J'aime les filles
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'aime les filles
Toutes les filles ou presque toute aimeraient connaitre ce type. Le bruit court qu’il a une bouche capable d’envoyer au 7° ciel celles qui le fréquentent. Oui, c’est moi, j’avoue.
D’accord, j’aime les filles, j’aime les embrasser. De là à les lécher toutes, il y a une marge que je ne franchirais pas. J’aimerais bien le faire. Certaines méritent ma langue, celles qui sont assez chaudes pour me présenter leurs chattes. Là, je commence par les caresser avant d’aller plus loin. Celles qui mouillent le plus seront satisfaites facilement.
Même si je bande, même si j’ai envie de loger ma queue dans leurs trous, je commence par le début. Mettre ma tête dans leur fourche, sentir les cuisses autour de mes joues, leur mains sur le crane, la douceur de leur abricot sur la langue. Voilà de quoi me faire plaisir.
Si la moule est poilue, j’aime sentir les petites boucles sur mes lèvres. Les épaules tenues servent à tenir des cuisses fragilisées par le désir.
Je n’invente rien quand outre la langue je pose un ou deux doigts vers le postérieur. S’il s’ouvre un peu, dévoilant par là les désirs innés de s’ouvrir. Avant de m’aventurer dans ce temps de la dépravation, je mouille le doigt pour ne pas faire mal.
Il entre facilement dans l’anus. Je le manœuvre facilement. J’attends toujours que la fille après un gémissement jouisse. Mon doigt ne sort de son cul qu’après.
Ma bite me fait mal à force de bander. Quand je la montre à la demoiselle, elle me prend souvent. Si elle fait aller et venir sa main je me tends pour ne pas lui donner rapidement le jus de mes couilles. Ma langue découvre parfois des filles encore intactes. Il me faut l’accord pour que la queue aille dans leur fourgon.
Je n’aime pas tellement dépuceler. C’est plus fort que moi, quand je trouve la porte encore à peine ouverte, je refuse par goût. C’est rare qu’une fille jouisse la première fois. Alors qu’elles se trouvent une autre bite que la mienne. Ou alors qu’elles me demandent un autre plan, par exemple de bouffer ma queue. Quand une fille me lèche la première fois, je sens sa langue qui visite le zob.
Je reste détendu pendant cette action. Je passe ma main sous le menton pour sentir ailleurs que sur la bite la bouche entoure la queue. Si en plus l’élue du moment caresse doucement les couilles, qu’elle ose me toucher l’anus pour y mettre un doigt, je suis heureux. Si elle synchronise les deux mouvements je reste tendu pour ne pas jouir.
Certaines savent bien que je vais jouir tôt ou tard. Si je reste ainsi pris, c’est que j’aime jouir dans une bouche. Quand mon jet part, j’aime quand elles retiennent stoïques pour retenir le sperme dans la bouche. Si elles le veulent je suis d’accord pour partager la semence avec elles.
C’est facile en 69 quand ma bouche s’occupe de sa petite affaire cachée, que sa mouille inonde le visage. Elles ne se rendent pas compte du plaisir que je prends, comme beaucoup d’hommes à les lécher pour la faire jouir. Dans cette position je peux mettre la langue sur le petit trou. Elles sont rares celles qui refusent cette manière. Bien sur certaines refusent d’embrasser ensuite, comme si cet endroit était dégoutant alors que je viens de le leur bouffer.
Je leur mets deux doigts dans la bouche, elles les lèchent facilement. Je leur donne envie ainsi de lécher la queue.
Quand elles sont déjà ouvertes, alors là je suis le premier à les baiser. Elles se mettent les cuisses ouvertes, les talons sur mes fesses. Bonne position pour leur donner toute ma réserve de semence. Quand elles jouissent avant moi, j’adore sentir leurs spasmes autour de la queue. Mon bonheur est parfait quand elle avoue qu’elle jouit, sa bouche sur mon cou.
D’accord, j’aime les filles, j’aime les embrasser. De là à les lécher toutes, il y a une marge que je ne franchirais pas. J’aimerais bien le faire. Certaines méritent ma langue, celles qui sont assez chaudes pour me présenter leurs chattes. Là, je commence par les caresser avant d’aller plus loin. Celles qui mouillent le plus seront satisfaites facilement.
Même si je bande, même si j’ai envie de loger ma queue dans leurs trous, je commence par le début. Mettre ma tête dans leur fourche, sentir les cuisses autour de mes joues, leur mains sur le crane, la douceur de leur abricot sur la langue. Voilà de quoi me faire plaisir.
Si la moule est poilue, j’aime sentir les petites boucles sur mes lèvres. Les épaules tenues servent à tenir des cuisses fragilisées par le désir.
Je n’invente rien quand outre la langue je pose un ou deux doigts vers le postérieur. S’il s’ouvre un peu, dévoilant par là les désirs innés de s’ouvrir. Avant de m’aventurer dans ce temps de la dépravation, je mouille le doigt pour ne pas faire mal.
Il entre facilement dans l’anus. Je le manœuvre facilement. J’attends toujours que la fille après un gémissement jouisse. Mon doigt ne sort de son cul qu’après.
Ma bite me fait mal à force de bander. Quand je la montre à la demoiselle, elle me prend souvent. Si elle fait aller et venir sa main je me tends pour ne pas lui donner rapidement le jus de mes couilles. Ma langue découvre parfois des filles encore intactes. Il me faut l’accord pour que la queue aille dans leur fourgon.
Je n’aime pas tellement dépuceler. C’est plus fort que moi, quand je trouve la porte encore à peine ouverte, je refuse par goût. C’est rare qu’une fille jouisse la première fois. Alors qu’elles se trouvent une autre bite que la mienne. Ou alors qu’elles me demandent un autre plan, par exemple de bouffer ma queue. Quand une fille me lèche la première fois, je sens sa langue qui visite le zob.
Je reste détendu pendant cette action. Je passe ma main sous le menton pour sentir ailleurs que sur la bite la bouche entoure la queue. Si en plus l’élue du moment caresse doucement les couilles, qu’elle ose me toucher l’anus pour y mettre un doigt, je suis heureux. Si elle synchronise les deux mouvements je reste tendu pour ne pas jouir.
Certaines savent bien que je vais jouir tôt ou tard. Si je reste ainsi pris, c’est que j’aime jouir dans une bouche. Quand mon jet part, j’aime quand elles retiennent stoïques pour retenir le sperme dans la bouche. Si elles le veulent je suis d’accord pour partager la semence avec elles.
C’est facile en 69 quand ma bouche s’occupe de sa petite affaire cachée, que sa mouille inonde le visage. Elles ne se rendent pas compte du plaisir que je prends, comme beaucoup d’hommes à les lécher pour la faire jouir. Dans cette position je peux mettre la langue sur le petit trou. Elles sont rares celles qui refusent cette manière. Bien sur certaines refusent d’embrasser ensuite, comme si cet endroit était dégoutant alors que je viens de le leur bouffer.
Je leur mets deux doigts dans la bouche, elles les lèchent facilement. Je leur donne envie ainsi de lécher la queue.
Quand elles sont déjà ouvertes, alors là je suis le premier à les baiser. Elles se mettent les cuisses ouvertes, les talons sur mes fesses. Bonne position pour leur donner toute ma réserve de semence. Quand elles jouissent avant moi, j’adore sentir leurs spasmes autour de la queue. Mon bonheur est parfait quand elle avoue qu’elle jouit, sa bouche sur mon cou.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hummm toujours de beau récits excitant .....j adore me faire plaisir sur vos textes ...encore encore .....
Parfait! Réaliste. J'aime moi aussi les filles comme cela.
Miam! Encore
Miam! Encore