Nous n’avions pas le cash pour payer un chauffeur de taxi peu professionnel...

- Par l'auteur HDS Jerem4444 -
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Récit libertin : Nous n’avions pas le cash pour payer un chauffeur de taxi peu professionnel... Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2023 dans la catégorie Plus on est
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Nous n’avions pas le cash pour payer un chauffeur de taxi peu professionnel...
Collection Candaulisme non prémédité 6/12
06 - LE TAXI
Nous n’avions pas le cash pour payer un chauffeur de taxi peu professionnel


Alice et moi étions dans le taxi, de retour d’une soirée bien arrosée que nous avions passé dans un bar du 20e près de Bastille, avec des amis.

Alice et moi, sommes ensemble depuis un peu plus d’un an. Nous nous sommes rencontrés par l’intermédiaire de ce groupe d’amis que nous partageons. J’ai tout de suite accroché avec elle. Alice est un peu délurée, elle a ce petit côté excentrique. Ses cheveux sont toujours colorés (ils étaient bleus clair lors de cette histoire), elle porte des tresses, un piercing sur la langue et un nombre important de tatouages sur les bras, le bas du dos, autour du nombril, sur l’entrejambe et même sur la fesse droite.
Bref, l’originalité de sa personnalité transparaît sur son apparence.

-
Ce soir là, les discussions avaient toutes peu à peu dérapé sur le sexe à commencer par les confidences de notre amie Laurie, non heureuse avec son nouveau copain éjaculateur précoce. Quelques verres avaient suffi pour nous débrider. Alice confessa même à nos amis communs que nous avions pour habitude de mater du porno ensemble. Je me souviens encore du regard d’envie que me jetaient mes potes en se disant que j’avais peut-être tiré le gros lot en matière d’ouverture d’esprit.
Le reste de la soirée, Alice me fit du pied sous la table et s’amusait parfois à le remonter jusqu’à mon entrejambe. Je comprenais bien que cette discussion l’avait émoustillée.
Trop fatigués pour rentrer en RER, nous décidâmes à la fin de la soirée de héler un taxi.


J’avais à peine donné l’adresse au conducteur qu’Alice avait déjà posé ses mains sur moi, sur mon visage, sur mes cheveux. Elle m’attira sur ses lèvres et poursuivit en parallèle son intrusion tactile dans des parties plus intimes de mon corps sans aucune gêne par rapport au conducteur. Nous batifolâmes ainsi pendant tout le trajet : moi, partagé entre le désir pressant de la déshabiller et de lui faire l’amour sur le champ et le peu de raison qu’il me restait, me poussant à freiner certaines de ses avances trop osées. Par exemple, je vis le regard désapprobateur du conducteur dans son rétro lorsqu’Alice tenta d’ouvrir ma braguette pour en sortir ma queue. Je la stoppai. J’arrêtai également Alice avant qu’elle ne tente de m’allumer davantage en descendant son haut sous les seins ; elle en aurait été capable ! Je ne pus la retenir cependant, lorsqu’elle profita d’un baiser torride pour passer sa main sous sa jupe pour retirer sa culotte. Je la vis tomber le long de ses jambes sur le sol du taxi. Elle s’en défit les pieds, l’attrapa puis me la déposa dans la poche de ma veste.
J’étais chaud comme la braise de la savoir nue sous sa jupe, je comptais les minutes avant qu’on arrive à la maison.


Je ne pouvais cependant pas me douter de la situation qui nous attendait à notre arrivée à la maison. Passé la station essence, j’indiquai où se trouvait notre maison et le conducteur trouva une place dans la rue juste à côté. Le compteur affichait un montant exorbitant, mais nous n’étions pas d’humeur à demander des explications, nous voulions rentrer rapidement et poursuivre nos attouchements dans notre sphère privé. Je tendis la carte bleue mais le chauffeur de taxi la repoussa.
- Je n’ai pas de lecteur bancaire, c’est cash seulement, annonça-t-il.
Surpris je rétorquai :
- Nous n’avons pas de cash, seulement la carte bancaire !
- Ce n’est pas mon problème, répondit-il, je vous ai prévenus lorsque vous êtes montés, vous m’avez dit “oui, oui”.
Assurément, je ne me souvenais pas avoir ni entendu cet avertissement, ni avoir répondu ceci mais cela n’était pas complètement impossible : Alice et moi étions déjà bien occupés l’un par l’autre et suffisamment ivres pour ne pas y avoir prêté attention.
- C’est possible, répondit Alice, mais enfin, nous n’avons pas de cash, nous ne pouvons pas en inventer, ajouta-t-elle.
- Et moi je n’ai pas de terminal bancaire, répondit-il encore, agacé. Je ne peux pas en inventer !
Je le sentais s’impatienter. J’interrogeai Alice du regard, peut-être en avions-nous à la maison (je ne pense pas, mais peut-être dans le coffre à l’étage ?). Mais Alice semblait décidée à tenir tête au chauffeur. Peut-être la note un peu trop élevée était une indication de son manque d'honnêteté. Peut-être qu’il avait effectivement un terminal bancaire mais qu’il préférait empocher l’argent au black…
- Alors on fait comment ? le toisa Alice.
- Enfin, vous avez bien du cash chez vous ? commença à s’impatienter le chauffeur. J’ai été patient avec vous jusqu’alors, mais ne me cherchez pas trop !
- Comment cela patient ? demanda Alice.
- J’ai bien vu vos manigances tout au long du trajet, c’était indécent ce que vous faîtes, il a fallu que je supporte cela tout le long du trajet et maintenant vous refusez de me payer !
- Je ne vois pas ce que vous voulez dire, monsieur, fit semblant de s’indigner Alice.
- Oh arrêtez votre petit manège mademoiselle…
- Ne lui parlez pas comme ça, l'interrompis-je
- J’ai bien vu votre femme mettre sa culotte dans la poche de votre veste monsieur. Vous croyez que vous êtes le premier couple à faire cela dans ma voiture ? Ou le premier à refuser de me payer ?
- Nous ne refusons pas de payer, mais nous n’étions pas prévenus que vous ne preniez pas la carte et nous n’avons que ça ! répliquai-je énervé.
- Comme si cela ne vous avait pas excité ! dit Alice au conducteur. Vous vous êtes bien rincé les yeux !
- Je… pas du tout mademoiselle, je suis très professionnel, je ne me permettrai pas, bredouilla-t-il.
Alice vit qu’elle l’avait mis en difficulté et sembla s’en délecter.
- Professionnel ? Je vous ai surpris plusieurs fois à me mater dans le rétroviseur… Et, vous m’avez vu retirer la culotte. J’ai été très discrète pourtant, c’est que vous ne deviez pas beaucoup fixer la route !
- Vous détournez la conversation du problème. J'exige d'être payé et vous ne vous en irez pas tant que ce ne sera pas fait !
- Vous allez nous séquestrer ici ?
- Non, mais si vous partez sans payer, je serai contraint d’appeler la police…
- Très bien, répliqua Alice, je pourrais leur dire quel pervers vous êtes !
Le conducteur s’apprêtait à répliquer quand je les interrompis tous les deux. Ça suffit ! Nous allons chercher à la maison si nous avons du cash et nous reviendrons vous payer, assurai-je pour calmer le jeu. Le conducteur se recomposa.
- Très bien, mais l’un d’entre vous reste ici, je veux être sûr que vous reveniez.
J’allais proposer à Alice qu’elle y aille et que je reste avec le conducteur mais à ma grande surprise, elle me proposa l’inverse.
- Tu es sûre ? murmurai-je ?
- Oui, me dit-elle, c’est toi qui sais où on aurait mis le liquide, si on en a effectivement. Je vais le calmer un peu pendant ce temps-là…
Je n’étais pas rassuré de la laisser là, à la merci du conducteur, qui de surcroît la savait nue sous sa jupe. Mais Alice ne semblait pas être d’humeur à négocier.
Je me dis que j’en aurai pour même pas quelques minutes. Je sortis du taxi, me dirigeai vers la maison et me mis à réfléchir à où nous pourrions avoir laissé du cash. Mais en toute honnêteté, j’étais dans le coltar à cause de l’alcool et j’avais du mal à penser correctement.

Je me dis : “Si on a du cash, ça ne peut être que dans le coffre. On ne se sert plus de billets depuis belle lurette, seulement la carte, ou le téléphone pour payer. Il est très rare désormais que nous ayons besoin de liquide. Il est possible que nous en ayons d’un ami qui nous a remboursé un bar en cash et qu’on l’ait oublié, je ne sais pas trop... De toute façon, cela ne traîne pas dans la maison, car j’aurais le souvenir d’en avoir vu. Cela pourrait être dans les poches d’une veste ? Et puis serait-ce suffisant ?”


J’entrai dans la maison : “Bon le coffre pour commencer”. Je me rendis à l’étage, entrai le code, non sans mal. Je faillis bloquer le truc tellement j’étais ivre. Dedans, rien de plus que nos passeports, quelques bijoux d’Alice et une montre à moi.
- Merde, me dis-je.
Il me vint alors une idée en tête et je me sentis con de ne pas y avoir pensé plus tôt. Il suffisait que le conducteur nous dépose à un distributeur pas loin de chez nous !
En revenant au taxi, je compris pourquoi ni le chauffeur de taxi, ni Alice n’avait suggéré cette idée. J’ouvris la portière et surpris Alice avachie sur le bassin du chauffeur et lui imprimant des mouvements de vas et vient sur sa tête. Elle était en train de le sucer. Le fauteuil avant était complètement abaissé pour qu’elle puisse l’atteindre.


Je dois ajouter un peu de contexte pour vous justifier les sentiments confus qui me parcoururent à cet instant .
Il s’agissait d’un mélange de colère et d’excitation. En effet, vous devez savoir qu’Alice et moi regardions souvent des films pornographiques ensemble. C’était quelque chose que j’aimais chez Alice et qui allait bien d’ailleurs avec sa personnalité délurée. Elle n’avait pas vraiment de tabou. Je savais qu’elle avait eu un certain nombre de partenaires avant moi. Elle m’avait même déjà raconté une aventure qu’elle avait eue avec une copine de fac.
Elle aimait regarder des films pornos bien avant notre rencontre et aimait se faire plaisir en en regardant. Parfois, pour nous stimuler, ou en guise de préliminaire, nous en regardions ensemble. Il arrivait qu’elle me partage des vidéos quand je n’étais pas là car elle connaissait assez bien mes goûts. Nous aimions les roleplays. Nous regardions souvent des couples sur Youporn prétendant être demi-frère et demi-soeur et cédant à leurs pulsions, ou prétendant être père et fille ou même des couples dont le mari partageait sa femme à des inconnus. Nous aimions les choses un peu taboues en somme.
Alice savait que cette situation m'excitait. Mais c’était un fantasme pour moi. J’avais peut-être quelques fois pris mon pied en imaginant un autre homme sauter ma petite Alice mais cela restait du domaine du fantasme et nous n’avions jamais parlé de franchir le pas.
Alors quand je surpris Alice en train de sucer ce conducteur, je fus à la fois excité de la voir franchir cette limite mais aussi fâché que nous n’en ayions pas discuté avant. Je ne voulais pas croire qu’Alice était responsable. Pour moi, le chauffeur l’y avait forcée.
- Qu’est-ce que c’est que ça ! criai-je en colère.
Alice se redressa et me regarda presque inquiète de ma réaction. Peut-être pensait-elle que je ne serais pas jaloux ?
- Je croyais que vous étiez professionnel ! ajoutai-je, le regard tourné vers le chauffeur de taxi qui avait la bite à l’air. Une bite d’un calibre plutôt important pour ce que ça valait.
Instantanément, je regrettai presque de les avoir interrompus car mon excitation se rappelait à moi, mais je me repris :
- Viens Alice, on y va ! décidai-je en la tirant par le bras pour qu’elle sorte de la voiture.
- Et mon argent ? demanda le chauffeur.
- Vous vous foutez de moi ?! m’exclamai-je. Vous avez vu ce que vous venez de faire ? Je n’ai pas de cash, mais allez-y appelez les flics, je leur expliquerai comment vous avez forcé ma moitié à vous payer en nature !
- Je ne l’ai pas forcée ! protesta-t-il. C’est elle qui a proposé !
J’étais abasourdi.
- Je crois que vous avez été suffisamment payé maintenant ! décidai-je pour mettre fin à cette situation absurde. Si vous ne lâchez pas l’affaire, nous expliquerons à votre organisme comment vous avez essayé de nous arnaquer en nous facturant 70€ un trajet Paris-Antony qui en vaut pas plus de 40, en refusant la carte bancaire alors que vous êtes censé avoir un terminal et comment vous avez accepté une fellation comme paiement. Je ne suis pas sûr que vous leur resterez affilié après cela !
Le chauffeur de taxi sembla vouloir calmer le jeu en répondant posément :
- Ecoutez monsieur, c’est votre femme qui m’a proposé de payer de cette façon. J’ai refusé au début, mais elle a insisté en me prodiguant des attouchements contre mon gré.
Je suis avec vous depuis maintenant une heure, j’ai dû supporter vos ébats tout le trajet pour vous emmener jusqu’ici, je vous ai prévenus au début que je n’avais pas de terminal et vous attendez de moi que je parte sans demander mon dû ? Que je vous fasse tout cela gratuitement ? Comment suis-je censé gagner ma vie ?
Je ne sais pas si c’était parce qu’il me forçait à me mettre dans sa peau ou la peur de me rendre compte qu’Alice l’avait bel et bien touché contre sa volonté, mais le calme revint.
- Je vous propose de nous déposer au distributeur dis-je. Nous retirons l’argent, vous payons et nous partons chacun de notre côté en oubliant ce qu’il s’est passé.
Le conducteur rangea son sexe dans son pantalon et déclara :
- C’est comme vous voulez maintenant. Je suis disposé à accepter cette solution ou le paiement en nature proposé par votre femme.
Bon sang qu’il était culotté. Mais je fis comme si je n’avais pas entendu la deuxième proposition et fis signe à Alice de se pousser dans le fond pour que je puisse monter à l’arrière avec eux.
Pendant toutes ces négociations, Alice n’avait cessé de m’observer. Elle semblait inquiète de ma réaction comme si elle n’avait pas réalisé avant que son infidélité était mal.
- Attendez quelques minutes, ordonna-t-elle au chauffeur de taxi ; et au lieu de reculer pour me laisser entrer, elle sortit de la voiture pour se poster face à moi. Elle s’adressa à moi sur un volume sonore faible pour ne pas que le conducteur l’entende.
- Tu es vexé chéri ?
- Non, c’est bon j’ai pas envie d’en parler…
- Chris, insista-t-elle. Je sais reconnaître quand tu es vexé. Je croyais que tu aimais ça. On regarde ça ensemble parfois.
- Je sais, admis-je mais les films c’est de la fiction, du fantasme et ça c’est la réalité. Je pensais au moins qu’on en discuterait avant que ça puisse arriver, fis-je avec une moue.
- Ça t'a excité ? me demanda-t-elle.
- Ça n'a pas d’importance, tentai-je de me défiler.
- Tu me réponds pas, ça t’a excité ? demanda-t-elle encore.
Elle posa sa main sur mon pantalon. J’avais une trique comme jamais je n’étais capable d’en avoir après autant de verres.
- Je le savais, fit-elle en esquissant un sourire.
- Ça n'excuse rien, dis-je, passablement contrarié.
- Oh mais détends-toi un peu ! dit-elle. Puis elle se pencha à mon oreille et me susurra les mots suivants tout en mettant la main dans mon pantalon et en entreprenant quelques vas et viens sur ma bite : Il a raison, c’est moi qui ai insisté, je voulais savoir jusqu’à où allait l’intégrité de “monsieur le professionnel”. Il a bien repoussé mes avances une fois, puis je lui ai touché le pantalon et ai frotté ma main contre son sexe. Je l’ai senti durcir. J’ai senti qu’il était gros, comme le tiens l’est en ce moment. J’ai ouvert sa braguette et j’ai sorti sa grosse queue. J’ai tout de suite eu envie de la prendre dans ma bouche.
A mesure qu’elle me racontait cela, je me laissai aller dans le plaisir que me procurait cette histoire et cette branlette improvisée.
- J’aimerai finir ce que je lui ai promis de faire mon chéri s’il te plaît…
- Alice… protestai-je mollement.
- J’en ai grave envie, m’avoua-t-elle, je veux son foutre…
Elle savait que les mots crus avaient le chic pour m’allumer au plus haut point. Toute ma raison avait maintenant disparu.
- OK, concédai-je. Finis ta féllation et rentrons.
- Ce n’est pas une fellation que je lui ai promis, ceci n’était que les préliminaires.
- Comment ça ? m’inquiétai-je
- Tu vois, ce cher chauffeur de taxi ne voulait pas accepter la fellation comme paiement en nature. Je lui ai dit que j’étais prête à assouvir ses fantasmes les plus fous, que je n’avais aucun tabou et il se trouve que le vieux à un fétichisme de l’anal.
- Un quoi ?
J’avais envie de râler à nouveau, d’être en colère, mais je n’y arrivais pas avec Alice qui me branlait.
- Il aime démesurément l’anal et n’a jamais pu le pratiquer car ses conquêtes lui refusent toujours l’accès sous prétexte que sa queue est trop grosse pour ce genre d’activité.
- Cela ne me semble pas une histoire très crédible, dis-je entre deux gémissements.
- Qui suis-je pour juger de cela ? répondit Alice. Tu sais bien qu’avec moi, cela pourrait passer, je suis entraîné avec ta bite qui est déjà assez grosse, n’est-ce pas ?
- Tu ne vas pas donner ton cul à cet inconnu pour 70€, dis-je.
- C’est précisément faire la pute pour un montant qui nous est dérisoire et me faire démonter le cul devant toi qui m’excite autant, répondit-elle.
Ce qu’elle me disait me faisait de l’effet et elle en jouait. Elle retira sa main de mon caleçon, ses doigts étaient mouillés de mon pré-sperme. Elle lécha son doigt et me tira par la veste dans la voiture. Je la suivis et nous refermâmes la porte du taxi.
- Vous vous êtes décidés ? demanda le chauffeur.
- Nous allons payer en nature, répondit Alice sur un ton assuré. Laissez-moi juste détendre un peu mon mec.
Alice ouvrit le bouton de mon pantalon et la braguette et en tira ma bite encore dure et trempée de liquides séminaux de mon caleçon. J’étais exposé à cet homme qui ne manquait rien de la scène et bizarrement, cela ne me révulsait pas du tout, bien au contraire.
Alice se mit à 4 pattes le cul vers la vitre opposée à celle de la portière où nous étions montés puis commença à me sucer avec application. Le chauffeur de taxi s’était tourné en arrière et nous matait sans pudeur. Il avait ressorti son sexe de taille et se touchait.
Au bout de quelques minutes à prendre mes aises dans la bouche de ma copine, alors qu’Alice venait de cracher sur ma queue pour la lubrifier et m’exciter d’avantage car elle savait que voir la bave mêlée au pré-sperme couler de sa bouche avait le don de me rendre fou ; elle me lança un sourire coquin. Je lui renvoyai un sourire. Elle vit que je m’étais enfin détendu et en profita pour donner l’ordre suivant :
- Offre mon cul à ce brave chauffeur, il a été assez patient avec nous !
Je m’exécutai immédiatement. Elle n’avait qu’une jupe, elle ne portait aucune culotte en-dessous, je n’avais pas grand chose à faire que de relever la jupe. Mais ce simple geste était chargé de sens. Elle voulait que je l’offre à cet inconnu et la situation m’était extrêmement excitante, toute la colère avait disparu. Elle était toujours sur ses 2 genoux mais cette fois plus avancée sur le milieu du siège, avachie sur moi. L’objectif était clairement d’exhiber tout son arrière train au conducteur.
Je le vis poser ses mains sur les fesses de ma copine. La perspective qu’un inconnu puisse poser le regard sur le cul de mon Alice, découvrir ses tatouages que seul moi avais l’habitude de voir, était un puissant aphrodisiaque. Alice retira son haut et déposa sa poitrine sur ma bouche pour que je lui lèche les tétons pendant que l’homme lui introduisait un doigt dans la chatte. Je sentis son souffle s’accélérer, l’homme faire des vas-et-vient avec ses doigts dans la chatte de ma copine. Elle se mit à gémir.
- Oh oui, hummm, encore !
L’homme lui branlait vigoureusement la vulve et le clitoris par derrière et moi je continuais de lui sucer les tétons. Parfois je tentai d’attraper son regard mais elle avait les yeux fermés, profitant de ces attouchements.
Comme le chauffeur n’avait pas un accès facile depuis son fauteuil avant, il prit l’initiative de changer de position. Il ouvrit sa portière, sortit à l’extérieur et ouvrit la portière arrière derrière le cul d’Alice. Alice, obéissante, se repositionna plus proche de l’extérieur, toujours sur les genoux et lui présenta sa croupe, directement afin qu’il puisse, s’il le désirait la prendre debout depuis le trottoir dans la rue.
Je ne pus m’empêcher de me demander si les voisins étaient encore éveillés à cette heure avancée de la nuit, s’ils verraient ce qu’il se passait. S’imaginer des histoires en voyant le couple s’éterniser dans le taxi était une chose mais voir un inconnu, le pantalon aux genoux, la queue tendue et les fesses et la vulve d’Alice.
Cette débauche ne finissait pas de m’exciter.
Le conducteur se pencha sur le cul d’Alice et se mit à lui prodiguer un anulingus en bonne et due forme. Je l’entendis cracher, la complimenter pour son cul délicieux. Je l’entendis commenter qu’il la travaillait. Pendant ce temps, Alice me regardait dans les yeux et se touchait le clito. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir.
L’homme retira ses doigts du cul de mon Alice et lui présenta devant la bouche. Ils étaient propres, pas d’incident à déclarer mais il ne les présentait probablement pas à ce niveau pour une inspection.
Alice ne se fit pas prier. Prise dans l’excitation, elle engloutit les doigts du mec et les suça devant moi. Satisfait, il récupèra ses doigts et reprit son travail de préparation anal.
Je me branlais en regardant le visage d’extase d’Alice accueillir un doigt supplémentaire puis un autre doigt. J’essayai de ne pas me branler trop frénétiquement de peur de jouir trop tôt.
- Quelle cochonne ! déclara le chauffeur, c’est qu’il est gourmand ce cul, je t’en mets un quatrième ? Je pourrais presque la fister !
- Mets moi ta queue ! répondit Alice.
- Tu veux que je te sodomise ?
- Oh oui, enfonce-la moi s’il te plaît, supplia-t-elle. Je n’en peux plus d’attendre !
- Je n’ai pas de préservatif, déclara le chauffeur
Pas de terminal bancaire, pas de préservatif, décidément, pas très bien préparé ce chauffeur ! Je m’attendais à ce qu’Alice l’arrête et je n’en avais aucune envie mais cela aurait été plus raisonnable. Seulement, nous étions là sur le bord de la route, ivres, Alice se faisant doigtée le cul par notre chauffeur de taxi, nous avions largement dépassé le stade de raisonnable et nous étions beaucoup trop excités.
- Je m’en fou, enfonce la moi tout de suite, je veux ton sperme dans mon cul ! ordonna-t-elle.
Il n’attendit pas plus longtemps pour s’exécuter. Je l’entendis grogner de plaisir quand il s’enfonça dans ma belle, explorant le fond de son délicieux anus.
- Hum oui, c’est bon, c’est chaud, quelle cochonne !
Puis il commença ainsi les vas-et-vient de plus en plus précipités, de plus en plus violents, de plus en plus profonds.
- Tiens prends ça !
J’accélérai le mouvement sur ma queue en regardant Alice lever les yeux au ciel, profiter de sa sodomie. Je voyais ses nichons se balancer d’avant en arrière à mesure qu’il la prenait et Alice se touchait frénétiquement le clitoris en gémissant. Le chauffeur, à un moment, lui saisit même la crinière par les deux tresses, la fessa plusieurs fois. Il y avait quelque chose de primal dans leurs rapports.
- Oh oui ! cria-t-elle, défonce-moi le cul ! Chris ! ajouta-t-elle en s’adressant à moi. Il me défonce le cul, je suis trop une pute ! Dis que je suis une pute !
- Tu es une vraie pute, lui confirmai-je en me branlant. Tu te fais défoncer pour 70 balles.
- Oh oui ! cria-t-elle comme une folle, plus profond ! encore ! Explose-moi l’anus ! Je la sentis frémir, comme si elle était en train de jouir mais elle ne s’arrêta pas une seconde de demander qu’on la pilonne.
- C’est qu’elle en veut cette salope ! s’exclama le chauffeur. Hum, regardez-moi ce trou.
Le chauffeur semblait s’amuser à retirer sa bite et à admirer le trou béant qu’il laissait.
- Elle peut facilement en prendre plus que ça.
Alice semblait confirmer par des hochements de tête. Elle me lançait des sourires béats comme si elle était complètement shootée au sexe.
Il se réinséra dans son anus et je la vis réagir à nouveau comme quand il lui avait enfoncé un doigt supplémentaire.
- Hum oui, encore un doigt ! dit-elle.
- Une bite + 2 doigts, une vraie salope votre femme, la vache ! me complimenta-t-il comme si j’y étais pour quelque chose.
Il était donc en train de lui agrandir encore le trou autour de sa bite au moyen de ses doigts et Alice ne bronchait pas.
- Hummm, c’est jouissif, je me sens tellement pleine ! lâcha-t-elle.
A un moment, elle interrompit l’homme et lui fit signe qu’elle avait une meilleure idée.
Elle me fit signe de m’allonger sur le dos sur la banquette arrière. Elle m’enjamba alors et vient empaler son anus béant sur ma bite. Elle glissa à l’intérieur de son fion sans aucune difficulté.
- Hum Chris, défonce-moi ! m’encouragea-t-elle.
Je bougeais à peine de peur qu’elle glisse du siège, nous étions vraiment au ras du bord mais cela ne semblait pas déranger Alice qui parfois se rattraper avec sa jambe gauche par terre ou avec sa main gauche sur le siège avant. Pendant qu’Alice se donnait du plaisir anal sur ma verge, je sentais le chauffeur glisser un doigt ou deux entre la paroi de son anus et ma queue. Alice n’avait besoin d’aucun lubrifiant, les liquides séminaux de l’homme, les miens et ceux d’Alice étaient abondants. Puis de fil en aiguille, il réussit à mettre plusieurs doigts, la complimentant encore et encore pour son élasticité incroyable. Je voyais bien où il allait et où Alice avait envie d’aller. Le chauffeur finit par introduire sa queue, en même temps que la mienne dans le fion de ma copine dans une double pénétration anale.
Alice était absolument en transe, elle poussait des grands souffles et des grands cris.
- Ohlala, ça me déchire le cul, c’est trop fort, j’adore, oh putain la vache, je suis pleine !
Le chauffeur l’insultait encore.
- Quelle salope, qu’est-ce qu’il mange ce cul de salope !
- Oh oui, je suis remplie, oh mon dieu, c’est si bon ! Je veux que vous me remplissiez de foutre ! Remplissez mon cul de foutre !
- Espèce de vide-couilles, l’insulta le chauffeur en lui giflant les fesses.
Alice se touchait le clitoris en hurlant de plaisir. Les mouvements se firent de plus en plus violents et accélérés, je sentais la bite du chauffeur se frotter contre la mienne à l’intérieur du cul de ma copine. Toute cette situation était bien trop excitante pour nous tous. Les orgasmes vinrent plus ou moins en même temps. D’abord, ce fut le chauffeur qui poussa un râle puissant. Je sentis son foutre chaud le long de ma bite et je suppose qu’Alice aussi le sentit car cela déclencha son orgasme, et je la vis gicler. Cela lui était déjà arrivé quelques fois auparavant mais jamais une si grande quantité. Je fus le dernier à jouir dans son cul où nos deux spermes se mélangeaient à présent.
- Espèce de sac à foutre, l’insulta encore le chauffeur. Tu mérites bien ta course, considère ta dette réglée !
Quand Alice eut repris ses esprits, nous nous levâmes tous les deux et sortîmes de la voiture. Moi le froc baissé, Alice les seins à l’air, la jupe retombée sur ses jambes et du sperme dégoulinant le long de celles-ci. Nous prîmes nos affaires et refermâmes la porte. Le chauffeur partit sans cérémonie aucune, nous laissant ainsi sur le bas-côté.
Alice me regarda en souriant.
- Oh putain, j’ai le cul tellement défoncé.
- Ca t’apprendra à promettre de telles choses, lui répondis-je.
- Chris, ça va peut-être te choquer chéri, mais je suis encore excitée là. J’ai envie que tu me baises dans le sperme !
Décidément, elle avait les mots pour me requinquer !
Cette nuit là, nous ne dormîmes pas beaucoup. Nous baisâmes bien 5 fois avant de drainer l’excitation du souvenir de cette baise incroyable à 3 et de cette double pénétration anale.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
C’est bien ça elle aime prendre des risques elle est inconsciente ou conne au choix. 🤦‍♀️🤷‍♀️

Atalante

Histoire Erotique
Merci à vous j'aimerais tellement vivre ce genre d'expérience avec ma femme 😈

Histoire Erotique
superbe histoire

Très chaud!

Histoire Libertine
Cool



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