Mon prof de droit partie 3 (+ pascal)
Récit érotique écrit par Chaudebrise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon prof de droit partie 3 (+ pascal)
En rentrant chez moi avec les images encore fraîches de Marc en train de me prendre dans la salle annexe, je suis encore pas mal excitée... Sa peau contre la mienne, son souffle contre ma peau... j’ai des frissons d’excitations.
Je décide alors décidé de lui envoyer un mail pour le remercier et que je suis sur ma faim .
Il me répond sèchement qu’il est avec sa femme et qu’il ne peut me répondre maintenant mais que je dois attendre.
Je suis un peu étonnée, je ne pensais pas qu’il était en couple. En tout cas il ne me l’avait pas dit et paraissait en manque de sexe comme il le disait bien : « j’ai envie de toi putain ça fait si longtemps ! ».
Je ne me laisse pas abattre.
Je vais sur fruitz (une application pour rencontrer des gens selon ton envie).
Quelques minutes plus tard, des dizaines de mecs m’ont déjà envoyé un message. Mais celui de Pascal a retenu mon attention. Il me dit qu’il est dispo ce soir si jamais je voulais approfondir la discussion. Il a 41 ans, divorcé et en garde alternée donc je pouvais aller chez lui sans qu’il n’y ai ses enfants.
Je suis un peu réticente car j’attends le message ou le mail de Marc.. mais après de courtes hésitations en vu de mon envie de me faire sauter... je décide finalement de me rendre au domicile de Pascal qui n’habite pas très loin de chez moi.
Je toque à la porte.
Pascal m’ouvre en peignoir. Il me demande, avant que je rentre, si je veux jouer les soumises. Bien sûr, j’acquiesce tout de suite . Il m’ordonne alors de jouer le rôle tout de suite, en me déshabillant sur le palier et enfilant un peignoir satiné. Je regarde à droite et à gauche, mais Pascal n’a pas de vis à vis. Je m’exécute alors et me déshabille devant cet inconnu qui me répond que je suis obéissante et que je serais récompensée comme il se doit.
Sa maison est super moderne, vitrée de partout et piscine intérieur. J’ai l’impression d’avoir tiré le gros lot !
On va dans son salon. Il est 20h plus ou moins. Il me propose un verre de vin et a préparé un apéro et des petits accessoires à côté : un fouet en cuir, des pinces, un bac de glaçon et une cordelette.
Mmmmh, mon excitation monte à l’idée que tout cela soit pour nous.
Pascal, lors de l’apéro, me raconte un peu sa vie. Il a fait parti d’un club « de riches » dans lequel ils échangeaient les prouesses sexuelles de leur femme pour de l’argent, de la reconnaissance. Comme au poker. Je suis un peu mal à l’aise avec cette idée, mais en fait leurs femmes étaient toutes consentantes, donc je n’y ai plus vu de problèmes.
Il me dit aussi que ce soir, il allait s’occuper de moi, comme il s’occupait de ces femmes avides de sexe qu’il côtoie quelques fois.
21h15. Marc m’envoie un message. Je n’y répond pas.
Pascal devient de plus en plus tactile et me retire mon peignoir. Il me complimente sur mon corps, m’ordonne de le rejoindre sur un plus grand canapé en cuir noir.
Il enlève son peignoir aussi et je découvre alors un homme athlétique, et un sexe vraiment épais. J’étais clairement choquée d’une telle tour ahah.
Nous sommes tous les deux là, complètement nu.
Je m’installe sur le canapé et tente des approches. Je lui caresse le torse de mes mains froides, les descends et m’arrête sur ses abdos encore bien dessinés à 40 ans passés. Il se lève d’un coup et trottine vers le coin apéro et prends la corde, le fouet et le bac à glaçon.
J’entends mon téléphone sonné deux fois d’affilée.
« Ne décroche pas ! ». J’obéis. Je pense que c’est Marc, mais peu importe, ce que je vais vivre ce soir m’intéresse particulièrement.
Je m’allonge sur le canapé et Pascal m’attache les deux poignets et; la corde étant assez longue, l’attache avec le pied du canapé.
Je suis attachée, maintenant à sa merci.
Je trouve la situation super excitant d’autant plus que l’adrénaline et la peur de l’inconnu sont quand même bien présentes étant donné que je ne connaissais pas encore hier Pascal.
Il prend de la hauteur sur moi et me rentre d’un coup deux doigts dans ma chatte déjà bien dilatée et mouillée par l’excitation.
Il me parle « tu aimes ? ». Je ne peux gémir que oui tellement j’aime ce qu’il me fait.
Il prend un premier glaçon qu’il serpente de mon cou à mon bas ventre. Je me tortille de plaisir et lâche des petits soupir d’excitation.
Pascal aime ce qu’il voit. Il prend un second glaçon qu’il place dans sa bouche et fait la même chose mais cette fois ci, je le sens très proche de mon corps. Je vois sa tête s’approcher tout doucement de mon sexe et donne un cou de bassin.
Pascal retire le glaçon et sa tête.
Il prend le fouet. J’ai peur, mais une bonne peur. Il caresse mes seins avec le fouet, puis m’inflige un coup de fouet qui ne me laisse pas indifférente. Je crie son nom de plaisir. Il m’en inflige trois/quatres. Mes seins semblent rouges mais je ne peux utiliser mes mains pour l’agripper, le griffer, le serrer. Elles sont attachées. Il descend le fouet sur mon ventre, et me fouette. Voyant que j’aime ça, il descend encore et glisse le fouet entre mes jambes. Mes cuisses réagissent au froid des ficelles en cuir du fouet et mes fesses se contractent. Pascal m’inflige un coup sur la chatte. J’adore ça. Il attrape mon cou d’une main ferme. Mes yeux roulent de plaisir. Ma bouche s’ouvre aussi. Il pose le fouet avec l’autre main, tout en continuant sa pression sur mon cou. Il m’enfonce encore deux doigts furtivement. Je lui demande de continuer. « Ce n’est pas toi qui fait les règles. » J’acquiesce.
Puis, il enlève ses doigts. Il se lève et retire la corde du pied du canapé, laissant, seules mes mains attachées entre elles.
Il m’ordonne alors de me mettre à quatre pattes sur le dos. Je m’exécute.
Mon téléphone sonne. Je ne peux répondre et ne veux pas. Je veux seulement, à cet instant, qu’il me prenne, me pénètre, me violente.
Pascal s’agace. Il me fesse. Deux grosses fessées. Mes fesses rougissent. Mon dos se creuse. Voyant que j’aime ça, il m’attrape d’une main mes cheveux et leur donne une forme de queue de cheval. Il me redonne deux grosses fessées. Je gémis. « anh Pascal ! Tu m’excites! ». Il est satisfait.
« Maintenant, je veux que tu me suces, ma salope! ». Le mot Salope sortant de sa bouche m’excite encore plus. Je tente alors de me lever avec l’aide de mes mains jointes. Il comprend qu’il doit me retirer la corde.
Détachée, je prends son sexe en main. Il a encore grossi ! Je suis stupéfaite et ne m’imagine pas pouvoir rentrer une telle bite dans ma bouche.
Pascal prend le contrôle de ma tête. Il m’enfonce sa bite que, jusque là, je n’avais qu’effleuré de ma langue.
Je suis surprise. Je déglutis. La cadence des vas et viens qu’il me fait faire était élevée. Je bave beaucoup. Il aime ça. « Tu es une bonne chienne Clara ». Quand il disait mon nom, j’étais encore plus excitée. Son âge et sa prestance me font me sentir petite, encore plus que ce que je ne le suis. J’ai cette impression de réaliser le fantasme de baiser avec le pdg riche.
Je suce alors sa bite tout en malaxant ses deux grosses couilles. Il gémit . « Tu suces très bien ma petite ».
Il maintient d’un coup sa main très longtemps contre ma tête et je manque à ma respiration. « Tu aimes les gorges profondes, c’est bien. »Il a raison.
Il enlève d’un coup son sexe gonflée de ma bouche et, malaxant mes seins, je comprends qu’il souhaite une branlette espagnole.
J’adore en faire. Mes seins sont très sensibles à ça. Je m’assois alors à califourchon et me penche vers sa bite bien tendue et presse mes seins autour de celle ci en faisant des vas et viens. Lui aussi donne des coups de bassin, et dès que sa bite se rapproche suffisamment de ma bouche, je tente d’en sucer le gland.
Pendant que je fais ça, lui me titille le clitoris du bout de sa langue et joue avec mes fesses en les claquant une après l’autre. J’essaye de bouger mes fesses contre son visage. Il adore et je sens qu’il va bientôt libérer sa semence. Il ouvre mes lèvres de sa langue et finit par rentrer deux-trois doigts tout en faisant des mouvements circulaires sur mon clitoris bien sensible. Je gémis de plaisir.
Il ejacule entre mes seins. Je suis surprise lorsque j’en reçois sur le visage. Je me tourne alors vers lui et lui montre le sperme qu’il a déposé sur mon visage. Il est satisfait et me demande d’essuyer et avaler. Je m’exécute.
Prête à continuer sur ma lancée, il me refoule et me dit « Clara, merci, mais je souhaite te revoir, donc laissons durer le plaisir... alors je te propose qu’on se revoit et que cette fois ci, je te prenne à ta juste valeur, comme une chienne à te voir sauter sur ma bite. » Je crois que je lui ai plus. Autant faire durer le plaisir et pas tout avoir en un soir. J’accepte. Il me dit que je peux me rhabiller. Je ne me sens pas souiller ni rien car j’ai pris énormément de plaisir et je sens qu’avec lui, si jamais on se revoit, je vais pouvoir jouer les soumises et j’aime cette idée.
Je me rhabille alors devant lui, installé sur le canapé jambes écartées. Il m’offre un dernier verre et je pars après avoir essuyé une fessée de sa part.
Voyant tous les appels manqués de Marc, je le rappelle. Je lui explique ce que je viens de faire et il ne semble pas content. Au téléphone, je fais vraiment la salope. J’attends qu’il réagisse et me promette une punition.
« t’es vraiment une petit salope. J’attendais que tu me répondes mais tu étais en train de te faire dominer par cet homme. Tu vas être puni, ne me croise pas dans les couloirs, je risque de ne pas être tendre et t’infliger une session sexe intense »Il me connaît bien, en disant ça, il sait que je vais tout faire pour le chauffer, pour le croiser et pour recevoir ma punition méritée.
Une pierre deux coups ce soir avec Pascal. J’ai développé mon côté soumise et excité Marc comme une folle pour qu’il me punisse comme il faut.
[La suite bientôt ....]
Je décide alors décidé de lui envoyer un mail pour le remercier et que je suis sur ma faim .
Il me répond sèchement qu’il est avec sa femme et qu’il ne peut me répondre maintenant mais que je dois attendre.
Je suis un peu étonnée, je ne pensais pas qu’il était en couple. En tout cas il ne me l’avait pas dit et paraissait en manque de sexe comme il le disait bien : « j’ai envie de toi putain ça fait si longtemps ! ».
Je ne me laisse pas abattre.
Je vais sur fruitz (une application pour rencontrer des gens selon ton envie).
Quelques minutes plus tard, des dizaines de mecs m’ont déjà envoyé un message. Mais celui de Pascal a retenu mon attention. Il me dit qu’il est dispo ce soir si jamais je voulais approfondir la discussion. Il a 41 ans, divorcé et en garde alternée donc je pouvais aller chez lui sans qu’il n’y ai ses enfants.
Je suis un peu réticente car j’attends le message ou le mail de Marc.. mais après de courtes hésitations en vu de mon envie de me faire sauter... je décide finalement de me rendre au domicile de Pascal qui n’habite pas très loin de chez moi.
Je toque à la porte.
Pascal m’ouvre en peignoir. Il me demande, avant que je rentre, si je veux jouer les soumises. Bien sûr, j’acquiesce tout de suite . Il m’ordonne alors de jouer le rôle tout de suite, en me déshabillant sur le palier et enfilant un peignoir satiné. Je regarde à droite et à gauche, mais Pascal n’a pas de vis à vis. Je m’exécute alors et me déshabille devant cet inconnu qui me répond que je suis obéissante et que je serais récompensée comme il se doit.
Sa maison est super moderne, vitrée de partout et piscine intérieur. J’ai l’impression d’avoir tiré le gros lot !
On va dans son salon. Il est 20h plus ou moins. Il me propose un verre de vin et a préparé un apéro et des petits accessoires à côté : un fouet en cuir, des pinces, un bac de glaçon et une cordelette.
Mmmmh, mon excitation monte à l’idée que tout cela soit pour nous.
Pascal, lors de l’apéro, me raconte un peu sa vie. Il a fait parti d’un club « de riches » dans lequel ils échangeaient les prouesses sexuelles de leur femme pour de l’argent, de la reconnaissance. Comme au poker. Je suis un peu mal à l’aise avec cette idée, mais en fait leurs femmes étaient toutes consentantes, donc je n’y ai plus vu de problèmes.
Il me dit aussi que ce soir, il allait s’occuper de moi, comme il s’occupait de ces femmes avides de sexe qu’il côtoie quelques fois.
21h15. Marc m’envoie un message. Je n’y répond pas.
Pascal devient de plus en plus tactile et me retire mon peignoir. Il me complimente sur mon corps, m’ordonne de le rejoindre sur un plus grand canapé en cuir noir.
Il enlève son peignoir aussi et je découvre alors un homme athlétique, et un sexe vraiment épais. J’étais clairement choquée d’une telle tour ahah.
Nous sommes tous les deux là, complètement nu.
Je m’installe sur le canapé et tente des approches. Je lui caresse le torse de mes mains froides, les descends et m’arrête sur ses abdos encore bien dessinés à 40 ans passés. Il se lève d’un coup et trottine vers le coin apéro et prends la corde, le fouet et le bac à glaçon.
J’entends mon téléphone sonné deux fois d’affilée.
« Ne décroche pas ! ». J’obéis. Je pense que c’est Marc, mais peu importe, ce que je vais vivre ce soir m’intéresse particulièrement.
Je m’allonge sur le canapé et Pascal m’attache les deux poignets et; la corde étant assez longue, l’attache avec le pied du canapé.
Je suis attachée, maintenant à sa merci.
Je trouve la situation super excitant d’autant plus que l’adrénaline et la peur de l’inconnu sont quand même bien présentes étant donné que je ne connaissais pas encore hier Pascal.
Il prend de la hauteur sur moi et me rentre d’un coup deux doigts dans ma chatte déjà bien dilatée et mouillée par l’excitation.
Il me parle « tu aimes ? ». Je ne peux gémir que oui tellement j’aime ce qu’il me fait.
Il prend un premier glaçon qu’il serpente de mon cou à mon bas ventre. Je me tortille de plaisir et lâche des petits soupir d’excitation.
Pascal aime ce qu’il voit. Il prend un second glaçon qu’il place dans sa bouche et fait la même chose mais cette fois ci, je le sens très proche de mon corps. Je vois sa tête s’approcher tout doucement de mon sexe et donne un cou de bassin.
Pascal retire le glaçon et sa tête.
Il prend le fouet. J’ai peur, mais une bonne peur. Il caresse mes seins avec le fouet, puis m’inflige un coup de fouet qui ne me laisse pas indifférente. Je crie son nom de plaisir. Il m’en inflige trois/quatres. Mes seins semblent rouges mais je ne peux utiliser mes mains pour l’agripper, le griffer, le serrer. Elles sont attachées. Il descend le fouet sur mon ventre, et me fouette. Voyant que j’aime ça, il descend encore et glisse le fouet entre mes jambes. Mes cuisses réagissent au froid des ficelles en cuir du fouet et mes fesses se contractent. Pascal m’inflige un coup sur la chatte. J’adore ça. Il attrape mon cou d’une main ferme. Mes yeux roulent de plaisir. Ma bouche s’ouvre aussi. Il pose le fouet avec l’autre main, tout en continuant sa pression sur mon cou. Il m’enfonce encore deux doigts furtivement. Je lui demande de continuer. « Ce n’est pas toi qui fait les règles. » J’acquiesce.
Puis, il enlève ses doigts. Il se lève et retire la corde du pied du canapé, laissant, seules mes mains attachées entre elles.
Il m’ordonne alors de me mettre à quatre pattes sur le dos. Je m’exécute.
Mon téléphone sonne. Je ne peux répondre et ne veux pas. Je veux seulement, à cet instant, qu’il me prenne, me pénètre, me violente.
Pascal s’agace. Il me fesse. Deux grosses fessées. Mes fesses rougissent. Mon dos se creuse. Voyant que j’aime ça, il m’attrape d’une main mes cheveux et leur donne une forme de queue de cheval. Il me redonne deux grosses fessées. Je gémis. « anh Pascal ! Tu m’excites! ». Il est satisfait.
« Maintenant, je veux que tu me suces, ma salope! ». Le mot Salope sortant de sa bouche m’excite encore plus. Je tente alors de me lever avec l’aide de mes mains jointes. Il comprend qu’il doit me retirer la corde.
Détachée, je prends son sexe en main. Il a encore grossi ! Je suis stupéfaite et ne m’imagine pas pouvoir rentrer une telle bite dans ma bouche.
Pascal prend le contrôle de ma tête. Il m’enfonce sa bite que, jusque là, je n’avais qu’effleuré de ma langue.
Je suis surprise. Je déglutis. La cadence des vas et viens qu’il me fait faire était élevée. Je bave beaucoup. Il aime ça. « Tu es une bonne chienne Clara ». Quand il disait mon nom, j’étais encore plus excitée. Son âge et sa prestance me font me sentir petite, encore plus que ce que je ne le suis. J’ai cette impression de réaliser le fantasme de baiser avec le pdg riche.
Je suce alors sa bite tout en malaxant ses deux grosses couilles. Il gémit . « Tu suces très bien ma petite ».
Il maintient d’un coup sa main très longtemps contre ma tête et je manque à ma respiration. « Tu aimes les gorges profondes, c’est bien. »Il a raison.
Il enlève d’un coup son sexe gonflée de ma bouche et, malaxant mes seins, je comprends qu’il souhaite une branlette espagnole.
J’adore en faire. Mes seins sont très sensibles à ça. Je m’assois alors à califourchon et me penche vers sa bite bien tendue et presse mes seins autour de celle ci en faisant des vas et viens. Lui aussi donne des coups de bassin, et dès que sa bite se rapproche suffisamment de ma bouche, je tente d’en sucer le gland.
Pendant que je fais ça, lui me titille le clitoris du bout de sa langue et joue avec mes fesses en les claquant une après l’autre. J’essaye de bouger mes fesses contre son visage. Il adore et je sens qu’il va bientôt libérer sa semence. Il ouvre mes lèvres de sa langue et finit par rentrer deux-trois doigts tout en faisant des mouvements circulaires sur mon clitoris bien sensible. Je gémis de plaisir.
Il ejacule entre mes seins. Je suis surprise lorsque j’en reçois sur le visage. Je me tourne alors vers lui et lui montre le sperme qu’il a déposé sur mon visage. Il est satisfait et me demande d’essuyer et avaler. Je m’exécute.
Prête à continuer sur ma lancée, il me refoule et me dit « Clara, merci, mais je souhaite te revoir, donc laissons durer le plaisir... alors je te propose qu’on se revoit et que cette fois ci, je te prenne à ta juste valeur, comme une chienne à te voir sauter sur ma bite. » Je crois que je lui ai plus. Autant faire durer le plaisir et pas tout avoir en un soir. J’accepte. Il me dit que je peux me rhabiller. Je ne me sens pas souiller ni rien car j’ai pris énormément de plaisir et je sens qu’avec lui, si jamais on se revoit, je vais pouvoir jouer les soumises et j’aime cette idée.
Je me rhabille alors devant lui, installé sur le canapé jambes écartées. Il m’offre un dernier verre et je pars après avoir essuyé une fessée de sa part.
Voyant tous les appels manqués de Marc, je le rappelle. Je lui explique ce que je viens de faire et il ne semble pas content. Au téléphone, je fais vraiment la salope. J’attends qu’il réagisse et me promette une punition.
« t’es vraiment une petit salope. J’attendais que tu me répondes mais tu étais en train de te faire dominer par cet homme. Tu vas être puni, ne me croise pas dans les couloirs, je risque de ne pas être tendre et t’infliger une session sexe intense »Il me connaît bien, en disant ça, il sait que je vais tout faire pour le chauffer, pour le croiser et pour recevoir ma punition méritée.
Une pierre deux coups ce soir avec Pascal. J’ai développé mon côté soumise et excité Marc comme une folle pour qu’il me punisse comme il faut.
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