Mon prof de droit partie 1
Récit érotique écrit par Chaudebrise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon prof de droit partie 1
Bonjour ! Tout d’abord j’aimerais me présenter. Je m’appelle Clara et suis en 2ème années de Droit. J’aime mon corps, ce qui y rentre et ce qu’il offre aux autres. J’ai un penchant pour la soumission et les relations avec des plus vieux. J’adore réaliser mes fantasmes les plus sordides. Voilà !
———————————————————Depuis maintenant quelques semaines, j’ai repris les cours à l’université. Là bas, que cela soit auprès des professeurs ou des étudiants, j’ai une réputation de fille pétillante et salope. Je mentirais si je disais que je n’aimais pas qu’on m’appelle comme ça ou qu’on me prenne dans les toilettes ou les salles de TD.
Je suis un cours de droit administratif avec Marc 28 ans, un nouveau professeur nouvellement diplômé.
Il fait 1 à 2 tête de plus que moi, est plutôt musclé, bronzé et bien monté quand on en juge par la forme de son sexe contre son chino beige.
Moi, je fais 1m60 pour 53kg, yeux verrons, cheveux bouclés, et je fais un bon 95c.
Dès que j’ai vu Marc, j’ai ressenti de l’électricité transpercée mon corps et de l’excitation humidifiée mon sexe. J’ai su alors qu’il me plaisait et devenait mon fantasme. Je me pose à chaque fois au plus porche de l’estrade, au plus près de lui, en suçant grossièrement mes stylos et me penchant, chemisier ouvert, sur ma tablette en bois.
J’aimais le côté salope qui émane de moi et la réaction que ça lui procurait. Il n’était pas indifférent mais paraissait gêner qu’une élève l’aguiche autant.
J’ai alors décidé de prendre les devants et d’aller lui parler après que le cours en amphi fût terminé : - Dites, Marc, je peux vous appelez comme ça? J’aimerais arrêter de me torturer l’esprit sur vos intentions... ( je pose ma main sur son épaule), est ce que je vous plaie ?
- bonjour Clara. A vrai dire je trouve ça déplacer d’avoir une conversation comme ça avec une élève.. mais je dois dire que la bosse qui se forme sous mon pantalon, n’est là que grâce à vous, votre poitrine et votre façon de m’aguicher sans cesse.
- j’en étais sûre! Ça fait quelques temps que j’y pense et nous devrions assouvir nos désirs sexuels, Marc.
- je suis marié ! Et cela n’est pas éthique.. enfin..
Je pris alors un grand air de salope, lui mît la main au paquet et l’autre le long de son torse, et dit : -Écoutez, disons après demain, après votre cours... je sais que vous en mourrez d’envie. Je sais aussi que vous allez aimer me traiter comme votre petite élève salope contre votre pupitre, à m’enfoncer votre gros pinceau bien tendu ( je tapote) en moi.
Je saurais me montrer docile, coquine et généreuse.
Sans me laisser le temps de terminer, il alla fermer la salle à clé et m’emmena au milieu de l’estrade. De force, il m’agenouilla et baissa son chino aux chevilles laissant apparaître ses 19 cm bien tendus devant moi. Sans hésiter, je le pris en bouche en crachant dessus pour le lubrifier. Je commençais par titiller le bout de son gland avec ma langue tout en le masturbant de mes mains. Lui me tenait les cheveux en queue de cheval en blablatant que j’étais sa bonne salope.
Iil se mit à me tirer les cheveux alors que je faisais des vas et viens lents et peu profonds. J’ai alors compris qu’il fallait que j’y aille rapidement et sauvagement. J’ai alors pris son sexe au plus profond de ma gorge en déglutissant tout en malaxant ses couilles. Il se tortillait de plaisir et disait ô combien j’encaissais et suçais bien. Il mettait sa main derrière ma tête pour bien donner la cadence qu’il voulait pour me violer la bouche. Il retira son énorme penis et votant que je ne le reprenait pas en bouche, me biffla avec violemment et je le pris en main pour excuses, en le masturbant et le suçant de tout son long avec le contour de mes lèvres.....
La suite au prochain épisode !
L’
———————————————————Depuis maintenant quelques semaines, j’ai repris les cours à l’université. Là bas, que cela soit auprès des professeurs ou des étudiants, j’ai une réputation de fille pétillante et salope. Je mentirais si je disais que je n’aimais pas qu’on m’appelle comme ça ou qu’on me prenne dans les toilettes ou les salles de TD.
Je suis un cours de droit administratif avec Marc 28 ans, un nouveau professeur nouvellement diplômé.
Il fait 1 à 2 tête de plus que moi, est plutôt musclé, bronzé et bien monté quand on en juge par la forme de son sexe contre son chino beige.
Moi, je fais 1m60 pour 53kg, yeux verrons, cheveux bouclés, et je fais un bon 95c.
Dès que j’ai vu Marc, j’ai ressenti de l’électricité transpercée mon corps et de l’excitation humidifiée mon sexe. J’ai su alors qu’il me plaisait et devenait mon fantasme. Je me pose à chaque fois au plus porche de l’estrade, au plus près de lui, en suçant grossièrement mes stylos et me penchant, chemisier ouvert, sur ma tablette en bois.
J’aimais le côté salope qui émane de moi et la réaction que ça lui procurait. Il n’était pas indifférent mais paraissait gêner qu’une élève l’aguiche autant.
J’ai alors décidé de prendre les devants et d’aller lui parler après que le cours en amphi fût terminé : - Dites, Marc, je peux vous appelez comme ça? J’aimerais arrêter de me torturer l’esprit sur vos intentions... ( je pose ma main sur son épaule), est ce que je vous plaie ?
- bonjour Clara. A vrai dire je trouve ça déplacer d’avoir une conversation comme ça avec une élève.. mais je dois dire que la bosse qui se forme sous mon pantalon, n’est là que grâce à vous, votre poitrine et votre façon de m’aguicher sans cesse.
- j’en étais sûre! Ça fait quelques temps que j’y pense et nous devrions assouvir nos désirs sexuels, Marc.
- je suis marié ! Et cela n’est pas éthique.. enfin..
Je pris alors un grand air de salope, lui mît la main au paquet et l’autre le long de son torse, et dit : -Écoutez, disons après demain, après votre cours... je sais que vous en mourrez d’envie. Je sais aussi que vous allez aimer me traiter comme votre petite élève salope contre votre pupitre, à m’enfoncer votre gros pinceau bien tendu ( je tapote) en moi.
Je saurais me montrer docile, coquine et généreuse.
Sans me laisser le temps de terminer, il alla fermer la salle à clé et m’emmena au milieu de l’estrade. De force, il m’agenouilla et baissa son chino aux chevilles laissant apparaître ses 19 cm bien tendus devant moi. Sans hésiter, je le pris en bouche en crachant dessus pour le lubrifier. Je commençais par titiller le bout de son gland avec ma langue tout en le masturbant de mes mains. Lui me tenait les cheveux en queue de cheval en blablatant que j’étais sa bonne salope.
Iil se mit à me tirer les cheveux alors que je faisais des vas et viens lents et peu profonds. J’ai alors compris qu’il fallait que j’y aille rapidement et sauvagement. J’ai alors pris son sexe au plus profond de ma gorge en déglutissant tout en malaxant ses couilles. Il se tortillait de plaisir et disait ô combien j’encaissais et suçais bien. Il mettait sa main derrière ma tête pour bien donner la cadence qu’il voulait pour me violer la bouche. Il retira son énorme penis et votant que je ne le reprenait pas en bouche, me biffla avec violemment et je le pris en main pour excuses, en le masturbant et le suçant de tout son long avec le contour de mes lèvres.....
La suite au prochain épisode !
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