
Le petit déjeuner étant fini je me dis qu'il était temps que nous allions faire un tour en ville.
J'en fis part à Claire mais en guise de réponse elle approcha sa bouche de la mienne et me donna un baiser.
- Tu viens? lui demandai-je
- Non, il me semble que nous avions prévu quelque chose ensemble. Et maintenant je suis prête pour toi.
Vraiment prête.
Elle me prit la main et cette fois me guida vers sa chambre. Je n'avais encore jamais eu l'occasion d'y pénétrer mais elle était bien aménagée.
Elle glissa une main sur ma hanche et l'autre dans mes cheveux et m'embrassa goulument. Visiblement elle avait encore envie de faire l'amour.
Mes mains s'empressèrent de lui pétrir les seins et ses fesses si fermes et de caresser son gilet. Ce pull en angora me plaisait décidément beaucoup.
Je ne sais pas pourquoi mais il m'excitait autant qu'elle. Mais dans une moindre mesure tout de même.
- Je vais te faire découvrir ce que j'aime par dessus tout Benoit.
Claire m'ordonna de me dévêtir et de m'allonger sur son lit.
Je bandais comme un taureau.
Elle ouvrit son armoire et en sortit un flacon ainsi qu'un objet d'une forme assez bizarre.
En apercevant mon regard interrogateur elle me dit qu'il ne s'agissait que d'un flacon de lubrifiant et d'un plug anal.
- Un plug anal ? Qu'est ce donc?
- C'est un objet que j'utilise tous les jours chéri. N'aies aucune crainte. Il me permet juste de dilater mon anus pour me préparer à ce que tu me prennes. Tu verras c'est très pratique.
Je lui faisais confiance. Après tout alors que je n'avais que dix huit ans, pouvoir faire l'amour à une femme de trois ans mon ainée me paraissait extraordinaire.
Elle se planta devant moi et se décida à me faire un strip tease. Il faut avouer qu'elle n'avait pas grand chose à ôter.
Son corps ondulait au rythme de la musique qui se diffusait depuis sa chaine stéréo. Elle ressemblait à ces pin ups des années cinquante et je la trouvais très sexy.
Elle ôta son gilet puis me fit un numéro digne des plus grandes strip teaseuses de cabaret et enleva sa nuisette.
Elle continuait à danser nue devant moi puis se décida à remettre son cardigan en angora rose pâle.
Elle le boutonna entièrement mais la laine si douce me laissait entrevoir ses tétons durs et je bandais comme un cerf.
Claire se saisit du flacon, l'inclina, et pressa dessus pour laisser jaillir une fine couche de lubrifiant sur ses doigts.
Elle se mit dos à moi et cambra son corps au maximum. Je pouvais entrevoir sa chatte et son anus.
Un doigt s'inséra dans son anus, puis un second. Elle était en train de se masturber le cul. Jamais je n'avais été confronté à pareille situation.
Elle entra un troisième doigt ce qui sembla lui procurer encore davantage de plaisir. Ses doigts allaient et venaient dans son petit trou sans aucune gêne et je m'aperçus que de son autre main elle se branlait la chatte.
Claire s'empara du plug et l'enfonça dans son anus sans difficulté. Je n'avais jamais rien vu de tel.
Elle semblait dans un état second. Elle conserva le plug et déboutonna son gilet. Elle continuait à se caresser la chatte.
Elle s'approcha de moi et me sourit. Elle enleva son plug anal et prit position au dessus de moi en 69.
- Allez Benoit lèches moi le cul s'il te plait.
J'avais devant le nez sa chatte humide et son trou du cul grand ouvert. Ma langue s'attarda sur son anus et je lui administrai la feuille de rose qu'elle demandait.
Son cul était bien dilaté et elle se branlait doucement tout en me suçant langoureusement.
- Prends moi Chéri. J'ai vraiment envie de te sentir dans mon cul. Dépêches-toi.
Elle prit position à 4 pattes sur son lit et se cambra le plus possible. J'approchai mon sexe de son trou et poussai un grand coup. Elle gémit mais pas de douleur. Visiblement elle avait pour habitude de se faire plaisir de ce côté.
Son anus bien que distendu était serré en comparaison de sa chatte et c'était une toute nouvelle impression pour moi.
Je la ramonai de plus en plus fort et elle semblait prendre un pied incroyable.
Elle avait joui déjà deux fois mais ses cris et ses paroles eurent raison de moi. J'éjaculai au plus profond de ses reins en de longs jets.
Claire était parcourue de spasmes comme toujours et ne cessait de me dire merci.
A suivre....
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire. Les moments d'initiation sont inoubliables...
Il n'y a rien à ajouter au très beau commentaire de ce couple de lecteurs. Félicitations pour ce texte plein de douceurs.
Une histoire tendre d'un amour naissant qui se concrétise avec des mots simples, de douceur et de tendreté. Des mots qu'ils faut dire surtout lorsque l'on est timide. Passer à l'acte avec la découverte de l'autre.
Sublime et intense moments de bonheur.
Merci pour ce magnifique récit.
Sublime et intense moments de bonheur.
Merci pour ce magnifique récit.
SUPER , CONTINUES STP...