J’ai commis l'irréparable après avoir découvert la vérité sur mon mari…

- Par l'auteur HDS Jerem4444 -
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Récit libertin : J’ai commis l'irréparable après avoir découvert la vérité sur mon mari… Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2024 dans la catégorie Plus on est
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J’ai commis l'irréparable après avoir découvert la vérité sur mon mari…
Collection Candaulisme non prémédité 12/12 !
Merci à tous d'avoir suivi cette série de nouvelles indépendantes mais pas que :)

12 - LE VIEUX VOISIN VICIEUX
J’ai commis l'irréparable après avoir découvert la vérité sur mon mari…


Mon aventure commença réellement quand je cherchai à mettre la main sur un courrier afin de compléter une démarche administrative.
En fouillant un tiroir du bureau où je ne mettais habituellement pas mon nez (car c’était plutôt mon mari qui s’occupait des comptes et de suivre les remboursements de la sécu), ma main s’accrocha à quelque chose et en y regardant de plus près, je fis l’étonnante découverte d’une petite clé USB scotchée au-dessous du tiroir du dessus.
Elle était positionnée de sorte qu’il ne soit pas possible de la voir en ouvrant le tiroir.
Vraiment avide d’en savoir plus sur le secret que pouvait renfermer cette clé, je la détachai et l’insérai dans le port usb de notre PC de bureau.
Ce que j’y trouvai m’abasourdit.
Il y avait sur cette clé, quelques vidéos porno et des histoires érotiques, ce que je devinais être donc la cachette secrète et intime de mon mari Jérémy, mais j’étais loin d’imaginer la teneur de ses fantasmes…
Voyez-vous, Jérémy et moi, nous étions ensemble depuis plus de 15 ans. Nous nous étions rencontrés à la fac, je devais avoir à peu près 20 ans. Et depuis que je le connaissais, il avait toujours été d’une jalousie maladive. A l’époque, il s’était mis en tête qu’il était mon premier petit ami (et je n’avais pas cherché à le contredire là-dessus vu ses réactions). Quand nous étions jeunes, j’étais jolie et très souvent draguée et chaque fois qu’il s’en rendait compte, il me faisait des crises. Quand un homme posait les yeux sur moi, il me faisait une scène. J’étais très amoureuse et je prenais cela comme un signe d’amour et d’attachement à moi. Au lit, le sexe était génial avant qu’il ne devienne répétitif (comme dans tous les couples j’imagine). Mais quand j’avais essayé de pimenter un peu notre vie sexuelle, toutes mes tentatives s’étaient soldées par un échec. Jérémy était assez réfractaire à ce qui sortait du conventionnel et sa jalousie pouvait même intervenir pendant un roleplay (professeur-étudiante) juste parce que je l’appelais “Professeur” et non Jérémy.
Vous comprendrez donc l’étendue de ma confusion quand j’eus découvert que Jérémy avait un fantasme candaulisme.
J’examinai la clé en me demandant si elle appartenait bien à mon mari (mais à qui d’autre sinon ? nous ne vivions qu’à deux, nous n’avions pas d’ados à la maison). Je jetai un œil sur les histoires érotiques et allant de surprises en surprises, je découvris qu’il en était l’auteur : elles étaient signées de son nom, et la dernière histoire en date (le covoiturage) était encore en chantier. Je lus quelques extraits de ces nouvelles : elles mettaient en scène différents couples découvrant, toujours par accident, le candaulisme pour la première fois dans des lieux de vie traditionnel de couple. Vraiment, je ne savais plus quoi penser de cette découverte.


Ce jour-là, j’étais en télétravail et je peux vous assurer que j’eus beaucoup de mal à me concentrer lors de mes réunions de l’après-midi. Je ne pouvais parler de cette découverte à personne et j’étais loin d’imaginer à quel point cela me boufferait de l’intérieur.
Le soir, Jérémy rentra du boulot (lui n’avait pas le droit au télétravail comme moi), et je décidai de ne pas mentionner ce que j’avais trouvé (j’avais repositionné la clé au bon endroit) mais passai la soirée à l’observer. Avait-il changé de comportement ? Se pourrait-il qu’il n’était plus du tout jaloux ?
Je l’écoutais à peine raconter sa journée tant j’étais dans mes pensées à essayer de me rappeler quand était-ce la dernière fois qu’il m’avait fait une crise de jalousie. Quand il me demanda comment s’était passé la mienne, je me contentai de répondre :
- Comme d’habitude, des réunions toute la journée et pas le temps d’avancer sur les sujets de fond.
Ne l’invitant pas vraiment à la discussion, il trouva un autre sujet en regardant la pile de courrier sur la table que j’avais remontée de ma petite course du matin.
- Encore une lettre pour le voisin du dessus ?! s’étonna-t-il en regardant les courriers.
- Oui, encore, confirmai-je.
- Tu ne t’es jamais dit que cela pouvait être lui qui les met dans ta boîte aux lettres pour que tu lui rapportes ? Le vieux en pince peut-être pour toi !
Il ne croyait pas si bien dire.
Jérémy parlait de notre voisin du dessus, un sexagénaire que je n’avais rencontré qu’à une seule occasion : un jour, le facteur s’était trompé. Du fait de la proximité de nos noms de famille, il avait mis un courrier de ce vieil homme dans notre boîte aux lettres et j’avais été assez polie pour le lui rapporter en main propre. Quand je lui avais remis le courrier, le vieil homme m’avait remercié et avait ajouté, sans aucune honte :
- Madame, vous êtes vraiment ravissante, pour ne pas dire bonne. Si d’aventure vous vous ennuyez avec votre mari, sachez que je pratique les meilleurs cunis de la région ! En échange d’une bonne fellation, bien entendu, avait-il ajouté avec culot.
J’avais alors composé mon air le plus choqué, j’avais tourné les talons et m’étais enfuie au plus vite.
- Je ne vois pas l’intérêt, répondis-je à mon mari, puisque je ne lui porte pas en personne. Je remets directement le courrier dans sa boîte aux lettres…
… ce que je faisais effectivement depuis ce jour.
Je ne l’avais jamais raconté à mon mari car c’était certain qu’il en aurait fait un scandale et serait allé taper le vieil homme, ce qui n’aurait pas été particulièrement bien vu dans la copro. Bizarrement, Jérémy, ce soir-là, avait plutôt l’air amusé de sa théorie.
- C’est bizarre que ça t’amuse. En temps normal, tu m’aurais plutôt fait une crise de jalousie en m’accusant d’aller le voir à chaque courrier et de chercher à le séduire ou je ne sais quoi.
- Tu m’as demandé de travailler sur ma jalousie, je travaille sur ma jalousie ! rétorqua mon mari.


Les jours qui suivirent, ce que j’avais appris sur mon mari n’arrêtait pas de me travailler. Une nuit, je me réveillai même dans une suée nocturne après avoir fait un rêve torride dans lequel je couchais avec mon dentiste devant mon mari. Celui-ci n’arrêtait pas de me répéter d’ouvrir grand la bouche afin qu’il puisse y insérer son sexe. J’avais la chatte humide et une furieuse envie de sexe. Le lendemain, quand mon mari fut parti au travail, je ne sus pas ce qu’il me prit, mais je m’emparai de sa clé USB secrète et me décidai à lire l’une de ses histoires érotiques (le cinéma). J’ai honte de l’admettre, mais je réussis à atteindre un orgasme puissant comme je n’en avais pas eu depuis longtemps en me touchant pendant la lecture.


Le lendemain, il se passa un autre événement. Alors que je rentrais d’une petite balade de fin de journée, je relevai le courrier et tombai à nouveau sur une lettre destinée à mon voisin vicieux du sixième. Je repensai à la théorie de mon mari et décidai que c’en était trop. Si le facteur avait pu se tromper la première fois, il était évident que les autres fois avaient été intentionnelles et j’étais bien décidée à faire arrêter ce spam.
Je sonnai à la porte de mon voisin et quand il ouvrit, je lui tendis le courrier. Il me sourit. Il avait cet air fier de lui, confiant et je me demandais comment il pouvait l’être autant alors qu’il n’était plus très frais, les cheveux blancs, une petite bedaine et en repensant à ce qu’il m’avait dit ici même la première fois que nous nous étions rencontrés, je me rendis compte qu’il me révulsait.
- Vous voulez bien arrêter de faire ça ? lui dis-je sans un bonjour et sur le ton de la colère.
- Bonjour madame, dit-il en insistant sur le “bonjour”.
- Bonjour, répondis-je agacée.
- Faire quoi donc ? demanda-t-il
- Mettre votre courrier dans ma boîte aux lettres. Je sais que c’est vous et ça ne sert à rien de le faire puisque je ne viens pas vous voir pour vous le rendre, je le remets directement dans votre boîte aux lettres.
- Vous êtes venue là, c’est que ça fonctionne, me répondit-il éhonté et triomphant.
Je pris un air choqué et lui répondis :
- Écoutez, je me fiche de savoir que vous faîtes une fixette sur moi, la prochaine fois que je trouve un courrier qui vous est destiné dans ma boîte aux lettres, je le mets à la poubelle. Purement et simplement.
- Est-ce que je vous ai dit que j’avais une grosse queue ? Probablement la plus grosse que vous n’ayez jamais connue, répondit-il avec insolence. Vous devriez reconsidérer ma proposition !
Hors de moi, je lui arrachai le courrier des mains et me dirigeai vers l’ascenseur.
- Celui-ci aussi ira à la poubelle, dis-je en partant.
Le vieux sortit alors de chez lui et ferma sa porte à clé pendant que j’appelai l’ascenseur.
- Vous faîtes quoi là ? Vous n’allez pas me suivre ?
- Non ! s’exclama-t-il, j’ai le droit de sortir de chez moi ? Je vais rendre visite à ma fille.
Il y eut un moment de gêne pendant lequel nous attendions tous les deux l’ascenseur et je ne croyais pas une seconde à son histoire.
- Je vais prendre l’escalier, dis-je.
- Non laissez, je vais le prendre, moi. Visiblement je vous mets mal à l’aise.
“Quel culot !” pensai-je. Il me faisait des avances sans détour et s’étonnait que je sois mal à l’aise. D’un autre côté, j’avais quelques remords à laisser un sexagénaire prendre l’escalier pour descendre 6 étages alors que moi-même n’en avait qu’un à descendre pour retourner chez moi. Mais je trouvais cette cage d’escalier plutôt glauque et il m’avait énervée alors je le laissai y aller. Il ne s’était même pas intéressé à récupérer son courrier !
L’ascenseur finit par s’arrêter et une jeune femme, d’à peu près mon âge en descendit. Elle passa devant moi en me saluant poliment. Il y avait d’autres gens dans l’ascenseur qui m’annoncèrent qu’ils montaient. Je décidai donc d’attendre encore un peu qu’il revienne en descente.
Pendant que j’attendais, la jeune femme se dirigeait vers la porte que mon offenseur avait fermée quelques minutes plus tôt. Je crus alors qu’il s’agissait de sa fille. J’hésitai pendant quelques secondes à l’aborder puis je me décidai.
Venant vers elle et lui tendant le courrier, je lui dis :
- Tenez, c’est le courrier de votre père. S’il vous plaît, faîtes qu’il arrête de mettre ses lettres dans ma boîte et qu’il arrête de me draguer. Il vient de partir vous rendre visite, vous vous êtes manqués de peu.
Elle eut alors une réaction inattendue : elle se mit à rire. Elle prit le courrier et consentit à me donner une explication me voyant étonnée de la voir rire.
- Ce n’est pas mon père, c’est mon mari.
J’étais doublement gênée. D’abord j’avais jugé sans le savoir leur écart d’âge mais en plus je venais de lui dire que son mari s’amusait à draguer d’autres femmes. Et elle, elle avait ri.
- Je ne comprends pas en quoi c’est drôle, lui dis-je.
- Non rien, oubliez, me répondit-elle. Merci pour le courrier, je tâcherai de lui dire de calmer ses ardeurs, ajouta-t-elle en me souriant.
Elle était très belle, de longs cheveux roux et quelques tâches de rousseur sur le nez, elle faisait vraiment très jeune, trop jeune pour lui !
- Je ne suis pas avec lui pour l’argent, me dit-elle soudain, comme si elle avait lu dans mes pensées.
Peut-être que mon regard avait trahi une forme de jugement.
- Je… je, baffouillai-je. Je ne voulais pas insinuer cela, tentai-je de me justifier.
- Je suis avec lui pour le sexe, ajouta-t-elle. Il est très bon, vous devriez considérer sa proposition !
Et voyant mon visage se décomposer.
- Je plaisante, ma belle. Bonne journée à vous.
Elle entrait dans son appartement et fit un geste pour en fermer la porte mais je la stoppai en l’interpellant :
- Attendez !
Elle ressortit la tête et m’interrogea du regard.
- Je suis désolée si j’ai paru vous juger. Je suis juste étonnée, de la différence d’âge, oui c’est vrai, mais pas seulement. Je suis étonnée que vous preniez les écarts de votre mari autant à la légère.
Elle me toisa quelques secondes avant de se décider à me répondre.
- Comment vous appelez-vous ?
- Caroline, lui répondis-je.
- Enchantée Caroline, moi c’est Christelle. Dîtes Caroline, je peux vous tutoyer ?
- Oui bien sûr, nous devons avoir le même âge…
- Caroline, c’est moi qui suis désolée pour mon mari s’il t’a contrariée. Mon mari et moi sommes plutôt ouverts et je trouve ce genre de situation plutôt amusante. J’en oublie parfois que d’autres personnes prennent le sexe bien plus au sérieux que moi et pour cela je m’en excuse. On ne te dérangera plus, c’est promis.
Et de nouveau, quand elle allait prendre congé de moi, je répondis :
- Mais comment vous faîtes… pardon, comment tu fais pour être aussi détachée ?
Cela faisait plusieurs nuits que je dormais mal à cause de ce que j’avais appris sur mon mari et j’avais le sentiment que cette Christelle pourrait m’aider à prendre du recul.
- Tu veux venir prendre le thé ? ou un café ? m’invita-t-elle. Ne t’inquiètes pas, si mon mari est parti chez sa fille, il en a pour un moment.
J’acceptai alors la proposition et entrai dans leur appartement. Il était très joliment décoré à l’image de cette belle jeune femme.
- C’est mon mari qui a fait la déco, il est architecte d’intérieur, me déclara-t-elle, comme si elle avait lu une nouvelle fois dans mes pensées.
- Décidément, je dois être pleine de préjugés.
- Sûrement parce qu’il est âgé ou parce qu’il a été rustre avec toi, tu ne l’imaginais pas avoir une sensibilité artistique…
J’acquiesçai. Elle lisait en moi comme dans un livre ouvert. Nous nous installâmes à la table et elle me prépara un thé.
- J’ai moi aussi mon petit lot de relous, de stalkers et de remarques salaces à mon égard et je sais à quel point ça peut être crispant. J’ai conscience que mon mari est comme ça et je suis vraiment désolée de ne pas t’avoir prise au sérieux…
Elle me répétait ses excuses, je sentais qu’elle essayait de me ménager et qu’il y avait un “mais”.
- Mais ?
- Mais, j’avoue que ça ne me fait plus grand chose depuis des années. Je ne sais pas si je trahis la gente féminine en disant ça, mais à vrai dire je m’en fous, j’ai toujours aimé le sexe, j’ai toujours adoré me sentir désirée et j’ai toujours eu une vie sexuelle épanouie. Si un homme me plaît et que j’ai envie de coucher avec, je le fais. S’il m’importune, je préfère en rire, tant, bien sûr, qu’il ne devient pas physiquement violent. Mon mari et moi avons fréquenté les clubs, nous avons couché avec d’autres personnes. C’est un partenaire aimant pour moi qui a un fort appétit sexuel, même encore à son âge et qui me rend heureuse au lit et me laisse aussi une certaine liberté.
- Mais tu n’es pas jalouse de le voir avec une autre ? demandai-je, pensant au fantasme de mon mari.
- Pas le moins du monde, je suis heureuse quand il est heureux et inversement. Pour moi les sentiments et le sexe sont deux choses bien distinctes. Je sais que mon mari m’aime et il n’y a pas de raison qu’il parte vivre avec une autre et lui n’a pas à s’inquiéter non plus. Tant qu’on continue à se donner de l’amour, mon mari ou moi-même pouvons bien aller chercher du sexe ailleurs, ce n’est rien de plus que du sexe.
Je me composai une moue dubitative.
- Écoute Caroline, je ne dis pas ça pour te convaincre, chacun a sa propre conception du couple, c’est juste que je suis heureuse comme ça et tu semblais vouloir en savoir plus…
- Oui, je me pose pas mal de questions en ce moment…
- Parce que tu n’es pas heureuse dans ton couple ?
- Si… Non… C’est pas ça…
- Quand est-ce la dernière fois que ton mari t’a faite monter au septième ciel ?
- Euh… y’a pas si longtemps… baragouinai-je. On a eu un rapport il y a 3 semaines environ…
- Écoute-toi parler Caroline ! “On a eu un rapport”... Moi je te parle de passion, de sexe, d’excitation, de puissant orgasme. On dirait que tu me parles d’une réunion mensuelle marquée dans ton calendrier !
Je baissai les yeux, un peu honteuse d’avoir laissé aller mon couple dans cette direction.
- Caroline, est-ce que tu te sens belle ? désirée ?
- Bah, euh… oui…
- Tu n’as pas l’air très sûre de toi ! insistait Christelle. Tu es belle ! Tu es magnifique. Tes formes sont juste parfaites. Quand on voit ce décolleté, on meurt d’envie de voir ce qu’il y a dessous. Ce n’est pas étonnant que mon mari t’ait fait des propositions indécentes !
Je rougissais. Ces compliments, dans la bouche d’une femme, me paraissaient plus facile à recevoir que si c’était un homme pervers qui me les assénaient.
- Tu es belle mais par contre, qu’est-ce que tu as l’air tendue, comme si tout était grave, comme si mon mari t’avait annoncé la fin du monde. Ou… comme si ton mari t’avait trompée ?
- Non, ce n’est pas ça… Je suis tombée sur sa cachette secrète de… tu sais… porno (dis-je à voix basse comme si c’était un mot interdit). Et je crois qu’il est… candauliste, avouai-je à cette inconnue.
J’avais besoin de me libérer d’un poids. Christelle rit à nouveau de bon cœur.
- Ah, c’est donc cela, c’est pour ça que tu me demandes comment être détachée ? Je pensais qu’il t’avait trompée !
- Mon mari a toujours été extrêmement jaloux, ça ne lui ressemble pas cette explication de détacher les sentiments et le sexe…
- Ah… et pourtant, c’est très fréquent que des hommes qui ont une jalousie maladive finissent par devenir candaulistes !
- Comment cela ?
- Tu sais ce que c’est le candaulisme ?
- J’ai lu un peu dessus après avoir découvert le truc…
- La jalousie est souvent un moteur pour le candaulisme. Vois ça un peu comme le sadomasochisme, on apprend à aimer ce qui fait mal. Le candaulisme, c’est une manière de transformer un sentiment émotionnel fort et douloureux en quelque chose de positif et excitant. C’est un mécanisme de défense. En plus la jalousie, en général, vient d’un manque de confiance en soi, ou d’une peur de l’abandon. Si l’homme prend plaisir à voir sa femme épanouie sexuellement et concentre son attention sur l’excitation que cela lui procure plutôt que le sentiment négatif de la perdre, il a toute les chances de la rendre heureuse et de lui offrir moins de raisons de l’abandonner.
Ce monologue me laissa songeuse.
- Allez, donne-moi des infos croustillantes, il y avait quoi dans sa “secret stash” de porno ? demanda Christelle pour détendre l’atmosphère qui était sûrement devenue trop sérieuse à son goût.
- Oh… des vidéos candaulistes et des histoires érotiques écrites par lui-même…
- Ah ! Ton homme aussi est un artiste ! me félicita-t-elle. Tu les as lues ?
- Oui, quelques-unes…
- Et alors, c’était bien ?
- Moyen, répondis-je en riant. Mais excitant, confessai-je.
- Aaaah, tu vois ! Tu commences à te débrider !
Nous rîmes ensemble de bon cœur.
- Je ne lui en ai pas encore parlé, avouai-je en reprenant mon sérieux.
- Peut-être que tu devrais chercher un amant sur internet, lui demander de filmer vos ébats et le montrer directement à ton mari, je suis sûre que ça serait un bon brise-glace, s’amusa-t-elle.
Je ris encore avec ma nouvelle confidente. Au bout de quelques minutes de discussion plus détendue, j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. C’était le mari de Christelle qui était rentré.
- Céline n’était pas chez elle, annonça-t-il à voix haute avant de nous surprendre toutes les deux dans la cuisine.
Je ne savais plus où me mettre.
- Tiens, tiens, dit-il. Si ce n’est pas notre très jolie voisine du cinquième. Aurait-elle reconsidéré ma proposition ?
Gênée, je me refermai comme une coquille et annonçai à Christelle mon intention de rentrer.
Christelle, comprenant que je n’étais pas à l’aise en présence de son mari, me raccompagna jusqu’à la porte :
- Tu peux revenir prendre un verre ou un thé quand tu veux, ma belle. Je te sens un peu isolée et perdue, je sens que tu aurais bien besoin d’une amie.
Depuis la cuisine, j’entendis alors son mari crier :
- Dis-lui que la prochaine fois qu’elle revient avec mon courrier, je la baise sur la table de la cuisine !
Christelle leva les yeux aux ciels.
- Ne l’écoute pas. Pour son courrier, tu n’as qu’à le jeter à la poubelle, il finira par se lasser de ne plus le recevoir, dit-elle en rigolant.
Décidément, même les courriers, Christelle les prenaient à la légère. Remarquez, je n’avais jamais eu de lettres entre les mains avec son nom à elle dessus, je croyais même qu’il vivait seul comme un ermite. Peut-être ne faisait-il cela qu’avec ses courriers à lui qu’il savait non importants.
Je pris congé de Christelle et rentrai chez moi.
Que croyez-vous ? Que j’allais céder aux désirs de ce vieux vicelard ?


En fait… Vous n’avez pas tord…


Cela arriva deux semaines après. Je n’avais pas trouvé le courage d’en parler à mon mari, mais un soir, alors qu’il devait sortir avec des collègues pour un pot de départ, je me sentais seule et un peu excitée à force de ressasser les histoires de mon mari dans ma tête. Je repris sa clé USB et retournai dans son répertoire d’histoire érotique quand je constatai l’existence d’une nouvelle histoire “La chambre communicante”.
Cette histoire me bouleversa plus que les autres car elle me mentionnait moi et mon mari lors d’un voyage que nous avions fait à Nice, un soir dont je me rappelais très bien, où un couple dans la chambre d’à côté faisait bruyamment l’amour.
J’appris dans ce récit, que mon mari m’avait trompée avec une jeune fille prénommée Alice et que c’était suite à son expérience que son fantasme s’était développé (j’apprendrai bien plus tard que ceci n’avait été qu’une fiction imaginée par mon mari et qu’il avait ce fantasme depuis plus longtemps que je le pensais). J’étais en colère contre lui. Je tentai de l’appeler mais il ne répondait pas. Au lieu de faire les 100 pas chez nous comme une lionne en cage, je sortis marcher dans la rue. En revenant, je prélevai le courrier comme à mon habitude et tombai à nouveau sur une lettre du voisin du 6ème. Mon premier réflexe fut l’agacement et je fis quelques pas vers la corbeille à prospectus pour la jeter quand me vint soudain une deuxième idée, plus légère, moins prise de tête, agréable à penser et digne de ce que ferait Christelle.
Je suis alors montée au sixième et ai sonné à la porte de ce vicieux voisin.
- Tiens tiens tiens, on dirait que faire la cour à cette jeune demoiselle a porté ses fruits ! s’exclama-t-il. C’est ton amie Caroline, cria-t-il à sa femme.
Je décidai de lui répondre avec les gestes. Je posai son courrier, mon sac et mon portable sur la petite console à l’entrée. Je dézippai la fermeture éclair de ma robe au niveau de mon dos, me débarassai de mes bretelles et la fis tomber sur le sol. J’avais une culotte mais pas de soutien-gorge, j’étais moitié nue devant ce pervers. Il me répugnait par son apparence de vieil homme et je ne pouvais m’empêcher de me sentir excitée par le fait que cela ne rendait que plus forte la transgression que je m’apprêtai à faire.
Christelle débarqua dans la cuisine et loin d’être choquée de ce qu’elle voyait à la porte, me lança un sourire.
- Ouais girl ! mâte-moi ces seins !
Je lui montrai mon portable sur la console et lui demanda :
- Tu devras me filmer !
Son mari ferma la porte derrière moi et me prit alors en main. Il me demanda d’abord de m’agenouiller dans l’entrée et m’ordonna de le sucer.
Je baissai son jogging dégueulasse et révélai une vieille culotte blanche de grand-père de laquelle se dégageait une forte odeur. Il n’avait pas menti sur la taille de son engin. Il était tellement gros qu’il dépassait de la culotte et son âge avancé ne gênait en rien sa vigueur. Elle était déjà dure comme du bois. Pendant que Christelle me filmait avec mon portable, je baissai sa culotte et libérai la bête. J’entrepris alors de l’embrasser du bout des lèvres, y allant progressivement pour m’accoutumer à son odeur forte et à son goût qui me mettaient dans un état d’excitation second.
Impatient, il me répéta l’ordre d’ouvrir la bouche et de le prendre pleinement. Quand il vit que je faisais la moue, il me donna une bifle sur la joue. Je me sentis alors humiliée et pris un air choqué.
- Ah voilà, cet air de bourgeoise coincée qui me fait tant bander. Je vais te dévergonder moi, tu vas voir !
Puis il me donna deux autres biffles et m’ordonna de tirer la langue, ce que je fis.
Il posa sa queue dessus.
- Si tu t’appliques bien, je te ferai le meilleur cuni de ta vie.
Je mouillais de la chatte comme une chienne. Je ne m’étais pas sentie si en vie depuis la fac. Je me demandais ce que je faisais là. Ce n’était pas moi, je ne me reconnaissais plus.
Je le suçai en m’appliquant, crachai sur sa bite comme dans les bons films porno et j’allai même jusqu’à lécher ses couilles. Le vieil homme était imberbe (contrairement à mon mari) et je pris plaisir à lécher toute son anatomie génitale sans retrouver quelques poils gênant sur la langue. La taille de sa queue représentait un exercice difficile pour ma mâchoire qui n’était pas sans me rappeler mon rêve érotique.
Pendant cette fellation, je vis que Christelle s’était brièvement interrompue de filmer pour se défaire de quelques vêtements trop encombrants. Elle était maintenant en sous-vêtements et reprenait le tournage de son film avec la main gauche, pendant qu’elle se massait le minou avec la main droite. Je gageai que le cadrage ne serait pas de la plus excellente des qualités.
Ensuite, son mari m’ordonna de me relever, de le suivre puis de me retourner et de me cambrer contre la table de la cuisine où j’avais pris le thé avec Christelle. Il baissa alors ma culotte et je sentis sa langue visqueuse et son visage tout entier, s’immiscer entre mes fesses. Il commença son traitement par un anulingus qui me rendit toute humide. Puis, il me retourna et me demanda de m’asseoir sur la table et d’écarter les jambes.
Je me débarassai de ma culotte qui trainait par terre et m’exécutai. J’offris ainsi ma vulve à ce voisin qui était encore un inconnu pour moi. Il y plongea la tête et débuta ce qui s’avéra effectivement être le meilleur cuni de ma vie.
Au début, je gémissais un peu, peinant à prendre du plaisir, me rappelai que j’étais dans une position inconfortable sur cette table et filmée. Mais le vieux savait clairement y faire. Il trouva mon clito très rapidement et savait manier la langue et les doigts. Je commençai à me laisser à aller, à lâcher prise. Je dois avouer que j’étais venue là sur un coup de tête pour me faire baiser la chatte, pas juste pour un cuni mais après quinze minutes de ce traitement et deux organsmes plus tard, j’avais l’impression d’être complètement rassasiée.
Mais le vieux n’en était qu’aux préliminaires.
Il me demanda de l’accompagner jusqu’au canapé. Christelle, qui s’était bien masturbée pendant mon cuni, nous suivit avec la caméra. Il me demanda de me mettre à quatre pattes sur le canapé. De la mouille coulait le long de mes jambes.
Il inséra quelques doigts dans ma chatte dans cette position pour me tenir excitée puis vint porter ses mains à ma bouche et m’ordonna de les lécher, ce que je fis sans broncher. Ce geste, en apparence tout con, c’était la première fois que je le faisais. Je n’avais jamais pensé à me lécher les doigts après m’être masturbée et jamais Jérémy ne m’avait fait faire cela. Il y avait un petit côté salope que j’avais envie d’assumer alors j’y allais goulûment pendant qu’il me complimentait et me traitait de salope.
Il s’adressa à mon mari par l’intermédiaire de la caméra et annonça que c’est ce qu’il se passait quand on délaissait une déesse comme moi, juste avant de me fourrer son énorme queue dans la chatte sans aucune protection.
- J’espère que tu prends la pilule salope, je suis trop vieux pour avoir d’autres gamins.
- Oui, l’assurai-je
Il me demanda si j’aimais cela, être une salope qui trompe son mari et me fessa jusqu’à ce que je réponde par l’affirmative et répète de mon plein gré que oui, j’étais une sale chienne qui aime tromper son mari. Il me fit même parler à Jérémy par l’intermédiaire de la caméra.
- Dis à ton homme que tu n’as jamais pris autant ton pied !
Je déclarai alors à la caméra, ou plutôt à Jérémy que je l’aimais mais que je n’avais jamais autant pris de plaisir en baisant, que sa queue était immense, que je me sentais enfin remplie.
Au bout d’un moment, comme je criai trop fort sous les coups de reins vigoureux de ce vieil homme (j’étais étonnée moi-même d’un tel déhanché pour son âge), il voulut me faire taire. Il demanda à sa femme de s’allonger sur le canapé devant moi. Elle répondit tout de suite à son invitation. Christelle retira sa culotte et vint s’allonger devant moi, toujours à quatre pattes, les seins se balançant sous les coups de pénétration de son mari. Elle écarta ses jambes et m’attrapa la tête. Elle la plongea ensuite entre ses cuisses. Je compris alors ce que je devais faire, je sortis ma langue et me mis à lécher Christelle. Une nouvelle fois, ce qui aurait pu m’écoeurer en temps normal m’apparut comme une transgression terriblement excitante. Christelle était tout l’inverse de son mari. C’était une belle femme, séduisante et je pris beaucoup de plaisir à voir son magnifique visage déformé par le plaisir que je lui procurais en lui bouffant la chatte.
J’eus mon troisième orgasme en même temps que Christelle eut son premier. Quand je sentis ses contractions se rapprocher, mon excitation devint plus forte et je jouis sous les coups de bite de son mari.
Enfin, celui-ci, fatigué d’avoir fourni autant d’énergie à son âge, s’assit sur le canapé et nous somma de le faire gicler. Nous étions à genou devant lui et il avait pris la caméra pour libérer les mains de sa femme (qui de toutes façons n’arrivait plus à tenir le cadrage pendant qu’elle se faisait lécher). Il nous filmait toutes les deux et nous nous partagions sa queue en le suçant à tour de rôle. Je lui fis même une branlette espagnole avec mes seins qu’il aimait tant. A un moment, il signala qu’il allait jouir. Christelle tira la langue pour recueillir le sperme dans sa bouche. Par mimétisme, je la suivis en en faisant autant.
Il éjacula alors d’étonnantes quantité de sperme sur nos langues, bouches et joues. Christelle me gratifia ensuite d’un baiser très humide avec la langue. C’était la première fois pour moi que je me livrai à un baiser lesbien et qui plus est, plein de sperme (c’est elle qui avala cependant). J’adorai, je me sentais tellement pute et en même temps tellement soulagée de toute la colère que j’avais renfermée contre Jérémy pour m’avoir trompée. Je me fichais presque des conséquences. S’il aimait ma surprise, je recommencerai et fini la petite Caroline coincée qui n’était pas épanouie dans sa vie sexuelle. S’il me quittait, j’étais décidée à reprendre en main ma vie sexuelle.


Quand je quittai finalement l’appartement de mes voisins, le mari de Christelle me dit :
- Si tu reviens avec un courrier, moi je viendrai avec quelques copains.


Toujours la petite remarque salace dérangeante !
Quand mon mari rentra de son pot. Je lui demandai de m’accorder un peu de temps pour parler. Il se posta devant la télé, devant une émission qui ne demande qu’à débrancher le cerveau et me demanda alors :
- Ca ne peut pas attendre demain ? Je suis un peu fatigué.
- Non, je préférerai qu’on parle ce soir.
Il y eut quelques secondes de blanc.
- Oui, oui d’accord, répondit-il, sans que son attention soit vraiment portée sur ma réponse.
- Chérie, tu te souviens du courrier du voisin ?
- Ha dégueu ! réagit-il à une scène où un chef étoilé découvrait les cuisines dégueulasses d’un restaurant quelconque.
- Chérie ! l’appelai-je. J’ai trouvé ta clé… Et comme il n’écoutait pas plus, je pris mon téléphone, actionna la vidéo où je suçais le voisin et la mit devant son nez.
Il me regarda avec un air ahuri.
- Est-ce que j’ai ton attention maintenant ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je remercie tous ceux qui ont apprécié cette histoire et me demandent la suite. Il s'agissait d'une collection de 12 nouvelles dont celle-ci était la dernière. Si vous avez aimé, je vous invite à cliquer sur mon pseudo et découvrir les autres histoires. Pour la suite, malheureusement, je n'ai à ce jour pas pris la décision de poursuivre avec une nouvelle "saison". J'attends que l'inspiration me vienne ^^.

Histoire Coquine
Excellent on attends la suite avec impatience.

Patso

Histoire Erotique
Toute cette histoire c est du flan récit idiot après avoir ingurgité une bonne dose d alcool.personne ni croit.

Une suite est-elle prévu? Est si cela se trouve tout le contenu de la clé était juste un fantasme du mari ? Qui va se retrouver comme une conne ??? Après comme elle la dit dit.
" Je me fichais presque des conséquences" " . S’il me quittait, j’étais décidée à reprendre en main ma vie sexuelle"

Finalement aime t-elle réellement son mari ??? J'en suis très loin d'être convaincu !!!

Waouh! Excellent!

Histoire Libertine
Encore 1 histoire ou le mec a perdu ses couilles en route , la femme n'a pas de respect pour elle meme en prime.

Histoire Erotique
Super histoire. Le ton est donné et je pense que la suite va être aussi bien. J'attends donc une suite digne de ce début. Je parie que la consommation de sexe va plaire à l'auteur et que cette jeune femme va se dévergonder en laissant libre cours à sa sexualité. Très bon début, j'attends la suite avec l'espoir de découvrir la véritable nature de Caroline.
Daniel

Histoire Erotique
Wouawww, quelle magnifique histoire, bandante tout le long...
Vivement la suite

Cyrille



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