Ma copine n’aurait pas dû exciter un chauffeur routier sur la route…

- Par l'auteur HDS Jerem4444 -
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Récit libertin : Ma copine n’aurait pas dû exciter un chauffeur routier sur la route… Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Ma copine n’aurait pas dû exciter un chauffeur routier sur la route…
Collection Candaulisme non prémédité 4/12
04. L’AIRE DE REPOS
Ma copine n’aurait pas dû exciter un chauffeur routier sur la route…


Ceci est notre seconde histoire.
Céline et moi vivions en couple depuis près de cinq ans et nous avions découvert récemment que nous ne connaissions décidément rien de nos fantasmes mutuels.
Métro, boulot, dodo, faisant son office ; nous avions d’abord connu la lassitude dans une vie sexuelle peu épanouie avant de prendre le problème à bras le corps et de pimenter nos ébats en les portant sur l’espace publique, dans des lieux ni trop propices à nous faire surprendre mais juste assez pour être excités par la prise de risque.
Et donc, comme je le racontais dans la première histoire, nous avions fini par nous faire prendre dans un cinéma par un inconnu, qui, captant notre manège, s’était rapproché de notre siège pour mater nos ébats et avait fini la séance dans le cul de ma copine.


Suite à cette séance, nous n’avions pas vraiment eu l’occasion d’en reparler pendant deux semaines car Céline partait en déplacement pour le boulot. La seule chose que je me permis de lui rappeler était que, malgré ce qu’il s’était passé, je n’étais pas encore prêt à la laisser aller voir ailleurs en mon absence, quand elle le désirait. Alors que je ne m’étais jamais posé la question avant et que je lui vouais une entière confiance, je commençais à craindre, en réalisant la vraie coquine qu’elle était, qu’elle pouvait m’avoir déjà trompé lors de précédents voyages.


Ces deux semaines furent d’ailleurs très longues, par rapport à ses voyages d'affaires habituels. Je me torturais le cerveau en l’imaginant se faire baiser par un de ses collègues, ou pire encore par son patron. Ces délires m’excitaient et alimentaient mes séances de masturbation mais me rendaient jaloux tout à la fois et ne me laissaient qu’une immense impression de vide une fois que je jouissais.
J’en vins, dans mon cheminement de pensée, à distinguer deux choses : le fait qu’elle couche avec un autre du fait qu’elle me mente ou qu’elle développe des sentiments pour un autre.
Et s’il était évident pour moi que le premier était une source potentielle énorme de plaisir, la seconde était celle qui me posait problème. Il faudrait qu’à son retour, nous en discutions et que nous fixions quelques règles.
Quand Céline revint de son voyage d’affaires, elle put enfin prendre quelques jours de congé et je décidai de lui faire la surprise d’un week-end prolongé dans un complexe hôtelier de luxe avec piscine, spa et centre de bien-être afin qu’elle puisse se reposer de ces deux semaines d’intense activité et du décalage horaire enduré.


Samedi matin, sur la route pour cet hôtel, qui était longue, je décidai d’entamer la conversation tant attendue.
- Tu m’as beaucoup manqué ces deux semaines, lui avouai-je.
- Toi aussi mon chéri, je suis très contente de partir en week-end en amoureux ! Merci pour ta surprise, me répondit-elle enjouée.
- Je veux dire, vraiment beaucoup !
- Ah bon ? Plus que d’habitude ?
- Oui plus.
Il y avait parfois des pauses pendant lesquelles nous pouvions apprécier les refrains de nos chansons préférées.
- Je ne suis pas parti plus longtemps, dit-elle après un moment de réflexion. Est-ce que ça a un rapport avec ce qu’il s’est passé au cinéma avant mon départ ?
Je me doutais alors qu’elle aussi devait avoir cogité sur le sujet. Je décidai de ne pas tourner autour du pot.
- Oui, ça m’a un peu travaillé…
- Ah ? m’interrogea-t-elle. Genre, en bien ou en mal ?
- Euh…
J’hésitai.
- Tu n’as pas aimé ? Tu es jaloux, c’est ça ? me demanda-t-elle inquiète.
- Oui, non, ce n’est pas ça…
Elle sembla confuse et je voyais bien que je n’étais pas clair mais je ne savais pas comment l’amener. Je décidai de mettre les pieds dans le plat.
- J’ai été très excité avec cet inconnu au cinéma. J’espère juste que tu penses pas que du coup, ça légitime le fait de me tromper avec un collègue.
Nouvelle pause pendant laquelle je me demandais si elle n’allait pas se vexer que je mette en doute sa confiance.
- C’est donc ça qui te travaille ? Cette fois au cinéma était la seule fois où je t’ai trompé, me répondit-elle.
Je sentis mon coeur s’alléger mais répliquai :
- On ne peut pas dire que tu m’aies vraiment trompé, enfin c’était devant moi…
- Bah si un peu quand même, c’est même ça qui t’a excité et qui m’a excitée ! me dit-elle de but en blanc.
- Je veux dire que tu ne l’as pas fait dans mon dos, tu ne m’as pas menti… En vrai si tu couchais avec un collègue ça m’inquiéterait pas plus que ça à condition de pas le cacher, de le faire devant moi !
- Ah ah, coquin ! Bon, avec un collègue, même juste pour du sexe, j’éviterai car ça ne serait pas très bon pour ma carrière. Je préfère encore avec un inconnu qu’on ne reverra jamais, me dit-elle en souriant. Mais en tous cas, si c’est que pour du sexe, ce sera pas sans toi. Et pour tomber amoureuse d’un autre, là, il faudrait déjà que notre couple ait des problèmes et crois-moi que je t’en parlerai si c’était le cas ! tenta-t-elle de me rassurer.
Je pris quelques secondes pour apprécier ses paroles. Voilà aussi pourquoi j’aimais Céline, elle était intelligente et il ne nous avait pas fallu deux heures pour nous accorder : elle rendait les choses simples.
- Et toi ? Tu as aimé cette expérience ? lui demandai-je pour détendre l’atmosphère qui s’était fait pesante à cause de mes inquiétudes.
- J’ai adoré sur le moment et j’ai bien eu le temps d’y repenser entre temps. J’ai eu peur que tu rétropédales car je trouvais qu’on avait trouvé un truc intéressant…
- Tu veux dire, que tu trouves intéressant l’idée de baiser d’autres mecs en restant en couple avec moi ?
Elle me sourit. Je tentai de rester concentré sur la route (oui, faut que je précise que c’est moi qui conduisais).
- Bah et toi, tu trouverais pas intéressant de pouvoir coucher avec plein de filles, tout en me gardant ?
- Cela ne m’avait pas traversé l’esprit mais j’avoue, c’est tentant ! Pourquoi, toi aussi tu prendrais plaisir à me voir avec une autre ?
- Je ne sais pas, m’avoua-t-elle. Peut-être un jour, on verra. Mais oui, il y a quelque chose d’assez excitant dans l’idée d’exciter les mecs comme ça, de s’exhiber puis de se donner devant toi…
- Vas-y développe, je sens que tu vas m’exciter ! l’incitai-je.
- Déjà, c’est flatteur quand un homme est attiré par toi. Alors quand je vois en plus l’excitation dans tes yeux de comment toi tu me vois et comment tu es excité de voir que les hommes sont attirés par moi, cela décuple le sentiment d’être un objet de désir.
- Je pensais que ça vous gênait, vous les femmes, d’être juste un objet de désir, que tous les hommes pensent qu’à vous baiser.
- Oui, dans certaines situations où je ne serai pas d’humeur, comme au travail… Mais d’un autre côté, j’aime bien me sentir attirante.
- Tu l’es !
Elle était habillée avec une robe courte à froufrous, en mode vacances. Céline était plutôt mince au niveau de la taille mais avait malgré cela une superbe grosse poitrine naturelle et un gros cul. C’était le corps parfait pour moi et chaque fois qu’elle se baladait à poil devant moi à la maison, mon sexe se mettait tout de suite au garde à vous et je devais retenir l’irrésistible envie de gober ses seins et de lui lécher les tétons. Bref… Attirante, elle l’était !
- Tu as déjà été draguée par un collègue ?
- Oui, plein de fois ! s’amusa-t-elle. Mais je dis toujours non, ajouta-t-elle quand elle vit mon visage étonné. Pas au boulot et pas derrière ton dos, arrête de t’inquiéter pour ça.
- Je ne m'inquiète pas. Et par d’autres hommes ?
- Oui !
- Qui par exemple ?
- Certains commerçants… des jeunes dans la rue… mon prof de violon…
- Le vieux de 60 ans ?
- La luxure n’a pas d’âge limite chez les hommes !
- Et euh… Il t’a dit quoi exactement, tu lui as répondu quoi ?
- Il a voulu m’inviter après le cours à boire un verre mais j’ai refusé poliment. Il a déjà tenté plus ou moins subtilement de me faire comprendre qu’il était un bon amant mais j’ai fait semblant de ne pas comprendre, dit-elle amusée.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce qu’elle me racontait avait tendance à m'émoustiller. Étrangement, plus encore que la perspective que cela se concrétise avec un collègue. Peut-être justement parce qu’il était vieux. Je crois que j’avais quelque chose avec les vieux pervers, le genre un peu vicieux.
- Et si on l’invite à la maison pour le prochain cours et qu’on lui propose de rester pour l’apéro ?
Céline se mit à rire.
- Tu l’as dit, il est trop vieux ! Et pas très beau, limite bedonnant !
- Il faut que le mec soit beau pour que ça t’excite ?
Céline prit le temps de la réflexion.
- Je suppose que plus excitant encore que l’apparence physique est l’aspect “interdit” de la situation et l’intensité avec laquelle j’excite le mec.
- Est-ce que cela veut dire que tu pourrais le laisser te baiser ?
- Théoriquement, oui.
Je bandais.
- Mais c’est un bon prof. Je n’aimerai pas changer la relation qu’on a pour un coup.
Avec cette réponse, elle ferma cette porte des possibilités.
- Y’a-t-il eu un jour où tu as été draguée et où tu aurais bien failli me tromper ?
Elle me regarda avec un regard de réprimande.
- Et toi, tu m’as jamais trompée j’espère ? Parce que oui, certaines propositions indécentes m’ont déjà émoustillée mais j’ai toujours été correcte par respect envers toi et je n’aurais jamais envisagé ce qu’on a fait sans ton accord.
- Parce que j’ai donné mon accord ?
- Tu m’as mise les seins à l’air devant cet inconnu ! Je pense que le message était clair. Et puis tu aurais pu nous arrêter dès lors qu’il a commencé à me toucher…
- Ok, c’est fair. Et non, je ne t'ai jamais trompée. Mais je ne suis jamais dragué.
- Si tu l’étais, tu céderais ?
- Je ne crois pas. J’ai quand même tiré le gros lot avec toi, je vois pas pourquoi j’irai me tirer une balle dans le pied, répondis-je en souriant.
Elle me rendit le sourire.
- Espèce de beau parleur. Sors à droite, tu vas louper ta sortie, banane.
Depuis le début, je dois avouer que je conduisais plutôt mécaniquement. Il n’y avait pas grand trafic. Le chemin était simple, quasiment toujours tout droit. Je pris la sortie qui était une jonction d’autoroutes et m’engageai sur une nouvelle étape tranquille sur 50 kilomètres.
- Du coup, si ce n’est pas le prof de violon, ni un collègue, qui pourrait-on trouver pour te baiser ?
- Décidément, tu ne vas pas lâcher l’affaire ! s’exclama-t-elle. Tu as déjà envie de recommencer à ce que je vois !
- Pas toi ?
Elle sembla hésiter avant de me répondre puis me décrocha enfin :
- Je me suis pas mal touchée cette semaine en y pensant, donc je suppose que oui !
- Ah ah ! m’exclamai-je, je le savais, quelle salope !
- Attention à la route ! me réprimanda-t-elle. T’excites pas trop, tu fais des mouvements brusques.
- Désolé. Raconte-moi, ce que tu t’es imaginée en te touchant, lui demandai-je alléché.
Céline marqua une pause. Une reprise acoustique d’un tube récent se jouait.
- Bah tu sais, j’ai repensé au cinéma. A quand j’ai branlé ce mec en te regardant dans les yeux… Quand il m’a enculée en plein ciné devant toi, à quel point c’était surréaliste. Et quand il a recouvert mes fesses de son foutre…
- Humm… dis-je, j’aime bien quand tu parles crûment.
- Tu veux que je te raconte comment un inconnu m’a draguée une fois ?
- Vas-y…
- Je faisais mon jogging et je suis allée courir jusqu’au Bois de Boulogne.
- Tu es allée là-bas toi ? Tu cherches le grand frisson !
- Je n’y ai pas pensé, j’y suis allée en plein jour, en fin d’après-midi. Je ne savais pas que déjà à cette heure là, des hommes tournaient dans les bagnoles.
- Continue…
- L’un deux s’est arrêté à mon niveau en voiture et m’a demandé combien c’était.
- Je lui ai dit que je n’étais pas une prostituée, merci et bonne journée.
- Et ?
- Il m’a suivi pendant que je reprenais mon footing. J’ai fait semblant de ne pas l’entendre avec mes écouteurs mais en réalité, j’avais mis la musique en pause. Une partie de moi avait envie d’entendre ce qu’il allait dire pour me draguer mais en même temps, j’étais extrêmement stressée qu’il m’agresse.
Je ne savais pas quoi répondre, je ne pouvais qu’imaginer le stress mais cette histoire éveillait mon excitation. Je continuai de l’écouter.
- Il a été très graphique on va dire. Il m’a dit que ce n’était pas grave si je n’étais pas une pute, que j’allais tout autant apprécier sa queue. Il m’a dit qu’elle était grosse et qu’il pourrait me remplir bien comme il le fallait. Il m’a aussi décrit ses talents de lécheur et m’a promis de multiples orgasmes. Il m’a dit que j’étais vraiment bonne et que si j’avais peur qu’on nous aperçoive ou que mon mari l’apprenne, il saurait être extrêmement discret. Il m’a dit qu’il n’avait pas touché à sa queue depuis deux semaines et qu’il avait des couilles bien pleines pour moi.
En me racontant cette situation, je la voyais se caresser doucement la poitrine. Je bandais comme un âne.
- Et puis ?
- A une intersection, je me suis engagé dans un sentier où il y avait d’autres joggeurs, loin de la route, donc ça s’est arrêté là.
- C’est tout ?
- Bah écoute, c’est déjà pas mal ! Monsieur le cocu qui veut maintenant prêter sa copine à tout le monde ! Mais non, c’est pas tout. Un peu plus loin sur mon trajet, j’ai vu une vraie prostituée tirer un mec par la main et aller dans les arbres.
- Et alors ?
- Je me suis arrêtée pour ne pas passer devant eux et je me suis mise en retrait du chemin et ai tenté de les observer. J’ai vu le mec baisser son pantalon et sortir sa bite et la fille le sucer. Mais un joggeur est arrivé derrière moi et j’ai fait semblant de remettre mon lacet et suis repartie aussitôt, honteuse. Le soir en rentrant, je me suis masturbée devant quelques vidéos de putes au bois de Boulogne.
- J’étais pas là ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ?
- Non tu finissais tard et j’avais un peu honte de moi. Le fait est que ce n’est pas vraiment jouer la voyeuse qui m’avait excitée. Je m’imaginais dans ma tête, céder aux avances du mec en voiture, l’emmener dans la forêt et le sucer lui aussi.
Elle dit ceci en se touchant le sexe.
- Continue, l’incitai-je.
- L’idée de faire la pute et qu’on puisse me voir le faire comme j’ai vu cette fille, cela m’excitait beaucoup. L’idée de m’exhiber en faisant quelque chose d’interdit, c’est grisant… me dit-elle en soufflant.
Je vis qu’elle massait son clitoris sous sa robe d’été.
- Tu te masturbes là ?
Elle se râcla la gorge et se redressa.
- Hum, désolée, je suis en train de me chauffer toute seule.
- Pas toute seule, tu me chauffes aussi.
- Je vois ça, dit-elle, en regardant la bosse sous mon pantalon.
- Si tu as chaud, peut-être devrais-tu retirer le haut de ta robe…
- Coquin ! me reprocha-t-elle. Tu sais que le soutien-gorge est inclus dedans. Si je la retire, je serai les seins à l’air.
- Justement ! insistai-je.
- D’accord, concéda-t-elle.
Elle tourna son dos vers moi.
- Si tu peux descendre la fermeture sans nous faire avoir un accident s’il te plaît, ajouta-t-elle.
Je finis de doubler un véhicule, me rabattis. Puis mes yeux quittèrent deux secondes la route pour repérer le fermoir. Puis je le saisis et le descendis en tentant de me concentrer à nouveau sur la route.
Elle se défit du haut et le descendit jusqu’au nombril. Elle avait maintenant la poitrine à l’air.
Ses seins me faisaient toujours un effet de taré et j’avoue que ce n’était pas évident pour conduire.
- Comme ça, monsieur ? me demanda-t-elle.
- Très bien ! Maintenant reprends ta masturbation.
Elle ne se fit pas prier, je la vis glisser ses doigts sous sa robe.
- Raconte-moi ce que tu aimerais que je fasse à un inconnu.
Je me lançai alors dans un monologue où je racontai la rencontre imaginaire entre un inconnu, vieux pervers vicelard se branlant dans sa voiture alors qu’elle, passante, passerait à côté de celle-ci. Je lui racontai que surprise par ce qu’elle voyait, elle s’arrêterait et que le mec continuerait à se donner en spectacle pour elle. Elle glisserait alors sa main dans la voiture et entreprendrait de le masturber. Puis le mec finirait par ouvrir la portière et la faire monter. Elle lui prodiguerait alors une belle branlette espagnole avec son énorme poitrine et prendrait le risque que d’autres passants la voient faire et s’arrêtent à leur tour.
Poursuivant mon histoire, je vis que Céline était très excitée. Elle se masturbait le clitoris sous sa jupe à côté de moi et je pouvais entendre les bruits de mouille. Moi-même, j’avais du mal à tenir en place. Je tentai de me concentrer sur la route. Un camion était devant nous et roulait clairement moins vite. Je décidai de le dépasser. Je réalisais à ce moment que cela signifierait que le conducteur du poids lourd aurait tout le loisir de mater la grosse poitrine à l’air de Céline pendant qu’elle se masturbe. En remontant le camion, je la briefai.
- Tiens, toi qui aimes qu’on te mate. Je vais passer à côté du camion. Continue de te toucher, je pense que ça pourrait plaire au routier !
Céline sourit. Elle semblait partante pour ce jeu. Je doublai le camion et quand j’arrivai au niveau de sa vitre, je ralentis légèrement pour faire durer la manœuvre et qu’il ait le temps de mater ma belle en train de se donner du plaisir, les seins à l’air.
Je ne pus voir si nous avions effectivement été vus ou si le conducteur n’y avait vu que du feu. Je terminai ma manœuvre et me rangeai plus loin devant lui. C’est alors que j’entendis des klaxons derrière moi. Je compris que ceux-ci étaient des klaxons enthousiastes d’un chauffeur content de ce qu’il avait vu.
Avec Céline nous rîmes.
- Je suis vraiment chaude, me signala-t-elle. Si tu ne t’arrêtes pas Julien, je vais me faire jouir là sur la route.
- Je n’ai rien contre !
- Si tu t’arrêtes, je te baises direct !
Je n’en pouvais plus et une aire de repos s’annonçait dans peu de kilomètres. J’annonçai à Céline que j’étais disposé à la remplir à la prochaine aire d’autoroute si elle pouvait encore attendre. Pendant ces quelques minutes longues comme ma queue, Céline retira sa culotte de sous sa robe et me la fit sentir ce qui me rendit particulièrement fou.


Je pris la sortie suivante. C’était une petite aire de repos sans station essence, sans boutique, juste des toilettes et des places de parking. Elle était très végétalisée tout autour et il n’y avait pas grand monde. La nuit était en train de tomber ce qui conférait à l’ensemble un côté un peu glauque mais néanmoins très excitant.
Je m’arrêtai n’importe comment dans le fond de l’aire puis ne perdis pas une seconde pour éteindre le moteur, me détacher et me précipiter sur Céline. Je l’embrassai fougueusement mélangeant ma langue à la sienne puis continuai les baisers dans le coup, sur sa poitrine et sur ses tétons. Puis j’entrepris de descendre plus bas en tentant de trouver la position la plus confortable pour lui prodiguer un cunilingus. Elle abaissa le dossier de son siège, je fis de même, elle souleva son bassin et me tendit son sexe trempé de mouille et j’y trempai ma langue avec désir.
J’entrepris également de défaire ma ceinture et de descendre mon pantalon et mon boxer pour libérer mon sexe très à l’étroit.
Céline gémissait sous mes coups de langues et en redemandait encore. Elle me tenait la tête appuyée sur son clito, pendant que je me branlais.
Soudain, nous entendîmes un gros klaxon de camion. Je me relevai surpris, Céline remontait sa robe sur ses seins par réflexe, se demandant d’où venait le bruit.
Nous vîmes alors le camion que nous avions doublé quelques minutes plus tôt sur l’autoroute. Le hasard (ou peut-être qu’il comptait se faire toutes les aires avec une idée en tête) l’a amené sur cette aire de repos. Il se gara juste à côté de nous en prenant plusieurs places de parking voiture sur sa longueur.
Céline m’interrogea du regard.
- C’est le mec à qui tu t’es exhibée tout à l’heure ! lui confirmai-je.
Elle sourit.
- En voilà, un cochon…
- Tu veux qu’on parte ? Il te fait peur ?
- Attends je veux voir à quoi il ressemble, dit-elle, tout en se tenant la robe au-dessus de sa poitrine pour ne pas qu’elle tombe d’elle-même.
Le chauffeur routier était descendu de sa voiture et marchait l’air de rien en notre direction. Quant à moi, je rangeai mon outillage dans mon pantalon. Quand il vint suffisamment prêt, nous pûmes le détailler un peu. Il ressemblait tout à fait au stéréotype que je me faisais d’un vieux camionneur : plutôt vieux, avec un peu d’embonpoint mais des bras assez costaud tout de même, quelques tatouages sur les bras, une barbe tirant sur le gris. Il avait un regard vitreux, avide, comme s’il était depuis trop longtemps dans la misère sexuelle.
Avant qu’il n’arrive jusqu’à notre voiture, je demandai à Céline :
- un vieux cochon, voilà de quoi il a l’air, dis-je en rigolant. Tu veux qu’on parte maintenant ?
- Attends, eut-elle à peine le temps de me dire quand elle fut interrompue par trois coups de doigts au carreau de son côté.
Sans me consulter, elle baissa la vitre.
- Oui ? demanda-t-elle
- Bonjour Madame ! Et bonjour Monsieur ! ajouta-t-il en s’abaissant devant la fenêtre pour que je puisse voir son visage.
- Bonjour, répondit-elle sèchement. Il y a quelque chose qui ne va pas ? Nous avons un phare arrière en panne ? demanda-t-elle en toute innocence.
Le chauffeur parut un peu décontenancé, ne s’attendant pas à ce qu’elle nie ce qu’il s’était passé avant. Mais il prit rapidement sur soi en voyant la culotte de Céline sur le tableau de bord et moi complètement débraillé. Il entra directement dans le vif du sujet qui l’intéressait.
- Vous sembliez occupée tout à l’heure sur la route. Je n’ai malheureusement pas pu voir la suite du spectacle !
Céline pouvait simplement continuer de nier, lui demander de partir et mettre fin à l’échange mais au lieu de ça, elle lui répondit du tac-o-tac :
- D’accord ! Vous pouvez regarder.
Le chauffeur parut satisfait de sa réponse et Céline me lança un regard en ma direction me sommant de ressortir ma bite illico, ce que je fis sans protester.
Elle était mi-dur, mi-molle, mais Céline, la prenant en bouche, sut lui redonner rapidement de la vigueur.
Le chauffeur routier avait descendu son short, il portait une espèce de slip blanc dont dépassait ses poils et sa grosse queue ne semblait pas vouloir y tenir puisqu’elle dépassait sur le côté. Il descendit son slip et se saisit de son sexe. Il était déjà tout visqueux et très poilu à la base. La vue de ce gros sexe turgescent un peu dégueu m’excita terriblement. J’imaginais ma Céline satisfaire les envies de ce vieux pervers négligé et je ne pouvais m’empêcher de gémir à cette idée pendant que Céline s’occupait de mon sexe.
Puis le mec commença à s’astiquer devant la fenêtre baissée de Céline en l’encourageant.
- Hum, c’est ça sale pute, t’es une bonne salope toi, tu aimes ça sucer des queues…
Céline qui était concentrée sur sa fellation, ne tenait plus le haut de sa robe mais avec le bassin allongé sur moi, elle tenait seule. Je décidai d’aider un peu la gravité, en tirant sur sa robe pour remettre sa poitrine à l’air.
- Hummm, oui, elle a l’air d’avoir une belle paire de nibards ta petite femme ! Tu aimes bien les montrer hein ! encouragea le chauffeur routier.
Ces encouragements nous excitèrent tous deux car Céline accéléra sa fellation en gémissant et moi je me sentais venir dans sa bouche. Je m’aggripai à la tête de Céline et elle comprit que j’allais jouir. Elle poursuivit sa fellation jusqu’au bout pour recueillir mon jus dans sa bouche. C’était quelque chose qu’elle faisait rarement d’habitude mais je voyais bien qu’elle avait envie de montrer au chauffeur de quoi elle était capable.
C’est en entendant le chauffeur s’astiquer le poireau et émettre des grognements dégueulasses que je jouis dans la bouche de Céline.
Celle-ci se redressa et laissa apparaître sa poitrine nue et apparente au chauffeur routier. Puis elle recracha mon sperme doucement en dehors de sa bouche qui s’écoula le long de son menton et tomba sur ses seins.
Même en ayant déjà joui, je trouvais cela terriblement excitant.
- Hummm, mais quelle salope, commenta-t-il. Je peux ?
Céline ne répondit rien.
Qui ne dit mot consent, dut penser le chauffeur car il se permit ensuite de glisser sa main gauche pleine de son liquide pré-séminal et de toucher les seins de ma copine et d’y étaler le sperme dessus. Il joua également avec ses tétons et Céline se laissait faire presque fascinée par la bite du chauffeur routier.
- T’aimes ça le foutre, salope, dit-il en l’étalant. Tu en veux encore ? Tu veux me sucer ?
Céline me lança un regard qui en disait long. Mon sperme coulait encore de son menton. Puis elle se retourna vers le vieux à sa fenêtre et fit timidement “oui” de la tête.
Le vieux tenta d’ouvrir la portière. Elle était fermée à clé. Céline déverrouilla les portes, puis il ouvrit la portière et vint se positionner devant elle. Céline engloutit alors cette autre bite, bien visqueuse et poilue. Je commençais déjà à rebander.
Elle suça ce vieil homme avec application pendant que lui l’insultait. Plusieurs fois, il lui saisit la tête et tenta des gorges profondes et Céline, qui se touchait en même temps, semblait beaucoup apprécier le traitement.
- Sors ! je vais te prendre, ordonna-t-il.
Céline ouvrit la boîte à gant où se trouvait une ancienne boîte de préservatifs. Je l’avais oublié celle-là, nous les utilisions avant qu’elle ne soit sous pilule. Le message était, on ne peut plus clair.
Elle sortit de la voiture et le chauffeur routier la prit par le poignet et lui fit faire un demi-tour sur elle-même pour la coucher en avant sur le capot. De mon côté, je descendis de la voiture pour mieux voir la scène et remarquai que nous n’étions pas seul avec ce chauffeur. Deux autres hommes observaient la scène à une distance polie et l’un avait la main dans le pantalon.
- Mon dieu ! pensai-je, dans quel traquenard sommes-nous tombés ? Pouvons-nous seulement faire marche arrière ? Et Céline le voudrait-elle vraiment ?
En faisant le tour, tout en tenant mon pantalon pour ne pas qu’il dégringole sur mes genoux, je vis Céline cambrée les seins sur notre capot, tendre docilement son cul nu en arrière, la robe relevée. Le vieux était en train d’enfiler la capote qu’elle lui avait tendue. Puis il s’engouffra dans sa chatte et lui arracha de gros gémissements. Quand elle en était là en général, c’est qu’elle prenait vraiment son pied et était au summum de l’excitation.
Les deux autres hommes autour, probablement aussi deux chauffeurs routiers au look de camionneur également, se firent moins timides et se rapprochèrent en se masturbant ostensiblement.
Du coup, je ne me gênai pas pour en faire autant. J’étais très excité de la voir se faire prendre par un inconnu et contrairement à la fois dans le cinéma où je ne pouvais pas voir la pénétration, j’avais ici une vue parfaite sur la grosse queue du vieux enfonçant les lèvres de la chatte de ma Céline qui mouillait abondamment. Celui-ci tenait sa jupe en l’air et lui écartait les fesses pour bien faire profiter à tout le monde du spectacle de cette pénétration hors norme.
- Hum, la bonne salope, quel gros cul de pute ! Tu la sens ma grosse queue ?
- Oh ouii, oh oui ! se contentait de répéter Céline.
- Humm, avec un cul pareil, je suis sûr que ton anus est capable aussi de gober une queue comme la mienne, tu ne penses pas ?
- Oh ouii ! s’exclama Céline, je la veux dans mon cul, supplia-t-elle.
Je prenais un plaisir incroyable à voir Céline s’abandonner à ce vieux pervers alors même que la sodomie n’était pas une pratique qu’elle réclamait d’habitude. Je devais ralentir la cadence de branlette au risque de jouir trop tôt pour voir cela.
Il ne fallut pas grande préparation pour y arriver. Le cul de Céline était déjà bien dilaté à l’idée de se faire prendre et l’homme l’avait lubrifié avec de la salive en abondance. Cela dit, je vis que la pénétration n’était pas aussi simple que dans la chatte et que quelques gémissements de douleur s’étaient mélangés à ceux de plaisir. Puis la facilité vint avec les vas-et-vient répétés dans son fion. En même temps, il lui touchait le clitoris et elle semblait apprécier cela car elle se remit à crier de plaisir, toujours les seins couchés sur le capot de la voiture.
- Hum oui, un vrai cul de pute, il doit en voir passer du monde celui-là, il y a la place là-dedans ! s’exclama le vieux.
- Oh oui ! Je suis une pute ! répéta Céline qui semblait apprécier cette dénomination.
- Qu’est-ce que fait une pute ? demanda le vieux, hein ?
- Je sais pas ! dit-elle en gémissant.
- Elle soulage tous les mecs, sans distinction ! Ce serait dommage qu’ils en profitent pas d’un cul si accueillant ! dit le vieux chauffeur routier en désignant ses collègues qui se masturbaient à une distance raisonnable (mais tout de même plus proche qu’au début).
Céline répondit par des gémissements.
- Tu sais que tu veux tous les soulager ! Pense à ton mari qui se branle pendant que tous les mecs passeront un à un dans ton cul !
- Oh oui !!! cria-t-elle en jouissant.
- Ca t’excites salope ! Dis que tu veux toutes les queues dans ton cul, dis-le !
- Je veux toutes les queues dans mon cul ! répondit-elle en se pliant à ses ordres.
Le camionneur encouragea ses collègues à prendre un préservatif dans la boîte à gants et à les enfiler. Tous les deux avancèrent sans tenir compte de moi. Je ne comptais pas vraiment, c’était le chauffeur routier qui maîtrisait complètement la situation. Je me contentai de me branler et de mater la scène porno la plus excitante de ma vie.
Puis ils prirent leur tour un à un dans l’anus de Céline. L’un avait une bite de taille moyenne qui n’avait pas l’air de trop bousculer ma Céline après le passage du chauffeur mais l’autre en avait une plutôt longue et ne se gêna pas pour l’enfoncer jusqu’à la garde. Ce fut lui qui donna un second orgasme à Céline.
Enfin, quand chacun se fut suffisamment chauffé, le vieux chauffeur ordonna à Céline de se mettre à genou devant eux pour recueillir le sperme de ces inconnus sur sa grosse poitrine.
- Regardez-là cette pute, prête à prendre votre foutre ! Allez les gars ! les encouragea-t-il tout en se masturbant lui-même au-dessus de Céline.
Quand je vis le premier gicler, je sentis qu’il était temps pour moi de me laisser aller moi aussi. Je jouis alors, debout comme ça, sur l’aire d’autoroute, le pantalon à mes pieds, le foutre giclant sur le bitume. Par contre le leur à eux, finit sa course sur son visage et sur ses seins se mélangeant avec mon sperme étalé et séché quelques minutes auparavant.
Les chauffeurs disparurent alors en nous laissant en plan comme cela au milieu de l’aire d'autoroute, Céline toute souillée de leur semence. La nuit était tombée.
Céline et moi reprîmes la route en direction de l’hôtel dans l’optique de prendre une bonne douche en arrivant. Elle s’endormit avec le sourire aux lèvres, exténuée de cette expérience. Le débrief serait pour une autre fois alors !

Les avis des lecteurs

Cette suite est toute aussi excitante que la première partie. Vivement la suite

Histoire Erotique
Quelle coquine !
Son fessier ne craint rien !

Histoire Erotique
Belle histoire !!!

Si vous passez en Dordogne, je veux bien faire plaisir à ses couples amoureux 😁

Histoire Coquine
Et toi Olga ton mari à une énorme chance d'avoir une femme comme toi.
La mienne est comme toi.
Elle adore le Cul et est amoureuse de moi, son mari.

Histoire Coquine
Ma femme aussi adore les routiers.
J'adore la voir se faire baiser sous mes yeux.
Quel plaisir d'être candauliste, et de voir ma femme se faire baiser sous mes yeux, ou qu'elle revienne souillée et qu'elle me raconte tout dans les moindres détails.
Quel plaisir d'être candauliste avec une femme aimante.

Histoire Erotique
Terriblement excitant. J'adore.

Les routiers, une valeur sûre!



Texte coquin : Ma copine n’aurait pas dû exciter un chauffeur routier sur la route…
Histoire sexe : Une rose rouge
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