J'aimerais tellement
Récit érotique écrit par Chaudebrise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'aimerais tellement
J’aimerais tant sentir la chaleur de ton souffle réchauffer mon corps encore tout froid de la sortie nocturne qu’on vient de faire..
J’aimerais tellement que ton regard pervertisse mes pensées et que tu me fasses comprendre par ta main dans mes cheveux que tu souhaites me prendre ce soir pour la deuxième fois.
J’aimerais tellement que tu embrasses mon cou et le lèche jusqu’à mes lobes d’oreilles qui, tu le sais, me tordent de plaisir aux moindres mordillements
J’aimerais tellement que tu entreprennes l’idée de me baiser à côté de la chambre de ton colloc qui vient de s’endormir.
J’aimerais tellement que tu me prennes ta ceinture et entoures mes mains avec afin d’en faire des menottes.
J’aimerais tellement que tu me plaques contre le lit, que tu me déculottes et que tu appuies sur ma nuque pour limiter mes mouvements.
J’aimerais tellement que tu joues avec ta langue entre mes lèvres et mon clitoris, puis que tu remontes de mon ventre à ma bouche en me léchant et baisant le corps.
J’aimerais tellement que tu constates que je me tortille de plaisir au contact de la chaleur de ta bouche contre mes tétons et l’agressivité de tes pincements.
J’aimerais tellement que tu me prennes le cou et que tu fasses mine de m’étrangler pour irriter mon excitation.
J’aimerais tellement que tu glisses tes doigts à l’intérieur de mon sexe humide et gonflé par l’effet que tu me fais.
J’aimerais tellement que tu esquisses un sourire de satisfaction quand tu sentiras mon corps se tortiller de plaisir et mon souffle s’accélérer.
J’aimerais tellement que tu serres à nouveau la ceinture-menotte qui me retiens de te toucher de mes mains alors que j’en meurs d’envie.
J’aimerais tellement que tu glisses à mon oreille que tu m’aimes et que tu aimes l’homme que tu es quand tu es avec moi.
J’aimerais tellement que tu enlèves ton pantalon et libère la grosseur qui pesait sur mon ventre afin que je puisse voir ton sexe raide dû à moi.
J’aimerais tellement que tu la masturbes sous mes yeux en m’interdisant de la toucher alors que j’en meurs d’envie.
J’aimerais tellement que tu approches ton gland au plus proche de mes lèvres en m’interdisant de le prendre en bouche ou même de le lècher.
J’aimerais tellement que tu appuies sur mes poignets pour ne pas faire redescendre mes bras et que tu m’embrasses sans réserve.
J’aimerais tellement que tu fasses des vas et viens en surface, tout en me surprenant d’aller bien au fond d’un coup sec pour libérer les gémissements sur le point de sortir.
J’aimerais tellement que tu te retires et que je sois alors obligée de te supplier pour que tu me re pénètres comme un fou.
J’aimerais tellement que tu descendes ta main et titille mon clitoris en même temps que tu fasses des vas et viens rapides et profonds.
J’aimerais tellement que tu m’empêches de parler en mettant ta main contre ma bouche.
J’aimerais tellement que tu me retournes et que tu m’ordonnes de m’allonger sur le ventre les fesses en l’air et d’encaisser ton membre dans mon cul.
J’aimerais tellement que tu lubrifies mon clitoris de tes doigts et que tu enfonces ta bite bien profondément sans peur de me faire mal.
J’aimerais tellement que tu attrapes mes cheveux et que tu prennes du plaisir à être seul mettre des vas et viens que tu m’infliges.
J’aimerais tellement que tu te retires et délivre ta semence chaude contre mon dos et me relève grâce à mes cheveux formant une queue-de-cheval dans ta main et que tu me retournes pour gicler à nouveau sur mon visage.
J’aimerais tellement que tu me traites de bonne petite salope et que tu enlèves la ceinture qui entoure mes mains pour que je puisse enlever le sperme de mon visage pour le lécher sur mes doigts devant toi.
J’aimerais tellement que tu me serres contre toi en m’expliquant que demain j’allais devoir satisfaire tout ses besoins sexuels, et cette fois ci, de domination pure.
J’aimerais tellement que tu t’allonges contre moi et qu’on finisse la nuit tous les deux jusqu’au petit matin où il faudra, surement, affronté le regard accusateur de ton colloc qui n’a pas dû beaucoup dormir
( c'est un fantasme sur mon ancien supérieur au sein de mon ancien job étudiant avec qui j'aimais flirté et qui a 38 ans et est en colloc oui)
J’aimerais tellement que ton regard pervertisse mes pensées et que tu me fasses comprendre par ta main dans mes cheveux que tu souhaites me prendre ce soir pour la deuxième fois.
J’aimerais tellement que tu embrasses mon cou et le lèche jusqu’à mes lobes d’oreilles qui, tu le sais, me tordent de plaisir aux moindres mordillements
J’aimerais tellement que tu entreprennes l’idée de me baiser à côté de la chambre de ton colloc qui vient de s’endormir.
J’aimerais tellement que tu me prennes ta ceinture et entoures mes mains avec afin d’en faire des menottes.
J’aimerais tellement que tu me plaques contre le lit, que tu me déculottes et que tu appuies sur ma nuque pour limiter mes mouvements.
J’aimerais tellement que tu joues avec ta langue entre mes lèvres et mon clitoris, puis que tu remontes de mon ventre à ma bouche en me léchant et baisant le corps.
J’aimerais tellement que tu constates que je me tortille de plaisir au contact de la chaleur de ta bouche contre mes tétons et l’agressivité de tes pincements.
J’aimerais tellement que tu me prennes le cou et que tu fasses mine de m’étrangler pour irriter mon excitation.
J’aimerais tellement que tu glisses tes doigts à l’intérieur de mon sexe humide et gonflé par l’effet que tu me fais.
J’aimerais tellement que tu esquisses un sourire de satisfaction quand tu sentiras mon corps se tortiller de plaisir et mon souffle s’accélérer.
J’aimerais tellement que tu serres à nouveau la ceinture-menotte qui me retiens de te toucher de mes mains alors que j’en meurs d’envie.
J’aimerais tellement que tu glisses à mon oreille que tu m’aimes et que tu aimes l’homme que tu es quand tu es avec moi.
J’aimerais tellement que tu enlèves ton pantalon et libère la grosseur qui pesait sur mon ventre afin que je puisse voir ton sexe raide dû à moi.
J’aimerais tellement que tu la masturbes sous mes yeux en m’interdisant de la toucher alors que j’en meurs d’envie.
J’aimerais tellement que tu approches ton gland au plus proche de mes lèvres en m’interdisant de le prendre en bouche ou même de le lècher.
J’aimerais tellement que tu appuies sur mes poignets pour ne pas faire redescendre mes bras et que tu m’embrasses sans réserve.
J’aimerais tellement que tu fasses des vas et viens en surface, tout en me surprenant d’aller bien au fond d’un coup sec pour libérer les gémissements sur le point de sortir.
J’aimerais tellement que tu te retires et que je sois alors obligée de te supplier pour que tu me re pénètres comme un fou.
J’aimerais tellement que tu descendes ta main et titille mon clitoris en même temps que tu fasses des vas et viens rapides et profonds.
J’aimerais tellement que tu m’empêches de parler en mettant ta main contre ma bouche.
J’aimerais tellement que tu me retournes et que tu m’ordonnes de m’allonger sur le ventre les fesses en l’air et d’encaisser ton membre dans mon cul.
J’aimerais tellement que tu lubrifies mon clitoris de tes doigts et que tu enfonces ta bite bien profondément sans peur de me faire mal.
J’aimerais tellement que tu attrapes mes cheveux et que tu prennes du plaisir à être seul mettre des vas et viens que tu m’infliges.
J’aimerais tellement que tu te retires et délivre ta semence chaude contre mon dos et me relève grâce à mes cheveux formant une queue-de-cheval dans ta main et que tu me retournes pour gicler à nouveau sur mon visage.
J’aimerais tellement que tu me traites de bonne petite salope et que tu enlèves la ceinture qui entoure mes mains pour que je puisse enlever le sperme de mon visage pour le lécher sur mes doigts devant toi.
J’aimerais tellement que tu me serres contre toi en m’expliquant que demain j’allais devoir satisfaire tout ses besoins sexuels, et cette fois ci, de domination pure.
J’aimerais tellement que tu t’allonges contre moi et qu’on finisse la nuit tous les deux jusqu’au petit matin où il faudra, surement, affronté le regard accusateur de ton colloc qui n’a pas dû beaucoup dormir
( c'est un fantasme sur mon ancien supérieur au sein de mon ancien job étudiant avec qui j'aimais flirté et qui a 38 ans et est en colloc oui)
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